Je tenais à vous raconter ce qui m’est arrivé, suite à une hospitalisation pour cause de Covid19.De retour après dix jours d’hospitalisation sur une aggravation du Covid, je suis rentré chez moi pour une hospitalisation à domicile avec une perfusion qui m’empêchait de faire une toilette complète correctement.N’étant plus contagieux, mais devant me protéger fortement encore d’un risque de recontamination, le médecin a imposé que mes visiteurs prennent de grosses précautions.Le risque étant sur les affaires personnelles des visiteurs.Ma femme étant elle-même isolée dans un gîte, je devais me débrouiller seul. Ma mutuelle prenant en charge une aide à domicile, je décidai de les appeler.Ils connaissent bien la situation et ont mandaté une entreprise spécialisée dans les soins après Covid.J’étais rassuré d’autant plus que je souffrais d’un des nouveaux symptômes post-Covid, découvert récemment, qui provoque des érections inexpliquées, revenant en permanence. Il se trouve que même une éjaculation ne suffit pas à résoudre le problème, car on n’arrive pas à éjaculer.Ce symptôme n’a été connu que tardivement, car peu de malades osaient en parler.Mais je ne peux expliquer cela au téléphone, c’est assez gênant. Et le problème risque d’être d’autant plus gênant au cours de la toilette.La gérante de cette entreprise me rappelle et m’explique qu’elle a été formée sur les précautions à prendre et qu’elle a mis en place une procédure spécifique pour les retours d’hospitalisation Covid.Je lui demande de m’en dire plus pour être rassuré.— Nous portons une blouse jetable, un masque et une charlotte.— Je comprends, mais vos habits personnels peuvent être porteurs du virus.— Pas de soucis, pour cela nous enlevons nos habits dans notre véhicule et portons uniquement la blouse en entrant dans votre domicile.— Je suis rassuré, mais cela n’est-il pas gênant pour vous ? vous gardez vos sous-vêtements au moins ?— Non, monsieur, le protocole est strict, aucun vêtement personnel. Nous vous demandons, par contre, de rester discret et correct.— Oui, je comprends. Cela peut être gênant pour l’intervenante. Déjà que se mettre nu devant une inconnue, cela peut avoir une réaction pour nous les hommes.— À ce propos, je dois vous poser une question un peu gênante, avez-vous un des symptômes de ce nouveau Covid qui provoque des érections, car j’ai quelques clients dans ce cas.— Oui, mais je n’osais pas vous en parler, c’est assez gênant surtout pour la toilette.— Ne vous inquiétez pas, nous savons le gérer et même le soulager. Nous interviendrons donc deux heures dans ce cas au lieu d’une.— Pourquoi ?— C’est un protocole long à appliquer en plus de la toilette pour vous aider sur ce symptôme.— Si ça peut me soulager, pourquoi pas.— Demain 10 h, si vous voulez— D’accord, j’attends votre intervenante.J’actais à la fois rassuré et stressé avec cette histoire d’érection incontrôlable.À 10 h, j’entends sonner à la porte,Une femme mûre d’une quarantaine d’années avec quelques rondeurs et une grosse poitrine.— Bonjour, monsieur, c’est bien pour vous, la toilette à domicile ?— Vous êtes isolée pour le Covid ?— Oui tout à fait. Je me prépare dans mon camion et je reviens. Vous a-t-on mis au courant du protocole ?— Oui en partie, pour la tenue.— C’est parfait, je reviens.Elle revient cinq minutes plus tard et re-sonne à la porte. Elle porte une charlotte, un masque, des gants et une blouse jetable qui est semi-transparente et l’on peut apercevoir ses formes sans les voir réellement.Bien que j’aie décidé de ne pas y porter attention, cela me provoque immédiatement une érection incontrôlée et douloureuse à cause de ce Covid.J’étais prêt à lui demander si elle avait bien retiré tous ses vêtements, mais ce n’était manifestement pas la peine.— Je vous explique comment cela va se passer. Je vais préparer votre bain et je vous appelle quand c’est prêt. Ma responsable m’a prévenue que vous aviez un symptôme post Covid gênant.— Oui, comme vous dites, c’est très gênant. Cela vient de se déclencher et c’est douloureux.