Petites, blondes, fantasques, avec un gros derrière, nous sommes toutes faites pareilles dans la famille : ma mère, ma sœur, ma tante, toutes à peu près conçues sur le même moule. Pour ma part, mon gros cul j’en ai pris mon parti, de toute façon il plaît aux hommes, et ceux à qui il ne plaît pas, ils s’en vont voir ailleurs.Jérôme est un lointain cousin du côté de mon père, 22 ou 23 ans, pas trop déluré. Ma frangine Brigitte m’avait prévenue :— Tu verras, c’est un petit puceau coincé, qui est obsédé par les gros nichons et les grosses fesses.L’été dernier, à la plage, il paraît qu’il n’arrêtait pas de lui mater le derrière, à ma sœurette. Alors, quand elle partait se baigner, elle faisait exprès de se déhancher, pour le faire bien bisquer. Ça lui foutait les boules.Et quand ce n’était pas la fille, c’était la mère qui passait à la machine à zieuter les gros derrières :— Si t’avais vu le cinéma qu’il faisait quand maman nous servait à table, il faisait semblant de ne pas regarder mais jetait sans cesse des coups d’œil quand elle repartait dans la cuisine, un vrai petit obsédé, je te dis. Si t’avais été là , c’est le tien qu’il aurait reluqué, ma Jo !Jocelyne c’est mon prénom, donc Jo pour les intimes, et c’est bien connu que, dans la famille, c’est moi qui ai le plus gros cul, quoique, avec ma tante, on pourrait parfois se le demander. Il faut dire que j’ai aussi un sacré coup de fourchette et que je ne fais pas vraiment de régime.À ma décharge, je travaille dans un restaurant, en cuisine, et je connais peu de grands chefs qui soient réellement minces.Pour les fêtes de fin d’année, Maman a décidé de réunir toute la famille. Ce n’est pas vraiment mon truc ; en plus c’est la période de l’année où je travaille le plus, donc je n’ai pas le temps d’apprécier toutes ces festivités. Mais si ça lui fait plaisir à ma mère, après tout, pourquoi pas. La conséquence directe de cette décision est qu’il faut loger tous nos visiteurs, en les répartissant chez nous, chez ma grand-mère ou chez ma tante.Jérôme, en ce qui le concerne, nous a fait toute une pantomime parce qu’il tient à venir dormir à la maison. C’est pour ma mère ou pour ma sœur ?Ma première impression quand on me présente à lui : c’est un garçon timide, réservé, coincé, presque maladif. La première fois que je l’avais vu, je savais à peine marcher, autant dire que je ne m’en souviens pas. Gentil certes, mais compliqué et maniéré, probablement même complexé.Pas grand-chose d’autre à dire ; en résumé trop gentil, trop fragile, trop casse-couilles, en plus il n’a pas grande conversation.Finalement, je prends congé, je dois aller me coucher, vu que je me lève assez tôt pour mon boulot.Le lendemain lorsque je me lève, en saisissant ma culotte et mon soutien-gorge, j’ai l’impression qu’ils sont tout gras. Comme je suis encore dans le pâté, je n’y prête guère attention, je les balance simplement dans la panière et choppe de nouveaux sous-vêtements.Mais le jour suivant, même chose, ma culotte est de nouveau toute poisseuse. Je l’examine d’un peu plus près : je la renifle, la porte à mes lèvres, j’ai la très nette impression qu’il s’agit de sperme !Comme cela fait plus de quinze jours que je n’ai pas couché avec un mec, je me demande comment ce foutre a pu arriver là . Évidemment, vu ce que m’a dit ma sœur, mes soupçons se portent de suite sur Jérôme, la seule explication possible c’est qu’il se soit branlé dans mes vêtements pendant la nuit.Qui d’autre que lui pourrait faire une chose pareille ? Je ne vois personne d’autre dans la maison qui soit capable d’un tel méfait.Quel petit enfoiré ! Notre discussion de la veille a dû lui donner des idées. Je n’ai pourtant rien dit d’extraordinaire, et encore plus, rien fait.Le lendemain, c’est le réveillon de Noël. Je reviens du boulot tard dans la nuit et complètement crevée. À la maison, tout le monde est allé se coucher depuis longtemps : bonjour les fêtes de fin d’année, moi je ne vois personne !Épuisée, je ne prends même pas le temps de me déshabiller et tombe sur mon lit comme une masse.