Un collègue dragueur Fraîchement célibataire après une histoire de plusieurs mois, c’est mon premier jour de travail d’été au sein d’une société. Nombreux à être embauchés simultanément en contrat saisonnier, nous sommes donc conviés à une réunion collective visant à effectuer les présentations, expliquer les postes, le travail attendu, énoncer les règles de sécurité et visiter les lieux. Parmi les nouveaux, je retrouve de multiples anciens collègues : entre les voisins et ceux avec qui j’ai été à l’école, nous sommes quelques-uns à nous connaitre. Ce ne sont pas des amis, mais ça devrait bien se passer, d’autant plus que ce ne sont que des gars.En effet, rapidement, le travail nous réunit alors que nous n’avons jamais été proches. Nous prenons nos pauses ensemble, une complicité se crée et nous passons d’agréables moments. Personnellement, je fais aussi connaissance avec les titulaires. L’un d’entre eux m’intéresse pas mal. Il est assez charmant mais semble très réservé, donc c’est un peu compliqué. Et je n’ai pas encore l’esprit assez libre pour le draguer puisque mon ex y occupe toujours une place importante. Je ne cherche pas à le remplacer, mais cela ne m’empêche pas de regarder les beaux spécimens, dont celui-ci. Un autre, Quentin, me paraît être le gentleman de ces dames. Grand, brun, plutôt basique, il semble très ouvert, sociable et s’entend visiblement bien avec toutes les demoiselles – qui sont largement en minorité dans l’entreprise. Il vient m’aborder dès la fin de la journée. Première impression confirmée, il est réellement sympathique. Il se présente, m’explique qu’il travaille ici depuis cinq ans et que, par conséquent, les lieux lui sont bien connus. La conversation s’oriente peu à peu sur moi : la durée durant laquelle je serai présente ici, ce que je fais le reste de l’année et autres informations diverses. Il cherche à me connaître, ce qui est plutôt plaisant, surtout que le feeling passe bien. Nous discutons ainsi une bonne vingtaine de minutes environ, puis finissons par nous souhaiter une bonne soirée avant de nous séparer, prenant chacun notre chemin. Peut-être encore fébrile à cause de ma rupture, le peu que nous avons échangé ne m’a pas laissée insensible. C’est étrange, il n’est pas du tout mon style et pourtant son charme a opéré. Si bien que le lendemain, j’accepte de changer mes habitudes et de prendre ma pause avec lui lorsqu’il me le demande.Nous conversons de divers sujets, dont mon célibat récent, et il me propose, dans le but de me changer les idées, de l’accompagner à une sortie avec ses amis le weekend suivant. Quelque peu surprise puisque nous nous connaissons à peine, je me laisse tout de même tenter. C’est vrai que ça pourrait m’être bénéfique et m’offrir l’occasion de faire davantage connaissance avec lui. De plus, c’est toujours intéressant de rencontrer de nouvelles personnes. Le rendez-vous est fixé. Il passera me chercher samedi, vers treize heures, à l’adresse que je lui indique. Entre-temps, au cours de la semaine, quelques révélations le concernant me sont faites. Ne parvenant pas à faire craquer la personne à laquelle il fait des avances depuis des années, il s’est mis à draguer toutes les nouvelles. Cette confidence me rend perplexe quant à ses intentions envers moi. Il semble chercher un plan cul ou une relation peu importe la personne. C’est-à-dire que je ne l’intéresse certainement pas plus qu’une autre. Ne sachant pas comment accueillir cette indiscrétion, je laisse venir à moi les informations à son sujet sans révéler le rendez-vous que nous avons fixé. En fonction de celles-ci, je le maintiendrai ou l’annulerai. Dès mon arrivée, j’ai eu l’occasion d’échanger avec la fille dont il est question ; je l’ai trouvée particulièrement prétentieuse. D’après les dires, elle se vante de l’avoir à ses pieds, et c’est le type même d’attitude qui m’exaspère au plus haut point. Pour la faire redescendre un peu de son piédestal sur lequel elle semble s’être hissée seule, et malgré les doutes qui m’habitent concernant les intentions de Quentin, je décide d’honorer le rendez-vous. Il est vrai qu’au vu des informations dont je dispose à son sujet, je ne peux qu’être sceptique, mais je décide de les ranger dans un coin de ma mémoire et m’y rendrai en connaissance de cause. Je n’ai rien d’autre de prévu ce jour-là et, qui sait, il a peut-être un ami charmant et célibataire. En toute honnêteté, si c’est un plan cul qu’il cherche, ça peut également être intéressant. Le célibat va s’avérer de plus en plus pesant sur ma vie sexuelle au fil des semaines et un petit coup de main – ou de queue – sera alors le bienvenu pour m’apaiser. En parallèle, je le découvre peu à peu jour après jour. C’est