Vincent, jeune homme plutôt timide, a découvert les joies du sexe avec Elizabeth sa belle-mère, épouse insatisfaite de son père après l’avoir épiée en train de se masturber nue dans la salle de bains familiale. La jeune femme décide de prendre en mains la vie sexuelle du jeune homme.Elizabeth avait son idée en disant à Vincent qu’il aurait bientôt l’occasion d’exercer ses talents de baiseur. Elle avait en effet une amie très intime qui était dans une situation tout à fait similaire à la sienne. Denise avait aussi épousé un homme plus âgé, déjà pourvu de deux grands enfants. Et surtout, pour elle aussi, il était difficile, à 36 ans, d’admettre que les ardeurs maritales soient à mettre sur le compte des souvenirs. D’origine belge, elle avait un corps qui laissait à penser que dans quelques années elle aurait la plénitude des femmes de Rubens. Dotée par ailleurs d’un tempérament volcanique, ses superbes rondeurs alliées à son goût et ses aptitudes pour les joies du sexe avaient séduit de nombreux hommes avant qu’elle ne rencontre son mari. Ce dernier avait succombé aux mêmes charmes et en avait beaucoup usé. Satisfaite sur le plan physique et très à l’aise sur le plan matériel, Denise était restée fidèle. Mais la situation s’était singulièrement dégradée depuis quelques temps. C’est en partageant quelques confidences intimes, comme seules les femmes savent le faire, qu’elles avaient découvert leur frustration commune. Depuis les deux amies avaient échafaudé des plans pour remplacer leurs maris défaillants, mais aucun n’avait abouti jusqu’à présent. Elles avaient aussi envisagé de se livrer ensemble aux plaisirs de Lesbos, mais le cœur n’y était pas. Comme le disait Elizabeth à Denise :— Je te brouterais le minou avec grand plaisir, mais tu comprends, il me faut une certaine ambiance. Ce serait plus facile si, en même temps, un type avec une bonne grosse pine me prenait en levrette !Une telle complicité impliquait forcément qu’Elizabeth ne puisse rien cacher, même pas ses amours incestueuses, à son amie. Elle était d’ailleurs tout à fait prête à partager les ardeurs juvéniles de son beau-fils avec sa compagne d’infortune.Dès le lendemain, lorsque Denise vint lui rendre visite, elle s’empressa de lui conter son aventure.— Tu n’imagines pas ce qui m’est arrivé hier, ma chérie ?— À voir ton air radieux, je me demande si tu n’as pas fait l’amour ? On dirait que tu as les yeux qui suent le sperme. Ton mari s’est réveillé ? Tu as pris un amant ?— Non, non, tu n’y es pas du tout… Enfin pas tout à fait dit Elizabeth en riant. D’ailleurs tu ne trouveras pas… Imagines-toi qu’hier soir j’étais dans la salle de bains, nue, et que bien excitée, je m’étais mise à me donner du plaisir. Au bout d’un moment j’entends un cri dans la chambre qui jouxte la salle de bains. Je me précipite, et je trouve mon beau-fils, nu sur son lit, le corps maculé de sperme, et la verge encore frémissante de plaisir. Il avait fait un trou dans le mur et m’avait surprise en pleine masturbation. Apparemment c’est ce qui l’avait incité à en faire autant… Et là , je ne sais si c’est la vue de cette jute répandue sur son torse, sa bite à demi bandée, ou le vertige des odeurs, mais je me suis retrouvée en train de lui caresser le sexe et j’ai perdu le contrôle… Ses ardeurs réveillées, nous avons fait l’amour ! Ca faisait si longtemps…— Quoi ? Tu me dis que toi Elizabeth tu as vraiment baisé avec ton beau-fils ? Tu veux vraiment dire qu’il a mis sa queue dans ta chatte ?— Eh oui ! Et nous avons fait des tas d’autres choses. Et il a déchargé plusieurs fois… Trois fois en une heure pour être précise. Ce n’est pas mal, n’est-ce pas ?— Ça alors, toi tu ne manques pas de culot ! Tu te rends compte que c’est ton fils avec qui tu as baisé ? Tu as eu des relations sexuelles avec le fils de ton mari ! Et vous avez fait « des tas d’autres choses » Veux-tu dire que tu lui as sucé la queue par exemple ?Visiblement Denise prenait plaisir à décrire la situation. Inconsciemment elle se conditionnait pour profiter de la suite en se saoulant de mots crus.— Euh! oui… On a fait l’amour quoi… Donc tout ! Enfin presque tout ce qu’un homme et une femme peuvent faire quoi ! …— Mais c’est un ado— Je te jure que c’est un homme, un vrai ! Bien équipé et tout et tout ! Juste un peu timide, c’est tout ! Ca te choque tant que ça ?