Résumé de l’épisode précédent : Après avoir découvert les plaisirs de regarder Marie avec d’autres hommes, nous revenons doucement vers une libido « classique »Un certain temps s’était écoulé depuis la dernière aventure de Marie. La routine du quotidien nous avait rattrapés, et il n’y avait plus vraiment eu d’occasions particulières. À vrai dire, ça nous était sorti de la tête. Mais quelques jours plus tôt, le sujet refit surface, lorsque nous étions au lit. Juste pour en parler.Notre vie sexuelle avait explosé depuis nos nouvelles pratiques et cela nous convenait bien à tous les deux. Et voir Marie entre les mains d’un autre homme me manquait un peu. Ça avait une certaine saveur, à vrai dire.Des fois, je me touchais devant la vidéo que son collègue avait prise d’elle, la dernière fois. Je pense qu’elle aussi le faisait.Mais c’était ça le contexte actuel. Tout était assez calme, et l’amour filait doux entre Marie et moi. Et cet après-midi, nous étions invités chez des amis d’enfance de Marie, pour un repas au soleil dans le jardin. À force, j’en connaissais quelques-uns, et nous étions très contents d’y aller. Nous allions être une petite dizaine, il faisait une sorte de réunion de classe, comme à l’ancienne.Parmi tout ce beau monde, il y avait ceux que je n’avais jamais vus, et les conjoints et conjointes inconnus. Mais c’était parfait pour faire connaissance. Les inconnus avaient laissé ceux qui se connaissaient entre eux. Moi, je suivais Marie, histoire de ne pas trop être perdu. Elle retrouva, en tout un tas d’effusions de joies, Clémence, une amie du collège. Elles se sautèrent dans les bras, et Clémence me fit timidement la bise.Je laissais ces deux amies seules, histoire d’aller chercher quelque chose à boire. Pour tout le monde.Je sympathisais avec Will, le copain de… je ne sais plus qui, mais il était un peu comme moi, à ne pas connaître grand monde. Timide, mais très gentil. On sentait qu’il n’était pas dans son élément, mais en discutant un peu avec lui, il s’était ouvert et détendu.L’après-midi se transforma assez rapidement en début de soirée, et Marie vint me voir, me proposant de rentrer. Même si je passais un bon moment, j’étais bien content de retourner au calme. Je fatiguais un peu. Et on avait une bonne heure de route, si on comptait le trafic habituel.Nous nous congédiâmes auprès de tout le monde, remerciant nos hôtes maintes fois. Clémence nous demanda si c’était possible de la ramener chez elle. Nous n’habitions pas très loin, et elle était venue en transports.En route, mauvaise troupe !Adieux faits, nous étions dans la voiture et dans les bouchons aussi vite qu’il ne faut pour le dire. Nous avancions lentement, mais nous avancions.Marie et Clémence avaient passé le plus clair du temps de cette réunion ensemble, et je les écoutais encore parler de tout un tas de choses. Clémence était très gentille, et très drôle. Aucun doute que les deux soient amies. La même vivacité d’esprit, et le même humour que Marie.Le chemin passa tout de même rapidement, et nous arrivâmes enfin devant chez nous. Marie posa sa main sur ma jambe, pour que je m’arrête.— Tu veux bien amener Clémence jusqu’à chez elle ? Je vais rentrer prendre un Doliprane, je suis épuisée.— T’es sûre ?— Oui, t’en fais pas. Ça te va Clémence.— Oh oui, merci pour tout déjà !Marie sortit de la voiture, déposant un baiser sur mes lèvres, et alla faire un dernier câlin à Clémence. Puis elle tourna les talons pour rentrer à notre appartement. Clémence s’installa à mes côtés, et me guida pour retourner jusqu’à chez elle.Le chemin fut un peu plus silencieux qu’avec Marie, mais la discussion n’eut aucun mal à se faire.Nous approchions de la destination, quand mon téléphone vibra dans ma poche. Un SMS de Marie :Amuse-toi bien ; )Qu’est-ce qu’elle voulait dire ? Le feu repassa au vert, et j’avançais. Mes pensées se perdirent un instant, mais je me disais que Marie avait dû se tromper de destinataire.Quelques croisements de rues, une place, et nous voilà arrivés.Clémence se tourna vers moi avec un grand sourire.