Un folle course en taxi
Chauffeur de taxi depuis 2 mois, je tombe sur une cliente qui sait ce qu’elle veut.
Proposée le 27/05/2015 par Imagine69 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: TransportType: Fantasme
Je travaillais depuis deux mois en tant que chauffeur de taxi à quelques kilomètres en dehors de la capitale. Je faisais souvent le trajet vers Paris, ou la jeunesse de la région se réunissait pour faire la fête. Et je rentrais également souvent dans le sens inverse avec des gens alcoolisés et souvent désagréables. Mais bon, je ne pouvais pas faire autrement. J’avais finis mes études il y a un an et tout travail été bon à prendre. Noémie, ma compagne depuis maintenant quatre ans, m’avais mis une folle pression pour que j’accepte ce nouveau job. Je le faisais donc plus par nécessité que par passion. L’histoire se passe un Vendredi d’automne. L’air frais remplaçait peu à peu la chaleur qu’avait connue le pays pendant l’été. Je prenais mon service à 18 heures tapantes. Je pris contact avec la centrale de taxi qui m’indiqua une adresse où récupérer une jeune femme. Avant de partir, j’embrassai tendrement Noémie qui prévoyait de passer la soirée seule à la maison. Je me mis en chemin à bord de ma berline. Les voitures de la société étaient luxueuses et le costume était de rigueur pour les chauffeurs. Cela m’avait déjà valu quelques compliments de la part de jeunes femmes.
Arrivé à l’adresse indiquée, je vis une jeune femme, la vingtaine, en talon haut, jean, décollette blanc moulant et petite veste en cuir fin. J’ouvris la portière et elle se pencha vers moi :
– Bonjour, vous ĂŞtes bien la cliente qui a commandĂ© un taxi ? demandais-je.
– Oui c’est bien moi, rĂ©pondit-elle avec un sourire. Elle Ă©tait très mignonne. Elle avait des cheveux bruns ondulĂ©s, des yeux verts marquĂ©s par un maquillage lĂ©ger mais coquet et des lèvres pulpeuses. En se penchant, mes yeux esquissèrent un petit mouvement vers son dĂ©colletĂ©. Ses seins ne semblaient pas Ă©normes mais bien fermes. Je repris ma concentration et lui dit :
– Vous souhaitez monter Ă l’arrière ou Ă l’avant ?
– A l’avant si ça ne vous dĂ©range pas, je crains de n’avoir le mal des transports Ă l’arrière, me rĂ©pondit-elle toujours avec le mĂŞme petit sourire.
Elle ouvrit la porte et le temps que je débarrasse le siège de mes affaires elle était déjà dedans.
– Puis-je mettre mes affaires Ă l’arrière ? demanda-t-elle.
– Bien sĂ»r, faites Ă votre aise Mademoiselle, rĂ©pondis-je.La jeune femme se cambra un peu vers l’avant pour enlever sa petite veste. Sa poitrine Ă©tait mise en valeur. Elle avait l’air terriblement bien dessinĂ©e. Allons Charly n’oublies pas que tu as une femme qui t’attend paisiblement Ă la maison ! Je n’avais jamais Ă©tĂ© infidèle avec NoĂ©mie, mĂŞme si souvent j’avais Ă©tĂ© tentĂ©. Et ce n’est pas ce soir que ça arriverait ! Une fois la damoiselle confortablement installĂ©e, je pris la route direction la capitale. Nous Ă©tions Ă environs 45 minutes. Aussi la jeune femme commença la discussion :
– Vous avez une belle voiture ! Elle est Ă vous ?
– Merci mais non elle est Ă la sociĂ©tĂ©, rĂ©pondis-je en gardant les yeux sur la route. Il commence Ă faire frais par ici, vous n’avais pas peur de tomber malade ?
– Non je compte bien me rĂ©chauffer d’une manière ou d’une autre ce soir, me rĂ©pondit-elle avec un sourire coquin.
Je connaissais ce genre de fille qui partait en boite pour serrer n’importe quel mec bodybuildeur et se le taper la nuit même. Moi je pensais à ma Noémie qui devait m’attendre patiemment devant la télévision. La jeune femme me faisais un certain effet et je profitais de la regarder en faisant semblant de regarder dans mon rétroviseur central. Mais bon, combien même je serais son type d’homme, je m’étais promis de rester fidèle à ma femme.
