Un départ manqué.C’était un soir d’automne… Il était environ 18 h et je roulais en direction de l’aéroport de Bordeaux…Tout en dépassant presque machinalement toutes les voitures, je repensais à mon départ précipité datant de quelques heures…Jean était mon ami, confident et amant depuis deux ans… Nous habitions ensemble dans un bel appartement, au deuxième étage d’un grand immeuble situé dans une résidence très calme…J’avais connu Jean sur mon lieu de travail (je suis journaliste), lors d’un reportage sur la création d’un nouvel hôtel sur la côte d’Azur, et cela avait été le coup de foudre immédiat…Il était architecte et avait été choisi pour faire les plans de l’hôtel en question…Il était de taille moyenne, brun, et je me rappelle avoir été, à chacune de nos rencontres, comme foudroyée par ses yeux verts pétillants qui ne me quittaient pas des yeux.Puis, un soir, il s’est décidé à m’inviter à dîner et c’est là que notre histoire a débuté.Nous nous entendions très bien sur tous les plans, y compris sur le plan sexuel. Notre relation semblait marcher comme il fallait, et je m’étais même dit que c’était sûrement l’homme de ma vie.En repensant à tout ça, j’essuyai rageusement une larme qui s’écrasait sur ma joue…Le soleil se couchait et on ne le voyait quasiment plus lorsque j’arrivai à l’aéroport… Je m’apprêtais à prendre le vol pour Londres afin d’y rejoindre ma mère qui était partie y vivre avec son nouvel amant, il y avait de ça cinq ans maintenant.Je n’aimais pas beaucoup cette ville, mais j’avais besoin de changer d’air et aussi de me confier à cette mère que j’aimais tant et qui me comprenait si bien.J’essayais de me concentrer sur la route, cherchant en vain l’entrée du parking où j’avais réservé une semaine pour y laisser ma voiture et, en même temps, était omniprésent ce film qui repassait dans ma tête et qui était la cause de ce voyage précipité…J’avais quitté mon appartement quelques heures plus tôt, ayant surpris Jean (« mon » Jean!) avec l’une des reporters de l’agence, dans la cuisine. Quand je suis arrivée, je n’ai pas compris tout de suite, comme si mon cerveau refusait de combiner ensemble toutes les informations que mes yeux ne pouvaient que constater : elle, agenouillée devant lui, son sexe dans la bouche, les seins à l’air et la jupe relevée de façon obscène jusqu’à la taille, découvrant ses fesses, cuisses écartées. Elle suçait mon mec avidement, en poussant des gémissements aussi forts que si elle était en train de jouir… Je revois encore les deux expressions simultanées de Jean : celle avant qu’il ne me voie, en pleine jouissance, en train d’émettre de petits râles et l’autre, expression d’incompréhension, de honte, de peur lorsque son regard croisa le mien…Ne rien dire fut la seule chose que je me sentis encore capable de faire, tant les sentiments s’accumulaient et se mélangeaient dans mon esprit : la surprise, la colère, l’incompréhension, la honte, la trahison… Je crus à cet instant que j’allais m’évanouir, mais j’eus malgré tout assez de force et de courage pour partir en claquant la porte, sans être sûre que mes jambes allaient me porter jusqu’à l’extérieur…Quant à cette fille, je me demande encore, impulsive comme je suis, comment j’ai pu repartir la tête haute, sans rien dire, alors qu’elle me regardait de ses yeux gourmands, un léger sourire plaqué sur sa bouche encore brillante de la semence de mon amoureux…Je chassai ces images de mon esprit et trouvai enfin l’entrée du parking. Je repérai une place et, après avoir pris ma carte de réservation, je pris l’ascenseur…..Lorsqu’il s’arrêta, je pénétrai machinalement dans le hall et, après avoir enregistré mes bagages, je passai les différents contrôles…Le dernier me fit passer sous un portique qui sonna une première fois…L’homme me fit revenir et me demanda d’enlever ma montre. Lorsque je repassai, le portique sonna encore…Avec une moue désabusée, je revins sur mes pas… L’homme m’expliqua alors, s’excusant presque, que