C’est un samedi après-midi ensoleillé. Quinze heures, l’heure de la sieste. Le petit a été laissé chez les grands-parents, une soirée restau/cinéma est prévue. Mais une bonne sieste va nous permettre de ne pas nous endormir devant le film.Allongés tous les deux sur le lit, nous lisons chacun un livre en attendant que le sommeil nous ordonne de fermer nos yeux. Je tiens de la main gauche mon livre et de la droite, j’ai légèrement remonté la robe de ma femme qui est allongée sur le ventre, pour libérer ses fesses et les caresser doucement. Depuis qu’elle a fait le régime Dukan, suite à sa grossesse, il est vrai qu’elle a perdu en poitrine (plus que 90b) mais ses fesses sont maintenant petites et fermes, et bien sculptées grâce à ses séances à la piscine.Elles sont tellement appétissantes que je les préfère à ses seins, moi qui auparavant ne jurais que par ces deux poires adorables. J’en profite donc pour les caresser le plus souvent possible, dès qu’elles sont à portée, et n’hésite jamais à remonter ses jupes pour les prendre à pleine main, ce qui ne semble pas la déranger vu qu’elle en porte de plus en plus.Donc, comme habituellement, je caresse ses fesses, et en profite pour de temps en temps plonger mon majeur vers son string. On ne sait jamais, au cas où elle n’aurait pas sommeil !Et puis elle a toujours dit qu’il ne fallait pas insister sur une seule zone, ça l’insensibilise. Comme elle ne dit rien, je sens une petite ouverture. Il est vrai que dernièrement, avec le petit il est difficile de se trouver des moments privilégiés. Les derniers moments de sexe se sont limités à la position du missionnaire, le dimanche soir. Aujourd’hui ça semble différent. On revient de vacances, bien reposés et bronzés. Pas de contraintes, ça fleure bon le petit moment tranquille.Je commence alors à tenter d’être un peu plus précis dans les gestes, tout en conservant une caresse globale des fesses. Mon majeur vient, une fois sur trois, titiller son string en appuyant sur ce que je devine être son sexe. Je sais qu’elle devine mes envies, elle devine toujours mes envies. À chaque petit toucher du majeur, je sens son corps s’électriser. Je passe à un aller-retour sur deux.Soudain elle me dit :— Tu sais que tu le sentirais bien mieux en enlevant le carré de tissu qui te gêne ?Je lâche alors mon livre, et elle retourne dans son histoire pendant que je fais glisser son string sur ses jambes. Je me rallonge à côté d’elle et reprends mes caresses, en appuyant beaucoup plus avec mon doigt. Si bien qu’en allant un peu trop loin, il glisse un peu vers l’intérieur, ce qui la fait sursauter :— Ne sois si pressé, me dit-elle.Je calme donc le mouvement et effleure ses fesses de nouveau. J’en profite pour passer tout doucement entre les deux globes pour délicatement venir jouer avec l’entrée de son sexe.Et c’est à ce moment-là qu’une idée un peu folle me vient à l’esprit et que je mets en pratique sans réfléchir. Avec l’index, je viens chercher un peu de liquide de son sexe, et je remonte lentement vers la raie de ses fesses. Je m’attends à un monumental stop. Elle a toujours dit que je ne pourrais jamais investir son petit trou et m’a toujours bien fait comprendre que je ne devais pas m’en approcher.Une fois, alors qu’elle semblait s’endormir pendant un massage du dos qui avait dévié sur ses fesses (même si je la soupçonne de ne pas avoir sombré dans le sommeil mais d’être plutôt excitée par la situation), je m’en étais très, très lentement et délicatement approché avec mon pouce, en tournant autour pendant longtemps, son souffle était haletant, et au moment où j’allais le faire rentrer, elle a eu un petit sursaut et j’ai préféré tout stopper.Ce souvenir est dans mon esprit au moment où mon index effleure sa petite rondelle. Encore un petit sursaut, mais pas un mot, et là elle est réveillée, c’est certain. Je fais un petit cercle avec le doigt dessus pour le mouiller un peu et repars sur son sexe. Je mouille maintenant le majeur, remonte de la même façon et reproduis à l’identique le geste précédent. Pas de sursaut, elle continue de lire tranquillement. Je m’enhardis et plonge index et majeur un peu plus profond dans son sexe pour récupérer