Imaginons oui, juste imaginons.Vanessa est une grande fille mince, aux beaux yeux brun clair encadrés par des cheveux noirs, sa taille très fine et ses petits seins très hauts lui donnent une belle silhouette. Avec ses 24 ans, elle a deux ans de moins que moi. On n’était jamais devenus amants, même si nous étions devenus très proches et je dirais même fort intimes. On se confiait quasiment tout, et je sentais une réelle attirance pour cette fille, mais il y avait cette amitié qui s’était développée entre nous et où l’on se croyait enfermés. Mais je devais être très surpris plus tard en constatant qu’elle aussi était éprise de moi et pensait la même chose.Alors que je connaissais Vanessa depuis presque deux ans déjà, un soir elle me téléphone un peu surexcitée, pour m’inviter à déjeuner :— Tu peux venir ? me dit-elle.En ajoutant :— Des lasagnes, simple et sympa entre amis avec Sandra, Sophie et Émilie, ça te va ?— Bien sûr, avec plaisir, lui dis-je en m’empressant d’accepter.Je connaissais un peu Sandra, sa colocataire, je l’avais souvent rencontrée chez Vanessa et on était allés quelques fois au cinéma à trois. Elles partagent ensemble un joli penthouse situé au septième étage, la vue sur la forêt y est superbe. Sandra est une grande brune aux yeux bruns, plutôt pulpeuse, mais juste ce qu’il faut, je ne l’ai jamais vue qu’en jean. Par contre, je ne connaissais ni Sophie, ni Émilie, que j’allais rencontrer chez Vanessa.Le lendemain midi, en arrivant au petit studio, c’est Sophie qui m’ouvrit la porte. Elle était moulée dans une robe de tissu fin qui lui collait à la peau et lui donnait un petit air de nudité très sexy. Mais ce qui m’a frappé tout d’abord chez Sophie, ce sont ses yeux d’un bleu profond et puis ce visage doux en triangle, encadré par une tignasse de longs cheveux bouclés couleur des blés, qui lui tombent sur les seins. Ensuite il y a sa taille très fine qui met en valeur ses hanches toutes rondes. Sophie est une de ces filles dont le corps transmet un véritable appel au sexe, une sorte de charisme du sexe. Et vous l’aurez compris, c’est une de ces filles qui ne passent pas inaperçues. Sophie allait fêter ses vingt ans, elle avait bien un petit copain, elle en avait toujours un, mais jamais rien de très sérieux.Je la suivis vers la grande terrasse pleine de fleurs du penthouse, je retrouvais là, Vanessa, Sandra et puis une quatrième fille inconnue :— Émilie, me dit Sophie en la présentant.Émilie m’apparut comme une petite jeunette de 16 ans, mais je devais apprendre qu’elle en avait 19. Émilie était aussi la plus petite des quatre filles. Ce n’est pas la plus jolie, mais elle a un charme intense avec un regard timide, naïf et rieur, caractéristique de ces filles encore pleines de rêves et qui n’ont pas encore eu l’expérience du sexe. Avec un visage ovale, dissimulé derrière ses cheveux acajou, Émilie a ce petit quelque chose, d’irrésistiblement attirant, appétissant même. Tout donne envie chez elle, sa lèvre supérieure avec cette moue qui donne envie de l’embrasser. Et puis ses petits seins très rapprochés, mis en valeur par le petit chemisier léger qu’elle portait. La forme ronde de ses fesses aussi, moulées par sa petite jupe blanche. Une petite jupe courte qui laisse paraître ses cuisses à la peau douce et fine, un véritable un appel aux caresses.Sophie et Émilie s’installèrent sur le divan et Vanessa par terre, Sandra et moi dans les deux fauteuils. Sur la petite table basse, il y avait le traditionnel plateau de chips, bien sûr, mais aussi un saladier rempli à ras bord de sangria. Le verre dans une main et des chips dans l’autre, on se mit à parler de tout et de rien, on rit aussi.Le grand saladier de sangria se vidait doucement, pendant que les filles dirigeaient la discussion, malicieusement sur le sujet des garçons, on riait de plus belle.C’est lorsque que notre sangria se retrouva presque vide que la discussion devint de plus en plus décontractée, les filles voulant toujours en savoir plus sur les garçons, me titillaient de questions. C’est là que Sophie lança vers moi :— Quel effet cela fait de bander !