À croire que le Père Noël existe encore car, lorsque je me réveille, une poignée d’heures plus tard, une guirlande de jus poisseux orne ma jupe. Je l’inspecte, il s’agit bien de foutre. Cette fois, c’en est trop, pour qui il se prend, ce porc ? Il est venu me voir dans mon sommeil et a éjaculé sur moi. J’en suis absolument certaine, c’est tout visqueux et il y en a même partout sur les draps.Quel gros dégueu, ce mec !J’irais bien faire un scandale mais, à cette heure-ci, tout le monde dort à poings fermés et mon bien-aimé cousin ronfle comme un bienheureux sur le matelas qu’on lui a installé dans le bureau à côté. J’ai presque envie de lui pisser dessus tellement il m’a foutu en rogne. Mais, bien entendu, je laisse tomber.Encore endormie, je me traîne lamentablement jusqu’à la salle de bain, m’enferme un long moment dans la cabine de douche avant de m’habiller, prête à essuyer un nouveau coup de bourre. Dure journée ! Pendant la période de Noël, je travaille presque sans discontinuer pendant plus de deux jours. Un bon café serré, c’est ça qu’il me faut avant de partir…Quand je reviens après le service, je suis complètement HS, une vraie loque humaine, la Jo, je tiens à peine debout. Je monte directement me pieuter, sans dire « bonjour » à qui que ce soit. C’est aussi pour cela que j’aime ce métier, parce qu’il a le don de vous vider complètement le corps et l’esprit.J’enlève tous mes habits, les balance en vrac sur ma chaise, augmente le chauffage pour ne pas avoir froid et m’allonge complètement nue sur le lit. Puisque tu veux avoir du spectacle, mon petit père, je vais t’en donner, moi, du spectacle !Et je m’endors ainsi, le sourire aux lèvres, en pensant à la tronche du cousin Jérôme quand il va se retrouver nez à nez avec mon gros derche. J’imagine le tableau. Si je n’étais pas si crevée, j’exploserais de rire pour cette bonne blague. Mais je m’abandonne au contraire rapidement dans les bras de Morphée.Quelques heures plus tard, devinez ce que je retrouve tartiné sur mon cul : une couche de sperme bien gras. Cette fois-ci, il n’y est pas allé de main morte, il m’en a mis partout, j’en ai même qui commence à sécher dans la raie des fesses. Quel petit vicieux ! Je l’imagine en train de se branler en me matant… et cela me donne des idées… je passe ma main sur mon derrière, trempe mes doigts dans le sperme gluant, puis caresse ma chatte avec.C’est bon, c’est humide, c’est pervers ; ma grotte, elle aussi, est déjà toute trempée. Je me masturbe en pensant à un super-mec, mélange de David, le chef de salle, avec qui j’aimerais bien avoir une aventure, et Jérôme, le petit obsédé.Et pourquoi pas David et Jérôme en même temps, les deux pour le prix d’un, l’un devant et l’autre derrière. Je me rends compte à quel point j’ai été machiavélique d’exhiber ainsi mes fesses… et je me rendors après avoir bien joui.Lorsque je me réveille, je ne sais plus très bien quelle heure il est, ni quel jour on est. En tout cas, il n’y a plus personne dans la maison. Je vais me doucher, me refais une beauté, téléphone à une copine avec qui je décide d’aller à la patinoire.Nous passons une journée très agréable toutes les deux à nous faire draguer. Ce que les mecs peuvent être lourds parfois ! Karima, pour les décourager, finit par leur dire que nous sommes lesbiennes, ce qui n’est pas totalement faux, sans être tout à fait exact quand même.Pour tout dire, nous aimons aussi bien les filles que les garçons, avec autant d’envie. De retour dans le petit cocon de ma maîtresse, elle me fait prendre un super pied avec sa bouche experte.Je lui rends de suite la pareille et nous nous endormons tranquillement dans les bras l’une de l’autre.Au réveil, une douzaine d’huîtres et une coupe de champagne pour fêter notre amour grandiose. Je lui raconte l’histoire avec mon cousin. Ça la met en joie et elle est bientôt prise d’un fou rire irrépressible. Je n’arrive plus à l’arrêter :— Ma biche, je n’ose pas imaginer la tête qu’il va