Un inventaire plus que voluptueux
Je m’appelle Trixie, je suis mariĂ©e, mais mon mari ne me donne pas satisfaction sur le plan sexuel ! Dans la boite ou je bosse, j’ai un amant. Celui-ci essaie de me convaincre que GĂ©rald un grand noir, le magasinier des fournitures diverses s’intĂ©resse Ă moi, et si c’Ă©tait vrai ?
Proposée le 16/05/2022 par Trixie Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Je travaille en effet dans les services administratifs d’une boĂ®te dans laquelle je me plais bien. L’hygiène tant vestimentaire que corporelle y est vraiment stricte : pratiques de bonnes fabrication obligent. Ce jour-lĂ , après le cafĂ© du matin, accompagnĂ©e de Maxime, je me dirigeai vers le local de lingerie pour y prendre des blouses de travail propres que nous devions endosser pour nous dĂ©placer dans les ateliers de fabrication. Chaque dĂ©but de semaine, nous procĂ©dions Ă ce rituel, cela nous permettait d’avoir Ă tous les deux, un petit moment d’isolement. Car je dois vous dire que Max, qui est vraiment beau gosse, comme l’on dit si bien est mon petit copain… mĂŞme beaucoup plus que cela !
Tout en cheminant, Max Ă©tait en train d’essayer de me convaincre, qu’il pensait que GĂ©rald,un grand noir, le responsable des fournitures de la maintenance, s’intĂ©ressait Ă moi et que je ne le laissais pas indiffĂ©rent.
Je ris soutenant que ce n’était pas vrai. Maxime me fit remarquer, qu’il s’était aperçu les lundis prĂ©cĂ©dents, que celui-ci nous regardait Ă travers la vitre dĂ©polie, mais lĂ©gèrement transparente, d’une des portes de son bureau qui donnait sur la pièce ou Ă©taient entreposĂ©s les vĂŞtements, c’était GĂ©rald qui en gĂ©rait les stocks.— Et pourquoi donc GĂ©rald s’intĂ©resserait Ă un fille comme moi ?
— Tu te sous estimes tout le temps… tu sais tu es super sexy, tu es mĂŞme un vrai canon ! La majoritĂ© des mecs de la boite voudrait bien te baiser… Et moi je suis super content d’ĂŞtre l’heureux Ă©lu !
— Tu sais j’ai un fantasme rĂ©curent, j’aimerai bien me faire baiser par un noir avec une bite monstrueuse, regarde j’en ai la chair de poule en pensant Ă un gros sexe noir en train de me pĂ©nĂ©trer ! Ce doit ĂŞtre une sensation merveilleuse ! Tu dois me prendre pour une petite salope, d’avoir envie de coucher avec un noir ! Je ne lui parlai pas des Ă©pisodes que je venais de vivre avec le vieux fermier et mon visiteur noir impromptu. — J’ai des potes qui jouent au basket avec lui, ils le cĂ´toient dans le vestiaire, ils m’ont affirmĂ© que le sexe de GĂ©rald, ainsi que ceux des deux autres noirs de l’équipe Ă©taient comme tous les phallus des gens de couleur vraiment très longs, massifs et imposants. Ils en arrivaient Ă faire des complexes sous la douche. Alors comme tu m’as parlĂ© de ton fantasme avec un noir ! On va s’amuser un peu, cela devrait te brancher ! Peut-ĂŞtre pourras-tu le satisfaire !Je souris, je savais qu’il disait ça pour m’exciter, mais il Ă©tait loin de penser, que rĂ©cemment, je m’étais faite baiser par un Ă©norme noir avec un sexe aux dimensions hors normes, et que j’avais vraiment apprĂ©ciĂ©.
Et si c’était vrai ce que Max, me racontait ! Si GĂ©rald avait une verge aussi grosse que celles de Mandingo l’acteur porno et du bel Ă©talon qui m’avait prise l’autre soir… Si… c’était vrai qu’il eut des vues sur moi… Si… c’Ă©tait… Allez Trixie arrĂŞte de fantasmer !
Le local était désert, plongé dans l’obscurité, nous entrâmes dans l’arrière-salle ou étaient entreposés les vêtements qui nous intéressaient. Max donna un tour de clef à la porte. J’appuyai sur le commutateur et la lumière crue des néons inonda la pièce. Le bureau de Gérald était lui aussi éclairé et on aperçut assez nettement au travers de la porte au vitrage dépoli, sa silhouette assise derrière son bureau.
Maxime me regarda poser mon vĂŞtement dans la corbeille, il me montra les carreaux translucides.— Regarde, me dit-il, on voit GĂ©rald de ce cĂ´tĂ©, et l’on distingue pas mal de dĂ©tails, il en est de mĂŞme de l’autre cĂ´tĂ©, surtout que l’Ă©clairage est fort. Je souris, en pensant Ă ce que le magasinier avait Ă©ventuellement pu voir de nos Ă©bats auparavant, et cela m’émoustilla.
J’étais vêtue, d’un chemisier léger qui laissait presque transparaître mes aréoles et la pointe de mes tétons. Maintenant, je ne portais plus que des soutiens-gorge seins nus en général noirs, comme toute ma lingerie fine. Cela ne me comprimait pas les seins et les laissait s’épanouir. En plus, j’aimais beaucoup ressentir la caresse des tissus sur l’extrémité de mes tétons, qui étaient chez moi une zone très érogène. Le regard allumé des hommes qui croyaient deviner que je ne portais pas de soutien-gorge, et qui fixaient ma poitrine, me plaisait au plus haut point. J’étais perchée sur des talons aiguilles qui affinaient mes longues jambes, gainées de bas noir retenus par un porte-jarretelles en dentelle noire. J’avais un petit string en dentelle noire, qui laissait libre les deux globes de mes fesses. Tout cela sous une jupe grise assez moulante, qui lorsque je marchais laissait deviner les attaches du porte-jarretelles.