Ça passa tout seul, étant donné la tournure très libre, qu’avait pris notre conversation, sauf que le seul garçon entre ces quatre filles, c’était moi. Tous les regards s’étaient dirigés vers moi, sauf peut-être, celui de Sophie qui observait Émilie. Ma réponse à la question de Sophie, fut tout simplement :— Eh bien, on le sent gonfler et c’est très agréable comme sensation.Mais Sophie n’en resta pas là et ajouta :— Tu sens de l’excitation quand il durcit ?— C’est plutôt l’excitation qui le fait durcir, dis-je en riant, répondant à sa question.Elles avaient alors toutes leur regard, plus ou moins franchement, dirigé vers ma braguette, mais jusque-là, j’aimais plutôt ça et n’en sentais encore aucune gêne.Mais les choses allaient bien vite changer car, Sophie et Sandra, après un échange de regards, ont décidé de s’amuser un peu, aux dépens d’Émilie, mais aussi à mes dépens. C’est ainsi qu’elles ont entrepris d’émanciper la petite jeunette timide qu’était Émilie. Émilie ne connaissait encore personne, à part son amie Sophie, qui l’avait amenée au dernier moment et la petite allait se retrouver piégée par son amie. Mais j’allais aussi me retrouver bien piégé avec Émilie, même si je dois vous l’avouer, Émilie et moi, finalement on y a aussi pris beaucoup de plaisir et d’excitation. Maintenant avec le recul, je ne pense pas que Sophie et Sandra aient prémédité la suite, elles se sont tout simplement laissées aller, prises par l’ambiance décontractée et très érotique dans laquelle nous nous trouvions.Tout commença ainsi. Sophie se tourna vers Émilie et lui demanda :— Ma petite Émilie doit avoir encore plein de questions à propos des hommes !Puis, sans attendre la réaction de son amie, elle continua :— Dis-moi Émilie, tu n’as encore jamais vu une bite en vrai et en chair, ça doit te démanger ?Sophie avait toujours le regard sur Émilie et continuait en riant :— Je trouve que l’on devrait l’émanciper un peu cette petite.Puis, sans laisser souffler celle-ci :— Parce que vous savez, elle est toujours vierge, notre pauvre petit bouchon.Puis sans s’arrêter là, alors qu’Émilie restait sans voix et prenait un sérieux coup de rouge aux joues :— Émilie tu dois avoir très envie, de voir le sexe d’un homme en vrai, non ?Sandra emboîta immédiatement le pas de Sophie et ajouta avec un grand rire :— Oui surtout de près, une que tu peux toucher et voir, une bite en action, tu dois être morte de curiosité de voir un homme nu.Je croisai alors le regard espiègle de Sophie, elle avait ce regard qu’ont les filles très délurées pour ce qui est du sexe et ses yeux bleus pétillaient de malice. Elle avait un de ces regards qui vous attire irrésistiblement vers elle.— Et nous avons justement ce qu’il nous faut pour te monter, dit-elle en me regardant dans les yeux.Je sentais un grand frisson me parcourir, c’était de moi qu’elle parlait.C’est ainsi, alors que personne ne s’y attendait, que Sophie rajouta, toujours ses yeux dans les miens, avec une voix très douce, mélodieuse et charmeuse :— Regarde, Émilie en meurt d’envie, tu lui montres ta queue ?Puis, continuant avec ce regard bleu intense où on lisait le mot sexe dans la pupille brillante :— Et puis moi aussi je veux la voir ta bite.— Oui et moi aussi, reprit Sandra avec dans le regard, une forte excitation.Elle continua :— Montre-nous, je veux voir ton sexe et puis tes couilles aussi.Je sentais une marée de fourmis déferler dans mon sexe et mes couilles, pendant que la petite Émilie avait la réaction à laquelle on pouvait s’attendre. Ses yeux presque noirs avaient un regard mélangé de peur, de gêne et d’excitation. Son regard fixé sur mon jean, semblait vouloir transpercer la forme du tissu qui trahissait mon sexe. L’idée qu’elle puisse me voir nu, l’excitait visiblement. Mais Sophie continuait toujours en me regardant et en riant de plus belle :— Tu as quatre admiratrices ici, qui veulent te voir nu.— Oui tu peux bien faire ça pour elle, ajouta Sandra, c’est pour la bonne cause, non ?