Je m’occupe d’achats dans une grosse multinationale et il m’arrive assez souvent de rendre visite à des fournisseurs afin de vérifier et accréditer leur process.Ce jour là, j’avais rendez-vous à 50 kilomètres de chez moi. J’étais attendu pour huit heures et jusqu’à onze heures. Je voulais être rentré au bureau assez tôt pour avancer un peu dans mon travail avant les vacances. Nous prîmes un peu de retard et quittant mon fournisseur vers midi, je décidais de m’arrêter déjeuner dans une brasserie du centre ville.Le maître d’hôtel m’installa à une petite table au fond de la salle, je passai ma commande et entrepris de lire un magazine en attendant le service. Je n’avais même pas fait attention aux personnes qui étaient aux tables voisines. J’avalais rapidement mon repas et étais sur le point de commander un café quand ma voisine me demanda du feu pour sa cigarette. Je n’avais absolument pas vu cette femme assise près de moi, elle était pourtant charmante. Certes entre quarante et quarante-cinq ans mais très belle.Elle engagea la conversation. Après les banalités de rigueur elle me dit :— Je m’appelle Linda et si vous avez un peu de temps, j’habite à proximité et je vous offre le café.Du temps je n’en avais pas mais il me paraissait impoli de refuser cette invitation. Quelques choses en moi me disait qu’il y avait peut-être la possibilité de nouer plus connaissances pour l’avenir. J’acquiesçais donc et après avoir régler mon addition je la rejoignis devant la brasserie.— Nous irons à pied j’habite à cent mètres.Arrivé chez elle je lui demandais pourquoi elle ne déjeunait pas ici mais à la brasserie et elle me dit que la brasserie était plus intéressante pour des rencontres sympathiques. Je compris que j’allais peut-être passer un bon moment. Au diable le rattrapage de travail, je resterais plus tard.Elle était grande, environ 1,80 mètres et très filiforme, elle semblait n’avoir aucune poitrine et possédait un petit accent anglo saxon. Des cheveux longs et châtains avec des mèches blondes. Elle avait des airs de Jane Birkin.Elle me demanda de l’excuser quelques instants et me laissa planté sur le canapé du salon. Après quelques secondes une petite femme qui n’avait guère plus qu’une vingtaine d’années m’apporta un café. Elle avait un accent portugais, les cheveux bruns, de gros seins qui forçaient un petit chemisier opaque, une petite jupe plissée qui s’arrêtait au-dessus des genoux. Elle s’assit en face de moi dans un fauteuil, croisa les jambes et me dit s’appeler Maria quand mon hôte revint.— Vous avez fait connaissance, Maria est à mon service depuis dix ans, je l’ai embauché le jour de ses seize ans.Elle s’était changée. Elle portait une longue robe rouge qui n’était fermée que par trois petits boutons au niveau des reins et avait mis des chaussures ou des bottes à hauts talons aiguille. La longueur de la robe ne me laissait pas voir. Elle vint s’asseoir à côté de moi et me dit :— Si je t’ai invité ce n’est pas que pour boire le café mais pour faire l’amour alors es-tu d’accord ?Je n’eus que le temps de balbutier un «oui» qu’elle avait déjà entrepris de mettre sa main sur mon entre jambes. Je sentis immédiatement son poids faire de l’effet sur mon sexe. Elle détacha ma ceinture et ma braguette, et fit glisser rapidement mon pantalon et mon slip jusqu’à mes chevilles en accrochant au passage ma verge dont l’érection avait commencé.Elle s’était placée accroupie devant moi et je sentais son souffle sur mon pénis. « Intéressant » dit-elle en regardant mon organe raide. Je n’ai pas une verge très grande quoi qu’elle ne soit pas non plus petite. Je suis dans la moyenne mais son diamètre de près de cinq centimètres est très honnête pour rendre hommage à mes partenaires.