ce devait être la boucle de ma ceinture… Je l’enlevai aussitôt et repassai sous le portique… qui sonna encore !Devant mon air excédé et l’impatience que je ne dissimulais plus, l’homme bredouilla qu’il fallait faire une fouille, que ce serait vite fait et que ça m’éviterait de perdre trop de temps…Avec son plus aimable sourire, il m’indiqua de suivre une femme pour vérifications dans une pièce, à quelques mètres à peine de là…Tout en maudissant ces appareils qui ne marchaient jamais, je me surpris à regarder les fesses de celle que je suivais, joliment galbées dans une jupe bleu marine. Elle avait l’air d’avoir de belles jambes aussi.On me fit entrer dans une salle et elle me dit :— Je suis désolée pour ce contretemps, Madame, mais nous ne pouvons nous permettre aucune erreur en ce qui concerne la sécurité… Surtout ne vous inquiétez pas, ce ne sera pas long… Vous allez devoir vous déshabiller, s’il vous plaît. Vous pouvez rester en sous-vêtements. Je reviens dans quelques minutes.Puis elle tourna les talons et sortit de la pièce. Tout en entendant ces paroles, je réalisai tout à coup que je n’avais pas mis de soutien-gorge… J’avais de beaux seins lourds et fermes que j’aimais parfois laisser libres… Je commençai à me déshabiller en me disant que je garderais mon petit tee-shirt moulant, ce n’est pas ça qui allait changer grand-chose.Lorsque la femme revint, quelle ne fut pas ma surprise de la voir accompagnée d’un homme en tenue d’uniforme. J’eus le temps de remarquer qu’il était séduisant, mais je fus tout à coup gênée de me retrouver en string et tee-shirt devant eux…Avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, la femme passa ses mains sur moi, tâtant partout pour voir s’il n’y avait rien. Bien qu’elle ne passa que furtivement, cela me fit un drôle d’effet lorsque ses mains passèrent sur mes seins et sur mes fesses… et j’eus du mal à définir ce sentiment.L’homme passa ensuite tout autour de moi une sorte d’appareil électrique qui ressemblait à une petite matraque métallique… et qui se mit à sonner ! Il leva la tête, planta ses beaux yeux verts dans les miens et dit d’un ton qui me sembla anormalement familier et satisfait:— Il va falloir enlever votre tee-shirt, Madame…Je le regardai, étonnée, et commençai à balbutier :— Mais enfin, je n’ai rien sur moi… c’est… c’est… inadmissible. En plus, je vais rater mon vol….!Je commençais sérieusement à perdre patience, et la femme me dit :— Oui, je sais, mais ce ne sera pas long. Soyez coopérative et dans cinq minutes vous serez sortie… Comprenez bien, c’est notre travail d’assurer la sécurité de tous… Et puis, hier matin encore, il y a eu une alerte à la bombe… Nous avons eu des consignes très strictes.Ravisant un peu ma colère, je m’aperçus alors que je n’avais qu’une alternative : rester de face et offrir le spectacle de ma généreuse poitrine ou offrir à leurs yeux mes fesses ornées d’une petite ficelle de string…!Voyant mon air gêné, l’homme me demanda, un sourire narquois sur les lèvres :— Vous avez besoin d’aide?Tous deux pouffèrent, ce qui me mit encore plus mal à l’aise. Je tentai autre chose, m’adressant à la femme :— Vous pouvez être seule, non? Cet homme n’est pas obligé de rester?J’essayais de prendre le ton le plus naturel possible, mais j’étais de plus en plus mal à l’aise. Elle me répondit :— Non, désolée, nous devons impérativement être deux. Mais, vous savez, mon collègue est habitué, dit-elle en donnant un coup de coude à ce dernier. Et puis, vous qui êtes pressée, vous perdez du temps…À ce moment, je vis l’homme, resté un peu en retrait, enlever sa veste. Sa chemise et son pantalon bleu marine lui allaient admirablement bien et semblaient faits pour lui.Résignée, j’ôtai mon tee-shirt aussi vite que je le pus et plaquai mes mains et mes bras pour camoufler au mieux mon 95 C… Alors l’homme se remit face à moi, son appareil dans la main.