— Je comprends et ma tenue n’arrange rien… Déshabillez-vous maintenant, me dit-elle d’une voix autoritaire.— Déjà maintenant ?— Oui, et asseyez-vous dans le canapé en attendant. Je reviens.Je m’exécute et je l’attends. Elle revient cinq minutes plus tard.— Ah, vous avez une perfusion dans le bras droit, cela doit être gênant également ?— Oui, je ne peux pas me servir de ce bras, je ne peux pas le plier.— Vous n’avez pas mal au bras gauche ?— Non.— Tant mieux, car on va en avoir besoin, mais ça va être plus fatigant pour vous. Bon, je vois… c’est une grosse érection. Est-ce que je peux me permettre de vérifier quelque chose ?— Oui, bien sûr.— Je mets une paire de gants et je vais vérifier l’état de votre gland.Elle me le décalotte complètement et me dit :— Ah oui, il est bien rouge et enflammé, c’est bien le symptôme du Covid.— Et c’est grave ?— Disons qu’à force d’être en érection, il gonfle et rougit. Aviez-vous déjà remarqué ?— Non, mais ce doit être pour cela que c’est douloureux.— Oui. On va essayer d’améliorer ça.— Comment ?— Je vous en dirai plus après, mais il faut le désengorger. Pendant que l’eau coule, masturbez-vous avec votre main gauche.— Vous êtes sûre ? Devant vous ?— Oui, cela fait partie de notre protocole pour vous soulager la douleur.Puis, changeant de ton :— Et ne vous arrêtez pas !Au bout de quelques minutes, je me préparais à m’arrêter. Elle revient dans la pièce.— Je vous ai dit : on continue, et surtout, on n’arrête pas !— Mais combien de temps dois-je le faire ?— Pendant toute l’intervention. Est-ce que ça vous soulage ?— Oui, mais deux heures, cela va être long !— C’est le protocole, vous me direz merci après. Je vous surveille pendant une demi-heure.Trente minutes se sont écoulées et j’ai mal au bras, mais moins au pénis.— Venez dans votre bain, c’est prêt.Je me lève et j’en profite pour m’arrêter.— On n’arrête pas de se masturber, combien de fois dois-je vous le dire ? Plus vous arrêtez, plus ce sera long.Je rentre dans la baignoire en prenant soin de ne pas mouiller mon bras droit. Ça fait du bien.— Écoutez-moi bien, détendez-vous et masturbez-vous pendant une demi-heure encore et sans vous arrêter surtout. Je vous surveille.— Servez-vous un café en attendant. Je pourrai faire des pauses comme cela, ça faisait déjà trente minutes que je me branlais dans le canapé.— Merci.Cette blouse lui allait très bien et laissait apercevoir ses tétons et une petite touffe noire au niveau du pubis. Ça m’encourageait à ne pas m’arrêter, et elle me surveillait de près et revenait toutes les minutes pour vérifier.— C’est bien, monsieur, continuez comme ça.Les trente minutes s’étant écoulées, elle revient :— Maintenant, on va faire la toilette. D’abord les cheveux…Je m’arrêtai donc de me masturber— Oulala ! on ne s’arrête pas. Je lave les cheveux, mais vous vous masturbez.— Mais vous êtes juste au-dessus de moi !— Ne vous inquiétez pas je suis équipée.— Oui, mais c’est fatigant et je ne comprends pas que l’éjaculation ne veuille pas venir.— C’est la maladie, mais ça va venir, faites-moi confiance. Masturbez-vous !Elle me lava les cheveux et je continuais à me masturber en lui faisant confiance.Je sentais ses gros seins juste au-dessus de mon front qui ballottaient, ce qui amplifiait ma douleur au pénis tendu. Et cette éjaculation qui ne voulait pas venir !Soudain en voulant me rincer, la douchette lui échappa des mains et une gerbe d’eau arrosa tout le haut de sa blouse. C’était horrible, ses seins paraissaient maintenant à travers la blouse et ma douleur augmentait.— Je suis désolée, me dit-elle, je vous impose la vue de mes seins dans votre situation.— Ça ne me gêne pas, ils sont magnifiques, mais cela amplifie ma crise d’autant que vos tétons sont énormes.— Je comprends, tournez-vous alors, mettez-vous debout, je vais laver votre corps et continuez la masturbation, ce n’est pas le moment d’arrêter.Elle me savonna le dos et les fesses et lava bien mon anus.— Tournez-vous maintenant et n’arrêtez pas. Je vais laver le devant. Je vous autorise à arrêter la masturbation quelques instants.