plus de liquide. Je remonte ces doigts vers son petit trou et commence maintenant à jouer avec, et lentement, à rentrer le plus grand des deux. Toujours pas de remarque, mais elle n’a pas changé de page depuis pas mal de temps.Mon majeur rentre tranquillement dans son petit trou pendant que ma main continue à caresser ses fesses. Je suis aux anges, j’ai enfin pu lui mettre un petit doigt dans un endroit réservé à la sortie (exit only ou entrée interdite, comme sur les panneaux). J’insiste encore un peu puis retourne jouer avec son sexe qui maintenant coule abondamment. Elle est prête, c’est le moment de me placer au-dessus d’elle. Enfin un changement de position ! Fini le missionnaire, à moi la levrette !— Tu ne vas pas pouvoir rentrer comme ça, tu sais, il va te falloir du gel, me dit-elle.— Tu rigoles ? T’es trempée. Ça va rentrer facile !— Je ne parle pas de cette entrée !Je suis scotché. Je pensais au mieux lui mettre le pouce dans son petit trou pendant une levrette endiablée, mais certainement pas à une sodomie. Mon fantasme numéro un va se réaliser et c’est maintenant !— Tu es sûre de toi ?— Tu veux vraiment que j’y réfléchisse ou tu veux profiter du moment ? me répond-elle.Je saute du lit et récupère du gel qu’on avait acheté pour les cas de sécheresse suite à l’accouchement (qui n’ont jamais eu lieu) et un préservatif qui doit dater vu qu’il a été acheté pour la même raison que précédemment. Elle en profite pour se mettre sur le dos avec deux oreillers sous les fesses :— Je me suis renseignée, il paraît que c’est la meilleure position pour une première.Elle me surprendra toujours.Avec mon index et mon majeur, j’applique le gel sur son anus, puis fais rentrer doucement mon majeur en continuant de faire des petits ronds pour l’étirer. Je rentre maintenant l’index. Avec la main gauche, je commence à lui caresser doucement ses petites lèvres. Son souffle devient plus fort. La peur ?Avec ses pieds, elle commence à me masturber. Mon sexe est déjà au garde-à-vous et n’a pas besoin de stimulation supplémentaire, mais ça fait pas de mal.Son petit trou est maintenant paré pour me recevoir, je mets un peu de gel sur le préservatif qui est déjà lubrifié mais je ne souhaite pas qu’elle ait mal. Je place mon gland devant son entrée fripée et lui dit :— Prête ?— Si je te dis non, tu te retires ?Avec ma main droite, je pousse lentement mon sexe dans sa cavité. Le gland est un peu gros, mais je continue à le rentrer en la regardant tendrement. Une grimace apparaît sur son visage. Avec ma main gauche, je lui titille maintenant le clitoris. Elle mordille sa lèvre inférieure et continue de grimacer. On sent qu’elle est tiraillée entre douleur et plaisir.Mon gland est maintenant rentré. Mon sexe rentre lentement mais sûrement. Au moment où je passe ma main gauche sur son sein droit et ma main droite qui la remplace au titillement clitoridien, je me retrouve un peu court et pour attraper le sein qui s’échappe, mon corps part en avant et j’investis totalement ses reins. Elle lâche un râle de surprise.— Ça va ?— Ça, c’est fait, me répond elle.— Désolé…— Dommage, jusque-là c’était parfait.Je suis tiraillé entre fierté et déception.— Je rigole, c’était surprenant et pas si douloureux que ça.Toujours le chic pour me faire culpabiliser ! Je commence alors des va-et-vient. Dans mon for intérieur, je jubile : je suis dans son cul ! Ma main gauche titille son téton que je n’ai jamais senti aussi dur. Et pendant que je joue avec son clitoris, elle lâche des soupirs de plaisir, comme lorsque je la masturbe, sauf que là, je suis en elle en même temps. Son souffle s’accélère, je sens qu’elle vient, et j’augmente le rythme et la pression sur son petit bout de chair. Plus je vais vite, plus les petits cris de plaisir se rapprochent pour enfin la libérer. Son corps tremble mais elle a arrêté de soulever son corps, elle profite du moment. J’ai arrêté de bouger mon sexe et je garde juste ma main appuyée sur le sien. Je n’en reviens pas, elle a un peu mal, ça se voit sur son visage et pourtant elle a eu un des orgasmes les plus forts que je lui ai procurés depuis que nous sommes ensemble.Une ou deux minutes passent.