– Au fait, je m’appelle Tania, lança-t-elle pour briser le silence. Et vous ?
– Je m’appelle Charly, rĂ©pondis-je en restant concentrĂ©.
– Et ça fait longtemps que vous ĂŞtes chauffeur Charly ? demanda-t-elle. Sa voix avait quelque chose de sensuel et de sexy. Je sentais un petit sourire coquin Ă chaque fois qu’elle me parlait. Comme si elle voulait flirter avec moi.
– Ça ne fait que deux moi, rĂ©pondis-je. Au fait, vous dĂ©sirez aller ou ce soir ?
– Je ne sais pas, dĂ©posez moi ou vous le souhaitez, me dit-elle. J’ai besoin de m’amuser ce soir…vous ne voulez pas venir avec moi, rajouta-t-elle en rigolant.
Son rire était très charmeur et mon cœur s’accéléra quelque peu. Mais je savais que faire quand les clientes commençaient à me chauffer. Il fallait que je reste fidèle !
– C’est très gentil mais je ne suis pas sĂ»r que ma femme accepte, dis-je alors en partageant son petit rire.
– Ah ! Vous ĂŞtes mariĂ© ? Je ne pensais pas que vous Ă©tiez aussi vieux, dit-elle quelque peu interloquĂ©e.
– Vous savez, on n’a pas besoin d’être vieux pour ce mariĂ©. J’ai 25 ans et vous ?
– 24 ans… rĂ©pondit-elle comme si elle rĂ©flĂ©chissait. Mais elle n’est pas obligĂ©e de savoir ! rajouta-t-elle en rigolant.
Je partageais son rire comme si de rien n’était mais je restais concentré et droit dans mes bottes. Son sourire coquin n’était pas sans me faire de l’effet et malgré moi je ressentais une bosse se former dans mon pantalon de costume.
– Il y a d’autres choses que votre femme pourrait ne jamais savoir, continua-t-elle d’un ton taquin.
– Je ne sais pas et je ne veux pas savoir, rĂ©pondis-je sur le mĂŞme ton.
– Vous n’êtes pas curieux, Charly ? rajouta-t-elle. Cette femme me troublait. LĂ oĂą toutes les femmes s’arrĂŞtaient, elle, elle continuait de me chauffer. Ses jambes Ă©taient lĂ©gèrement Ă©cartĂ©es, ses mains passaient dessus comme si elle Ă©tait excitĂ©, joueuse et un peu gĂŞnĂ©e. Elle Ă©tait vraiment mignonne.
– Si je suis curieux de nature, rĂ©pondis-je avant de rajouter, de quoi vouliez-vous parler alors ?
Il ne fallait pas dire ça Charly ! Tu commences à rentrer dans son jeu et ce n’est pas bon du tout ! Tania sembla quelque peu satisfaite de ma réponse. Elle regarda au loin et me dit :
– Je ne sais pas, plein de choses peuvent arriver dans une voiture, dit-elle d’un ton se voulant volontairement dĂ©tachĂ©.
Elle n’attendait qu’une chose c’est que je cède. Mais je ne cédai pas et un silence s’installa. Puis Tania revint à la charge :
– Cela fait longtemps que vous ĂŞtes mariĂ© ?
– Environ quatre ans, rĂ©pondis-je.
– Ça fait dĂ©jĂ long pour quelqu’un de votre âge, dit-elle. Et vous n’avez jamais Ă©tĂ© … Un silence petit silence s’installa. Je savais ou elle voulait en venir.
– ÉtĂ© infidèle ? Non jamais.
Tania acquiesça de la tête. Elle semblait quelque peu déçue mais ne relâcha pas la pression.
– Et vous y avez dĂ©jĂ pensĂ© ? demanda-t-elle en rigolant.
Une fois de plus je rigolais avec elle. Je devais me concentrer et ne surtout pas succomber à ses avances. J’eus une pensée pour Noémie. Qu’aurait-elle dit si elle savait ce qui se passait dans le taxi ? Me mettrait-elle encore une telle pression pour que je continue ce travail ?
– J’avoue que ça m’arrive d’y penser, lançais-je en gardant mon regard fixĂ© sur la route. Mais ma femme connait mes horaires et de toute façon je n’aurais pas de quoi me payer des filles.