Émilie restait sans voix et ne semblait plus savoir comment s’asseoir. Vanessa, aussi semblait complètement prise au dépourvu, elle avait pris un fameux coup de rouge aux joues. En plongeant mon regard dans ses profonds yeux bruns, j’y trouvai un mélange de gêne et d’envie et je fus envahi par une forte envie d’elle, d’aller vers elle, de lui prendre la main et la serrer contre moi. Mais ses deux amies continuaient toujours et dirent ensemble en riant :— Regarde comme Émilie a envie de voir ton sexe !Celle-ci avait en effet le regard toujours fixé sur la fermeture éclair de mon jean.La question tournait dans ma tête « Montre ton sexe » et il y avait là deux filles, Sophie et Sandra qui s’amusaient follement, avec leur sourire taquin qui ne laissait aucun doute, il était évident que j’allais me mettre nu devant Émilie et devant elles ! Totalement prises par le jeu, elles ne voyaient plus comment je pourrais leur résister. J’avais le cœur qui battait la chamade, j’étais pris au piège, mais quel adorable piège je dois vous l’avouer. Sentant alors le regard d’Émilie sur moi, en me tournant vers elle, j’ai croisé son regard, il y avait un mélange de gêne et d’excitation, mais c’est surtout beaucoup d’excitation qui semblait l’envahir. Et puis aussi, je ne rêvais pas, les yeux d’Émilie semblaient même un peu supplier et j’eus l’impression de l’entendre penser : « Vas-y, montre-moi, oh oui laisse-moi voir ton sexe, mets-toi debout et montre-moi… »Nous étions les yeux dans les yeux Émilie et moi, elle tournait ses fesses sur le divan, ne sachant plus comment s’asseoir, les trois autres filles retenaient leur souffle.N’osant toujours dire un mot, de peur que ma voix ne trahisse mon désir, car je sentais leur excitation qui m’envahissait aussi. J’étais entièrement submergé par un flot de chatouilles, qui avaient envahi mon sexe puis mes couilles. J’avais d’abord senti ma bite s’amollir et s’allonger, me donnant l’impression de fondre et de ne plus pouvoir retenir cette très forte impression de pipi qui chatouillait dans mon sexe. Puis j’ai senti celui-ci gonfler et durcir, ce fut d’abord une agréable sensation de gonflement, puis la sensation de tensions quand il s’est mis à durcir. Là il commença à me gêner dans le slip qui devenait trop serré, me donnant une irrésistible envie de mettre les doigts dans la culotte pour dégager ma bite et mes couilles.Mes couilles étaient maintenant intenables sous un torrent de chatouilles, qui se répandait jusqu’entre les fesses, pour envahir aussi mon anus. Alors que je résistais encore à glisser ma main vers mon sexe. Je m’imaginais me mettre nu devant les filles. J’ai croisé à nouveau le regard de Vanessa et je me sentis gêné face à mon amie, mais celle-ci semblait s’être prise au jeu et avait les yeux brillants. Comme la petite Émilie, avec son regard où brillait l’excitation de la découverte, et, je dois l’avouer, l’idée de descendre mon pantalon devant elle m’excitait. Et puis il y avait ces deux filles fort délurées, qui ne s’arrêteraient plus maintenant. Je me sentais comme quand on vous tire sur une piste de danse, avec cette impression que l’on allait casser l’ambiance autrement.Maintenant mon sexe et mes couilles me gênaient trop, je ne pourrais résister plus longtemps à l’envie de les dégager de la gêne intenable que j’avais dans la culotte. Alors en commençant par tirer avec les deux mains sur le tissu du jean, je me rendis tout de suite compte que faire ça, de manière très peu discrète, ne servirait à rien. Que déjà Sophie ne pouvait rater ça :— Waaaw, dit-elle, c’est qu’il bande.Suivie par Sandra :— Son sexe ne demande qu’à sortir.Ma bite et surtout mes couilles, me gênaient encore plus après cette tentative pour les dégager, alors n’y tenant plus, je me mis debout et pris mon jean à deux mains, au niveau de mon sexe pour le tirer et me dégager de la gêne.C’est là que Vanessa me déstabilisa par son intervention, avec une intonation dans sa voix un peu excitée et ses yeux brillants d’envie :— Ouiii montre-nous, moi aussi j’ai envie de te voir nu !J’étais debout devant le canapé sur lequel Émilie était assise entre Sophie, et Sandra qui les avaient rejointes. Vanessa toujours assise par terre, s’était rapprochée, le dos contre les genoux de Sandra. J’avais cette impression « d’objet » et je commençai à comprendre maintenant ce que devaient ressentir les femmes, si souvent dans ce genre de situation. Mais je ressentais aussi cette incomparable excitation d’être désiré, et comprenais maintenant pourquoi les filles font du striptease et posent nues ! Je réalisais que je n’avais plus qu’à me laisser aller au jeu et en profiter moi aussi, car là j’étais au pied du mur.J’avais la tirette de mon jean à la hauteur de leurs visages et Émilie qui était revenue de ses émotions, avait son regard fixé sur la déformation de mon pantalon. Elle semblait retenir ses mains