vrai qu’il est quelque peu dragueur, mais ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire. C’est toujours agréable, surtout après une rupture, et ce, même si je ne parviens pas à ôter de mon esprit toutes les révélations qui m’ont été faites. J’essaie tant que possible de ne rien laisser transparaître, ne souhaitant pas le mettre en porte-à-faux. Prise au piège entre l’évolution de notre relation et mes idées le concernant, la semaine se passe ainsi. Arrive le samedi. Le matin, Quentin m’envoie un message me demandant si notre rendez-vous tient toujours. Je lui confirme et il m’annonce qu’il sera donc là à l’horaire convenu, avant d’ajouter qu’une partie de football est prévue. Ne sachant pas s’il me prévient parce que je lui ai indiqué mon goût pour ce sport ou pour que j’adapte ma tenue, j’en tiens compte lors de ma préparation. Le jogging et les baskets sont donc de mise. Pas très sexy, contrairement à mon style habituel, j’agrémente le tout avec un débardeur décolleté. Il n’a pas précisé s’il me compte en tant que joueuse ou supportrice, donc je préfère me préparer à toute éventualité. J’espère qu’il ne m’a pas invitée seulement parce qu’il leur manquait un joueur… Treize heures, Quentin m’annonce sa présence devant la porte. Je me hâte afin de ne pas le faire patienter. Après avoir dévalé les escaliers, j’entre dans sa voiture et le retrouve. La portière refermée, un mélange d’émotions diverses me submerge, passant de l’entrain, l’excitation, l’envie à l’appréhension, l’anxiété… Tant de ressentis pour seulement un après-midi à passer avec un collègue de travail ! Ce n’est rien en soit, nous n’avons jamais évoqué une éventuelle relation, je ne suis pas éprise de lui alors pourquoi un tel charivari dans mon esprit et une accélération de mon rythme cardiaque ? Serais-je finalement tombée sous le charme de ce séducteur ? Je ne sais pas. J’essaie de faire le vide dans mon esprit et de me consacrer uniquement à ce collègue au sourire ensorceleur. Face à face, réellement proche de lui pour la première fois, je me noie dans ses yeux et son air enjôleur. J’essaie de garder les pieds sur terre, la tête sur les épaules et le salue enfin par une bise. Je le sens alors tout aussi fébrile que moi. Finalement, il ne semble pas être un Don Juan des temps modernes. L’aurait-on tous mal cerné ? La suite me le dira. La conversation s’engage rapidement et porte notamment sur le programme de l’après-midi. Nous allons rejoindre ses collègues dans un village voisin pour passer un moment tranquille et faire une partie de football. Il semble vouloir me rassurer en m’annonçant que je ne serai pas la seule fille, les copines de deux de ses acolytes seront également présentes. Peu importe, j’ai l’habitude d’être entourée de gars, même si je pense que des présences féminines peuvent être sympathiques… selon leur mentalité. Le trajet se passe à discuter de tout et de rien. Peu à peu, je me détends, laissant la place aux plaisanteries et confidences. Nous arrivons enfin. Il me présente ses cinq collègues, dont les deux accompagnés de leur copine. La présentation de ces dernières n’est pas nécessaire puisqu’il s’agit de deux anciennes copines de collège avec qui j’ai perdu contact. Deux sœurs : Lucie et Vanessa. Tout le monde est stupéfait de voir que nous nous connaissons. Du coup, ravies de nous retrouver, nous délaissons un peu les hommes pour prendre des nouvelles et nous remettre à la page. Ça tombe bien, pendant ce temps, ils feront leur partie de football. Nous restons toutes les trois sur la touche pour discuter. Le sujet « Quentin » intervient rapidement. Elles veulent connaître toutes les informations de notre relation puisqu’il n’en a pas parlé. J’annonce donc que nous ne sommes pas en couple, qu’il s’agit seulement d’un collègue de travail qui m’a invitée à passer l’après-midi avec eux. Quelques nouvelles confidences me sont faites, notamment qu’il a l’habitude d’emmener les filles qui lui plaisent à des sorties comme celle-ci. Ses invitations ne sont jamais anodines. Il doit vouloir prendre la température et étudier le degré d’ouverture pour certainement éviter de prendre un vent. Elles cherchent alors à connaître mon ressenti vis-à-vis de la situation : suis-je partante pour une relation avec lui ? Je ne sais pas. Je le laisse faire et nous verrons bien où cela nous mène. La partie se termine, les hommes nous rejoignent. Lucie et Vanessa retrouvent leur partenaire, et moi mon collègue. L’un de ses amis m’interroge soudain sur la durée de notre idylle. Je lui réponds alors que je n’étais pas au courant que j’étais en couple. Plaisantant certainement, il se propose alors à moi puisqu’il est également célibataire. Quentin