Je venais de baisser une de mes protections et je savais qu’elle allait en profiter pour s’y précipiter. Elle avait un sourire au coin des lèvres comme si elle savait qu’elle me repoussé dans mes retranchements et que je n’avais pas beaucoup d’issues. Elle savait s’y prendre pour accoster un homme marié.
– Et pendant les heures de travail ? Vous n’y avez jamais songĂ© ? demanda-t-elle en souriant.
– Nous avons un règlement très strict en tant que chauffard, en temps normal il m’est mĂŞme interdit de discuter avec les clients, dis-je avec quelque peu de fermetĂ© avant de rajouter, vous ĂŞtes un exception !
– Alors comme ça je suis une exception, rĂ©pĂ©ta-t-elle avec un large sourire. Dans quoi est-ce que je m’étais encore fourrĂ©. A chaque moi que je pensais m’en sortir, Tania trouvait les mots juste pour resserrer l’étau autour de moi. Un moment passa. Mon cĹ“ur battait de plus en plus rapidement. Tania me faisait un drĂ´le d’effet. Jamais je n’avais eu de cliente aussi franche et coquine. MalgrĂ© tout je restais concentrĂ© sur la route. Pour un vendredi soir il n’y avait pas beaucoup de monde. Il faut dire que cette rĂ©gion n’était pas très habitĂ©e. Je sentais le regard de Tania sur moi et mon entrejambe. Elle gardait son sourire salace et ses yeux pĂ©tillaient d’envie et de folie. Soudain elle tendit sa main vers mon pantalon et sentit mon engin gonflĂ©. Je pris aussitĂ´t sa main et la reposa sur sa jambe.
– Nous ne pouvons pas faire ça ! Derrière ma fermetĂ© et mon calme apparent j’étais paralysĂ©. Je ne savais pas quoi faire. J’aurais tout donnĂ© pour que sa main revienne mais je pensais Ă NoĂ©mie qui Ă©tait seule Ă la maison. Je ne pouvais pas faire ça ! Je ne pouvais pas !
– Pourquoi nous ne pouvons pas, me demanda-t-elle avec son sourire coquin, vous avez l’air plus que très bien montĂ© en plus !
Je me retrouvé pris au piège. Sa main vint se poser sur mon épaule puis sur mon bras. Elle me caressait sensuellement. Mes poils s’hérissaient sous la douceur de ses caresses et mon sexe ne cessait de grossir sous mon pantalon.
– Nous ne pouvons pas c’est tout. Ce n’est pas drĂ´le !
– Je sais que ce n’est pas drĂ´le ! rajouta-t-elle d’une voix sensuelle. En disant ça, sa main Ă©tait revenue sur mon pantalon. Elle palpait mon engin. Je regrettais de ne pas avoir mis de caleçon. Je n’en mettais pas pour ĂŞtre Ă l’aise et je n’avais pas pensĂ© qu’une cliente me caresserait un jour. J’étais incapable de faire le moindre mouvement et encore moins de lui demander d’enlever sa main. Elle ne me quittait pas du regard, comme pour jauger mon acceptation. J’étais tombĂ© dans son piège et elle me savait paralysĂ©e. Je regardais nerveusement dans les rĂ©troviseurs. Je ne savais pas quoi faire d’autre Ă part continuer de conduire. Elle continuer de palper mon engin Ă travers mon pantalon.
– Vous voulez me rendre infidèle ? lui lançais-je sans quitter les yeux de la route. Vous pourriez trouver un autre homme dans votre soirĂ©e !
– Je ne veux plus aller en soirĂ©e, rĂ©pondit-elle sensuelle, je vous veux vous ! Je n’en pouvais plus, mon pantalon allait craquer ! Je ne savais plus comment faire marche arrière et je n’avais envie que d’elle, lĂ , tout de suite. Sans enlever sa ceinture, Tatiana saisit le bouton de mon pantalon, le dĂ©fi et ouvrit ma braguette. Elle plongea sa main Ă l’intĂ©rieur. Je la senti saisir dĂ©licatement mon sexe pour le sortir. Ca faisait du bien de l’avoir enfin Ă l’air libre. Il Ă©tait fièrement dressĂ©. Je pensais Ă NoĂ©mie. Je l’avais trahi. Tatiana commença Ă me masturber doucement en dĂ©calottant et recouvrant mon gland. Je n’avais jamais ressenti une telle sensation. Elle avait vraiment des doigts de fĂ©e.