— Je vais prendre le relais le temps de laver votre sexe.Elle recouvrit de savon mon sexe tendu et douloureux et le branla pendant que de l’autre main, elle lavait précautionneusement les testicules.La blouse n’ayant pas apprécié l’eau, ses énormes tétons commençaient à traverser la blouse ramollie.— Ça fait du bien, une petite pause pour la main gauche ?— Oui, tout à fait.Je sentais que j’étais prêt à exploser, mais impossible d’éjaculer, sacré Covid !— Au moins, je n’ai pas besoin de vous décalotter, c’est déjà fait. Voilà, c’est fini, continuez maintenant.— Ça va être long encore, cette masturbation ? Car je fatigue.— Cela fait maintenant, une heure et demie que vous vous masturbez, encore vingt minutes et normalement, naturellement, au bout d’une heure trois quarts de masturbation, nous nous sommes aperçu que l’éjaculation arrivait. Je vais vous rincer et ensuite vous séchez.— Je peux m’arrêter ?— Non, surtout pas, on continue et on y croit.Sa blouse était maintenant toute mouillée, l’eau de la poitrine avait coulé jusqu’en bas et je voyais maintenant son sexe à travers. Un téton avait maintenant traversé la blouse.Je n’en pouvais plus.— Bon maintenant, vous allez dans le canapé et vous vous masturbez bien en accélérant pendant que je nettoie la douche et que je ne vous vois pas arrêter !Soudain, je sentis une sensation étrange de chaleur dans mon pénis,— Pouvez-vous venir, c’est urgent.— Que se passe-t-il— Je sens que ça gonfle au niveau du gland— C’est bon signe, continuez, ça va sortir. Je reste pour surveiller.— Si c’était vrai ! Non, ça ne veut pas, j’ai l’impression que ça gonfle à l’intérieur et ça ne sort pas.— Il faut branler plus vite.— Je ne peux pas, je n’ai plus de force.— Je vais vous aider, je vais chercher des gants.Elle me prit la verge et me la branla violemment.— Ça va ?— La jouissance est trop grande, ça ne sort pas.— N’ayez pas peur de jouir, c’est naturel, ça va aider.— Pas devant vous…— Ne vous inquiétez pas, jouissez…Je ne savais pas si je jouissais ou si je criais. Cela a duré pendant au moins une minute.— Ahh, mon gland !— Qu’est-ce qu’il y a ?J’ai l’impression qu’il va exploser et soudain !Ahh ahhh, une douleur immense et un jet énorme sortit se répandre sur sa blouse déjà bien mal en point.— Ah vous voyez que ça sort et en quantité. Cela faisait combien de temps que vous n’aviez pas éjaculé ?— Plus d’un mois avec l’hospitalisation.— Ça va mieux ?— Oui, mais ça pique un peu.— Il doit en rester, je vais vous masturber quelques minutes pour bien vider afin que vous soyez tranquille pour vingt-quatre heures.— Vingt-quatre heures seulement ?— Oui, malheureusement les symptômes reviennent ensuite.Quand il n’y eut plus rien qui sortait, elle arrêta :— Alors vous trouvez-vous soulagé ?— Oui, c’est parfait, je ne bande plus, cela fait du bien. Votre protocole est excellent, je n’y croyais pas.— C’est notre métier, on a été formé pour cela.— Par contre, j’ai le pénis en feu avec cette masturbation.— Je vous nettoie et je vais vous mettre une petite pommade apaisante.Elle se mit en face de moi et étala avec délicatesse sa pommade.— Vous savez, ce sont vos poils qui vous irritent aussi. Je vous conseillerais d’épiler tout ça, car vous ne tiendrez pas la semaine.— Mais je ne peux pas en ce moment— Ne vous inquiétez pas, on verra cela demain.Je pouvais voir ses jambes écartées, car les boutons du bas avaient lâché, je voyais maintenant sa chatte bien ouverte et je crois que, malgré son professionnalisme, elle était bien humide et que ça commençait à couler sur sa jambe, mais elle n’en faisait pas état.— Voilà, j’ai terminé ma prestation. Est-ce que ça va mieux ?— Oui, un grand merci.— Je vous dis à demain, même heure.— Je crois que vous pouvez jeter votre blouse.— Oui, elle a souffert, mais c’est du jetable.Je n’avais pas le choix d’accepter, j’avais signé un devis pour une semaine.Elle repartit dans son camion se changer avec sa blouse remplie de sperme où l’on voyait tout à travers.J’étais soulagé et j’espérais que les symptômes n’allaient pas revenir, car deux heures de masturbation, c’est long et épuisant !