— Quelles sont tes tendances sexuelles ? Me demanda-t-elle.Je lui répondis que je n’avais pas vraiment de tabous. J’aime les femmes et tout faire avec elles. Le sexe en général à part le sadomasochisme, l’uro, la scato, la pédophilie et la zoophilie et que j’avais également eu des relations avec des hommes qui même si elles étaient trop rares à mon goût, m’avaient procuré des sensations extraordinaires. Elle me demanda si je m’étais déjà fait sodomiser et je lui répondis par l’affirmative.Elle conclut ce petit dialogue par un «Super» et elle prts aussitôt ma queue à pleines mains et commença un va-et-vient avec une douceur très féminine. Elle caressa le bout avec la pointe de son index et cela eu pour effet de me faire sursauter. Elle me jeta un petit regard et déposa un baiser sur mon gland. Ses mains s’activaient maintenant à ôter mes chaussures et libérer mes chevilles de mon pantalon et mon slip. Elle remonta ensuite et m’enleva ma chemise. J’étais maintenant entièrement nu et offert à cette femme sous le regard de Maria qui semblait rester entièrement impassible.— Tu es très poilu et tu te rases le sexe et les testicules et j’adore cela, dit-elle.Elle approcha ses lèvres au contact des miennes, et sa langue vint rechercher à se nouer à la mienne. Je n’avais jamais été embrassé ainsi. Son contact était puissant et tendre à la fois, le mouvement de sa langue était fort, elle fouillait ma bouche, léchait mon palais mes dents, s’enroulait autour de ma langue. Ce baiser était divin et je m’abandonnais complètement. Pendant ce temps une de ses mains caressaient ma verge. Les miennes avaient trouvé les boutons de sa robe que je dégrafais tremblotant. Elle se dressa légèrement et la fine étoffe tomba sur le sol. Elle n’avait plus sur elle qu’un porte jarretelle rouge qui tenait des bas noirs et des bottes moulantes qui s’arrêtaient au-dessus des genoux. Je la trouvais très aguichante. Elle n’avait pas de ventre, des bras fins, une taille minuscule et des jambes minces et longues que les bottes à talons aiguilles rendaient interminables. Je découvris cette minuscule poitrine, les seins étaient à peine formés comme ceux d’une adolescente mais leurs pointes étaient dressées et provoquantes au centre de très petites aréoles. Je trouvais ces seins excessivement excitants. Ils semblaient n’attendre que je m’occupe d’eux, ce que je fis immédiatement. Je posais mes mains dessus et commençais à les masser, je laissais les pointes passer entre mes doigts que je resserrais délicatement. Petit à petit, mes caresses se faisaient plus fermes et plus axées sur les mamelons. Je les prenais entre mes doigts, et les pinçais. Linda se dressa et recula, ce qui m’obligea à lâcher prise pour ne pas lui faire mal car ce mouvement avait pour effet de tendre ses seins comme un chapeau chinois.Elle était debout devant moi, campée sur ses jambes écartées. Ses mains écartaient maintenant ses lèvres pour exhiber la chair d’un rose tendre de sa vulve. Elle ondulait devant moi et je n’avais d’yeux que pour ce pubis qu’elle exhibait sans pudeur. Les lèvres étaient prolongées par une bande de poils de la taille d’un doigt environ et le reste était totalement épilé. Je trouvais cela très attirant. Malgré son âge, elle faisait juvénile et me faisait penser à une lycéenne. Elle se mit accroupie entre mes jambes et entra sans coup férir mon gland dans sa bouche. Je fermai les yeux et m’abandonnai entièrement à ses soins. Je la sentais sucer de la pointe de sa langue le bout de ma verge. Elle commença un va-et-vient avec sa tête, sortant entièrement ma queue de sa bouche et la remettant entièrement jusqu’au fond de sa gorge. Je butais dans sa gorge, sur son palais, c’était divin, elle me suçait comme jamais je ne l’avais été. Cette femme avait une grande expérience de la fellation. Elle tétait mon sexe comme un bébé le sein de sa mère en me caressant et pétrissant les testicules. Je n’allais pas tenir longtemps à ce rythme là, j’essayais de me dégager de son emprise mais d’un regard elle me fit comprendre qu’elle voulait diriger les ébats. Je me laissais donc aller à ses caresses, jambes écartés, et Linda agenouillée devant moi. Je sentais le flux de mon sperme venir et je lui dis que j’allais jouir, elle me lâcha juste pour me dire :— Je ne veux rien perdre, je veux te boire jusqu’à la dernière goutte, la saveur de ce que j’ai déjà eu me régale.Elle repriy sa fellation, jouant avec ma grosse veine, léchant le méat de mon membre des premières sécrétions lubrifiantes qu’elle avait déjà apprécié en gémissant. Je n’en pouvais plus, j’étendis mes jambes qui se raidissaient, je sentais des crampes les envahir. L’extase venait, j’allais jouir dans la bouche de cette femme qui il y a encore peu m’était