Maxime me regarda en souriant, il me dĂ©sirait, cela se voyait. Ici, c’était assez difficile de baiser. Mais on pouvait jouer Ă un petit jeu Ă©rotique et ce ne serait pas la première fois.— Aujourd’hui, me dit-il cela va ĂŞtre plus osĂ©, si tu veux bien ! On va exciter notre hypothĂ©tique spectateur, cela lui donnera peut-ĂŞtre le courage de t’aborder ! J’acquiesçai, ses prĂ©cĂ©dentes parole m’avaient excitĂ©e, mon cĹ“ur se mit Ă battre plus fort. Il vint vers moi, me rapprocha de la porte et me positionna face Ă celle-ci. Il se recula.— Quitte ta culotte, petite salope, as-tu vraiment envie qu’il puisse voir ta chatte ?
— Ou… oui… balbutiai-je.Mon pouls s’accĂ©lĂ©ra encore, je jetai un coup d’œil vers le bureau de GĂ©rald, puis relevai ma jupe et fis glisser le petit morceau de tissu jusqu’à mes chevilles. Ma jupe resta relevĂ©e, Maxime put admirer au-dessus de mon pubis mon petit triangle de poils Ă©pilĂ©s assez ras, et la fente du sexe exempte de poils. Il aperçut le devant en dentelle du porte-jarretelles, ainsi que les lanières noires descendant jusqu’aux bas bordĂ©s de dentelles, tranchant sur ma peau blanche. Je vis qu’il commençait Ă bander. D’un geste gracieux, j’extirpai mes pieds de la culotte, mon sexe s’entrebâilla lĂ©gèrement. Je gardai la jupe levĂ©e en fixant la porte-fenĂŞtre du bureau de GĂ©rald. Maxime suivit mon regard et me la dĂ©signa d’un signe du menton. GĂ©rald leva la tĂŞte et regarda dans notre direction. CoĂŻncidence ?
Je fus troublĂ©e, laissai retomber ma jupe. Maxime s’approcha de moi passa dans mon dos, remonta Ă nouveau ma jupe pour dĂ©couvrir mon sexe et il passa un doigt le long de ma fente ruisselante.— Laisse moi faire, il faut qu’il se rince l’œil ! J’en Ă©tais sĂ»r ! Ça te fais mouiller, hein petite salope de penser que GĂ©rald puisse te mater ! Attends, on va lui en monter un peu plus. Allez, dis moi que tu aimerais bien sentir son Ă©norme bite noire pĂ©nĂ©trer dans ta chatte !
— Oh oui… tu as raison, rien que d’y penser, ça me fait mouiller !
Pensant au sexe monstrueux du noir qui m’avait baisĂ© l’autre soir, je frissonnai.
— Allez, on va lui en monter un peu plus ! Tiens toujours ta jupe retroussĂ©e. Je vois que cela te plaĂ®t petite salope !Max, Passa ses mains sous mes aisselles, commença Ă dĂ©boutonner le chemisier, il en Ă©carta largement les pans, dĂ©voilant ma magnifique poitrine. Il attrapa un sein dans chaque main et commença Ă les caresser lentement. Il saisit mes tĂ©tons entre le pouce et l’index et se mit Ă les faire rouler entre ses doigts, ils durcirent et s’allongèrent immĂ©diatement. Je sentis que mon vagin commençait Ă ĂŞtre vraiment moite. Je ne quittai pas des yeux la silhouette noire toujours assise derrière le bureau, il me semblait bien qu’effectivement, il regardait ce qui se passait de l’autre cĂ´tĂ© de la porte.— Regarde on dirait qu’il se masturbe ! Chuchota Max.Se frottait-il le sexe sous le bureau ? Ce n’était peut-ĂŞtre qu’une impression. Mais ce n’était pas pour me dĂ©plaire, oui, je dĂ©sirais de nouveau un noir. Je repensai Ă cette fantastique expĂ©rience avec le sexe gigantesque de Jamaar. Je passai la main dans mon dos et dĂ©grafai le zip du pantalon de Maxime, je lui sortis le pĂ©nis, ce qui Ă©tait facile, il ne portait pas de slip, pour pouvoir s’adonner plus facilement Ă nos petits jeux Ă©rotiques. Je le caressai. Son phallus Ă©tait vraiment, mais vraiment très loin en taille et en grosseur de l’énorme rouleau du noir ou de celui du marchand de lĂ©gumes, mais je l’aimais bien quand mĂŞme. Il Ă©tait assez large et lorsque je le suçais, je pouvais l’engloutir entièrement facilement. Et puis il savait me cajoler comme personne d’autre, il arrivait presque Ă me faire jouir rien qu’en me caressant les seins et en me pinçant les tĂ©tons. Et il me faisait faire plein de petits jeux Ă©rotiques vraiment très agrĂ©ables.
Celui-ci abandonnant mes seins, attrapa le bas de ma jupe et la releva à nouveau lentement vers le haut. Il me murmura à l’oreille que Gérald allait profiter d’un magnifique spectacle. Il remonta la jupe au-dessus du porte-jarretelles, écarta les lèvres de ma chatte et il la pénétra de son index et de son majeur.
