Je suis un lecteur du site depuis plusieurs années et j’ai finalement réussi à réaliser un certain fantasme, lors de mes récentes vacances il y a environ deux semaines, et je tenais à le partager avec vous tous. Étant en couple depuis 14 ans, ma vie sexuelle était des plus monotone. J’ai essayé, à plusieurs reprises, de convaincre ma conjointe d’ajouter un peu de piquant à notre relation, mais elle a toujours refusé mes idées. Ma conjointe, Sonia, est une très belle femme. Elle possède un corps magnifique, des cheveux bruns jusqu’aux épaules, et surtout une poitrine naturelle très généreuse, un 38D (100D). J’ai toujours eu comme fantasme que ma conjointe s’exhibe un peu, car je crois fermement qu’avec une telle poitrine et un petit cul comme le sien, elle se doit de les mettre en valeur. J’ai finalement réussi à briser quelques-unes de ses réticences, lors de récentes vacances à New York. ooo000oooNous avions prévu une petite escapade de quelques jours à New York, question de faire du shopping, et par le fait même un peu de tourisme. Étant originaire de Montréal, le trajet est passablement long (six heures), nous avions donc décidé de voyager de nuit, question de profiter pleinement de notre séjour.Après plus de deux heures de route, elle s’était finalement endormie. Elle avait opté pour rabattre le siège et elle avait posé ses pieds sur le tableau de bord, question d’être le plus allongée possible. Étant concentré sur la route depuis le départ, je me rendis compte qu’un camion de livraison roulait à notre côté depuis quelques temps déjà. Je compris bien assez vite pourquoi. Du haut de son camion, il avait une vue splendide sur le décolleté de Sonia.Alors que je le regardais mater ma copine, il me fit signe qu’il aimerait bien en voir un peu plus. Comme j’ai toujours eu ce petit fantasme, je lui fis un signe d’approbation et j’entrepris de déboutonner le chemisier, tranquillement, pour ne pas la réveiller. Une fois la blouse complètement détachée, j’entrouvris les côtés pour dévoiler cette magnifique poitrine, bien en place dans un beau soutif blanc en dentelle. Après quelques minutes, le routier me fit signe qu’il aimerait bien en voir encore un peu plus, car j’ai cru lire sur ses lèvres quelques choses comme « see more ». L’excitation montait en moi, et après avoir écarté un peu plus les pans de la blouse, je m’aperçus que son soutif avait une attache avant. J’entrepris donc de la défaire sans trop de difficulté, et du même coup je rendais libre ses deux magnifiques globes.Le routier semblait apprécier, si je pouvais me fier au large sourire qu’il avait. Alors qu’il s’apprêtait à quitter, je lui fis signe d’attendre une minute et je mis la climatisation au maximum, en direction de ses magnifiques seins. Sous l’intense fraîcheur, ses mamelons se sont mis à durcir comme je les avais rarement vus. Le routier sembla apprécier ce petit spectacle supplémentaire, car il me fit un signe de la main, en me montrant une petite aire de repos. Je lui fis signe que non, ayant peur que ma copine se réveille. Alors que je continuais ma route et que lui prenait la sortie, je le vis entrain de parler sur sa CB. Je me dis qu’il devait probablement avertir son patron de cette petite pause, sans me poser d’autres questions.J’étais encore sous l’excitation de ce qui venait de se produire, quand un autre poids lourd arriva derrière moi et me fit un appel de phares. Je venais de comprendre que le premier routier avait dû avertir les routiers qui se trouvaient dans le coin de ce qui venait ce passer, et celui-ci venait voir par lui-même. Je décidai donc de me positionner sur la voie de gauche et le routier vint s’installer à côté, de façon à avoir une belle vue sur ma copine.Après avoir maté pendant quelques minutes, le routier pointa la jupe de Sonia et me fit un geste signifiant qu’il aimerait se branler. J’hésitai un peu car je me demandai comme j’allais bien pouvoir faire pour remonter encore la jupe, qui était déjà très remontée sur ces cuisses. Je réussis à atteindre la fermeture éclair qui était située sur le côté et j’entrepris de la défaire. Dès que je réussis à remonter le plus haut possible, j’ouvris la jupe. La vision que j’eus m’excita encore plus : ma copine n’avait pas mis de culotte et sa chatte, qui était toute épilée comme d’habitude, était là, toute exposée à cet homme. Nous roulâmes pendant plusieurs instants dans cette position jusqu’au moment où j’ai vu le routier ralentir et s’arrêter sur le côté du chemin. Il venait probablement d’exploser !Pour ma part, je me sentais vraiment à l’étroit dans mon short et j’avais du mal à me concentrer sur la route. Lorsque je vis le panneau annonçant une aire de repos avec service de toilette, je me suis dit que ça me ferait le plus grand bien d’arrêter un peu. Lorsque j’arrivai sur le petit parking, il n’y avait aucune autre voiture. J’en conclus que j’étais seul, et par le fait même que je n’avais pas vraiment besoin de rhabiller ma copine. Je pris seulement la peine de verrouiller les portières et je partis à l’intérieur du bâtiment.Lorsque