Un couple ordinaire

Histoire coquine :Henri et Gabrielle sont amoureux depuis maintenant bientôt 2 ans et leur amour ne se dément pas depuis le début de leur rencontre. Au contraire il s’amplifie. Il arrive souvent à Henri de regarder Gabrielle intensément le visage éclairé par un grand ravissement. Gabrielle s’en aperçoit, regarde Henri à son tour et lui dis un “ Quoi? Qu’est-ce qu’il y a?”, un peu provocateur. Mais elle sait très bien ce que ressent Henri dans ces moments. Une profonde admiration pour son amoureuse, sa beauté et son intelligence qui le scotch souvent par les raisonnements qu’elle développe au cours des conversations qu’ils ont sur toutes sortes de sujets techniques, politiques, sociaux ou religieux. Que cela se passe entre eux ou lors des repas entre amis qu’ils organisent régulièrement.Henri n’est pas en reste. C’est un beau garçon sensible d’une grande finesse d’esprit et physiquement puissant un peu comme mon copain Michel un mètre 90 pour 100 Kg, un physique de rugbyman, jeu qu’il a pratiqué pendant une quinzaine d’années mais auquel il ne joue plus maintenant.Ce couple, particulièrement bien doté par dame nature et très bien assorti, fait l’unanimité. On les admire, on aime leur compagnie, on peut être un peu jaloux de tous ces dons que leur a fait la nature, mais aussi de leur réussite professionnelle et personnelle au travers de ce joli couple. Néanmoins, grâce au respect qu’ils imposent l’un et l’autre, ils ont établi une barrière de protection autour de leur couple qu’aucun des garçons ou des filles de leur cercle d’amis n’oserait franchir.Ils ont une vie bien équilibrée, avec de la part des deux amants la nécessité d’éviter la routine pour maintenir l’envie d’être ensemble. Donc ils se font régulièrement des surprises où souvent le sexe occupe une place importante. En dehors de ses surprises ils mènent une vie tout a fait ordinaire rythmée par leur travail nécessaire pour vivre et même dans leur cas, pour bien vivre. Dans cette vie ordinaire, souvent, le matin, Henri se réveille le premier, il est nu. En fait ils sont nus. C’est une habitude qu’ils ont prise de dormir nu en toutes circonstances. Il s’étire, baille et se tourne vers Gabrielle qui dort encore. Il voit son dos nu. Elle dort souvent en position foetale, posée sur son côté droit. Il s’approche doucement et vient plaquer son corps contre celui de sa compagne. Il adore sentir ce corps tout enveloppé de la chaleur de la couette, pas encore sorti de la torpeur de la nuit, mais qui commence à bouger un peu. Allongeant sa cuisse droite Gabrielle autorise Henri a passer sa jambe gauche par dessus et poser son sexe a proximité du sien. Henri aime depuis toujours, enfoncer sa tète dans la belle chevelure de brune de Gabrielle qui inscrit un léger sourire sur ses lèvres. Elle aime ce moment qui annonce des préliminaires amoureux qu’elle ne raterait pour rien au monde. Henri bande maintenant. Il aime que le moindre mouvement de son corps ou de celui de sa compagne provoque une augmentation de son désir. Il grimpe maintenant sur le corps de Gabrielle. Il prend la tête de sa compagne entre ses mains, elle entoure de ses bras le thorax d’Henri qui écrase ses seins et favorise ce contact des corps qu’elle attend impatiemment. Gabrielle étire son cou et pose ses lèvres sur celles d’Henri qui caresse de sa langue les lèvres de Gabrielle. Les bouches s’entrouvrent, les langues s’entremêlent, le baiser mouillé et profond se prolonge, les lèvres s’écrasent et se tordent, les corps s’agitent et le désir enfle. Henri se retire du baiser il glisse doucement vers les pieds de Gabrielle en repoussant la couette le plus loin possible. Les lèvres d’Henri effleurent la peau de Gabrielle, enserrent ses tétons, les sucent. Il passe d’un téton à l’autre et recommence plusieurs fois la manoeuvre. Les tétons durcissent, un frisson anime la peau de Gabrielle qui émet un petit gémissement de plaisir. Puis Henri descend doucement sur le ventre de sa dulcinée, le lèche puis descend encore pour atteindre le bas ventre, le mont de vénus et enfin la « source du bon dieu » déjà mouillée les lèvres entr’ouvertes. La bouche d’Henri gobe maintenant entièrement la chatte de Gabrielle puis, avec sa langue écarte les lèvres et remonte doucement pour atteindre le clitoris. Il l’enserre entre ses lèvres et maintien cette position de