Candice est allongée sur son son lit, visiblement endormie. Elle ne sait pas qu’on l’observe. Cette « présence », une entité ectoplasmique qui flotte dans la chambre en face d’elle, prend son temps, balayant son corps, de la tête aux pieds. La présence fixe maintenant la jeune fille dont la chemise de nuit transparente arrive à mi-cuisses. Le regard translucide du fantôme détaille le cou, les épaules, s’attarde sur le bombé de sa poitrine qui soulève la nuisette, trouve ensuite un ventre plat, renflé à la jonction de ses cuisses.Le fantôme s’approche et lui remonte le tissu jusqu’en dessous des bras. Ses seins sont à l’air libre et son sexe, à peine recouvert d’un triangle de coton. Cette fraîcheur soudaine, venant des genoux jusqu’au cou, la fait frissonner mais ne la réveille pas. Les deux mains du fantôme s’activent sur la poitrine de la jeune femme. Elles soulèvent par légère pression les deux gros mamelons, les soupèsent, les rapprochent par à coups tandis que les tétons sont délicatement pincés. Le corps de Candice ne semble plus lui appartenir. Elle est ainsi mise à nue, observée et touchée sans qu’elle le sache.L’ectoplasme lui soulève maintenant délicatement les cuisses et fait glisser sa culotte. « La voie libre », il peut enfin appuyer avec sa main droite sur le ventre de sa victime, juste au-dessus du vagin. Il fait ressortir le sexe de la jeune femme comme pour mieux l’offrir à ce supplice invisible. Il lui ouvre complètement les cuisses contre son gré, ses jambes s’affaissant bien à plat sur le lit. Il lui remonte maintenant les jambes le plus possible contre son ventre. Sa vulve, aux lèvres gonflées par la position et par l’inconsciente excitation, commence à briller de mille feux et est offerte à la vue de l’intrus.Ainsi positionnée, comme écartelée, les lèvres de Candice laissent voir la chair rosée de l’entrée de son vagin. Une main invisible mais palpable parcourt le contour des petites lèvres puis passe le long des grandes lèvres, les titillant par intermittence avant de se diriger vers l’anus. Tout ce que Candice possède entre ses cuisses et ses fesses écartées semble être à la merci du visiteur. Celui-ci, à l’aide de son pouce, sépare les deux globes arrondis et inspecte le petit trou de sa proie.Soudain, à l’aide du majeur et du pouce, le fantôme s’immisce dans les petites lèvres et force son anneau sombre. En enfonçant son pouce au plus profond du vagin, il constate un durcissement du clitoris. Il fait coulisser le capuchon clitoridien. Le corps de Candice est en transe : les seins aux tétons durcis sont toujours à l’air, les jambes définitivement écartées, la vulve entièrement ouverte, le clitoris sorti… Le sexe du visiteur se dresse et se présente bien gonflé à l’entrée de la vulve de l’inconsciente. Dilaté, son sexe absorbe l’instrument invisible, son bassin s’anime lentement d’un irrépressible plaisir. Candice commence à suer, tout son entrejambe se réchauffe… Son bassin fait corps avec le sexe de l’envahisseur. Son cerveau en veille, son corps se met en « pilotage automatique » devant cette ombre qui introduit son sexe en érection dans son intimité.À chaque mouvement du bassin, le gland semble se glisser encore plus profondément. La vulve toute entière semble s’être mise d’accord avec ce pénis et se referme à chaque poussée, comme pour l’engloutir. Les deux corps se mettent à coulisser de plus en plus vite, en osmose… La sueur commence à perler entre les deux seins de Candice et termine sa course dans le petit creux du nombril. Plus bas, son vagin dégouline sans retenue. « L’homme » pince simultanément les deux tétons. Pendant ce temps, il continue de forcer l’entrée de sa grotte, le pénis toujours un peu plus puissant, glissant même jusqu’au fond de son con, cognant presque la paroi étroite de son utérus. Alors que la pression monte, le fantôme ralentit la cadence, il se retire.Il décide de surélever les fesses de la jeune femme à l’aide d’un oreiller, mettant ainsi en évidence le petit trou de son esclave nocturne. Positionnée de la sorte, il lui écarte les jambes à son maximum sans que celle-ci puisse donner son assentiment. Les grosses lèvres s’écartent de manière indécentes entraînant la dilatation de l’anus. Un tremblement semble parcourir Candice. Son intimité ouverte, offerte, la présence peut s’asseoir entre les jambes écartelées. Deux doigts horizontaux écartent l’anneau tandis que deux autres, à la verticale, s’enfoncent lentement dans le petit trou, le forçant à s’ouvrir encore plus. Dilatée de la sorte, le clitoris, exposé naturellement à la vue de l’envahisseur, se voit aussi trituré, décalotté et entièrement pincé par la paluche invisible. La jeune femme se remet à onduler du bassin. Le toucher rectal, tournant et de plus en plus profond, révèle les habitudes de la jeune femme. L’anus de Candice, ainsi forcé par quatre doigts, semble se détendre de plus en plus…Ça y est, tout en continuant à lui tenir les jambes écartées, l’envahisseur guide enfin son membre énorme vers l’anus de sa proie. Le gros gland est positionné contre l’anus « travaillé » de la jeune femme. Le gland tuméfié commence à la remplir inéluctablement. Il vient de rentrer et commence à cogner son fondement. La sueur sort de chaque pore de « la punie ». Elle en a les jambes toutes tremblantes. Pas rassasié, l’ombre lui appuie sur les épaules comme pour l’embrocher complètement. Il l’envahit jusqu’au ras des testicules. Candice, toujours inconsciente, a du mal à respirer.Les grandes lèvres et l’entrée du vagin de la soumise sont grandes ouvertes. L’homme, tout en continuant à besogner analement la jeune femme, positionne son poing droit à l’entrée de la vulve. Elle semble s’ouvrir… comme désireuse de gober ces phalanges. La main ne tarde pas à forcer l’entrée et ramoner comme une cheminée le vagin de Candice. Sa main gauche appuie, en cadence, sur le ventre pour faire remonter et descendre le bas ventre de Candice. « Prise » des deux trous, tout son entre-jambes est en feu. Le délicieux supplice semble durer une éternité, le poing et le sexe de l’intrus cohabitent par paroi fine interposée pour le plus grand plaisir de l’inconsciente « suppliciée »… Elle gémit, elle crie, elle gueule, elle s’évanouit, elle part…Il est 3h30 du matin, Candice vient de se réveiller trempée de la tête aux pieds. Elle est crampée comme si elle avait fait des folies de son corps pendant des heures ! Elle se sent exténuée, a mal partout et particulièrement à l’intérieur des cuisses qu’elle a du mal à refermer… A-t-elle fait un rêve érotique ou un était-ce un cauchemar dans lequel elle étouffait ?! Sa nuisette est remontée jusque sous le menton et sa culotte est en boule, posée à ses côtés… Quelle sensation bizarre que de se réveiller en sueur à moitié nue au beau milieu de la nuit ?! Elle baisse sa nuisette, referme ses cuisses, dégage l’oreiller trempé fiché sous son bassin. Elle se rendort, le sourire aux lèvres. Bonne nuit Candice…FIN