je revins vers la voiture, j’eus la surprise de ma vie. Il y avait deux hommes près de la fenêtre du côté passager, et de loin je me dis qu’ils devaient mater ma copine. Effectivement, lorsque je suis arrivé à leurs côtés, je vis ma copine en train de se masturber à un rythme d’enfer. Les deux hommes étaient là, la queue à la main, se masturbant également. Avec toute l’excitation que j’avais eue depuis quelques heures, je ne me fis pas prier, je sortis moi aussi mon membre et commençai à me masturber également.Ma copine avait les yeux fermés, comme pour ne pas voir ce qui se passait autour d’elle, mais elle se doigtait la chatte d’une main et ce caressait les seins de l’autre. À un moment, un des deux hommes lui cria, au travers de la fenêtre, qu’il voulait voir son cul. Sans même hésiter, elle releva encore plus son bassin et entreprit de se mettre un doigt contre sa petite auréole. Moi qui n’avais jamais eu le plaisir de la sodomiser, j’étais là à mater pendant qu’elle se doigtait la chatte et le cul en même temps. Cette vision a eu raison d’un des deux hommes qui se rapprocha de la fenêtre et vida tout son foutre sur cette dernière. Le deuxième homme fit de même quelques instant plus tard et finalement, compte tenu de la situation, je finis également par lâcher mon foutre sur la vitre et la portière de ma copine. Pour sa part, elle avait les mains qui s’activaient toujours dans ses deux orifices et elle ne semblait pas s’être rendue compte de ce qui venait de se passer.Je retournai à la salle de bain, question de me nettoyer un peu, et je retrouvai les deux hommes qui étaient dehors avec moi, plus tôt. J’entrepris une légère discussion avec eux et ils me dirent qu’une salope comme elle, ils en avaient rarement vu, et que si elle revenait sur cette aire de repos, ils lui mettraient bien leurs queues à la place de ses doigts. J’étais un peu choqué qu’ils appellent ma copine une salope, mais après les évènements qui venait de se produire, ils avaient un peu raison.À mon retour à la voiture, la portière du côté passager avait été nettoyée mais il restait encore quelques traces de sperme. Lorsque je suis rentré dans la voiture, ma copine était complètement rhabillée, comme lors de notre départ, et semblait s’être rendormie de nouveau.Durant tout notre séjour là-bas, aucun de nous deux n’a fait allusion à ces nombreux petits moments qui avait meublé notre voyage, jusqu’au jour de notre retour.Le matin de notre départ, elle remit exactement les mêmes vêtements que lors de notre arrivée et j’en déduisis qu’elle ne devait pas avoir mis de slip également. Elle osa alors me dire qu’elle s’était réveillée, lorsque j’avais déboutonné son chemisier, mais comme elle savait que c’était un de mes fantasmes de la montrer à de parfaits inconnus, elle s’était laissée faire, pour mon plaisir. Elle me dit également que la situation l’avait grandement excitée et c’est pour cette raison que lorsque je suis sorti de la voiture à l’aire de repos, elle n’avait pas pu résister à la tentation de se masturber. Elle m’avoua également qu’avant mon arrivé auprès des deux hommes, elle avait les yeux grand ouverts et qu’elle aurait aimé sucer la queue d’un des deux hommes qui étaient là, mais comme je suis arrivé elle n’avait pas osé ouvrir la fenêtre. Elle alla jusqu’à me dire que lorsqu’elle se doigtait le cul, elle imaginait que c’était en fait ma queue, et qu’elle aurait bien aimé la sentir au fond d’elle. Pour ma part, je lui dis que les deux hommes l’avaient traitée de salope, et qu’ils auraient bien aimé mettre leurs queues à la place de ses mains. Sur le coup elle a semblé choquée du mot « salope », mais elle m’a alors dit qu’elle était ma salope et non la leur.Ces paroles me sont restées en tête pendant le retour. Quand j’aperçus l’aire de repos qui avait servi d’initiation à l’exhibition de ma copine, je lui demandai si elle était prête à mettre ses paroles en action, ce qui impliquait qu’elle allait devoir sucer un homme inconnu. Elle me regarda tendrement et me dit qu’elle ne se sentait pas prête pour passer à l’acte, mais que lorsque le moment se présenterait, elle me le ferait savoir pour qu’on puisse alors en profiter tous les deux. Je lui demandai alors, si elle était sérieuse dans ses propos, lorsqu’elle me disait qu’elle aurait bien aimé que ce soit ma queue qui lui pénètre l’anus. Sur ce point, elle me dit sans hésitation que lorsque nous arriverons à la maison, c’est une des premières choses qui seront au programme. Le reste du trajet de retour fut passablement tranquille, à l’exception du fait que Sonia se dénudait d’elle-même, à l’approche des camionneurs et ce pour mon plus grand plaisir.Depuis notre retour, Sonia, ma belle, m’a bien donné son cul, mais elle prend également goût à s’exhiber en public, et en profite à chaque fois que nous devons prendre l’autoroute. Je ne sais pas si, un jour, elle aura le goût de franchir la barrière et avoir le sexe d’un inconnu entre les mains ou dans la bouche, mais pour ma part, depuis ce jour, nos relations ne sont plus monotones du tout.