— Putain, oui, tu as raison tu coules vraiment petite Salope.. me dit-il. C’est moi ou Gérald qui te met dans cet état ?
— Les… les deux…
—Tu as vraiment envie de sa grosse queue noire?
— Ou… Ouiiii….
— Petite Salope… Tu aimerai qu’il ouvre la porte et vienne nous rejoindre… qu’il t’enfile sa grosse bite noire ?
— Ou…ouiiiii… Tu crois qu’il nous voit ?
— S’il ne voit pas, il devine ce que nous faisons ! Ça t’excite petite salope ! Je suis certain que, bientĂ´t tu te le laisseras te baiser !Je ne rĂ©pondis pas, mais, c’était vrai… et de penser que le grand noir me voyait peut-ĂŞtre, en train de me faire caresser, me fit autant d’effet que les doigts de Maxime Ă l’intĂ©rieur de ma chatte. Je me retins de gĂ©mir, mon vagin se lubrifia encore plus abondamment. Je m’appuyai contre lui, et me cambrai comme pour offrir mon corps aux regards de GĂ©rald. Après une dizaine d’aller et retour dans ma vulve, il remit la jupe en place, m’attrapa un sein et en mordit doucement le tĂ©ton, il m’embrassa doucement dans le cou, je frĂ©mis. Puis il s’écarta. Je vis que GĂ©rald n’avait toujours pas bougĂ©. Je refermai mon chemisier et on s’en alla. Sur le chemin du retour un large sourire Ă©clairait la face de mon amant.— Alors, cette fois, es-tu convaincue de l’intĂ©rĂŞt que GĂ©rald te porte. Tu voudrais bien le savoir, en ĂŞtre sĂ»re  !
— Oui, je crois que tu as raison… mais on est gonflĂ©s de l’exciter comme ça, s’il arrive Ă voir ce qui se passe derrière la vitre !Je commençai Ă ĂŞtre persuadĂ©e de ce que m’avait dit Maxime, et j’espĂ©rai qu’il ne se trompait pas ! Le beau GĂ©rald allait-il saisir les appâts que nous lui tendions ?
Sur le coup de midi moins dix, Maxime me rejoignit dans mon bureau, tout le monde Ă©tait parti pour la pause dĂ©jeuner. Il s’assit Ă cĂ´tĂ© de moi, bien sĂ»r la conversation revint sur GĂ©rald. — Il me semble que GĂ©rald vient souvent te voir pour des renseignements, j’ai remarquĂ© qu’il s’asseyait sur cette mĂŞme chaise. Tu sais il devrait ĂŞtre très que tu te rendes vraiment compte de l’intĂ©rĂŞt qu’il te porte !
— Tu es devin ou quoi ? Il vient juste, il y a quelques instants de m’appeler au téléphone pour savoir s’il pouvait venir me voir, afin de mettre au point l’inventaire qu’il doit effectuer avec moi cet après-midi.
— Tu as remis ton string ?
— Oui, bien sûr, pourquoi ?
— Enlève le, il n’y a plus personne, ils sont partis dĂ©jeuner. Tu souris, tu as compris pourquoi ! Tu vas me l’exciter ce grand noir, tu verras ainsi quelle sera sa rĂ©action. Je suis sĂ»r Ă 100 % que GĂ©rald va te faire ça, cela va se passer ainsi… J’obĂ©is, le string se retrouva dans un tiroir du bureau. Sans attendre mon accord, il releva ma jupe, passa la main sous la lanière du porte-jarretelles et remonta lentement jusqu’à mon sexe, y insinua son majeur, tout en me saisissant un sein avec l’autre main. J’écartai les jambes pour mieux accepter les doigts. Mon sexe commença Ă mouiller, il me suçait le sein Ă travers le chemisier en me mordillant le tĂ©ton. Ça me fit gĂ©mir, il activait rapidement son majeur et son index Ă l’intĂ©rieur de ma vulve humide, il sentit qu’elle commençait Ă ruisseler. Mais je le repoussai gentiment en arguant que GĂ©rald allait arriver dans quelques minutes. Il acquiesça, mais il arrangea ma jupe de telle façon que GĂ©rald, s’aperçoive que j’avais un porte-jarretelles et que j’étais nue dessous.
Il positionna donc le bord du bas de la jupe juste au-dessus des attaches du porte-jarretelles Ă la limite de la peau nue, les laissant bien apparentes, elles se trouvaient plus haut que les dentelles des bas, ce qui attirait obligatoirement le regard. Il me demanda de mettre un pied sur la barre des roulettes de la chaise et l’autre sur le sol, ce qui m’obligea Ă maintenir les jambes Ă demi-ouvertes et fit tendre ma jupe.— Si tu pivotes vers lui, cela va lui permettre d’apercevoir ta chatte ! Vas-y pivote, Ă©carte un peu tes cuisses, voilĂ c’est parfait on voit ta chatte.Rien que de penser aux effets que pourrait avoir cette mise en scène, je sentis mon foutre couler de plus en plus sur mes cuisses, ma jupe devait ĂŞtre tachĂ©e. Il me demanda de ne pas trop bouger en attendant qu’il arrive. Je lui promis, au moins je saurai, me dis-je. J’avais très envie qu’il s’intĂ©resse Ă moi.