manière à le titiller avec sa langue. Puis il laisse descendre sa langue dans la fente du sexe de Gabrielle jusqu’a l’entrée de son vagin qu’il pénètre en allant le plus profondément possible. Ensuite il remonte jusqu’au clitoris et recommence cette opération plusieurs fois. Gabrielle bouge de plus en plus en faisant des mouvements du bassin qui lui permettent d’augmenter son plaisir. Elle gémit, des soubresauts animent son corps, sa chatte est maintenant très mouillée, son désir est tel que bientôt elle n’y tient plus et elle jouit en poussant plusieurs petits cris qui participent à l’excitation d’Henri. Néanmoins il est un peu fatigué et elle a besoin de souffler. Henri en profite pour s’allonger contre le corps de Gabrielle. Petit moment d’accalmie et de récupération pour les deux amants. Gabrielle se redresse bientôt, enjambe le corps d’Henri, saisi sa bite, la décalotte. Sa bouche vient se poser sur le gland pour le sucer. Puis le lécher. Puis lécher toute la hampe, descendre jusqu’aux couilles qui sont maintenant bien fermes. Puis elle continue de le sucer tout en le masturbant. Enfin toujours plus excitée par ces préparatifs, elle lâche la bite d’Henri, remonte un peu sur son corps de manière a pouvoir insérer le sexe d’Henri dans le sien toujours très mouillé. La pénétration est facile, Henri s’est laissé faire. Gabrielle bouge de plus en plus vite. Henri sent les sécrétions vaginales couler le long de sa bite et sur son bas ventre. Il amplifie les mouvements de Gabrielle en faisant bouger son bassin. Son sexe est maintenant très gonflé et très dur, comme d’ailleurs les parois du vagin de Gabrielle. Les corps sont très agités, les souffles sont courts, de petits cris ou gémissement sont émis par les amants. Une course folle est engagée vers la jouissance. La bite d’Henri se tend, ses couilles ont disparues dans son bas ventre et une éjaculation libératrice se produit dans des râles et des mouvements désordonnés de tous ses membres. Gabrielle surexcitée par tous ces gémissements et râles suggestifs jouit à son tour, puis elle se laisse tomber sur le thorax d’Henri. Ses doigts caressent machinalement la peau d’Henri, elle ferme les yeux. Henri ne bouge quasiment plus sauf ses mains qui palpent doucement les fesses de sa chérie. Ils profitent de ce moment de calme, de plénitude, de bien être, pour récupérer et reprendre leur souffle. Après quelques minutes Gabrielle se soulève, libère le pénis tout ramolli, le sperme coule sur le ventre d’Henri. Gabrielle tourne légèrement sur son coté droit, puis se laisse tomber sur le lit contre son amant. Elle passe alors sa jambe et son bras gauche par dessus le corps d’Henri. Sa tête est calèe sur celle d’Henri qui remonte les draps sur leurs corps pour ne pas avoir froid. Ils restent ainsi collés l’un à l’autre durant un long moment, se rendormant tous les deux en ce samedi matin d’automne.Six mois se sont maintenant écoulés. Le printemps s’est installé, les arbres sont en feuilles, bien verts, et chose essentielle un beau soleil darde ses rayons et réchauffe les mâtinés qui sont encore un peu fraiches. Au cours du petit déjeuner qu’ils ont l’habitude de prendre ensemble, Gabrielle a indiqué à Henri qu’elle prépare une journée surprise pour les semaines qui viennent. Comme d’habitude rien de précis n’est révélé. La journée surprise débutera et se déroulera comme une journée normale. Mais pendant cette journée des évènements inattendus se produiront et s’enchaineront.Nous sommes dans la dernière semaine d’avril, il fait toujours beau et les températures sont clémentes. Sur le trajet qui le mène à son travail il passe devant un salon de massage chinois. Il a quelque fois été tenté de rentrer pour tester un des massages qui y sont proposés. Il fantasme un peu sur l’exotisme de ces salons, et imagine que la masseuse est une sublime chinoise qui au cours de son massage va bien plus loin que le massage attendu habituellement. Mais il n’y est jamais allé. Ce matin devant la porte du salon une jeune et jolie chinoise appuyée contre le chambranle attend. Lorsqu’Henri est proche de l’entrée, elle se détache du chambranle tend la main a Henri et lui demande de la suivre. Henri est d’abord surpris et réticent, refuse d’attraper la main et continue son chemin en se disant « tiens il font du racolage dans ces salons maintenant ». Mais la jeune