– Vous avez vraiment une Ă©norme queue Charly ! Je comprends pourquoi votre femme ne veut vous garder que pour elle ! Je ne savais quoi rĂ©pondre. Il est vrai que j’avais un engin plus gros que la normale mais j’avais toujours Ă©tĂ© très modeste. Tatiana continuait de me masturbait avec une douceur et une sensualitĂ© excitante. Je jetai un coup d’œil vers elle et mes yeux se posèrent sur son dĂ©colletĂ©. Dieu que j’avais envie de ses seins ! Tatiana avait bien remarquĂ© mon regard et elle me sourit. Une de ses mains quitta ma queue et appuya sur le bouton de la ceinture, qui glissa. Elle en profita Ă©galement pour dĂ©faire son pantalon. Un petit string mauve apparue. J’étais dans tous mes Ă©tats et elle aussi.
– Que comptez-vous faire ? lui demandais-je le souffle court. Elle ne me rĂ©pondit pas mais approcha sa tĂŞte vers mon entrejambe. Je compris ce qu’elle avait derrière la tĂŞte et lui facilitai l’accès en enlevant ma main du volant. Elle me sourit une dernière fois et se cambra un peu plus vers mon sexe qu’elle dĂ©calotta. Je regardais la route, j’essayais de rester concentrĂ© mais mon cĹ“ur battait la chamade et mon sexe ne cessait de durcir. Je sentis sa douce langue, chaude et humide, taquiner mon gland quelque peu trempĂ© par mon excitation. Puis ses lèvres l’emprisonnèrent et d’un geste langoureux elle enfourna une partie de mon sexe dans sa bouche. Elle suçait comme une dĂ©esse. TantĂ´t sa main me branler tendrement, tantĂ´t elle caressait mes bourses. Ses gestes Ă©taient lents et sĂ»rs et elle enfonçait mon sexe toujours plus profondĂ©ment. Sa langue ne cessait de caresser mon gland et ma hampe. J’avais le droit Ă une divine fellation. Elle avait vraiment faim de ma queue car elle ne s’arrĂŞtait jamais pour reprendre sa respiration. Elle Ă©tait quasiment affalĂ©e sur moi. Je glissai ma main vers sa chute de reins ou je voyais son petit string dĂ©passer. Tout en regardant essayant de regarder la route, je passai ma main sous la ficelle de son sous-vĂŞtement et glissa mes doigts dans le sillon de ses fesses. Je la sentis Ă©carter ses fesses comme pour m’accueillir. C’était vraiment une chienne affamĂ©e ! Je sentis la moiteur de son entrejambes mais il m’était impossible d’atteindre son sexe. Je posais donc mon majeur sur son petit trou. J’attendis un instant pour jauger de la rĂ©action de Tania. Elle continuait de me sucer, peut-ĂŞtre plus fortement qu’auparavant. Elle avait envie de mes doigts. Je glissais donc un doigt dans son anus et commença Ă la doigter tout aussi sensuellement qu’elle. Je n’en pouvais plus ! Il fallait que je m’arrĂŞte. Je mis mon clignotant et sortit sur une petite route en terre. Je ne pus aller plus loin tant le plaisir me paralysait. J’arrĂŞtai la voiture mais Tania ne semblait pas s’en soucier. Elle continuait sa lente et sensuelle fellation sur mon engin. Sa tĂŞte montait et descendais sur ma hampe et je passais mes mains dans ses cheveux. C’était dĂ©cidĂ©ment une belle soirĂ©e en perspective.
– Je risque de ne pas pouvoir me retenir très longtemps si tu continues comme ça Tania. Je n’ai jamais eu le droit Ă une aussi bonne fellation, lui dis-je. Contrairement Ă ce que font gĂ©nĂ©ralement les femmes quand on les prĂ©vient d’une Ă©jaculation prochaine, Tania continuait de me pomper. Avec plus encore plus de vigueur. Cette femme m’impressionnait ! La chaleur et l’humiditĂ© de sa bouche m’excitaient. Et son petit cul aussi ! Je ne pouvais plus me retenir. Je saisis sa tĂŞte de la main gauche tandis que je doigter son petit cul plus Ă©nergiquement pour lui faire comprendre mon excitation, ma queue restait Ă moitiĂ© enfoncĂ©e dans sa bouche et je sentis sa main me masturber vigoureusement. Je ne pouvais plus me retenir ! Dans un long râle j’explosai dans sa bouche. Je sentais mon sperme chaud recouvrir ses entrailles. Tania continuait de me branler plus calmement. Elle ne bronchait pas et se contentait d’avaler chaque giclĂ©e de sperme que je lui envoyais. Elle continuait de suçoter mon gland. Je ne pouvais pas arrĂŞter de bander ! Pas avec cette femme !