d’aller ouvrir mon pantalon et leva ses yeux d’un brun profond pour me murmurer, d’une petite voix un peu rauque, qui lui donnait un charme fou :— Tu n’es pas obligé, mais si tu veux, ça serait magique !Puis elle ajouta encore de sa petite voix rauque qui me laissait sous le charme :— Il a l’air tout grossi, j’aimerais bien voir ton sexe.On aurait pu croire que la timidité et la pudeur allaient me couper « les effets », mais ce fut tout le contraire. Les filles me communiquaient leur excitation qui s’emparait de moi en déclenchant une irrésistible bandaison. Avec un mélange de gêne et d’excitation, en tremblant légèrement, j’ouvris ma ceinture, puis mon jean pour ensuite tirer sur la fermeture éclair et laisser descendre le jean, acclamé par Sophie et Sandra :— Tout nu… Tout nu…Puis Sophie ajouta encore en voyant que mon sexe faisait bailler mon slip, au niveau du ventre :— Regardez, sa queue ne demande qu’à sortir !Le pantalon tomba sur les chevilles et je me dégageais des chaussures puis du jean.— Huuumm, firent Sophie et Sandra.Avec les yeux fixés sur mon slip :— Tu bandes comme un excité, laisse voir ta queue, dit Sophie.— Elle est vraiment pressée de se montrer, ajouta Sandra en riant, les yeux pétillants sur la bosse de mon slip.L’excitation dans les yeux des quatre filles m’excitait, je l’avoue. Sophie dit alors d’une voix plus excitée, qu’autoritaire :— Vas-y, descends-le ce slip, montre-nous ta queue.Reprise par Sandra qui continuait :À ces mots, je fis glisser le slip le long de mes cuisses. Alors qu’apparaissait mon sexe, le visage d’Émilie pétilla d’excitation, ses yeux comme deux grosses étoiles rivées sur mon sexe. Son regard était merveilleusement excitant et un frisson électrique parcourut mon corps. Je me retrouvai le sexe nu devant elle, devant elles toutes… Je sentais mon gland tendu et brûlant, j’avais aussi cette sensation excitante que donnaient mes couilles libres et ramollies par la chaleur, qui pendaient entre mes cuisses.Vanessa les yeux rivés sur mon sexe :— Il est tout droit, j’aime, dit-elle avec son regard sensuel.Puis elle continua de sa voix douce :Elle avait dit ça comme on dit, je t’aime !C’est là que la voix un peu rauque d’Émilie ajouta :— Moi aussi j’aime ton sexe, reprit-elle.Et l’intonation qu’elle avait mise dans le mot sexe, était très érotique. Émilie, la petite Émilie, timide avec son corps léger et ses rondeurs qui lui donnent ce côté si attirant et tellement sexe. C’était comme si elle dégageait un torrent de phéromones et c’était fabuleusement excitant.J’étais là, nu devant ces quatre filles. Sophie s’était levée et je croisais ses yeux brillants quand elle enleva ma chemise, puis retourna sur le divan et regarda son amie Émilie avec excitation. Maintenant j’étais entièrement nu avec mon sexe qui me démangeait. Là je me sentis encore plus nu sous le regard de mon amie Vanessa, qui avait un indescriptible plaisir à me découvrir nu et puis il y avait son regard sur ma bite.Sandra déboutonna son jean pour effleurer sa petite culotte d’une main, alors que l’autre se glissait sous la chemise pour masser un sein. Mon excitation monta encore en voyant Sophie replier une jambe contre elle, et poser un pied sur le coussin du divan, sa robe glissa sur sa cuisse relevée et me laissa voir ainsi sa petite culotte, qui collait à ses lèvres humides. Le tissu fin moulait ainsi leur forme très ronde de manière fort érotique. Et ma bite en était si excitée et tendue que la peau du prépuce s’ouvrait et laissait voir le bout de mon gland, qui sous l’excitation s’humidifiait de perles brillantes.Émilie s’était avancée et, assise sur ses talons avec sa petite jupe complètement remontée sur la peau fine de ses cuisses qui laissait paraître une petite culotte en tissu fuchsia, elle approcha sa main et je sentis alors ses doigts fins qui se posaient sur ma queue, une légère pression de ses doigts et une terrible décharge me mit le feu au gland et aux couilles. Puis elles se mirent à picoter atrocement quand Émilie les prit dans le creux de son autre main. Je les sentais fondre dans sa main chaude et le flot de chatouilles entre mes cuisses s’attaqua à mon anus.Sophie et Sandra ne disaient plus rien ! La petite culotte de Sophie avait déjà glissé sur ses cuisses, repoussée par la main qui caressait maintenant les lèvres