Maxime n’avait pas franchi la porte que GĂ©rald entra. Il s’approcha du bureau, tira une chaise Ă cĂ´tĂ© de moi, se pencha pour me faire la bise. Mon cĹ“ur s’emballa, il battit Ă tout rompre, je me soulevai lĂ©gèrement pour lui rendre son baiser, ce qui eut pour effet de faire remonter encore un peu plus ma jupe, et dĂ©couvrit une assez grande bande de peau au-dessus de mes bas noirs. GĂ©rald prit place Ă ma droite. Si son regard fut aussitĂ´t attirĂ© par ce qui se passait sous le bureau, il n’en laissa rien paraĂ®tre. Je remarquai bien la direction de ses yeux. Il posa un bloc note devant lui, le tourna lĂ©gèrement vers moi et me demanda mon avis. Je pris le bloc note, mes mains tremblotaient. Pour lire les notes, je fus obligĂ©e de tourner la chaise vers lui, en mĂŞme temps, je dĂ©plaçai ma jambe gauche vers l’extĂ©rieur, ce qui augmenta naturellement, l’écart qui sĂ©parait mes cuisses, ma jupe remonta encore un peu et se tendit sur mes cuisses. GĂ©rald, lorsqu’il reporta les yeux sur mes jambes fines aperçut plus qu’un bon tiers des lanières noires du porte-jarretelles. J’étais maintenant consciente que je ne lui Ă©tais pas indiffĂ©rente vu la façon dont il me regardait, quand il relevait les yeux. Cela me troubla encore plus, imperceptiblement, mes genoux se sĂ©paraient, ma jupe remontait centimètre par centimètre. Mon sexe qui Ă©tait encore trempe depuis le dĂ©part de Maxime, se remit Ă couler plus abondamment. Je sentis mon cĹ“ur battre la chamade, mon souffle devenir plus court. Je fis semblant d’écouter ce qu’il disait, mais ma tĂŞte Ă©tait ailleurs. Apercevait-il ma chatte ? Sa blouse bleue Ă©tait ouverte, sous son pantalon de velours se dessinait une longue bosse sur sa cuisse, Max avait raison… GĂ©rald se rendait-il compte de l’effet que sa prĂ©sence me faisait ? Allait-il se dĂ©cider Ă toucher ma jambe ?
En rĂ©ponse Ă ma question, il arriva ce que j’espĂ©rais et attendais, la main gauche du grand noir se posa sur ma jambe juste au-dessous de l’attache du porte-jarretelles et le petit doigt toucha la fermeture. Je fis semblant d’être surprise, je frissonnai. J’eus un hoquet.— Chut, chut, chut… nooonnn…Je lui retirai doucement la main, tout en le regardant dans les yeux avec un regard qui disait absolument le contraire. GĂ©rald remit sagement sa main sur son genou. Et essaya de continuer ses explications. La jupe remonta encore un peu et je ne la remis pas en place. On apercevait maintenant une large bande de peau blanche au-dessus de mes bas. Noir et blanc encore une fois le contraste Ă©tait ravissant. Les yeux de GĂ©rald y Ă©taient fixĂ©s dessus, il dut apercevoir mon pubis. Je me tournai encore un peu vers lui. Il me souriait de ses dents blanches.— Ce matin, je t’ai aperçu dans la lingerie avec Maxime. Je rougis lĂ©gèrement. Il reposa sa main sur mon genou, je ne la retirai pas cette fois. — C’Ă©tait vraiment très Ă©rotique, dommage que les vitres ne soient que translucides, mais on peut apercevoir pas mal de dĂ©tails. Je me suis masturbĂ© en vous regardant, j’avais envie de venir avec vous mais je n’ai pas osé ! Je le regardai avec des yeux de velours. Tout en continuant Ă me dĂ©crire avec prĂ©cision ce qu’il avait aperçu, sa main progressa lentement vers le haut de ma cuisse, elle dĂ©passa la limite des bas atteignit la chair nue. Je frissonnai de plaisir. Je fixai comme hypnotisĂ©e, cette grosse et longue main noire qui passa sous la lanière en dentelle de mon porte-jarretelles, grignota lentement ma peau nue, monta doucement en direction de mon sexe. — Tu as un porte-jarretelles et tu mets pas de culotte ? Tu es tout le temps ainsi ?
— Oui, c’est plus Ă©rotique, dis-je en rougissant.
— Tu aimes que je te caresse ?Je m’avouai que j’ aimais vraiment me faire tripoter par un noir, j’aimais ce contraste entre ma peau blanche et leur peau noire. Il y avait aussi le mythe du noir qui baisait une femme blanche, c’était réprouvé par la morale de la majorité des gens et on m’avait éduqué ainsi. Je franchissais encore une fois le tabou. Ça m’excitait énormément. La main de Gérald était pour l’instant au-dessus de ma cuisse, elle glissa vers l’intérieur, toujours sous la lanière. Cette lente caresse me tétanisa le cerveau, mes cuisses s’ouvrirent ce qui fit largement remonter ma jupe jusqu’au ras de mon pubis.