Je retirais mon doigt de son anus et Tania se releva avec un sourire coquin tout en laissant sa main me branler. Sa poitrine me donner envie. Son haut la moulait parfaitement.
– C’est ça que tu voulais ? Tu as aimĂ© avaler mon foutre ma belle ? lui dis-je d’un ton ferme.
– Oui j’ai adorĂ©. Je veux ta queue ! Encore et partout ! Je veux que tu me dĂ©fonce.
– T’es vraiment une salope tu sais ? Je sortis de la voiture et la contourna pour retrouver Tania qui ne me lâchait pas du regard. J’ouvris la porte, la tourna vers moi, et enleva son pantalon. Elle avait de sublimes jambes. Mais ce que je convoitais Ă©tĂ© plus haut. Elle me regardait avec envie. J’enlevai son petit string et Ă©carta ses jambes. Elle Ă©tait adossait au repose main central et me tendait son bassin. J’embrassai l’intĂ©rieur de ses cuisses en remontant peu Ă peu. Elle n’en pouvait plus ! Elle avait envie de ma langue, je le savais. Nos regards ne se quittaient Ă aucun moment. ArrivĂ© Ă quelques centimètres de son sexe Ă©pilĂ© de près et trempĂ© de mouille je marquai une pause pour tester sa patience. Puis j’approchai ma langue de son sexe et lĂ©chai sa fente de haut en bas. Tania cria de plaisir. Elle savait qu’on Ă©tait seuls et elle ne se retenait pas. Son sexe Ă©tait humide, brĂ»lant et succulent. Ses jambes s’agitaient sous l’effet du plaisir, son bassin cherchait mes coups de langue et ses mains s’agrippaient Ă mes cheveux pour que je continue. A bout, Tania atteint rapidement l’orgasme et cria de plaisir. Je sentais ses jets de cyprine gicler dans ma bouche. Elle collait ma bouche contre son sexe. J’adorais ce qu’elle faisait de moi et elle adorait ce que je faisais d’elle. J’avalai son nectar et continua de lĂ©cher tendrement son sexe. Je sentais que Tania Ă©tait tout sauf rassasiĂ©e. Son regard avait changĂ© de petite joueuse Ă celle de chienne affamĂ©e. Je dĂ©cidais donc, avant de ma retirer, de jouer un peu plus avec elle. Tout en la fixant du regard je descendis vers son petit trou lui aussi très humide. Je donnai un premier coup de langue. Tania Ă©carta encore plus les jambes et poussa un râle de plaisir. Elle adorait ! Je dĂ©cidai donc de plonger ma langue au plus profond de son anus. Je le lĂ©chais avidement et Tania ne pouvait retenir ses cris.
– Oh oui c’est bon ! Comment tu fais ça ? Continue ! Bouffe-moi le cul ! Je ne rĂ©pondis pas et je continuais. Puis je me retirai, lui ordonna de se mettre au bord du siège et lui montras mon sexe. Elle savait ce qu’elle devait faire et elle sauta directement dessus. Toute lenteur avait disparue dans ses gestes. VoilĂ qu’elle me pompait Ă©nergiquement et profondĂ©ment. J’en profitais pour dĂ©faire son soutien. Elle m’aida Ă enlever son haut et revint vers mon engin qu’elle engloutit. Sans me consulter, elle se releva un peu et cala ma queue entre ses seins qu’elle serait avec ses mains. Elle me fixa droit dans les yeux et entamait une branlette espagnole endiablĂ©e. Au bout de quelques instants je dĂ©cidais de supplanter mes mains aux siennes. J’en profitais pour les caresser et les peloter puis je les resserrai contre mon sexe. Tania ne bougeait plus, elle me regardait faire des allers retours intenses avec mon Ă©norme engin entre ses seins. Elle Ă©tait devenue l’objet de mes fantasmes ! Une bonne petite chienne docile et affamĂ©e. L’espace d’un instant, je crue reconnaĂ®tre de l’amour dans ses yeux. Bizarrement, je commençais Ă ressentir des sentiments Ă©tranges Ă son Ă©gard. J’arrĂŞtai mes allers retours, la releva et l’embrassa passionnĂ©ment. Elle Ă©tait belle, nous Ă©tions nus au milieu de nulle part et nous vivions une aventure folle. Je m’assis sur la place du passager et elle me rejoignit aussitĂ´t. Elle saisit mon sexe et se planta dessus. MalgrĂ© la dilatation et l’humiditĂ© de son sexe, Tania eu un peu de mal Ă tout prendre. Elle grimaça entre douleur et plaisir.