intervient, peut-être par jalousie, pour me dire qu’il n’est pas un bon parti. Il rétorque, puis l’un et l’autre se renvoient la balle dans la bonne humeur. Apparemment, je ne le laisse pas insensible, c’est plaisant et rassurant. Les laissant à leur débat, tout le monde s’installe dans l’herbe, les couples en profitant pour se retrouver. Certains ont la bonne idée de s’allonger. Quentin me rejoint rapidement. Il s’assied à mes côtés et se propose comme oreiller, idée que j’accepte volontiers. Je me retrouve donc la tête sur ses cuisses, très proche de son entrejambe recouvert d’un sous-vêtement et d’un short de sport fin. La position est loin de me déplaire et suscite de vives réactions de l’un de ses amis qui, par des sous-entendus tout à fait compréhensibles, lui suggère d’en profiter. Me prenant au jeu, je me hâte de lui répondre qu’à part une main qui s’égare, il y a peu de choses dont il pourrait bénéficier en public et habillé. Certainement mal à l’aise, il essaie de mettre un terme à la discussion. J’entends et coupe court également, profitant de cette agréable position qui ne me laisse pas insensible. Gênée mais en même temps excitée d’être si proche de son sexe, des scénarios envahissent mon esprit. Si bien que je me surprends à le toucher inconsciemment en changeant de position. Je m’excuse aussitôt et lui propose de m’enlever au risque que ça ne se reproduise. Surtout pas, ça ne le dérange pas apparemment. Cela semble même éveiller en lui quelques idées coquines puisqu’il me rétorque que je devrai en payer les conséquences. Un large sourire s’affiche sur son visage tandis qu’il glisse par inadvertance, ou presque, une main sur ma poitrine. Un partout, m’annonce-t-il. Avant que ça ne finisse en débauche, je me relève et m’installe assise entre ses jambes. Joueur, il m’indique que positionnée ainsi, je lui offre la possibilité de prendre de l’avance. Je saisis ses mains, laisse ses bras m’entourer et les garde au creux des miennes, nos doigts entrelacés. Entrant dans son jeu, je me retourne, le regarde et lui rétorque qu’il aurait bien du mal ainsi. Un ange passe. Les yeux dans les yeux, il s’approche et m’embrasse du bout des lèvres. Je lui rends son baiser, montrant mon ouverture. Nos bouches se rejoignent de nouveau pour laisser nos langues se rencontrer au travers de luxurieuses embrassades. Collée à lui, je perçois son excitation naissante au travers de son short tandis que je commence également à succomber. Les remarques des autres n’entravent pas ce délicieux instant ; elles ne s’assimilent qu’à un brouhaha que je ne décrypte pas vraiment. Je déguste sa langue, sa bouche et notre rapprochement, inattendu vu les informations dont je dispose le concernant. Finalement, je me suis laissé prendre dans ses filets et je lui ai succombé. J’assume entièrement et n’émets aucune réserve lorsqu’il me propose de délaisser le groupe afin de poursuivre l’après-midi tous les deux, seuls. Nous saluons puis quittons ses amis, accompagnés de toutes les remarques de rigueur à propos de notre rapprochement et de la suite que nous allons y donner. Nous partons ainsi dans un autre coin du complexe sportif qu’il semble bien connaître. C’est un lieu reculé, à l’abri des regards indiscrets. Le muret s’y trouvant me sert de banc. Lui face à moi entre mes jambes, nos sexes collés, nous reprenons où nous en étions. Mes bras autour de son cou, ses mains sur ma taille, nous réitérons notre suave activité linguale. Nos langues jouent et s’enroulent délicieusement, nos salives se mélangent somptueusement et nous les dégustons. Ces langoureux baisers s’enchaînent, augmentant davantage la tension sexuelle entre nous. Des pulsions dans ma fente déjà humide se font ressentir en même temps que sa verge durcit contre elle. Nos échanges deviennent peu à peu frénétiques, la fougue prend le dessus, nous nous laissons transporter par nos envies. Ses mains délaissent ma taille pour explorer mes seins tandis que les miennes quittent son cou et se dirigent vers sa queue. Je ne réponds plus de moi et les glisse directement dans son boxer afin de la saisir. Elle est bien érigée, je l’empoigne et la libère pour jouer avec à ma guise. Certainement surpris, mais appréciant mon initiative, il me laisse m’occuper d’elle sans aucune réserve.Semblable à celles que j’ai pu avoir entre les mains, elle n’est pas très grosse, mais de taille assez satisfaisante pour se faire plaisir. Dans l’action, je me mets directement à le branler, les présentations seront faites plus tard. Habituellement, je préfère en effet au préalable caresser et découvrir le sexe de mon partenaire, mais là non. J’ai juste besoin d’assouvir cette envie de branler une queue et c’est celle-ci qui va