— Vous devez écarter les bras le long du corps, dit-il…Je ne cédai pas à son regard et, soupirant, j’écartai les bras, offrant à cet inconnu ma poitrine nue, mes seins n’étant qu’à quelques centimètres de lui… Je l’entendis murmurer un « hummm » qui me provoqua un petit frisson dans le bas du dos… Tout en passant son appareil autour de moi, son regard ne quittait pas mes seins, et il commença à jouer de la langue comme si elle était en train de jouer avec mes mamelons… Je sentis malgré moi une petite excitation entre les jambes… Et je savais que la pointe de mes seins devait être érigée à l’extrême. C’est là que je remarquai la bosse énorme que faisait son sexe dans son pantalon, et qui ne laissait aucun doute quant à l’état dans lequel il se trouvait !C’est alors que la femme, dont je ne m’étais plus préoccupée depuis plusieurs minutes, arriva par-derrière et se colla à l’homme… Celui-ci gémit. Je ne voyais que les mains de la femme qui caressaient le torse, le ventre et puis le sexe de l’homme à travers son pantalon… L’homme laissait échapper des râles de plaisir tout en restant le regard rivé sur mes seins et la langue toujours en action. Malgré moi, je ne pouvais détacher mon regard des mains féminines qui cherchaient, tâtaient, malaxaient, et je commençais soudain à sentir entre les cuisses une moiteur que je connaissais bien……Je réalisai soudain la situation dans laquelle je me trouvais et je repris quelque peu mes esprits, à la fois honteuse et troublée de ce qui se passait.Soudain, elle baissa la braguette du pantalon de l’homme, et sortit son sexe en érection, turgescent, énorme, et commença à le caresser.À ce moment, l’homme approcha l’appareil (qui ne sonnait plus d’ailleurs !) de mes seins et effleura l’un de mes tétons déjà tendu et dressé à l’extrême. Je sentais monter l’excitation et, malgré les efforts que j’essayais de faire pour que cela me laisse de marbre, je n’arrivais ni à leur dire d’arrêter, ni à me dégager de cette emprise… Bien au contraire, je me rendais compte que je mouillais comme une dingue et que, s’il fallait que j’enlève mon string, il faudrait sûrement l’essorer! Mes seins étaient gonflés et l’homme les frôlait toujours, via le métal de son engin, enivré par l’effet que cela me procurait…La femme passa alors devant lui et s’agenouilla afin de reprendre son sexe, dans sa bouche cette fois. Je m’aperçus alors qu’elle n’avait plus qu’un string, un soutien-gorge et des bas… Elle cambra volontairement les reins pour que je puisse admirer son beau cul tout en s’appliquant à lécher le sexe de l’homme… Je la vis sucer le gland et enfoncer le sexe de l’homme loin dans sa gorge avant de remonter doucement. Je regardais ses fesses qui ondulaient devant moi… L’homme continua son chemin et descendit l’engin métallique le long de mes jambes, puis il le remonta lentement, l’enfonçant un peu plus à l’intérieur des cuisses. Le contact du métal froid et dur me fit frissonner, et je laissai échapper un petit cri de surprise lorsqu’il arriva au niveau de mon pubis. J’étais dans un état d’excitation intense. Il commença alors à me caresser avec l’engin et je sentis que mon plaisir montait. Je ne pus m’empêcher de laisser échapper des gémissements de plaisir, et j’entendis l’homme murmurer :— Hum… oui, c’est bien, tu aimes ça hein ?… Allez, écarte les cuisses, vas-y… laisse-toi faire…J’obéis sans aucune résistance, et il continua à me masturber, jouant avec mon clitoris. J’entrepris alors de baisser moi-même ma culotte, ayant une envie incontrôlée d’être pénétrée. À cet instant je ne répondais plus de moi, je ne voulais plus penser, juste me laisser aller à ce plaisir tellement enivrant…— Oui, tu es belle, montre-moi ton minou… Ecarte bien les jambes. Je vois d’ici que tu es trempée…Comme il commençait à introduire l’engin métallique dans ma chatte brûlante, j’écartai l’objet et murmurai :— Non, pas ça… j’ai envie de ta grosse queue…Il se dégagea alors de l’étreinte buccale de l’autre femme, et m’allongea sur le bureau…— Oui, oui, viens me baiser…J’entendais ma voix comme dans un rêve, comme si c’était une autre personne qui parlait et qui sortait toutes ces obscénités… J’étais offerte à tout, cuisses écartées, incapable de résister à ce désir trop fort. Comme pour me faire attendre encore, il commença son introspection en enfonçant trois doigts qui entrèrent sans résistance, tellement mon intimité était lubrifiée. Je gémis. C’était bon. Il enfonça encore un doigt et commença alors un lent va-et-vient.