de sa moule. Sandra aussi avait le jean grand ouvert et sa main était sous le tissu jaune de sa culotte.Vanessa s’était rapprochée et toujours assise par terre, s’était adossée au sofa avec les genoux pliés contre elle. C’est là que je devais avoir la révélation !Vanessa dit de sa voix douce :— Vous savez je vais vous avouer… que moi aussi, je n’ai jamais vu de zizi !Puis d’une voix légèrement tremblotante, avant que les deux autres filles ne fassent de commentaires :— Tu sais toutes les filles ne sont pas dépucelées à 14 ans ! me dit-elle tout en se rapprochant de mon sexe.Sophie et Sandra n’avaient pas fait le moindre commentaire. La main de Sophie se figea et Sandra regarda Vanessa avec surprise. Vanessa plongea son regard dans le mien et dit :— Tu me laisserais aussi toucher ?Vanessa était déjà à genoux tout près de moi et je sentis une démangeaison intense et brûlante s’emparer entièrement de mon gland, toujours sous la peau du prépuce. Émilie tirait légèrement sur la peau prise entre ses doigts, pour faire apparaître le bout rouge de mon gland.Émilie et Vanessa se regardèrent, une main d’Émilie serrait mes couilles, pendant que l’autre lâchait ma bite, pour être remplacée par celle de Vanessa.Je fus alors complètement envahi par un vertige, l’impression d’être au bord du vide, avec ce pincement dû au vertige qui me liquéfiait complètement le sexe, pendant que mes couilles serrées dans une main d’Émilie, rayonnaient d’un mélange à la limite de la chatouille et du feu brûlant.Vanessa pressait ma bite de ça et de là, puis effleura le gland qu’Émilie commençait à dégager en faisant doucement glisser la peau pour le voir apparaître. Timidement elle tirait sur la peau, qui en se décollant du gland, mettait encore de l’huile sur le feu des chatouilles infernales. Mon gland sortait doucement de son enveloppe de peau, sous les yeux des filles de plus en plus excitées. Mon gland qui n’était plus qu’un brasier infernal remontant jusque dans le ventre, s’humidifiait de perles de plaisirs et mouillait comme une moule. J’imaginais celle de Vanessa transpirant d’excitation en me découvrant ainsi et cette idée était si excitante, que la sensation de vertige augmenta encore.Vanessa eut une onde d’excitation en touchant mon gland humide, où les doigts glissaient sur la peau toute lisse et tendue. Elle passa ses doigts sur le liquide filandreux et demanda :— C’est du sperme !— Non, dis je, c’est juste pour le rendre glissant.— Ah une mouille comme nous, dit-elle alors.— Oui c’est tout à fait ça.Émilie avança une main pour venir la poser sur le bout du gland et toucher aussi le liquide transparent. Alors que son autre main, posée plus bas sur la verge, tirait toujours sur la peau du prépuce pour dégager mon gland.— Tu peux tirer, lui dis je, dégage-le complètement.Puis j’ajoutai :— Tu sais, normalement il y a un frein qui empêche de le retrousser complètement, mais chez moi ce frein était trop serré et il a été enlevé. Ce qui fait que tu peux sortir complètement mon gland.C’est ce que fit Émilie, sans se faire prier elle tira la peau jusqu’à la base du pénis. Sous les yeux des deux filles, là à quelques centimètres.La culotte de Sophie glissait le long de ses jambes et elle se retrouva la chatte complètement nue. Je découvris là une moule superbe, avec de grandes lèvres épaisses, ouvertes sur ses petites nymphes avec une corolle épaisse de couleur foncée toute gonflée, un vrai appel à la succion. À la commissure de ses petites nymphes se trouvait un superbe clitoris tout rose, qu’elle titillait adroitement des doigts, avec du sexe plein le regard.— Je suis complètement mouillée, je veux du sexe, dit-elle en ajoutant, tout en ouvrant sa chatte, excitez-le, faites lui perdre la tête.