— Super, merci infiniment, c’est tellement gentil ! Tu veux monter boire quelque chose ?— Non merci, c’est gentil !— T’es sûre ? Pour te remercier !— Je vais rentrer voir Marie, elle n’avait pas l’air de se sentir très bien.Son sourire joyeux se transforma en quelque chose de plus malicieux.— Oh, je pense que Marie va très bien !Et là, tout s’illumina. Son départ en avance, son SMS… Je m’étais fait avoir. Petit jeu.Clémence posa sa main sur ma cuisse, et me fit des yeux de lapin.— T’es sûr que tu veux pas monter boire quelque chose ?Je réfléchis un instant, mais c’était trop tentant. Surtout que c’était Marie qui avait prévu ça.— Eh bien un petit verre, pourquoi pas !Clémence sortit de la voiture en sautillant, m’invitant à la suivre.Elle habitait dans un vieil immeuble Haussmannien, avec un tout petit ascenseur. Elle se glissa à l’intérieur, pour me laisser le plus de place possible.Les portes se refermèrent, nous collant l’un à l’autre. Elle gloussa, en posant sa main entre mes jambes.— Oups, pardon. C’est vraiment un ascenseur étroit. Faut pas être trop gros pour rentrer.Je ris à mon tour. Les portes s’ouvrirent, et Clémence s’engouffra vers sa porte, qui menait à un appartement assez spacieux, au dernier étage. Sympa !Je n’eus pas beaucoup plus de temps pour admirer l’appartement qu’elle était déjà face à moi, prête à m’embrasser.Je la saisis par les hanches pour l’amener contre moi. Nous nous dévorions les lèvres. Elle me plaqua contre le mur, glissant ses mains sur mon torse, et sous mon t-shirt.Je passais à mon tour mes mains le long de son dos, jusqu’à ses fesses.— Tu amènes souvent des mecs en couple chez toi ?— J’ai jamais fait quand leur femme est au courant. C’est une première.Elle me retira mon t-shirt, laissant mes lèvres seules, pour descendre à genoux, déposant des baisers humides sur mon torse.— Marie est bien sympa de t’avoir prêté. J’essayerai de lui rendre hommage.Elle déboutonna ma ceinture et mon pantalon, le laissant tomber à mes genoux.Elle joua un instant avec mon sexe, toujours dans mon caleçon, pour le faire gonfler encore un peu. Puis elle ramena ses mèches brunes derrière ses oreilles, faisant glisser mon dernier vêtement jusqu’à mon pantalon.Elle se mit rapidement à la tâche. Un petit coup de langue sur le gland, puis deux, puis elle m’engloutit d’une traite. Je ne pus retenir un gémissement. Sa langue virevoltait autour de mon membre, soigneusement pris au piège entre ses lèvres. Elle savait exactement quoi faire.Elle fit un petit jeu de relais entre ses mains et sa bouche, me laissant haletant devant tant de savoir-faire. Elle donnait des coups de langue et de succion sur mes deux boules, puis revenait sur mon sexe, avec encore plus d’entrain.Je me penchais un peu pour glisser une main sur sa poitrine. Elle était énorme. Je n’avais pas remarqué sous son chemisier, mais elle avait deux seins absolument énormes. J’aimais beaucoup les seins relativement petits de Marie, mais Clémence était dans une dimension parallèle. Elle déboutonna sa chemise, et son soutien-gorge dans la foulée, laissant tomber ces deux géants. D’une douceur folle, en plus.Elle s’approcha de moi, pour loger mon membre entre ses deux seins. J’étais aux anges.— Si t’éjacules maintenant, tu tiendras bien pour un deuxième round ?— Oh que oui !Et il ne lui en fallut pas plus. Elle s’activa, remuant sa poitrine formidable et léchant le bout de mon sexe, bien décidée à me faire jouir une première fois. Et ce ne fut pas si long que ça. Elle était trop incroyable pour ça.Dans un énième gémissement, elle comprit que mon heure était venue. Elle plongea la tête la première, me laissant jouir tout dans sa gorge. Quelle femme !Après avoir soigneusement passé sa langue pour essuyer la moindre goutte, elle se releva pour se diriger vers sa chambre. En marchant dos à moi, forçant son mouvement de hanche, elle retira sa jupe, laissant apparaître son fessier, retenu par une culotte en dentelle noire. Je la suivis rapidement, le temps de me remettre de mes émotions.Elle s’allongea sur le lit, les jambes