inconnue. Je mis mes mains de part et d’autre de sa tête et je lâchai ma semence dans sa bouche, ne pouvant retenir quelques râles. Elle continuait son travail et m’enflammait. Mon gland était presque douloureux sous ce pompage mais la jouissance était trop forte pour que je puisse réagir. J’étais offert à elle et incapable de gestes.Elle garda mon jus dans sa bouche. Quelques perles blanchâtres apparaissaient à l’encoignure de ses lèvres. Elle se leva gardant ses lèvres serrées et se dirigea vers Maria et à ma surprise elle l’embrassa aussi goulûment qu’elle me l’avait fait. Ces deux là n’en étaient pas à leur coup d’essai et ce baiser dévoilait une complicité entre elles qui ne datait certainement pas de ce jour. Elle lui communiquait mon liquide qu’elle avait gardé dans sa bouche et je percevais ma laitance mélangée à leur salive poindre de leurs bouches. Leurs mains se promenaient sur leurs corps et cette vue si magnifique était nouvelle pour moi. Je n’avais jamais eu de relation avec des femmes bis et cela m’excitais tellement que machinalement j’avais pris mon sexe dans ma main. Je commençais un lent mouvement pour lui redonner vigueur.Ces deux femmes, l’une très mince, grande et très garçonne, l’autre petite, avec des formes généreuses sans être grosse et excessivement féminines commençaient à m’offrir un spectacle auquel je ne m’attendais pas à voir ce jour. Maria dégrafa son corsage et Linda lui ôta sa jupe ce qui me fit découvrir qu’elle ne portait rien dessous. Ses seins étaient imposants, parfaitement ronds, hauts sur sa poitrine. Ils étaient lourds mais ils restaient dressés fièrement tendus, offerts à mon regard et au toucher de Linda. Les aréoles étaient larges et couvraient grandement ces mamelles que j’avais fortement envie de téter et de toucher. Linda se tourna vers moi et dit :— Ils sont beaux n’est-ce pas ? C’est moi qui lui ai offert cette transformation, du 95c, je suis fanatique de ses splendides globes.Son pubis était recouvert d’une forte toison brune qui ne laissait rien paraître tellement elle était dense. Elle était assez belle et je pensais que j’aimerais glisser mon sexe dans la forêt de son entrecuisses. Les deux femmes se caressaient sur tous le corps, de la tête aux pieds. Elles déposaient ici et là de petits baisers laissant glisser la pointe de leur langue et léchant la peau de leur partenaire. Le spectacle était vraiment splendide. Leur échange, l’enchevêtrement de ces deux beaux corps me régalait et cette vision me paraissait plus sortir d’un film que de la réalité qui était en train de se dérouler devant moi.Sous les mouvements de mon poignet je recommençais à bander. Cette branlette était machinale, je ne me contrôlais plus. J’avais ma queue enserrée entre mes doigts et je la branlais délicatement, de haut en bas, avec une infinie lenteur.Linda s’était étendue sur le tapis du salon et Maria l’avait enfourché. Elles étaient tête bêche et elles entreprirent de se lécher mutuellement. De ma place je voyais les fesses et la vulve de Maria au-dessus du visage de Linda qui s’activait avec sa langue. Elle la pointait hors de sa bouche et j’hallucinais sur sa longueur, on aurait dit un petit sexe. En la voyant, je comprenais pourquoi elle pouvait faire autant de bonnes choses avec. Elle la rentrait entre les lèvres de Maria comme une verge masculine. Elle apportait de la salive sur cette langue qu’elle savait si bien manipuler et elle l’appliquait sur le vagin qui se trémoussait au-dessus d’elle. Elle s’amusait avec le petit bouton de Maria que je ne voyais pas mais que j’imaginais pointant de plus en plus sous les coups de tête de Linda. De ses deux mains elle écartait son fessier et je pouvais apercevoir son petit trou rose. Tout en tirant progressivement sur les fesses pour les écarter, elle rapprochait à chaque reprise ses mains de ce puits si mystérieux et si agréable à pénétrer. Elle finit par avoir les doigts en contact avec l’anus de Maria, sa langue quitta son sexe et elle entrepris un anulingus.Elle humectait ce trou de sa salive. Elle continua de lubrifier la raie et l’orifice du rectum et de son index elle massait la cavité qui laissa pénétrer progressivement un doigt. Maria leva la tête en lâchant un petit cri. Linda resta