À ces mots, Sandra déboutonna son jean et passa, elle aussi, une main dans sa petite culotte et commença à se caresser doucement. Puis sur sa lancée, repoussa le jean et sa culotte sur ses chevilles. Écartant les cuisses pour offrir elle aussi son sexe à qui voudrait, sa vulve lisse presque sans poils. Les cuisses écartées avaient aplati les grandes lèvres qui s’étaient ouvertes sur les nymphes volumineuses, qui ressortaient en une corolle de chair attrayante, entre lesquelles apparaissait la longue forme de peau lisse du capuchon de son clitoris. Son sexe rivalisant avec celui de Sophie pour donner des envies irrésistibles de prendre leurs chairs humides et excitées entre mes lèvres. Mais leurs lèvres ouvertes par les jambes écartées, donnaient aussi une irrésistible envie d’y glisser ma queue.Vanessa et Émilie étaient côte à côte, là juste à quelques centimètres de moi. Vanessa serrait toujours mes couilles dans le creux de sa main et je sentais les attouchements de ses doigts qui m’excitaient. Tout en passant les doigts de l’autre main sur la peau fine et glissante de mon gland, qu’Émilie faisait émerger en tirant la peau du prépuce, le long de ma bite. Alors que mon gland apparaissait, suintait d’un long flot continu de perles d’excitations. Un filet luisant commença à couler le long du gland, quand Vanessa approcha son visage de mon sexe et posa le bout de ses lèvres sur la perle qui coulait. Puis tout mon corps trembla, quand elle commença à le parcourir du bout des lèvres et de sa langue. Juste un effleurement glissant sur les perles brillantes et le titillement du bout de sa langue sur mon sexe que je n’avais jamais senti aussi excité et gonflé. J’étais là debout devant elle agenouillée et mon corps ne répondait plus, maintenant mon gland était en entier entre ses lèvres. Je sentais sa langue qui glissait autour de lui en un léger et doux frottement, puis s’enrouler autour. Ma bite était tellement excitée, que je la sentais dure et gonflée à la limite de la douleur.Émilie s’était assise les fesses par terre, ses yeux à hauteur de mes couilles, que Vanessa avait lâchées, elle les avait prises entre ses lèvres et les pinçait en donnant l’impression qu’elle allait les gober. Je ne pourrais plus tenir longtemps comme ça. Vanessa éloigna alors son visage pour profiter de la vue de mon sexe, elle passa une main sur mes fesses et prit ma bite à pleine main en la serrant. Émilie et elle se retrouvaient là, tenant toutes deux mon sexe et mes couilles. Elles se regardèrent, puis je croisai leurs regards, une impression de béatitude m’envahit alors. Maintenant mon sexe tout entier et mes couilles me serraient à la limite de la douleur, un simple effleurement du gland et ce serait l’explosion incontrôlable. Vanessa se leva alors et approcha ses lèvres des miennes, je sentis le contact doux de ses lèvres venant sur les miennes et l’odeur excitée de son souffle, puis sa sensation de sa langue venant se joindre à la mienne. Émilie s’était mise à genoux et profitant de la situation, avait elle aussi prise mon gland tout entier entre ses lèvres et le pressait dessous avec sa langue, là où se trouvait le frein et que c’est tout particulièrement sensible. Je lui fis comprendre par un mouvement de hanche que ça allait venir, que j’étais au bord de l’explosion.— Émilie, dit Sophie, là il va exploser, si tu ne veux pas tout prendre en bouche… !Émilie ne répondit pas, sans lâcher sa proie, elle sera ses lèvres et je la sentis le souffle court. « Émilie complètement envahie par l’excitation a envie de connaître le goût du sexe », me dis-je alors que la langue d’Émilie faisait un dernier effleurement fatal.Vanessa dut me sentir jouir, car j’eus un fort goût d’excitation sur nos langues, quand je sentis mon sexe éclater de plaisir, tenant le visage d’Émilie pour éviter de lui enfoncer mon sexe par les mouvements incontrôlés de mon bassin. J’eus l’impression que tout mon corps se liquéfiait à travers elle. Alors que Vanessa ne lâchait plus mes lèvres, Émilie tâtait, pinçait suçait mon sexe qui tardait à se détendre tellement l’excitation était forte. Émilie recula alors son visage et fixa ma bite qui devenait molle.— Émilie, dit Sophie, tu dois être complètement excitée toi aussi, il faut qu’on te libère aussi !— Oui je n’en peux plus, avoua Émilie qui s’était passé une main dans la culotte et avait introduit deux doigts entre ses lèvres détrempées.Sophie et Sandra me regardaient avec un regard sans équivoque, puis Sandra regardant Vanessa :— Et toi Vanessa, tu supportes encore le jean ?Vanessa plongea ses yeux bruns dans les miens et dit :— Non, plus du tout, j’avoue que j’ai la culotte complètement trempée.Elle avait appuyé sur le mot « complètement ». Elle ajouta encore :— Comme Émilie, personne d’autre que moi, ne m’a encore fait jouir !Et me regardant droit dans les yeux :— Et toi, tu n’as pas envie de découvrir ma chatte ?