— Tu peux te retirer, s’il te plait ?Un peu déçu car pas rassasié, je glisse en dehors de ses fesses. Elle en profite pour se lever, puis se met à quatre pattes sur le lit :— Allez, j’en veux encore ! me chuchote t elle.Je me place derrière elle et dirige mon sexe vers ses petites lèvres.— Tututut, tu continues là où tu as commencé.Bonheur et joie, le rêve, en levrette, je ne pouvais pas espérer mieux. Je remets un peu de gel sur son petit trou.— C’est vraiment froid ce truc, tu pourrais le réchauffer dans tes mains avant.— Je prends note pour la prochaine fois.— Rêve pas, bonhomme !Il faut que je profite de ce moment car à première vue ça ne risque plus d’arriver. Alors je prends mon temps, je fais de doux va-et-vient, je me calme pour ne pas terminer, car je suis vraiment au comble de l’excitation. Je décale un peu ma tête sur la gauche, et je peux voir ses seins se balancer d’arrière en avant en cadence avec mon corps. J’ai envie d’en choper un pour le pétrir. J’en profite pour caresser ses hanches, remonter sur son dos, atteindre ses épaules et passer mes doigts dans ses cheveux ondulés. J’aurais presque envie de les tirer un peu pour que sa tête vienne vers moi et la dominer comme un animal.— Tu vas accélérer, oui ?Mains sur ses hanches, je m’agrippe, et c’est parti ! Un coup, deux coups, puis trois et je la sens se cabrer. Comme un animal, exactement ce que je souhaitais. Quatre, cinq, six, elle relève la tête et part dans un cri étouffé pour finalement tomber de tout son long dans les draps. Plop ! Mon sexe et mon corps n’ont pas eu le temps de suivre.Je m’allonge doucement sur elle et place mon bâton sur la raie de ses fesses, le fais glisser, puis très tranquillement le réinsère dans son fondement. Je passe ensuite ma main droite entre ses cuisses sur le devant pour caresser ses lèvres en allant chercher un peu de liquide à la source. Son bras gauche se relève pour que j’aille chercher son sein qui n’a pas encore eu son compte.Je m’allonge sur elle et m’enfonce totalement pendant que je caresse son petit bouton. Un soupir s’échappe. J’accélère alors mes coups de reins et les caresses de mes mains. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, elle tremble de tout son corps, son anus m’enserre et elle crie tout son plaisir dans l’oreiller ! Même étouffé, on sent vraiment qu’elle a pris son pied.Je la laisse un peu reprendre son souffle, elle sort la tête de l’oreiller en présentant son profil gauche. Je l’embrasse tendrement sur la joue, puis m’approche de son oreille pour la mordiller et dis :— J’ai envie de dire un truc un peu osé, un peu cru.— Vas-y, fais-toi plaisir, au point où on en est…— Tu aimes avoir ma bite bien dure qui remplit ton petit cul ?— C’est effectivement cru, voire obscène, ça cadre avec le reste, me dit-elle dans un sourire.— Tu aimes donc te faire enculer ?— Physiquement, j’ai mal. Mentalement, je savoure, jouissif comme tu as pu le voir et l’entendre. C’est délicieux de sentir, littéralement comme métaphoriquement, que ton fantasme s’est réalisé.— J’ai adoré. Merci encore.— Alors, pourquoi tu n’as pas joui ?— Tu crois que je peux abuser et demander autre chose ?— Ne me dis pas que tu souhaites que j’avale ! Je sais que c’est une journée protéine, mais quand même…Silence honteux.— Sors de mon cul, je vais faire de ce moment le plus beau de ta vie !Rien que cette phrase aurait dû me faire éjaculer ! Je me mets alors debout, prends deux oreillers que je pose à mes pieds :— Tant qu’à faire, autant continuer à te dominer !Elle se met alors à genoux devant moi, et pose sa main sur mon sexe bien au garde-à-vous pour enlever le préservatif. Elle le jette dans un coin, puis approche sa main pour commencer à me masturber. Je fais semblant de m’offusquer :— Sans les mains, petite coquine, de toute façon, ça ne va pas te prendre longtemps.Un petit sourire en coin et elle approche sa bouche tout doucement, sort sa langue, et attrape la petite goutte qui perlait de mon bout. Elle passe ensuite sa langue sur ses lèvres pour les humidifier et surtout me faire croire que c’est un nectar précieux. Elle revient vers moi pour gober mon gland. Elle le tète, d’abord par de petites succions, puis tire plus fort