immobile un instant avant d’entreprendre un va-et-vient dans le cul de sa bonne qui ondulait son arrière train sous ces mouvements. Linda humectait toujours de sa salive la raie offerte à mon regard et un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Elle eut beaucoup de mal à les pénétrer et elle resta encore plus longtemps avec ses doigts dans l’anus de Maria sans bouger. La dilatation devait être douloureuse pour Maria car j’entendais comme des pleurs mais elle ne s’opposait pas au vouloir de sa patronne. Je compris à cet instant que leur relation devait être maîtresse – esclave et cela ne semblait pas déranger Maria qui paraissait y prendre du plaisir. Linda retira ses doigts, les lécha et les emplit de bave. Elle cracha sur le trou de Maria qui restait légèrement béant et elle remis aussitôt ses doigts à l’intérieur. Elle commença alors à les faire entrer et ressortir lentement, elle accompagnait ce mouvement en faisant tourner sa main. J’imaginais ses doigts fouillant les parois du rectum de Maria. N’arrêtant pas, elle m’adressa un regard et me demanda de venir près d’elles.Ne lâchant pas mon pénis qui avait repris une bonne taille, je vins vers ces jolies créatures et Linda me dit :— Je te l’offre, elle est vierge par ici, je veux que tu la déflore du cul, soit gentil avec elle et nous te le rendrons.Je n’aurais jamais imaginé Linda parler aussi crûment mais ce n’était pas pour me déplaire et j’entreprit de satisfaire sa demande. Je pris un préservatif dans la poche de mon pantalon et j’enfilais cette deuxième peau sur mon pénis. Je mis mes pieds de part et d’autre de cette croupe très ferme et j’approchais ma verge. Linda enleva ses doigts, pris mon sexe et l’humecta de salive. Elle avait de nouveau mis ma queue capuchonnée dans sa bouche pour la lubrifier. Quand elle la ressortit, un filet de salive resta pendu entre ses lèvres et mon gland qui laissait transparaître une couleur violacée à travers son étui. Elle le dirigea ensuite vers ce petit trou offert mais qui se rétractait déjà. Mon gland entra en contact et Maria frissonna. Je poussais de mes reins pour le faire pénétrer. Elle était serrée et contractée et il était impossible d’entrer en elle. Je lui demandais donc gentiment de se décontracter et j’essayais de la rassurer. Je lui dis qu’elle devrait pousser comme si elle était aux toilettes et que tout irait bien. Linda me demanda d’attendre un peu.Elle se dirigea vers un bahut et revint avec un tube de lubrifiant. Elle en appliqua sur mon membre et elle badigeonna la raie et le trou de Maria.Je pris alors Maria par les hanches et je me présentais de nouveau à l’entrée de l’orifice. Cette fois mon gland pénétra non sans difficulté et en me laissant une légère douleur, Maria cria. Je m’immobilisais un instant juste avec le bout de mon sexe en elle et je sentais la contraction de son sphincter qui m’enserrait. Je cessais ma pénétration quelques instants pour que nous reprenions nos esprits, elle m’enserrait tellement fortement qu’au moindre mouvement j’aurais explosé. Je lui demandais si ça allait, si elle n’avait trop mal et que dans le cas contraire je pouvais me retirer. J’espérais au fond de moi qu’elle me demande de rester en elle, de continuer. Elle répondit en poussant ses fesses à ma rencontre. Je résistais donc et très lentement ma pine entra dans ce beau cul sous le regard de Linda qui de ses mains écartait les belles fesses arrondies. Elle ôta ses mains, et posa une petite tape sur chaque globe ce qui eu pour effet de dessiner en rouge ses doigts. Ses fesses vinrent au contact de mon ventre et nous nous immobilisâmes de nouveau un instant. Maria tourna sa tête vers moi, nos regards se croisèrent, ses yeux étaient humides et elle me dit :— Vas-y, bouges, défonces moi le cul, bourres moi comme une salope, fouettes moi les fesses, encule moi fort, je suis à toi.Elle se redressa et me tendit sa bouche grande ouverte avec sa langue en avant attendant un baiser de ma part. Ses mots m’avaient surpris et excité. Je pris à pleines mains ses deux pamplemousses que je me mis à pétrir fermement. J’embrassai le lobe de son oreille et j’approchai ensuite ma bouche de la sienne. Notre position ne permettait pas que nous nous embrassions langoureusement