À ces mots, ma poitrine se serra et je ne pus que lui murmurer dans l’oreille :— Oh si et tu ne peux pas savoir combien !Cela faisait un long moment vous pensez bien, que j’en avais envie, il ne s’était d’ailleurs pas passé une rencontre avec elle, sans que j’y pense à un moment ou un autre. Je me demandais comment elle était nue et trop souvent mon regard essayait sous le jean, où sous une jupe de découvrir comment pouvait être son sexe ! Elle aussi, je devais l’apprendre bien plus tard, essayait de découvrir le mien sous les formes du jean et rêvait la nuit à quelques scénarios torrides.Je la sentis alors me prendre les mains et les poser sur son jean. J’ouvris alors celui-ci sans quitter ses yeux. Puis je me laissai descendre à genoux en même temps que tombait son jean. Je me retrouvai assis sur mes talons, avec sa petite culotte à hauteur de mes yeux, elle était en coton blanc et épousait la forme de sa vulve. Je posai mes lèvres dessus, puis d’un frottement sur le tissu, je fus envahi par une senteur infiniment excitante. Comme si je venais d’inhaler une forte drogue qui me tournait complètement la tête. Alors que je passais le bout de mes doigts sous l’élastique pour la descendre, je restais un moment, les lèvres collées contre son sexe encore sous le tissu. Restant suspendu à ce moment divin, juste avant de découvrir pour la première fois le sexe de mon amie Vanessa.J’avais bien eu deux ou trois petites copines, mais soit la relation n’était pas allée jusqu’au lit, même si cela avait quand même duré assez longtemps. Soit en faisant l’amour quelques fois, je constate maintenant que ça avait été, en quelque sorte très superficiel, car je ne pouvais me rappeler leurs sexes en détail.J’en avais complètement oublié les trois autres filles, quand j’aperçus Émilie sur le côté, qui se laissant complètement aller à l’ambiance totalement sexe, s’était couchée sur le sol en enlevant sa culotte. Sa petite jupe repliée sur son ventre. Les pieds par terre, genoux pliés et écartés, ses cuisses un peu rondes à la peau douce. Ses doigts s’affairaient sur les lèvres de sa chatte excitée, je lui découvris les lèvres plutôt petites et les nymphes courtes et en arc de cercle, se rejoignant par un tout fin capuchon qui dissimulait son clitoris, presque invisible, niché au creux des petites nymphes.En glissant mes mains sur les formes rondes de fesses de Vanessa, un vrai régal sous les doigts, je sentis alors la petite rondeur, là où les fesses rejoignent les cuisses et se prolongent vers les grandes lèvres. Mes mains glissèrent sous le tissu de sa culotte et la firent glisser très doucement. J’eus d’abord sous les yeux le triangle de poils, tout fin et soyeux. Puis apparut petit à petit sa vulve avec les lèvres. Elle avait peu de poils et la peau tendre entre les lèvres et les cuisses était imberbe, la peau là, me parut la plus fine et lisse de tout son corps. Je passais ses pieds au travers de sa culotte pour l’enlever et ce faisant, en relevant une cuisse elle me laissa découvrir dans le creux de sa cuisse, qui semblait épouser la forme de sa vulve, maintenant complètement dégagée sous mes yeux brillants d’excitation et d’amour.Vanessa était toujours debout et je m’étais assis à ses pieds, mes mains d’une caresse écartaient ses cuisses, puis j’approchai mes lèvres de sa moule nue. Son excitation l’avait tant mouillée, ses lèvres gonflées et humides reluisaient et je glissai les miennes entre ses grandes lèvres, pour aspirer les petites et les caresser de ma langue.— Waaaaw, fit Sophie, quelle veinarde, c’est trop ça !Suivie par Sandra :— Oui regarde comme la petite Émilie ne se tient plus, gardes-en un peu pour elle.J’étais au cœur de Vanessa et complètement envahi par elle, j’entendis donc de très loin les remarques des deux filles. Mais je sentis les mains, les lèvres, puis la langue d’Émilie se poser sur mes fesses, elle s’était mise à genoux derrière moi et je sentis sa main glisser entre mes cuisses vers mon sexe.Je me sentis partir en arrière, poussé par Vanessa et me retrouvai finalement sans trop savoir comment, allongé sur le dos, Vanessa assise avec son sexe toujours sur mes lèvres et Émilie allongée sur mes gambes les deux mains sur mon sexe.Imaginez leurs chattes en chaleurs, à toutes les trois, autour de moi, Sophie qui m’avait écarté les jambes, pour