femme, ne se laisse pas démonter et en un éclaire elle rattrape Henri. Elle lui vante les mérites des massages qu’elle prodigue. Lui dit qu’il ne sera pas déçu et que la relaxation due à ce massage va lui permettre d’être détendu toute la journée. Son large sourire et surtout son décolleté qui laisse voir la rondeur et la peau blanche de ses seins l’emportent. Henri n’est pas insensible à ce type d’arguments et décide de se laisser faire. D’autant que ce matin il n’a pas de rendez vous sur son agenda. Il dit à la chinoise « OK, ……. OK ». Mais avant de rentrer dans le salon, il attrape son téléphone et appelle sa secrétaire pour lui dire qu’il aura une bonne heure de retard. La chinoise l’a attendu, elle lui ouvre la porte et ils rentrent dans le salon. Elle passe devant et lui dit « suivez moi ». Dans l’entrée se trouve un accueil ou une autre chinoise les regarde passer tout en mangeant un bonbon. Henri se dit « tiens on ne paye pas avant la séance de massage », mais ne connaissant pas les pratiques, il a repris sa marche sur les talons de la masseuse. Elle se dirige vers une cabine de massage, s’efface pour laisser entrer Henri, rentre à son tour et lui demande de se déshabiller en lui montrant les portes manteaux, puis de s’allonger, sur le ventre, sur le futon. Elle s’éclipse, Henri, obéissant se déshabille et s’allonge sur le ventre. Au bout de deux à trois minutes la porte s’ouvre la chinoise est de retour. Elle attrape le flacon d’huile de massage posé sur l’étagère à coté futon, et fait couler de l’huile sur le dos d’Henri. Puis elle contourne le futon et vient se positionner à genoux, les cuisses de part et d’autre de la tète d’Henri. Il ouvre les yeux et oh surprise, il a devant ses yeux la jolie chatte rasée de la masseuse. Une vision tellement inattendue que l’effet est immédiat, Henri bande. Alors que le massage du dos vient de commencer, il entend la porte de la cabine s’ouvrir, puis se refermer, puis quelqu’un lui écarte les jambes. Il est surpris, « la masseuse ne m’a pas parlé d’un massage à quatre mains ». De l’huile coule sur un mollet, puis sur l’autre. Puis ses deux mollets sont massés simultanément. Les mains remontent sur les cuisses, puis sur les fesses, pendant que les mains de la chinoise descendent et remontent le long de sa colonne vertébrale, du cou jusqu’a la naissance des fesses. Les mains de la deuxième masseuse lui donnent maintenant des tapes sur les fesses. Puis un doigt contourne doucement son anus. L’huile coule sur son cul, le doigt tente une pénétration. La chinoise modifie sa position elle se penche en arrière et propulse son périnée en avant de manière a ce que sa chatte soit devant la bouche d’Henri. Elle lui propose de la lécher, il ne se fait pas prier et sa langue se promène entre les lèvres jusqu’au clitoris, pendant que la chinoise lui masse le cuir chevelu. Le doigt fait un mouvement de va et vient dans son cul, lui massant ainsi la prostate. La deuxième main lui attrape les couilles et les malaxe fortement. Puis passant entre ces cuisses elle attrape son sexe maintenant très raide et commence à le masturber. Le mélange des sensations qu’il reçoit est tel que son excitation est rapidement à son comble et qu’il n’a aucune envie de résister. Il suce le clitoris de la chinoise, lève son cul pour faciliter la masturbation, ses couilles ont disparues, son sexe se tend, il râle très fort et éjacule fortement, sa bite lâchant des grosses giclées de sperme qui partent dans tous les sens. La surprise était tellement excitante qu’il n’a pas résisté longtemps et qu’il ne pourra gouter a tous les plaisirs qu’avait préparés Gabrielle. Henri n’en peu plus, il s’est laissé retombé sur le futon, il savoure ce moment de repos, et récupère allongé sans bouger. Les deux masseuses l’ont abandonné. II est tout seul dans la cabine de massage. Une question le hante, était ce Gabrielle la deuxième masseuse? Il n’a pas d’arguments mais une certaine présomption. Il se rhabille sort de la cabine, la chinoise dans le couloire lui fait un petit signe de la main, lui envoie un baiser et lui dit « au revoir, à bientôt », il lui répond la même chose et se dirige vers l’accueil. « Combien vous dois-je »? « rien » répond la personne de l’accueil. Henri sait maintenant, il quitte le salon et part à son travail.
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