J’avançai les fesses sur ma chaise et reposai mon dos sur le dossier, lui offrant entièrement la fente Ă©pilĂ©e de mon sexe, ruisselant et ouvert. Sa main arriva Ă la zone mouillĂ©e des cuisses, son index frĂ´la le bas de ma fente. Il remonta doucement entre les grandes lèvres et il commença Ă l’enfoncer dans le vagin. J’eus un long gĂ©missement de plaisir. Je mouillai vraiment beaucoup, mon foutre tachait le tissu de mon fauteuil. Il dut penser que c’était lui qui me faisait cet effet, sans se douter que quelqu’un d’autre lui avait prĂ©parĂ© le travail. Je m’étais renversĂ©e sur mon siège complètement abandonnĂ©e, la tĂŞte en arrière, respirant par saccades. J’avais maintenant les jambes ouvertes au grand maximum, ma jupe remonta plus haut que mes fesses, ce qui lui offrit une vue magnifique sur mon sexe encadrĂ© par le porte-jarretelles de dentelle noire. GĂ©rard avait maintenant trois longs doigts noirs Ă l’intĂ©rieur de ma vulve. Il accĂ©lĂ©ra les va-et-vient. Je lui saisis la main pour essayer de les faire pĂ©nĂ©trer plus profondĂ©ment en moi. Il y adjoignit le petit doigt, puis se mit avec son pouce Ă me caresser le clitoris avec de petits mouvements circulaires, je gĂ©mis sans discontinuer de plaisir, de temps en temps, il soulevait avec son ongle le petit bouton rose et dur et le grattait tendrement. Il avait une grosseur Ă©norme le long de sa cuisse, il bandait comme un taureau, mais il n’osait pas sortir son sexe. Il me prit quand mĂŞme la main et la posa sur le velours de son pantalon. Je sentis la rigiditĂ© du pĂ©nis. Je le trouvai moins gros que celui du noir qui m’avait possĂ©dĂ©e l’autre soir, mais je ne pus avoir une idĂ©e de la longueur. GĂ©rald continuait ses va-et-vient et le frottement du clitoris, ses longs noirs disparaissaient entièrement dans mon sexe. Je sentis que suite aux attouchements prodiguĂ©s par les deux hommes qui venaient de se suivre, je ne tarderai pas Ă atteindre la jouissance. Je commençait Ă perdre pied, me laissant envahir par la jouissance.
Mais je me dis qu’ici, au bureau, ce n’était pas tellement le lieu pour se laisser aller au plaisir, et surtout que l’heure avait du avancer. Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre, il était midi vingt-cinq. Je repris mes esprits, avec un immense effort de volonté, retirai gentiment avec un sourire un peu contrit, la main noire qui était presque arrivée à me faire jouir. Gérald regarda ses doigts luisant de foutre, les porta à sa bouche et les suça voluptueusement en me regardant. Je me levai, rabaissai ma jupe et indiquai à Gérald que malheureusement, il était l’heure et qu’il fallait que je me sauve. Sur mes fesses nues, je sentis que ma jupe devait avoir une grosse tâche de foutre. Tant pis, je mis mon sac en bandoulière et essayai de le positionner à cet endroit, à cette heure, je ne risquai pas d’ailleurs de croiser grand monde pour me rendre sur le parking. Gérald me fit une bise, et me rappela qu’on avait rendez vous au sous-sol ou se trouvait le magasin, cet après-midi pour commencer l’inventaire, et ce, à quatorze heures trente précises …
Après la pause dĂ©jeuner, comme tous les jours vers quatorze heures, je retrouvai Maxime pour boire un cafĂ©. J’avais changĂ© ma jupe tachĂ©e et enfilĂ© une robe lĂ©gère imprimĂ©e, se boutonnant sur le devant. Celle que je portais lorsque le vieux fermier des lĂ©gumes m’avait baisĂ©. Cette robe s’évasait en une lĂ©gère corolle, et s’arrĂŞtait dix centimètres au-dessus de mon genou. Les deux derniers boutons Ă©taient dĂ©faits, ainsi que le dernier du haut qui Ă©tait dĂ©boutonnĂ©. Nous Ă©tions seuls. Avant de partir, j’ avais retirĂ© mon string, sachant très bien pourquoi. Je m’étais munie d’un bloc note en vue de l’inventaire. — Alors ? Me demanda Maxime que s’est-il passĂ© avec GĂ©rald.
— Absolument rien ! Il a juste matĂ© mes jambes, pourtant j’avais fait un effort pour l’exciter, il a mĂŞme aperçut ma chatte ! Ma jupe a remontĂ© en haut de mes cuisses, j’ai vachement mouillĂ©, ma jupe Ă©tait trempĂ©e !
— Menteuse, il ne t’a pas touché ?
— Non, mais m’a dit qu’il nous avait vu ce matin Ă la lingerie ! Mais tu a raison, j’ai vu a son regard que je ne le laissais pas indiffĂ©rent.Je le lui raconterai avec force et dĂ©tails un autre jour ce qui c’Ă©tait passĂ©. Il Ă©tait appuyĂ© au lavabo face au banc. Je me servis un thĂ©, m’assis en face de lui.— Non, mon ne t’assieds pas ainsi, ce n’est pas comme ça que je te demande de faire… Et puis je ne suis pas persuadĂ© que tu me dises l’entière vĂ©rité ! Tu lui montre ta chatte et il n’entreprends rien ! Bizarre !J’obĂ©is, me relevai, fis bouffer ma robe et me rassis directement sur mes fesses nues. Le froid du plastique du banc me fit frissonner. En portant mon gobelet aux lèvres, je fixai amoureusement Maxime. Il me dit d’écarter les jambes, je m’exĂ©cutai. Je les sĂ©parai et les refermai plusieurs fois, faisant Ă chaque fois s’ouvrir un peu plus ma chatte. Remontant ma robe, j’écartai les lèvres de ma vulve avec deux doigts pour lui permettre d’apercevoir l’ouverture de mon vagin. Maxime fixa mon sexe avec envie. Je me sentis mouiller. Il vint s’asseoir Ă cĂ´tĂ© de moi, souleva un cĂ´tĂ© de ma robe et sa main partit en exploration sur ma cuisse gauche. Elle s’attaqua d’abord Ă la reconnaissance de l’attache du porte-jarretelles sur la partie en dentelle de mes bas noirs, puis elle suivit la lanière, passa lentement Ă l’intĂ©rieur de ma cuisse et insinua son majeur dans mon sexe qui palpitait. Son autre main avait saisi mon sein droit et en malaxait le tĂ©ton Ă travers le tissu de la robe, je frissonnai et me mis Ă gĂ©mir doucement. Le bout de mon sein avait durci et s’était allongĂ© de plus de deux centimètres, Maxime, baisa l’échancrure de robe me dit qu’il aimait beaucoup l’Ă©rectilitĂ© de mes tĂ©tons. Je regrettai que cela, vu l’endroit ou nous nous trouvions, ne puisse aller bien plus loin. Des pas firent d’ailleurs crisser le gravier dans l’allĂ©e, quelqu’un arrivait. Maxime retira ses mains, je rĂ©ajustai ma robe. Nous avalâmes nos boissons. Il n’était pas loin de quatorze heures trente. Je le regardai malicieusement. — Bon je vais aller rejoindre GĂ©rald. Tu sais, en gĂ©nĂ©ral il ferme le local Ă clef pour que l’on ne soit pas dĂ©rangĂ© pendant l’inventaire
— Petite salope, tu y vas sans culotte ?