subir mon excitation. Bien en main, saisie fermement, je le masturbe. Mes mouvements se veulent de suite appuyés, à la hauteur de mon état, mais je me limite à de lents va-et-vient pour commencer, ne souhaitant pas qu’il se lâche trop vite. Sait-on jamais, s’il a des préservatifs sur lui, je pourrais également en profiter. Je ne laisse d’ailleurs pas le doute planer et lui demande directement. Vérifiant dans sa sacoche, il en trouve un. Surpris, il me demande si je souhaite vraiment aller plus loin. Alors, sans hésitation, je saisis le préservatif, le dépose à mes côtés, l’embrasse et récupère son sexe afin de poursuivre la branlette que je lui offre. Il apprécie fortement, comme en témoignent ses râles intervenant rapidement et à répétition. Ils ne me laissent pas insensible ; j’entreprends de l’astiquer de plus en plus énergiquement, cherchant à le faire atteindre ses limites, mais il me stoppe bientôt. Si je poursuis, il lâche tout en moins de deux minutes et il veut me procurer autant de plaisir que ce que j’ai pu lui offrir. Je lui tends alors la capote, lui confirmant mon envie de me faire prendre. Nous scrutons les environs pour nous assurer que nous sommes seuls avant de nous lancer. Vérification faite, nous songeons à la position adéquate, le jogging n’étant pas pratique sur le muret. Tant pis pour le face à face, bien plus excitant à mon goût, ce sera de dos, une union du loup. Je me retourne et m’agrippe au muret tandis qu’il enfile la capote avant de baisser mon jogging puis mon string. Il apprivoise par quelques caresses mon sexe dégoulinant, écarte mes lèvres mouillées et insère deux doigts en moi. Quelques passages dans ma fente nous attisent davantage au point de céder la place à sa verge. Me saisissant par la taille, il la présente contre et, dans un coup de reins quelque peu appuyé, la fait pénétrer enfin au sein de cette caverne brûlante de désir. Il glisse délicieusement au milieu de ma cyprine lui offrant une généreuse lubrification. Il s’enfonce de plus en plus profondément jusqu’à la garde, faisant accroître le plaisir à chaque va-et-vient. Le doux rythme initial laisse progressivement place à une union charnelle plus intense. Il me lime la chatte de plus en plus rapidement, ses bourses claquent contre mes fesses, je m’accroche et gémis, ne pouvant retenir ce plaisir m’envahissant. Je suis chaude, tout comme lui qui halète et émet des râles à chaque coup de reins faisant pénétrer sa verge au plus profond de moi. Il traverse tout mon vagin, bute contre les parois de mon utérus, occupant tout mon sexe que je lui offre sans retenue. Quel délice de se faire ainsi prendre ! Je le laisse s’occuper de moi à sa guise, savourant la puissance de ses pénétrations qui m’enivrent de plaisir. Sur le point de jouir, il émet de forts coups. Sachant qu’il arrive certainement au terme de ses capacités, je déguste ces dernières secondes et laisse échapper quelques cris avant qu’il ne jouisse en moi. Il se retire et ôte rapidement la capote qu’il dépose en attendant de pouvoir la jeter. Je me rhabille, Quentin range son membre encore quelque peu bandant puis nous nous installons afin de nous remettre de ce délicieux moment. Un sentiment de gêne semble alors s’installer, comme si nous n’assumions pas nos ébats. C’est étrange, avons-nous cédé à nos pulsions trop rapidement ? Le manque chez chacun a-t-il eu raison de nos corps à tort ? Peu importe, c’est fait et nous devrons assumer. Petit à petit, nous recouvrons nos esprits. L’atmosphère se détend lorsqu’il me propose de faire un crochet par un fast-food afin d’aller nous hydrater après cette séance intensive de sport. J’approuve son idée et nous partons ainsi récupérer la voiture. En chemin, il revient à tâtons sur notre début – ou semblant – de relation. Il m’interroge sur mes envies à son sujet : est-ce le manque de sexe ou mon désir pour lui qui m’a fait sauter le pas ? Je joue alors la carte de la franchise, lui avoue tout ce qui circule à son sujet dans l’entreprise et lui retourne simplement la question. Surpris, agacé et outré par de telles révélations, il tente de me montrer un tout autre visage et, avec toutes les formes de rigueur, m’assure que je l’intéresse réellement. Je suis sceptique, mais en même temps j’apprends à le découvrir. Dragueur ou non, il me plaît vraiment et pas seulement pour ses performances sexuelles. Je me laisse de nouveau séduire par ses belles paroles et me lance avec lui dans un début d’idylle. Elle ne durera peut-être qu’un été, mais après tout, pourquoi ne pas essayer ?Extrait du livre « De la réalité aux fantasmes », Salomé, mai 2021. Pour plus d’informations, contactez-moi. Je réalise moi-même les envois de mes livres lors des ventes.