faire si tu fais semblant de dormir et si tu le surprends en flagrant délit de masturbation en train de te mater.J’y ai déjà pensé mais, les jours précédents, j’étais vraiment trop crevée pour lui tendre pareil traquenard. Maintenant que je suis détendue et reposée, je crois que je vais bien m’amuser.Il est minuit passé lorsque je regagne la maison de mes parents. Une nouvelle fois, tout le monde dort, je vis vraiment à contre-courant, avec les zombies de la nuit.Je me mets complètement nue. Tu veux le voir mon gros cul, eh bien tu vas le voir, je vais te le montrer !Calculatrice, je positionne scientifiquement mon sac à main derrière la porte et m’assoupis à moitié en attendant la visite de mon visiteur nocturne. Deux heures plus tard, blang. La porte s’ouvre et fait tomber le sac.De l’autre côté, Jérôme n’ose plus un geste, sans doute de peur de m’avoir réveillée.Cela me laisse le temps de sortir de ma torpeur, de me positionner sur le ventre, fesses largement cambrées, presque tendues vers lui, de quoi mettre bien en évidence la partie la plus charnue de mon anatomie… Ultime précaution, j’ai glissé mon bras droit sous mon ventre, ma main posée sur mon bouton, au cas où il me prendrait l’envie de le toucher.Finalement la porte s’ouvre et j’entends mon cousin qui pénètre dans la pièce. Il referme derrière lui, s’approche de moi. Je vois un rai de lumière qui éclaire de mon côté, sans doute une lampe de poche. Il prend grand soin de ne pas le diriger vers ma tête pour ne pas me réveiller.Que fait-il ?J’ai l’impression qu’il m’inspecte de tous les côtés. Alors mon grand, tu le vois mon gros cul blanc, il t’excite mon derrière ? Mais évidemment je ne dis rien, je retiens mon souffle et j’entends un petit bruit, un bruit de queue que l’on masturbe.Mon cousin est en train de s’astiquer en regardant mes fesses. Putain, ce que ça m’excite de l’imaginer ainsi. Dans un scénario normal, je devrais me redresser, le dévisager, le confondre. Mais j’ai peur de provoquer sa fuite et j’ai envie qu’il continue.Mes doigts pénètrent ma chatte, discrètement, par petites touches : je suis trempée d’envie. Le flic-flac de plus en plus obscène de sa queue devient très excitant et je me doigte, moi aussi, plus vite en cambrant un peu plus les reins. Je l’entends haleter dernière mon dos, sa jouissance vient, je la sens proche… j’ai très envie de me faire baiser… mais je reçois un jet bien chaud dans la raie des fesses, suivi d’un second sur la fesse droite.Cette fois-ci c’en est trop, je ne peux plus me retenir. Profitant du fait qu’il est en train de s’épancher sur moi en grimaçant comme un beau diable, je me retourne d’un bond et me jette sur sa queue que j’embouche sans plus attendre. Pour lui la surprise est totale, mais je ne lui laisse aucune possibilité de repli, prisonnier qu’il est de ma fellation.J’avale avec délectation tout ce qui lui reste comme jus dans la queue en lui pressant les couilles. C’est délicieux, mais je suis insatisfaite. Maintenant qu’il m’a mis le feu aux fesses, j’ai très envie d’être baisée. Je m’acharne du mieux que je peux sur sa bite pour l’empêcher de débander. La tâche est difficile, c’est souvent à ce moment-là que les hommes craquent et retombent en enfance. Alors j’y mets tout mon savoir-faire !Quelques minutes plus tard, il est à nouveau droit et dur comme l’Obélisque de la Concorde, en nettement moins grand, je vous rassure… alors je lui enfile un petit bonnet que j’ai trouvé dans la table de nuit :— Tu veux me baiser comment ? Par devant ? Par derrière ? Debout ? Assise ? Couchée ? Fais de moi ce que tu veux, mais prends-moi, pour l’amour du ciel !Il ne dit pas un mot, plutôt des borborygmes, mais me fait malgré tout comprendre qu’il préfère me prendre par derrière, que je lui tende mes fesses. Comme tu veux mon gaillard ! J’allume en grand la lumière dans la chambre pour qu’il profite pleinement du spectacle grandiose que lui offre mon généreux fessier.C’est alors qu’il lui rend hommage… pour mon plus grand plaisir !