– Je n’ai jamais vu une queue aussi Ă©norme que la tienne Charly ! Elle est si bonne.
– Elle est tout Ă toi ma belle. Tania commença Ă faire des allers retours endiablĂ©s. La douleur qu’elle avait pu ressentir s’était vite dissipĂ© face Ă son besoin avide de se faire prendre. Elle jouissait Ă chaque fois qu’elle s’empalait sur mon dard. Mes lèvres passaient de sa bouche Ă ses seins. Ils Ă©taient aussi parfaits que je les avais imaginĂ©s. MalgrĂ© les violents vas et viens de Tania, ses seins, fermes, bougeaient peu ce qui les rendais plus faciles Ă suçoter. Mes mains glissèrent sur le dos de Tania. J’atteignis bientĂ´t ses fesses, ses Ă©cartĂ©es. Je la regardais tendrement prendre son pied, puis sans la prĂ©venir, j’enfonçai un doigt dans son petit trou. La rĂ©action ne se fit pas attendre, Tania accĂ©lĂ©ra la cadence et dĂ©hanchait son petit cul pour en demander toujours plus. Elle ne mit pas longtemps Ă atteindre l’orgasme. Elle s’empala entièrement sur mon sexe et hurla de plaisir. J’adorais l’effet que je lui faisais.
– T’es trop bon !! cria-t-elle entre deux respirations. Je te veux dans mon cul ! Je t’en supplie.MalgrĂ© nous, Tania se releva et sortie de la voiture pour me laisser sortir. Je lui ordonnai de se mettre Ă ma place, en levrette. Elle se mit Ă quatre pattes que le siège avant, ses jambes et ses fesses, Ă©cartĂ©es, ressortaient un peu de la voiture. Elle Ă©tait vraiment super bien foutue. J’étais debout dehors et derrière elle. Son entrejambe arrivait parfaitement au niveau de mon sexe. A croire qu’on Ă©tait fait pour cette position et cette voiture ! Je dĂ©cidai de jouer un peu avec elle. Je saisis mon sexe et remonta la fente de sa chatte avant de l’empaler d’un coup sec. Tania hurla mais semblait déçue. Elle s’attendait Ă ce que je la sodomise.
– Qu’est-ce qu’il y a ma belle ? Tu n’aimes pas ? Tu as l’air déçu, lui lançais-je en lui donnant de violant coups de reins.
– Si…sii mais… je m’attendais Ă ce que tu me…me la mettes dans le cul ! rĂ©pondit-elle entre plusieurs râles de plaisir.
– Tu la veux dans le cul c’est ça ? Tu veux que je lime ton petit trou ? C’est ça que tu veux ?
– Ou…oui… je t’en su…supplie ! Je lui donnai encore deux coups de reins secs et brutaux puis je retirai ma queue et sans la prĂ©venir j’enfonçai mon gland dans son petit cul. Son anus semblait vraiment minuscule comparĂ© Ă mon sexe. Je ne voulais pas qu’il craque alors je commençai Ă le pĂ©nĂ©trer doucement mais Tania fit un mouvement sec vers l’arrière et s’empala sur mon engin dans un cri de douleur et de plaisir.
– Je n’ai jamais pris de bite aussi grosse dans mon cul mais je ne pouvais plus attendre. DĂ©fonce-moi comme une chienne !
Décidément, cette cliente était vraiment plein de surprise. Son petit trou était serré autour de mon engin mais je commençais, selon son souhait le plus cher, à la pilonner. Au lieu de se laisser faire, Tania chercher mon bassin de ses fesses et demandais toujours plus de coups de reins. Elle criait, hurlait, jouissait de plaisir. Une de ses mains était venue chercher malaxer son sexe. Elle n’en pouvait plus. Elle tremblait de plaisir. Elle atteint l’orgasme une fois, puis une deuxième et une troisième. Je continuais de lui bourrer le cul intensivement. Elle ne cessait de jouir et je sentais mon excitation atteindre son paroxysme. Je me retirai d’un coup et comme si elle avait compris elle se précipita hors de la voiture, se mit à genoux sans avoir peur de se salir et engouffra entièrement son sexe dans sa bouche.