mais nos langues se trouvèrent quand même. Tout en m’occupant toujours de sa poitrine si délicieusement formée et douce, je commençais à bouger lentement ma queue dans le fourreau de chair. La vaseline permettait un glissement parfait et Maria me congratulait d’un petit cri chaque fois que j’étais au plus profond en elle. Petit à petit je pris de la vitesse et je faisais des mouvements moins spacieux. J’alternais les longues pénétrations lentes et les courtes mais rapides. Je ressortais complètement et rentrais de nouveau mon sexe en elle sans problème maintenant, le passage était maintenant fait, elle s’ouvrait facilement à chacune de mes pénétrations. À chacune de mes fins de course elle s’exclamait par des «Oui, c’est bon, vas-y, encules moi à fond ».Je n’arrêtais plus ce va-et-vient et je me régalais de voir ma pine luisante défoncer ce petit cul. Maria était bien écartée et je jouais avec elle en changeant sans cesse ma pénétration qui se faisait sans problèmes. La pression de son sphincter sur ma verge était maintenant extraordinaire.Linda était agenouillée à côté de nous, d’une main elle s’amusait avec son clitoris que je voyais poindre de plus en plus et l’autre se promenait sur mon fessier. Cette caresse me laissait des frissons. Elle s’engaillardit et s’aventura dans ma raie et sur ma rondelle qu’elle commença à malaxer. J’étais aux anges. Elle repris le tube de lubrifiant, en posa sur ses doigts et revint à mon contact. La froideur du gel me fit sursauter mais je n’eus aucunement le temps de dire un mot car elle avait déjà enfoncer un doigt dans mon anus. J’adore sentir quelques choses dans mon cul et Linda le comprit aussitôt et elle m’enfonça un deuxième doigt sans problème.Il faut dire que si mes relations homosexuelles sont rares, j’aime m’enfoncer quelques choses dans le cul et pratiquant cela assez fréquemment, je me dilate maintenant assez facilement. L’excitation était forte et j’arrêtais de pilonner Maria pour me contenir plus longtemps pendant que Linda me fouillait de ses doigts qui ne cessaient d’entrer et sortir, de tourner en moi. Elle se leva soudain et se dirigea de nouveau vers le bahut. Elle en ressortit un gode ceinture. C’était une belle verge en caoutchouc assez dur. Je commençais à comprendre où elle voulait en venir et je dois dire que cela me plaisait. Elle le mit autour de sa taille et en revenant vers nous elle dit :— Maria, je vais le pénétrer pendant qu’il te pénètre, tu seras prise par la plus longue verge qui ne t’aura jamais prise.Elle déposa une grosse noix de gel sur son gode et vint la présenter contre mon anus. Je ne bougeais plus et attendais la suite. Elle poussa contre ma paroi, l’entrée s’ouvrit puis elle força un peu pour passer mon sphincter qui céda rapidement et s’enfonça à fond en moi immédiatement. C’était divin, je défonçais une femme et j’étais aussi sodomisé par une autre. Je sentais ma semence venir et je demandais à Linda de pas bouger afin que je puisse récupérer un peu et que notre échange soit plus long, que nous ayons le temps d’apprécier l’instant, ce qu’elle fit. Je pense qu’elles avaient aussi envie que moi que ce moment dure l’éternité. Nous nous sommes longuement caressés les corps sans bouger nos reins.Je redonnai le signal en commençant un petit mouvement et Linda comprit qu’elle avait le feu vert et me lima d’abord lentement. Cette grosse verge dans mon fondement était exquise, dure et molle à la fois, elle obligeait parfois Linda à s’aider de ses mains pour enfouir son interminable longueur en moi. Linda savait parfaitement bien s’en servir. Nous calames nos mouvements ensemble et nous partîmes tous les trois dans des ondulations fessières ponctuées de petits cris, de râles et de mots plus crus les uns que les autres. Jamais je n’avais connu autant de plaisir. C’était sublime et divin. Maria s’amusait avec son clitoris et hurlait de plus en plus fort. « Je vais jouir, je vais jouir » criait-elle. Elle se mise soudain à hurler et je sentis mon pénis étreint plus fortement. Je ne pus résister et dans une extase peu commune je m’enfonçais complètement et je lâchais mon sperme dans son fondement en râlant. Linda cessa de me limer et nous nous effondrâmes tous trois sur le sol. Nous sommes