À cet instant, la femme monta sur le bureau et se plaça à cheval sur moi, de telle sorte qu’elle présentait ses fesses bien écartées à l’homme. Elle avait enlevé sa culotte mais avait gardé ses bas et son soutien-gorge. Je pouvais voir son pubis totalement épilé. Tout en continuant le mouvement de ses doigts dans ma chatte, l’homme commença à lécher l’anus de la femme qui ne se fit pas prier pour montrer que cela lui plaisait ! Elle se pencha et posa sa bouche sur la mienne, offrant encore davantage son postérieur à la langue qui s’agitait toujours et essayait de s’introduire. Les doigts de l’homme s’activaient dans mon antre et, son pouce venant malaxer habilement mon bouton de rose à chaque passage, je sentais l’orgasme approcher. J’ouvris la bouche et lui rendis son baiser. Nos langues s’enroulaient, se mélangeaient, se mordaient et s’aspiraient. Ce faisant, elle sortit ses seins de son soutien-gorge et commença à les frotter aux miens… C’était une sensation délicieuse de sentir ses mamelons titiller les miens… Puis sa bouche descendit et elle happa mon sein droit, le gobant, le suçant, puis en mordillant le téton… Je ne retenais plus aucun de mes gémissements, qui étaient de plus en plus éloquents…C’est alors que l’homme retira ses doigts et que je ressentis une énorme frustration… Il entreprit de me rassurer :— Attends… j’ai beaucoup mieux pour toi…La femme s’allongea à son tour sur le bureau, sur le dos. Elle écarta les cuisses, offrant sans retenue l’intimité de ses chairs.— Va la sucer, me dit l’homme.Je m’approchai et elle mit ses jambes autour de mes épaules. Lorsque je posai ma bouche sur son pubis, elle gémit et cambra les reins pour mieux s’offrir à moi. Ma langue s’immisça entre ses petites lèvres, fouillant, léchant, mordant, suçant… parfois douce et tendre ou plus ferme et brutale. Puis je vins décapuchonner son clitoris et commençai à en respirer l’arôme, à le saisir entre les lèvres, puis entre les dents… La femme criait de plus en plus :— Oui, ouiii, encore, vas-y, vas-y… Fais-moi jouir…J’activai mon mouvement de langue et introduisis trois doigts dans sa chatte brûlante recouverte de cyprine. Pendant ce temps, l’homme avait violemment écarté mes fesses et avait enfoncé d’un coup sa queue dans ma chatte trempée. Je feulais de plaisir, et j’en demandais encore… Il commença un mouvement violent de va-et-vient, tout en me malaxant les seins d’une main et en faisant rouler les tétons entre son pouce et son index… Il accéléra le mouvement… En même temps, il avait introduit deux doigts dans mon petit trou… Je sentais que l’orgasme montait, montait. Je n’arrivais plus à me concentrer sur le plaisir de la femme, complètement déchaînée par l’orgasme que je sentais venir.. Lorsque je jouis, je criai de plaisir et l’homme éjacula peu de temps après. Malgré les spasmes de plaisir qui me secouaient encore, je repris mes mouvements de langue et de doigts, et la femme ne tarda pas à laisser exploser son orgasme. Je léchai la cyprine qui coulait de sa chatte et qui me prouvait qu’elle avait joui.Je m’allongeai à mon tour sur le bureau et essayai de reprendre mes esprits…Je me rappelai tout à coup pourquoi j’étais là, et demandai ironiquement :— C’est bon, je ne sonne plus ?On éclata tous de rire.Je me rhabillai prestement, arrangeai un peu mes cheveux et sortis de la pièce, un peu gênée malgré tout de ce qui venait de se passer, mais finalement très heureuse de l’expérience sexuelle qui venait de m’arriver… même si j’avais raté mon avion !