Claire et moi sommes ensemble depuis quelques mois. Nous nous sommes rencontrés au travail, elle était étudiante en alternance et moi, commercial. Très vite nous nous sommes rapprochés et cela fait quelques semaines que nous avons décidés d’emménager ensemble.Comment vous la décrire ? Elle est assez grande, blonde, très jolie mais il y a deux choses qui m’ont troublé immédiatement, une taille fine avec des hanches larges et surtout une voix… une voix cassée… que je trouve d’un sensuel… J’avais déjà pressenti chez elle, une demande forte, mais son éducation et sa timidité l’empêchaient sûrement de se donner pleinement. Elle était issue d’une bonne famille anglaise, et en avait gardé un accent assez hautain.Bref, nous étions un dimanche matin. Nous avions pris l’habitude de nous lever tôt, prendre un petit déjeuner dehors et rentrer nous coucher pour se prélasser sous la couette. Le bonheur…L’air était frais ce matin, et nous n’avions pas tardé à nous remettre sous la couette. Les journées étant longues pour ma part, je serrai Claire dans mes bras et nous nous rendormîmes assez vite. Au réveil, je m’aperçus que Claire s’était déshabillée. Elle ne portait plus qu’un tout petit string et je ne pus m’empêcher de soulever la couette pour mieux la contempler.En effet, j’adorais regarder ses fesses qui étaient comme un abricot très ferme, très rond et très doux. La couette levée, un air frais s’est glissé entre nous et elle frissonna. Elle ronchonna comme d’habitude et se colla contre moi pour chercher de la chaleur. Ses fesses se collèrent, je pense inconsciemment, contre mon sexe et elle soupira d’aise. Cela faisait quelques jours que nous n’avions pas eu le temps de nous retrouver, et je me découvris, en quelques instants, très à l’étroit dans mon caleçon.Elle dormait toujours, ou tout du moins, faisait très bien semblant. Elle n’arrêtait pas de remuer, ce qui avait pour effet de me frotter le caleçon à chaque mouvement. Je dois avouer qu’à ce moment-là , je me sentis un peu honteux, mais elle me fit drôlement du bien…Elle finit par glisser sa main contre mon ventre et me saisir à travers le caleçon. Je l’entendis rire et se retourner :— Alors, mon chéri, on a un p’tit problème ?Elle en profita pour m’embrasser le cou amoureusement.— Euh… tu te frottais contre moi, et tu sais que je ne résiste pas longtemps à tes fessesElle rit et continua à me caresser à travers le caleçon.— Mais qu’est-ce qui te plait tellement dans mes fesses ?— Je ne sais pas, elles me font fantasmer, elles sont douces, fermes…Elle passa ses mains sous le caleçon. Je sursautai un peu, ses mains étaient froides, et elle me saisit le sexe pour commencer de lents va-et-vient.— Oui, mais tu sais, elles resteront vierges elles…Elle rit, elle aimait me frustrer, voire me dominer.Elle se retourna et me présenta ses fesses.— Mais tu ne trouves pas qu’elles sont rondes ?Elle se passa la main sur les fesses. Combinée à sa caresse, je commençais à perdre le fil.— Non chérie, elles sont splendides.Elle essayait, je pense, de comprendre vraiment pourquoi elles me faisaient autant d’effet.— Je ne sais pas ce qui te plait autant, y’a rien de très gracieux dans des fesses.Elle s’écarta le string et le plaça sur sa fesse. Je voyais maintenant ses lèvres toutes lisses, qui brillaient un peu de plaisir et son petit trou, très clair, problème de dépigmentation…Elle me regardait l’air ingénu et me dit :Je balbutiai, mon sexe gonflant dans sa main :— Euh… je trouve ça… très… très excitant.— Mes fesses, mes lèvres, mon… Elle s’arrêta un instant et osa : mon petit trou ?C’était la première fois qu’elle osait sortir du classique et mettre des mots sur ces choses-là . Au rythme quelle donnait à ses caresses, j’ai senti que cela l’excitait de parler de ça. Je poursuivis, sa voix cassée et cette discussion commençaient à me faire tourner la tète.— Oui, tu sais que j’ai bien envie de… te prendre par là . Puisque tu aimes tellement que ma langue s’y attarde…Elle rougit comme une tomate, elle était craquante.— Oui, mais… elle se passa le doigt dessus : je ne me donne pas comme ça moi !La vision de ses ongles bien manucurés sur son trou me troubla, elle le sentit immédiatement. Ça lui donna un air… hautain.— Tu es vraiment un pervers, tu ne dis que des bêtises… Maintenant je suis excitée.Elle se caressa un bref instant, en lâchant un soupir à faire damner un saint. Elle me porta ses doigts souillés à mes lèvres. Je les nettoyai immédiatement.— Tu es vraiment incorrigible.Elle me lâcha un bref instant et s’enleva le string qui était resté là . Elle le roula en boule et me le mit dans la bouche, comme un bâillon.— Comme ça tu arrêteras de me dire des bêtises.Elle se surprit elle-même, elle avait la voix tremblante en le disant. Je la découvris un peu plus dominatrice et j’aimai beaucoup ca.Elle se recolla contre moi et dirigea mon sexe contre le sien. Elle le fit s’enfoncer lentement en gémissant fort.— Hmmmmm, tu m’as mise dans tous mes états, j’en peux plus maintenant. Je serais prête à tout.Elle se retourna, me fixa et rit. Elle imprima un mouvement plus rapide.— Peut-être d’ailleurs que… tu auras une surprise…Elle se passa un doigt sur son petit trou et le caressa. Ses gémissements étaient plus forts. Je sentis que les jours sans sexe commençaient à se faire ressentir, et je prédis une fin proche.— C’est donc ça qui te fait tant d’effet… Tu aimes me voir me caresser comme ça ?Je marmonnai. Elle rit.Elle se dégagea et me reprit en main. Elle posa mon gland sur sa rosette. J’en pouvais plus, il palpitait. Elle gémit à ce contact.— Hmmm, tu aimerais bien m’enculer ?Elle était rouge.Je marmonnai. Elle se frotta le gland contre son petit trou.— Tu aimerais te sentir à l’étroit, m’entendre jouir, hein ? Me trouver chienne, soumise à tes pulsions ?J’en pouvais plus. Elle jouait avec moi et poussait un tout petit peu en arrière. Mon sexe forçait à l’entrée de ses fesses sans y rentrer…— Tu n’en as pas envie ?Elle me prit les testicules dans sa main et sentit que le désir était très fort.— Peut-être que si tu me prépares bien avec ta langue, hmmm… ou peut-être pas…Elle sentit que je venais et accéléra ses caresses.— Si tu jouis maintenant, tu nettoies, et tu n’auras pas droit à mes fessesJe résistai plus, mon cœur battant à exploser. Je transpirais sans avoir fait le moindre effort. Elle était dans le même état. Sa voix était saccadée, sourde, et elle avait la bouche ouverte, cherchant de l’air frais.Je me tendis d’un coup. Elle gémit très fort lorsque le premier jet s’abattit sur son trou. Elle jouit avec moi…Une fois notre affaire terminée, elle se retourna, se lova contre moi et m’embrassant le cou elle me dit :— Désolée, j’ai été méchante… mais ça m’a terriblement excitée tout ça…Elle me retira le string de la bouche. Je souris, et elle termina en me disant :— Et peut-être que, si tu reprends vite des forces…