restés ainsi un long moment, à s’embrasser, se caresser. J’avais envie de leur dire que je les aimais, pas d’amour, ce n’était pas un coup de foudre mais j’aimais être avec elles. Ma verge avait reprit une taille normale et je me retirai de Maria en maintenant la capote pleine de sperme. Les deux femmes regardaient cette laitance avec envie, et je ne sais ce qui me pris mais je l’étalais sur ma poitrine et elles vinrent me nettoyer avec leurs bouches.Cette relation avait été formidable et allait me laisser un souvenir impérissable.Nous prîmes une douche commune et les deux femmes me lavèrent comme un enfant. Décidément, elles savaient s’occuper d’un homme et même si j’eus une autre érection sous la douche et qu’elles jouèrent encore avec mon sexe, je me retint pour ne pas éjaculer.Linda n’avait pas joui et je ne pouvais pas la quitter sans lui rendre hommage. Je me mis donc à caresser ses lèvres qui étaient très chaudes et je sentais un liquide couler de son vagin. J’entrais un doigt en elle puis deux et commençais de la masturber. Maria lui léchait les seins, ils étaient pointés en avant comme jamais. Je les trouvais incroyablement beaux. Une femme au petits seins peut-être aussi excitante qu’une femme à forte poitrine et d’ailleurs ne dit-on pas que ce qui est petit est joli. Je ne cessais de fouiller sa vulve et de petits gémissements sortaient de sa bouche. Elle me dit soudain :— Encore mon chéri, enfonces encore plus de doigts j’aime être écartée.J’obéis aussitôt à sa si charmante demande en mettant deux doigts supplémentaires dans son vagin. J’eus à cet instant l’impression que je pourrais aller encore plus loin. J’enfonçais ma main jusqu’à mes nœuds de doigts et elle s’ouvrait toujours, elle mouillait énormément et son jus coulait abondamment jusqu’à mon poignet. Je m’accroupis et entrepris de sucer son clitoris qui était bien gonflé. Elle eut un soubresaut et quelques frissons, les polis blonds de corps s’étaient érigés, elle avait la chair de poule. Je décidai de tenter de la fister et quel ne fus pas ma surprise de voir ma main entrer entièrement dans son vagin. Elle l’avait happée totalement et j’étais maintenant en elle jusqu’au poignet. C’était la première fois que je fistais quelqu’un. Je me mis à bouger mes doigts prisonniers de cette vulve d’où dégoulinait toujours autant de mouille. Je serrais mes doigts, fouillait son ventre de mon poing. Elle gémissait très fort. Maria s’activait toujours après ses seins. Je n’avais jamais vu des seins aussi pointus. J’étais bandé et de ma main libre je recommençai une masturbation. J’activais ma main dans son sexe et avais entamé un va-et-vient. Je venais chaque fois buter au fond, doigts ouvert ou poing serré, de plus en plus fort, de plus en plus vite, arrachant chaque fois un soupir et l’obligeant à chaque fin de course à se dresser sur la pointe des pieds. Elle serra bientôt les cuisses et m’emprisonna en elle. Elle jouit en hurlant très fort, sa cyprine coulait le long de mon bras, chaude, luisante. Pendant ce temps je n’avais cessé de me masturber et je sentais l’instant magique venir. D’une voix tremblotante elle me dit :— Attend, je veux que Maria te boive, éjacule au fond de sa gorge.Je me redressai sans arrêter ma masturbation. Maria se mis en face de mon pénis, bouche grande ouverte. J’allais partir, je sentais ma semence monter, j’engloutis ma hampe dans la bouche de Maria et je me déversais en elle en trois longues giclées. Elle avala tout et me nettoya consciencieusement.Nous fûmes dans l’obligation de nous laver de nouveau, et nous prîmes largement le temps de nous frictionner et rincer. Chacun sécha les autres délicatement. Je n’en pouvais plus et les multiples caresses qu’elles m’appliquèrent à ce moment ne purent me redonner ma vitalité. Jamais je n’avais fait l’amour ainsi.Je remis mes vêtements alors qu’elles restèrent en tenue d’Eve. Elles m’offrirent une boisson et je pris congés de mes si adorables hôtes non sans fixer un rendez-vous pour la semaine suivante. Nous nous rencontrons dorénavant chaque semaine. Maintenant que nous nous connaissons mieux, nos ébats sont devenus encore bien plus chauds que la première fois.Je vous raconterai peut-être cela une autre fois si vous le désirez.