— Oui, j’adore, ça m’excite et tu vas en ĂŞtre tout Ă©moustille tout l’après-midi ! En fantasmant sur lui et moi. Et sur ce que nous pourrions faire, et que peut-ĂŞtre nous ferons ! Crois-tu que je vais rĂ©aliser mon fantasme, imagine son Ă©norme queue noire entrain de me pĂ©nĂ©trer.
— Salope !Maxime me regarda partir avec envie, il dut penser à ce qui pourrait arriver, j’étais sûre que cela le faisait bander.
En traversant la cour, le vent s’engouffra sous ma robe qui voleta doucement, les deux derniers boutons Ă©tant dĂ©grafĂ©s. La pointe de mes seins, encore durcis par la caresse de Maxime, frotta agrĂ©ablement contre le tissu de ma robe et cela entretenait de ce fait leur Ă©rection. J’arrivai devant la porte entrebâillĂ©e, de la lumière filtrait, GĂ©rald Ă©tait dĂ©jĂ lĂ . J’entrai, mon cĹ“ur battait plus fort en pensant Ă ce qui c’était passĂ© le matin, et Ă ce qu’il m’avait dit, qu’il avait vu Ă travers la porte dĂ©polie de son bureau et Ă ce qu’il avait fait en nous regardant. Je fus parcourue d’un long frisson.
Il m’attendait, visiblement un peu gêné de l’intermède de midi. Il n’osa pas trop me regarder, je lui souris. La pièce comportait un comptoir, derrière celui-ci des rayonnages pleins d’ustensiles divers, une sorte de bureau avec deux chaises, et des cartons entassés çà et là . Une lumière crue tombait des néons du plafond, la pièce en sous-sol ne comportait que de très petits vasistas munis de grillage s’ouvrant au ras du sol dans la cour. Un listing était posé sur le bureau au-devant duquel Gérard se tenait debout. Il était très grand, pas d’une couleur noire aussi absolue que celle du noir qui m’avait baisé l’autre soir, mais la couleur me convenait, il devait y faire bon de frotter sa peau blanche. Ses grandes mains de basketteur feuilletèrent un bloc note. Je fixai les doigts qui tout à l’heure m’avaient presque amené au bord de l’extase. Je me remémorai la grosseur et la dureté du sexe que j’ avais touché, et je m’interrogeai sur la longueur.
Comme prévu Gérald alla fermer la porte à clef. Nous étions maintenant seuls et tranquilles, personne ne pouvait nous voir. Je m’assis sur l’une des chaises et me tournai vers Gérald qui revenait. J’écartai doucement sur ma cuisse le panneau de ma robe qui glissa, laissant apparaître la dentelle du haut de mes bas, le fermoir et la mince bande de tissu noir qui la reliait à mon porte-jarretelles. Je pris soin de ne pas lui laisser apercevoir mon sexe. Je voulais qu’il me désire, exacerber ses sens jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus de bander. J’aimais d’ailleurs que le regard des hommes et celui des noirs de surcroît, se pose sur moi et me désire. Souvent, sans en avoir l’air de rien, lorsque je sentais s’appesantir sur mon corps, le regard appuyé d’un homme, je savais jouer de mon charme, pour mine de rien me faire désirer un peu plus, tout en ayant l’air très sage. Je vis le regard de Gérald s’éclairer, en se portant sur ce morceau de cuisse découvert, un sourire lumineux éclaira son visage. Il vint s’asseoir au bureau et m’expliqua comment il comptait procéder pour commencer l’inventaire, il me montra le listing et commença à avancer la main vers la cuisse dénudée, il la posa au-dessus de mon genou.
Je me levai, me penchai sur le bureau, ma robe déboutonnée bailla, Gérald plongea son regard dans la profondeur du décolleté. Je lui laissai trois bonnes minutes pour qu’il admire mes deux globes laiteux, mes aréoles commencèrent à prendre la chair de poule et se couvrir de petits points. Les tétons eux aussi s’allongèrent et durcirent quelque peu.