dessus. Elle le ressort pour le lécher et en faire le tour avec sa langue tout en me regardant dans les yeux. Elle me jauge puis, d’un geste rapide de la tête, enfourne la moitié de mon sexe dans sa bouche et commence un va-et-vient rapide qui m’a décalotté. Sa langue en profite pour appuyer sur mon bout sensible à chaque fois qu’elle tente de l’enfoncer au fond de sa gorge. Elle me possède, je lui appartiens, je suis sa chose alors que je suis censé la dominer. Je suis à sa merci alors qu’elle est à mes pieds.Et tandis qu’elle ressent les tressautements de mon corps, elle se retire délicatement pour laisser le prépuce reprendre sa place, et tend la langue pour recevoir sa semence. Le jet bute sur le bout de peau et se déverse tranquillement sur sa langue. Un second jet arrive et commence à bien la remplir, le troisième fait couler un peu de liquide sur la commissure de ses lèvres. Avec son index gauche, elle rattrape le petit filet pour le remettre dans sa bouche et avale la première fournée. Elle reprend alors mon sexe en bouche et tente d’en extirper le liquide restant. Je suis vidé et heureux. Mes jambes ont du mal à me soutenir. Elles flageolent un peu, mais je suis comblé.Elle me pousse alors à la renverse sur le lit et vient à califourchon sur moi. Je tends la tête pour l’embrasser et la remercier.— Tu crois que c’est fini ? J’ai dit le plus beau moment de ta vie !Elle prend alors mon sexe qui n’a pas eu le temps de dégonfler et se l’enfile une nouvelle fois dans le cul, comme ça, à sec, sans gel, sans préparation supplémentaire.— Et hop, à sec, mais sans les graviers, me dit-elle en souriant. T’as dû bien le labourer, il est totalement ouvert, et pourtant, je continue à bien te sentir bouillant dans mon petit trou. Tu as intérêt à te déverser totalement dans mon cul, je ne te sentais pas bien avec le plastique ! Je mène le rythme, et je vais te rendre fou.Je crois bien qu’elle tente de m’exciter et de me faire redurcir. Ça marche super bien. Malgré le fait que je vienne à peine de tout sortir, j’ai une gaule monstrueuse. J’ai en plus les deux mains libres pour titiller les deux tétons qui se présentent devant moi. Elle mène la danse et bouge lentement ses fesses. Mon gland est proche de la sortie à chacun de ses mouvements. Il sent presque l’air libre, puis se fait engloutir pour retourner dans la caverne sombre. Elle en profite pour se pencher un peu en avant, ce qui rapproche ma langue de ses seins, mais lui permet surtout de frotter son sexe sur mon bas-ventre. Elle en profite pour se masturber ! Ah cette faculté que les femmes ont d’enchaîner les orgasmes.Elle ondule maintenant sur mon corps, je me délecte de ses seins, je les caresse, titille, léchouille, embrasse, palpe, malaxe, mordille, pince les tétons entre mes deux doigt et les tire un peu. En d’autres mots, je réalise tout ce que l’on peut faire subir à un sein digne de ce nom.Son corps se raidit, elle se cabre, puis redonne un coup de reins. Elle se relance de plus belle et accélère à chaque mouvement. Sa respiration est très forte, elle jappe presque de bonheur. Je suis moi aussi, au bord de l’explosion. Et au moment où je me libère tout au fond de ses entrailles, en serrant ses seins, elle se bloque, émet un cri sourd puis dit :— VICTOIRE ! ! ! Double… Org… asme… Le… meilleur… Mo… ment… De… ta… vie… Mmmmmmmm.Puis s’écroule sur moi. Mon sexe sort de son trou, et je sens un peu de liquide s’échapper de son anus pour s’écouler sur ma bite et mes cuisses.Cinq bonnes minutes de silence pour bien profiter du moment, puis elle dit :— Tu vois, ce genre de performance est rare, et doit le rester, pour conserver son caractère exceptionnel. J’ai bien fait de te faire attendre, non ? L’attente de quelque chose est souvent plus forte que la joie de l’obtenir. Maintenant, tu n’as plus ce fantasme et il va te manquer.— Mon fantasme est de recommencer, c’était vraiment trop bon, tu ne t’étais jamais autant donnée à moi en dix ans.— Il va falloir attendre dix nouvelles années.— J’aurais dû me garder un souvenir en filmant cette scène épique.— N’y compte même pas, me répond-elle en m’embrassant.Exactement ce qu’elle avait dit pour la sodomie il y a dix ans…