venir aussi prendre mon sexe dans ses doigts et Sandra qui ne ratait rien de ma bouche dans la moule de Vanessa. Elle caressait la sienne avec une excitation sur le visage particulièrement érotique.J’adorais leurs visages avec cette expression d’excitation et de jouissance.Mes mains s’étaient glissées sous la chemise de Vanessa et remontaient sur son dos lisse jusqu’aux seins, que j’entourai des mains. Ils me donnaient une agréable sensation de rondeur et de douceur puis je titillai ses tétons tout en passant le bout de ma langue sur le bouton tout rond de son clitoris. Je la sentis se tortiller et c’était fabuleux. Sandra n’avait plus que sa chemise ouverte sur les seins nus.Malgré le fait que j’avais eu une méga grande dose d’excitation suivie par une belle jouissance, ces quatre filles la, étaient vraiment excitantes et je sentais encore l’excitation revenir. Alors que celle de Vanessa augmentait à vue d’œil, je ralentis alors le rythme et la pression de ma langue. Je pris alors une grande lèvre entre les miennes et l’aspirai entièrement en bouche, je sentis la forme ronde entre mes lèvres et la caressai de ma langue puis me laissai à nouveau glisser dans son sexe qui s’ouvrait pour laisser entrer mes lèvres.— Hhhummmm, fit-elle alors que ma langue descendait depuis son clitoris en glissant le long d’une de ses petites lèvres, pour ensuite remonter vers le clitoris en suçant l’autre, en caressant d’un long coup de langue.Je la sentais se tortiller assise sur ma bouche et c’était infiniment excitant, si excitant même que je sentais son sexe redevenir vivant. Vanessa sentait monter la jouissance en elle, ce fut alors de longs mouvements de va-et-vient de son sexe sur ma bouche, alors je relâchai la pression de ma langue et mes lèvres, pour les faire légères.— Hhuuuuuumm, fit-elle avec une intonation superbe que lui donnait le plaisir.Son sexe glissait toujours sur mes lèvres et mouillait tout mon visage, son odeur avec prise une saveur d’excitation exacerbée. Elle serra les cuisses sur mon visage et je me retrouvai enveloppé par la douceur de sa peau, les cuisses suivaient le mouvement de son bassin qui était pris de sursauts incontrôlés.— Huumm, Wouuw, Muuuuhhm, fit elle.Puis je la sentis partir, son sexe appuya très fort sur ma figure, m’enveloppant de son excitation transmise, j’eus l’impression de sentir sa jouissance couler de son sexe sur mon visage, puis elle eut un sursaut et tomba couchée sur moi. Elle m’embrassa en murmurant :— J’aimerais sentir ton sexe dans le mien, là je ne risque rien.Elle se redressait déjà et s’était reculée vers mon sexe et là assise sur mes chevilles, elle prit mon sexe en main et constatant qu’il avait repris sa dureté de tout à l’heure, elle mit sa vulve au-dessus, puis se laissa descendre sur ma bite. Je sentis ma bite glisser entre les lèvres glissantes de Vanessa et je fus envahi par un bien-être fabuleux. Puis alors qu’elle montait et descendait son bassin, je sentis son vagin glisser, puis ses lèvres me lâcher, puis happer à nouveau mon gland. J’avais son visage au-dessus de moi, elle avait cette expression que donne la jouissance qui la rendait infiniment belle et désirable. Puis les mouvements de son bassin devinrent plus rapides, elle semblait vouloir enfoncer ma bite tout au fond d’elle. Ma queue s’enflammait à nouveau, mon gland commençait à brûler et démanger, elle fit alors des mouvements du bassin en avant puis en arrière, se frottant contre mon ventre sans plus monter. Mon sexe n’était plus que feu alors que je la sentis se frotter par saccades.— Huumm, Muuum, Ooh, quel délice, je t’aime.Et je la sentis à nouveau jouir. Elle fit alors un mouvement plus fort et mon sexe sortit du sien, puis je le sentis se glisser à nouveau entre ses lèvres, alors qu’un flot de chatouilles en fusion jaillissait dans mon sexe, pour aller se répandre dans le sien.Vanessa se pencha alors vers moi, puis s’allongea sur moi et je sentis mon sexe sortir du sien. Elle m’embrassait à nouveau en murmurant :— Je t’aime, je ne veux plus que l’on se quitte.— Moi aussi je t’aime, lui répondis-je en ajoutant : on ne se quittera plus jamais.On termina la soirée tous les cinq nus, pour quelques-uns d’entre nous les lasagnes eurent un goût très particulier et pour tous, cette journée restera un souvenir tinté d’émotion.