Puis malicieusement, je tournai les talons et me dirigeai vers l’endroit ou Gérard voulait débuter le travail. Les fournitures se trouvaient sur le premier plateau de l’étagère presque au ras du sol. Je m’accroupis, face à Gérald qui me suivit environ trois ou quatre mètres en arrière. Ma robe s’évasa derrière mes talons aiguilles. J’écartai lentement les genoux, lui dévoilant mon pubis épilé. L’ouverture de mes grandes lèvres n’était pas assez importante, et ne permit pas à Gérard d’apercevoir la fente de ma chatte qui maintenant mouillait de plus en plus. Tout en comptant, j’écartai lentement un peu plus les jambes, pour qu’il ait un aperçu de la fente humide. Il arrêta sa progression et se tint à deux mètres pour pouvoir bénéficier du spectacle, une grosseur commença à se profiler le long de sa jambe. J’ y portai les yeux et satisfaite de mon effet, me levai.
J’avisai deux cartons posés l’un sur l’autre, et m’y dirigeai, en chemin, je déboutonnai le troisième bouton du bas de ma robe. Celle-ci n’était plus retenue que par trois boutons et s’ouvrait jusqu’à ma chatte. Maintenant à chacun de mes pas la fente de ma robe s’entrebâillait assez largement sur les bandes de peau blanches et nues striées par les lanières noires du porte-jarretelles. On put même apercevoir le bas de ma chatte. Arrivée près des cartons, je regardai Gérard, celui-ci n’avait pas encore remarqué ce que la robe laissait entrevoir. Je notai qu’il avait l’air chaviré par ce que je lui avais laissé entrapercevoir, lorsque j’étais accroupie. Il essaya de fixer son attention sur des objets à compter sur l’étagère à côté de lui, mais je vis bien que ses pensées étaient ailleurs. Nous ne parlions pas. Lui souriant, et lui faisant face, je m’approchai de l’angle d’un carton, et le fis pénétrer dans l’interstice de ma robe. J’en écartai les deux pans et commençai à me frotter le sexe contre la pointe de l’angle du carton. Je continuai à regarder le grand noir, qui tétanisé maintenant me fixa complètement subjugué. Je fis pénétrer le bord saillant du carton entre mes deux grandes lèvres, les petites lèvres s’écartèrent et le pointu pénétra légèrement dans mon vagin. Mes reins eurent un ou deux mouvements d’avant en arrière. Le grand noir, une énorme bosse dans sa jambe de pantalon s’approcha.
Je fis comme si j’avais peur, et partis rapidement vers le bureau. Il me rattrapa, en me saisissant de dos par la taille. Je me tournai vers lui, il se pencha et m’embrassa fougueusement, je lui rendis avec autant d’ardeur son baiser. Il commença à déboutonner les trois derniers boutons de la robe, celle-ci s’ouvrit. Ses deux mains noires parcoururent avidement mon corps blanc. Il se recula pour m’admirer, puis il fit glisser la robe par terre. Mon sexe était en nage, mes seins durs comme de l’albâtre et mes tétons qu’il n’avait même pas encore touchés s’étaient allongés d’au moins deux centimètres et demi et pointaient hors des bonnets du demi soutien-gorge.
Gérald apparemment satisfait de son examen, défit la ceinture de son pantalon baissa son slip et exhiba son sexe, je tremblait littéralement ! Je n’attendais que ce moment ! Son phallus noir se dressa fièrement. Je jugeai que pour la grosseur, il était de même taille que celui du vieux fermier, c’est-à -dire bien plus gros que la normale, quant à la longueur, il dépassait son nombril. Il était tendu et avait l’air aussi dur qu’un morceau de bois. Me remémorant les deux expériences que je venais de subir, je pensais au plaisir que j’allais sûrement ressentir à nouveau, ce qui me fit encore plus mouiller et mon foutre coula sur mes cuisses. Il me prit les bouts des seins qui dépassaient du soutien-gorge seins nus et les mit à tour de rôle dans sa grande bouche, puis il les lécha avec de grands coups de langue. Je vis cette grosse langue rose, s’activer sur mes seins blancs, ça m’excita de plus en plus. Mais Gérald trouvant qu’il était gêné par le mini soutien gorge, me fit tourner sur moi-même, il attrapa la fermeture et la défit, quand il fit doucement glisser les bretelles sur mes bras, je frissonnai délicieusement, mon corps se couvrit de chair de poule. Il me passa les mains sous les globes des seins, il s’aperçut au toucher que j’avais un grain de beauté sous le sein gauche. Il commença à me malaxer les tétons d’une main.
Son autre main s’aventura d’abord sur le devant du porte-jarretelles parsemé de fleurs de dentelle noire. Il était parfaitement positionné sur le bas de mes hanches et tranchait avec ma peau blanche, qui elle aussi avait l’air d’exciter le noir. La grosse main noire, m’engloba le sexe, et il enfourna son majeur et son index dans la fente trempée. J’écartai les jambes pour faciliter ce doigter. Gérald admira mon dos qui se trouvait devant lui, il recula un peu, tout en continuant ses caresses. Ses yeux se portèrent sur l’arrière du porte-jarretelles, il le trouva ravissant, comme la propriétaire d’ailleurs me dit-il. La partie en dentelle s’arrêtait juste à l’endroit ou partait la lanière qui soutenait le bas, la fermeture en était assurée par une mince bande de tissu noire, tranchant sur le blanc de la peau. Elle était positionnée au début de la raie qui partageait mes fesses fermes. Il en approcha son énorme sexe et le glissa entre la peau et la bande de tissu, et le frotta voluptueusement le long de cette raie qui lui donna des idées. Il me pencha sur le bureau, me demandant d’écarter les jambes, j’obéis de bonne grâce. Tenant son gros pénis d’une main, il le passa entre mes jambes, le gland fit quatre ou cinq aller et retour le long des lèvres de ma chatte. Le bout à chaque passage s’attarda sur mon clitoris et le frotta doucement. Puis, il l’entra dans mes petites lèvres et attaqua l’entrée de mon vagin. Je cambrai les reins. Ma vulve, bien lubrifiée, et pénétrée depuis quelque temps par des sexes que l’on pouvait qualifier de… hors normes, n’eut pas trop de mal à accepter d’un seul coup la moitié du gros pénis noir.Gérald fut étonné de la facilité de pénétration de son gros tuyau noir. Il le retira presque entièrement et d’un mouvement puissant enfonça son pieu entièrement. Je criai de plaisir. Il se mit alors à me labourer à grands coups de rein. Ses mains serrèrent fortement mes seins comme pour les broyer. Je hoquetai de contentement. Puis, toujours en moi, il se recula en m’entraînant, s’assit sur une chaise.
