Un malencontreux accident
Morgane est une avocate coincĂ©e qui va croiser la route d’Alex, agent de sĂ©curitĂ© aux tendances dominantes…
Chantage et soumission sont au rendez-vous.
Peut-être une suite si le récit est apprécié
Proposée le 4/04/2020 par Blueberry89 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: ChantagePersonnages: FHLieu: ParkingType: Roman
Morgane Ă©tait avocate. Elle menait une vie ordonnĂ©e, chaque seconde Ă©tait organisĂ©e, ne laissant aucune place Ă la fantaisie de l’imprĂ©vu. Tout en elle respirait la duretĂ© et le contrĂ´le de soi : de son tailleur coupĂ© Ă la perfection, s’arrĂŞtant juste au-dessus du genou, dĂ©voilant de longues jambes graciles terminĂ©es par des Ă©lĂ©gants escarpins, Ă ses cheveux de jai, emprisonnĂ©s par un chignon strict et la paire de lunettes qui lui donnait un air sĂ©vère et sexy.Tous les soirs quand elle sortait du bureau, elle croisait le regard de l’agent de sĂ©curitĂ© qui surveillait le parking et y lisait un tel dĂ©sir qu’elle en avait des frissons dans tout le corps. Mais mis Ă part quelques politesses d’usages, elle n’osait jamais lui adresser la parole. Il Ă©tait grand, imposant, des cheveux bruns et un regard sombre si envoĂ»tant. Il dĂ©gageait une aura obscure, presque bestiale.
Elle n’avait pas le temps pour ces choses lĂ . Elle avait une vie toute tracĂ©e : un mari aimant, des amis gĂ©niaux, un boulot passionnant… Pas de place pour les fantasmes. Ce soir lĂ , elle Ă©tait presque la dernière Ă sortir du bureau , retenue par un dossier compliquĂ© qui lui avait pris plusieurs de temps que prĂ©vu. Elle descendit prendre sa voiture pour rentrer chez elle. Il faisait dĂ©jĂ nuit et les Ă©clairages du parkings n’Ă©taient pas de toute jeunesse. Pas très rassurĂ©e, elle jeta un coup d’oeil au poste de surveillance mais n’y vit aucun signe de l’agent de sĂ©curitĂ©. Il Ă©tait peut-ĂŞtre en pause. Une fois en sĂ©curitĂ© dans son vĂ©hicule, elle prit son tĂ©lĂ©phone pour prĂ©venir son mari qu’elle sortait seulement. Elle enclencha la marche arrière au moment oĂą il dĂ©crocha.
– ChĂ©ri c’est moi, je sors seulement lĂ …merde!
Un grand bruit de tôle froissée se fit entendre, la faisant sursauter.
– Qu’est-ce qu’il se passe? Tout va bien?
– Oui, je n’ai rien ne t’inquiète pas. Je crois que j’ai abĂ®mĂ© ma voiture… je te rappelle, il faut que je vois l’Ă©tendue des dĂ©gâts.Avec horreur, elle dĂ©couvrit qu’elle avait embouti l’avant de la voiture de son patron. Une des seules voitures qui restait sur le parking et il fallait que ce soit celle lĂ ! Il allait ĂŞtre furieux et mĂŞme s’il ne pouvait pas la virer pour si peu, il trouverait un moyen de faire de sa vie un enfer…Morgane hĂ©sita, puis dĂ©cida de remonter dans sa voiture et de repartir ni vu ni connu. Elle savait que les camĂ©ras de sĂ©curitĂ© du parkings n’Ă©taient plus actives depuis longtemps, d’oĂą la nĂ©cessitĂ© d’employer un agent de sĂ©curitĂ©. Apres tout, ça pouvait très bien-ĂŞtre quelqu’un d’autre…Avant de mettre un pied dans sa voiture, une voix grave l’interrompit, la stoppant net.
– OĂą est-ce que vous comptez aller comme ça ?
C’Ă©tait l’agent de sĂ©curitĂ©. Il se tenait lĂ , droit comme un i, la dĂ©vorant des yeux avec une certaine malice dans le regard. Il avait tout vu c’Ă©tait sĂ»r. Filer en douce n’Ă©tait plus une option dorĂ©navant.
– Je vous en prie, ne dites rien Monsieur…le suppliai-je en essayant de dĂ©chiffrer le nom inscrit sur son badge
– Alex, rĂ©pondit il en croisant les bras
– Mon patron va me faire vivre un enfer s’il apprend que j’ai abĂ®mĂ© sa voiture ! Vous pourriez faire comme si vous n’aviez rien vu et me laisser partir, s’il vous plaĂ®t. Je vous en serai infiniment reconnaissante!
– Reconnaissante Ă quel point? Demanda t il d’une voix suave et empreinte de dĂ©sir Il s’approcha d’elle lentement , tel un prĂ©dateur devant sa proie.
Une boule se forma dans sa gorge, elle frissonna d’excitation et de crainte, reculant jusqu’Ă se retrouver collĂ©e Ă la carrosserie de sa voiture. Elle ne pouvait rĂ©pondre. Elle savait ce qu’il exigerait en Ă©change de son silence. Était elle prĂŞte Ă lui donner? Mieux valait il succombĂ© au chantage de ce bel homme si mystĂ©rieux ou bien assumer son erreur?