écartées, me laissant voir son sexe rasé de près.Je l’embrassais avant de descendre à mon tour, lui donner de l’attention.Quelques coups de langue, pour des mouvements plus lents, et plus profonds. Elle gémissait déjà. Son clitoris était sur ma langue, et je jouais avec.Elle passait ses mains dans mes cheveux, pour me maintenir à ma place. Je glissais un doigt délicat pour accompagner ma langue, et j’eus le plaisir de la sentir se tendre de plaisir sur moi.Elle avait un goût délicieux, et une douceur à faire s’évanouir un mort. J’aurais pu rester des heures en la dévorant.Mais elle se releva doucement, en me regardant.— Je veux ta bite maintenant.Elle me tendit un préservatif, en glissant sa main entre ses jambes, pour s’occuper.Je ne me fis pas prier et enfilai la capote, avant de monter sur elle. Nos lèvres s’effleurèrent, et je la laissais me guider en elle.Elle lâcha un soupir à mon entrée, puis à chacun de mes va-et-vient. J’embrassais son cou et sa poitrine, mordillant ses tétons, ou ses lobes d’oreilles. Elle me pressait le dos pour que j’accélère mon mouvement de bassin, ce que je fis. Je me redressais à genoux, pour plus d’amplitude, et pour admirer sa plastique. Ses seins rebondissaient à chacun de mes coups, et je voyais son visage détendu de plaisir, yeux fermés, lèvres ouvertes.Je me repenchais vers elle pour l’embrasser, et déposer ma main autour de sa gorge. Sans serrer. Juste pour qu’elle la sente.Elle me chuchota à l’oreille.— Défonce-moi par-derrière.Je n’attendis pas un instant de plus, et la fis pivoter sur le ventre. Elle releva son arrière-train, et je pus la pénétrer de tout mon long.Elle respirait très fort, et eut un sursaut de surprise lorsque je lui tirais les cheveux en arrière pour la relever un peu. Elle avait un corps sublime. Des seins fabuleux, des fesses merveilleuses. J’étais tellement heureux que Marie se soit sentie d’humeur partageuse ce jour-là.Je décochai une claque sur sa fesse, la laissant échapper un « oh oui » traître de son plaisir.Je laissais ma marque rouge, en continuant de la pénétrer, toujours de plus en plus fort. Jusqu’à ce qu’elle jouisse. Elle retint un cri, et trembla de tout son corps. Elle se dégagea de mon sexe, pour se calmer un instant.Je glissais lentement mon pouce dans son bouton d’arrière-train, la laissant me guider par ses mouvements de hanche. Après plusieurs soupirs et après l’avoir humidifiée, je glissais mon sexe en elle. Elle réprima un petit cri, puis me guida en elle, lentement, pour ne pas lui faire mal.Chaque petite avancée que je faisais ne nous apportait que du bonheur. Elle était fabuleusement agréable.Après de nombreux soupirs, elle se dégagea pour me faire face.Elle se retourna pour m’embrasser, et me faire basculer sur le lit. À son tour de me chevaucher. Et elle y allait à fond. Elle voulait en finir. Mes mains glissaient sur ses seins, la laissant sauter sur mon sexe.Puis tout devint plus intense, pour nous deux, et dans un éclat de voix, je jouis en elle, et elle jouit sur moi.Ce fut un moment suspendu du temps. Une transe. Puis elle retomba à côté de moi, souriante, mais à bout de souffle. Je la regardais, moi aussi à bout de souffle. Elle se tourna vers moi en souriant.— Pfiou. Ça faisait longtemps que j’avais pas fait autant de sport !— Moi non plus ! Il était bien ce verre d’eau. Il valait le coup.— Oh que oui ! J’en reprendrais peut-être même un deuxième tout à l’heure.Je déposais un baiser sur son front, en commençant à me relever.— Une prochaine fois peut-être, je dois retourner voir Marie quand même. Mais ce fut un plaisir.Je me rhabillais en discutant un peu avec elle, puis je pris de nouveau la voiture, pour rentrer chez moi. Je repassais toute la soirée dans ma tête. J’avais passé un moment incroyable. Pendant que j’étais un peu occupé, j’avais reçu plusieurs messages de Marie, avec quelques photos.« Hâte que tu me racontes tout ça », « je pense fort à toi », avec une photo d’elle allongée sur notre lit.Je dus me retenir de ne pas trop accélérer pour rentrer, pour retrouver la femme de ma vie.