Il me mit face à lui et m’empala de nouveau sans coup férir. Je ne sentis plus que cet énorme rouleau noir qui remontait le long de ma paroi vaginale, qui me mettait le sexe en feu. Il prit de nouveau mes seins dans sa bouche et mordit un peu brutalement mes tétons, cela me fit à nouveau crier de plaisir. Je fis pénétrer toute seule dans mon vagin la grande hampe noire, ruisselante de mon foutre jusqu’à la garde et commença des mouvements de torsion de mon bassin autour du sexe qui semblait encore avoir doublé de volume. J’appuyai fortement de tout mon poids, sur les cuisses de Gérald pour que celui-ci ne puisse pas retirer sa bite. Je frottai mes tétons durs comme de l’acier sur ce grand torse noir et glabre qui s’étalait devant moi, j’y écrasai mes seins, comme si je voulais les faire y entrer. Je l’embrassai, lui fourrant rageusement ma langue dans la bouche, lui mordant la sienne. Le plaisir montait rapidement en moi. Je commençai à être pas mal excitée depuis le matin, même si la pause déjeuner était passée par là .
GĂ©rard me souleva lĂ©gèrement en faisant attention de ne pas retirer son pĂ©nis, son long majeur commença Ă frotter doucement le bord de mon anus, j’émis un petit cri de surprise. Il ne me laissa pas le temps de la rĂ©action, son doigt me pĂ©nĂ©tra, il entra doucement, mais sĂ»rement. Je redoublai mon baiser pour lui montrer que je ne dĂ©testai pas cette caresse. GĂ©rard commença alors avec son majeur des allĂ©es et venues dans mon conduit anal, il reprit ses va-et-vient dans mon vagin. N’y tenant plus mon plaisir Ă©tant au paroxysme, je ne le retins plus et j’explosai dans une gerbe de jouissance, la tĂŞte rejetĂ©e en arrière, je râlai, hoquetai, les nĂ©ons du plafond passèrent par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il me sembla que cela durait une Ă©ternitĂ©. GĂ©rard lui, n’avait pas joui. Un petit peu frustrĂ© que je sois parvenue au plaisir avant lui, il me fit me pencher sur la table. Je pensai qu’il allait me pĂ©nĂ©trer Ă nouveau, car il ne devait pas ĂŞtre loin de l’éjaculation lui aussi. Mais il ne le fit pas, Ă©cartant doucement mes fesses, il approcha son gland de l’orifice de mon anus et essaya de forcer le passage, je sentis la pression de cette Ă©norme bite qui commença Ă pĂ©nĂ©trer très difficilement. Il cracha entre les deux globes de mes fesses, sur sa bite, pour faciliter la pĂ©nĂ©tration. J’écartai largement les jambes pour ouvrir mon orifice anal. GĂ©rard s’étonna encore de la facilitĂ© qu’il avait Ă me sodomiser. Il ne savait pas que je m’étais fait baiser plusieurs fois par des bites monstrueuses par cet orifice, et que le chemin Ă©tait fait. Sa queue noire glissa au fond de mon ventre. GĂ©rard Ă©tait tellement excitĂ© par ce que je lui permettais de faire, qu’il Ă©jacula presque aussitĂ´t. Je ressentis les premiers frĂ©missements de sa queue, rapidement, je tombai Ă genoux devant lui, soulevai la grosse bite noire et me mis Ă lui lĂ©cher rapidement le bout du sexe, je mis le gland dans ma bouche. Je sentis les soubresauts de l’énorme sexe noir. A chaque fois une giclĂ©e du sperme chaud et blanc coulait sur ma langue, je le dĂ©glutis rapidement en aspirant très fort le bout du gland que j’avais gardĂ© entièrement dans la bouche, cela le faisait frissonner et lui tirait des râles de plaisir.
Je trouvai dĂ©licieux le goĂ»t du sperme de GĂ©rald. Lorsqu’il eut terminĂ© d’éjaculer, il m’embrassa longuement. On se rhabilla, on continua tant bien que mal l’inventaire commencĂ©. Le soir en quittant les lieux GĂ©rald me dit, gentiment et tendrement.— Il y a longtemps que je dĂ©sirais te baiser, j’avais très envie de vous rejoindre au local des blouses, mais je n’osais pas ! Je n’aurais jamais pensĂ© possible qu’une blanche aussi sexy que toi, ait bien voulu me laisser faire tout ce que tu m’as permis, je n’en reviens pas… J’espère seulement qu’il y aura une autre fois…
— Pourquoi pas ? Lui répondis-je en souriant, je lui fis une bise et me sauvai…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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