– A genoux, ordonna- t’il Elle s’exĂ©cuta, surprise par ses propres pulsions, son corps qui lui commandait d’obĂ©ir sans discuter.
Il sortit son sexe dĂ©jĂ bien dressĂ© de son boxer et le prĂ©senta devant son visage. Elle resta interdite devant ce membre si Ă©pais et si long. Un sacrĂ© morceau ! Elle n’avait pas l’habitude d’ĂŞtre baisĂ©e par un homme si bien montĂ©. Elle s’en voulait mais elle mouillait dĂ©jĂ comme une salope, frĂ©missant d’anticipation Ă l’idĂ©e du plaisir qu’il allait lui apporter.
– Fais tout ce que je te dis et peut-ĂŞtre que je ne dirai rien… maintenant suce moi.Elle prit son sexe en main et commença Ă le branler doucement. De sa langue, elle titilla son gland gonflĂ© d’excitation puis descendit le long de sa hampe jusqu’aux bourses qu’elle happa doucement. Elle revint vite s’occuper de son gland , le suçotant avec application.
Alex trouvait la pipe Ă son goĂ»t mais il en voulait plus. Il voulait baiser la bouche de cette petite avocate coincĂ©e qui le faisait bander tous les soirs depuis des mois. Il passa ses mains derrière sa tĂŞte et dĂ©tacha ses cheveux qui retombèrent en cascade sur ses Ă©paules, puis enfonça sa queue jusqu’Ă la garde dans la bouche , ce qui lui arracha un cri rauque de plaisir. Cette salope n’avait pas perdue contenance, elle le pompait avidement, plongeant son regard dans le sien. Il donna des coups de bassins amples et lui imposait un rythme de plus en plus effrĂ©nĂ©. Il sentait le plaisir monter en lui et après lui avoir imposĂ© une gorge profonde digne de ce nom, il se retira de sa bouche et lui ordonna de se relever.
– Retournes toi et appuie toi sur le capot. Je vais te baiser comme une chienne sur ta caisse. Je suis sĂ»r que tu en meures d’envie , hein ma salope ?
– Oui…prends moi…Il leva sa jupe et dĂ©chira son string trempĂ©, qu’il mit dans sa poche en guise de trophĂ©e. Il ne prit mĂŞme pas la peine de la toucher et s’enfonça profondĂ©ment en elle d’un violent coup de bassin. Elle gĂ©missait avec ferveur, essayant de s’adapter au calibre de son amant, bien plus gros que ce dont elle avait l’habitude.
Il lui limait la chatte littĂ©ralement, s’agrippant Ă ses Ă©paules et s’appuyant sur elle de tout son poids.
Sa queue sortit de son fourreau puis vĂ®nt se poser Ă l’entrĂ©e de son anus sans qu’il n’y prenne garde. Il poussa pour entrer, rencontrant une plus forte rĂ©sistance que tout Ă l’heure. Elle se raidit soudain
– Alex, tu te trompes de trou. Pas ici s’il te plaĂ®t…
– Tu n’as jamais essayĂ© la sodomie ?
– Si, mais pas souvent et jamais avec un aussi gros…
– Alors c’est le moment d’essayer.Elle n’eut pas le temps de s’opposer. Il poussa d’un seul coup, enfonçant son sexe au plus profond de ses entrailles. Morgane hurlait de douleur, il la bâillonna d’une main, la maintenant immobile de l’autre tandis qu’il lui dĂ©fonçait brutalement le cul.
– Alors salope, tu aimes ça que je t’encule? Oh oui , putain ton cul est si serrĂ© ! Tu mouilles comme une chienne…
Ses cris se transformèrent vite en gĂ©missements. Il allait et venait en elle Ă un rythme soutenu, tout d’abord de lents mouvements, amples et profonds. Puis il gagna en vitesse et en puissance, ne se contrĂ´lant plus. La vue de sa queue pĂ©nĂ©trant son anus si serrĂ© le rendit fou. Cette putain d’avocate coincĂ©e avait un cul et une bouche divine, il l’avait su dès qu’il l’avait vue. Et c’Ă©tait une vraie salope sous ces airs de sainte nitouches. Elle cachait bien son jeu! Que dirait son mari si il la voyait se faire dĂ©foncer le cul sur le capot de sa voiture? Elle adorait ça, ça se voyait, se sentait, s’entendait. Elle atteint vite la jouissance et dès qu’il eut senti les derniers soubresauts de son orgasmes enserrant sa queue, il se dĂ©gagea et la fit mettre Ă ses pieds oĂą il jouit dès qu’il vit sa bouche s’ouvrir pour rĂ©colter sa semence, sans mĂŞme qu’il lui ait demandĂ©. Les longs jets de sperme s’Ă©crasèrent sur son visage, s’Ă©talant sur ses joues, sa langue, coulant le long de son menton. Elle le suça une dernière fois afin de nettoyer les derniers traces de sperme et de cyprine.
Elle était à bout de souffle, incapable de se lever, le cul en feu. Il se rhabille et lâcha avant de partir :
– On en a pas encore fini tous les deux, mon silence coĂ»te plus cher qu’une baise dans un parking. Au vu de ce que j’ai entrevu ce soir, crois moi, tu vas adorer en payer le prix….© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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