Elle me troublait, me surprenait à chacun de ces gestes. Je n’avais jamais vu une femme engloutir entièrement mon sexe après s’être faite violemment sodomisée. J’avais l’impression que sa bouche allait craquer. J’adorais ça ! Malgré l’obscurité grandissante, je distinguais ses yeux de chienne qui me fixaient. Elle attendait sa récompense avec impatience ! Ma queue était perdue dans sa bouche. Je ne pouvais plus me retenir. Je pris sa tête et fis de rapides allers retours dans sa gorge. Tania ne bronchait pas, elle attendait simplement, telle une soumise, sa gourmandise. Je ne m’y pas longtemps à exploser au fond de sa gorge. Je collais violemment son visage contre mon pubis et lui asséné des coups de reins comme si je voulais aller encore plus profondément. Malgré ses tentatives de déglutir, je sentais le sperme s’amasser dans sa gorge et recouvrir mon sexe. Je décidai de me retirer. Tania toussota et avala tant bien que mal le liquide.
– Je suis dĂ©solĂ©, je me suis emportĂ© ! lui dis-je, soucieux de son bien-ĂŞtre.
– Ne le sois pas ! J’en mourrais d’envie et puis…c’est bien moi qui ai mis ta grosse queue dans la gorge. Elle me sourit. Son regard Ă©tait toujours aussi charmeur. Elle avala les restes de foutre et de bave sur mon sexe puis se releva. Je l’embrassai alors tendrement. Je n’étais pas obligĂ© de faire ça mais je ressentais le besoin de le faire, de la remercier et de l’aimer. Nous restâmes quelques moments Ă cet endroit. Nous regardâmes les dernières lueurs du jour s’éteindre puis Tania me dit :
– Je pense que je vais rentrer ce soir, je n’ai aucune envie d’aller Ă la capitale.
Nous décidâmes donc de remonter en voiture et de faire demi-tour. Nos regards ne cessèrent de se croiser tout au long du trajet et nos sourires se répondaient mutuellement. Arrivés devant chez elle Tania me demanda :
– Je vous dois combien pour cette folle course ?
– Rien je t’en prie ! Tu m’as donnĂ© plus qu’il ne fallait ! rĂ©pondis-je avec un sourire.
– Ta femme Ă vraiment de la chance d’avoir un homme comme toi ! J’espère que l’on pourra se revoir un de ces quatre, me dit-elle avec un sourire.
– J’y compte bien Tania ! Je descendis lui ouvrir la porte. Elle me sourit, descendis de voiture, me remercia encore une fois et marcha vers chez elle avec lĂ©gèretĂ©. Je ne pouvais m’empĂŞcher de sourire. Qui plus est lorsqu’elle fit marche arrière et qu’elle revint tout sourire vers moi.
– J’ai failli oublier ! Elle m’embrassa Ă pleine bouche. Je la serrais contre moi. Elle glissa un petit papier avec son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone dans ma poche et repartie aussitĂ´t. DĂ©cidĂ©ment cette femme me rendait fou d’elle. Je remontai en voiture et me dirigea vers chez moi. Je pensais Ă NoĂ©mie, Ă ce que je lui avais fait. Je n’étais pas fier au contraire. Si elle l’apprenait, elle serait dĂ©vastĂ©e ! Elle qui a toute confiance en moi !
Je garai ma voiture devant notre jardin. J’arrivais une heure et demie plus tôt que prévu mais je suis sûr qu’elle appréciera. J’ouvris doucement la porte pour ne pas la réveiller et la referma tout aussi doucement. Je déposai mes affaires, enleva mes chaussures et me dirigea vers le salon. Je m’arrêtai, paralysé. Mon cœur semblait s’être arrêté.
Dans le salon je vis le voisin prendre violemment ma Noémie en levrette sur la table. Celle-ci ne semblait lui opposer aucune résistance bien au contraire. Mon cœur semblait s’être arrêté, et je pensais à Tania. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
La maĂ®tresse de Marc est 15 ans plus vieille que lui, et c’est une folle !