— Non mais…..Tu comptes recommencer ?— Bien sûr ! Tu sais que ce petit salaud m’a drôlement fait jouir… Il est doué. À moins que ce soit les circonstances. Dans tous les cas il faut recommencer soit pour vérifier soit pour en profiter… Mais je crois que c’est un bon coup… Et puis, avec lui j’ai tous les avantages en fait : je l’ai sous la main, si je puis dire. Personne ne s’imaginera que c’est mon amant. Je me venge de l’attitude de son père, et je le forme comme je veux… Et en plus je suis certaine que nous y prenons l’un et l’autre beaucoup de plaisir.— Tu as sans doute raison Babette, mais je ne me vois pas faire la même chose avec Didier.— Tu as tort, il est pourtant mignon aussi ton beau-fils, non ?— Oui, oui ! Mais je ne pense pas qu’il s’intéresse à moi au point de faire des trous dans le mur… Mais au fait pourquoi m’as-tu raconté tout ça ?— D’abord parce que tu es mon amie et que nous n’avons pas de secret l’une pour l’autre. Ensuite parce que je voulais te proposer de profiter de l’aubaine.— Tu veux dire que tu me proposes de coucher avec ton fils ? … Enfin ton beau-fils ?— Oui, pourquoi pas ? Je veux continuer à avoir des relations sexuelles avec lui, mais je ne veux surtout qu’il s’amourache de moi. C’est le gros danger à son âge. Il faut donc rapidement que je ne sois plus la seule avec qui il baise. Ça serait très malsain si c’était le cas. Tu sais que je ne veux surtout pas mélanger le sexe avec les sentiments. C’est pourquoi j’ai été si prudente jusqu’ici malgré mon désir de prendre un amant. Les hommes croient toujours que les femmes sont avant tout sentimentales, mais il y en a aussi qui veulent simplement s’envoyer en l’air sans complications. Dans le cas de Vincent, il faut qu’il comprenne que nos relations intimes se limitent uniquement au plan sexuel. Si tu fais partie du jeu, ça sera le cas. De plus, toi tu as aussi de l’expérience, des fantasmes, des envies. Tu pourras lui apprendre d’autres choses que moi…. Et puis j’espère bien que nous ferons des parties à trois. Tu sais, je t’ai toujours dit que faire l’amour avec toi uniquement me frustrerait, mais si nous avons un homme, ça change tout. J’ai bien envie de te faire des choses, ma chérie… Alors qu’en penses-tu ?Denise se mit à rire nerveusement.— Alors là ma chère, tu me sidères littéralement. Depuis plusieurs mois je cherche tous les moyens possibles pour que tu acceptes de m’aider à tromper nos maris. Tu refuses sous divers prétextes plus ou moins moraux, et maintenant tu me proposes une partie à trois avec ton fils. Veux-tu faire ça dans le lit conjugual ?.. Tu es redoutable ma fille !… Mais après tout pourquoi pas ? Tu as raison, et j’aurais tort de ne pas en profiter. J’accepte !… Mais comment vas-tu présenter la chose ? Tu vas lui dire : »Vincent, tu connais mon amie Denise ? Je te prie de bien vouloir la baiser, et tout à l’heure je vous rejoindrai »?— Non quand même pas. Il faut prendre quelques précautions avec les jeunes de cet âge. Je ne veux pas avoir l’air de t’imposer. Il faut qu’il te choisisse.— Merci d’y avoir pensé ! J’ai cru un moment être une femelle que l’on menait au mâle.— Ça te gênerait tant que ça ? Le but ma chère, c’est quand même qu’il te baise… et qu’il te satisfasse non ?… Mais ne t’en fais pas j’ai un plan. Tu vas le séduire toi-même. Je vais t’expliquer…— Décidément tu as tout prévu. Et tu as aussi prévu de venir nous rejoindre lorsque notre duo amoureux sera bien entamé ?— Eh oui ! C’est indispensable pour qu’il sache bien que ce qui nous a réunis, c’est uniquement une histoire de fesses. Il faut qu’il comprenne que seul le cul m’intéresse, c’est essentiel— OK, je m’incline ! Maintenant dis-moi où ? quand? comment? Ca commence à m’exciter tes petites histoires, j’ai du temps à rattraper, moi. Je te jure que je vais lui en mettre en plein la vue et en profiter un maximum. Tâche de ne pas arriver trop tard, car tu risques de le trouver bien flasque ton jeune baiseur.Le lendemain, Vincent n’ayant pas cours l’après-midi, était rentré vers 14 heures. Il avait embrassé sa belle-mère sur la joue, mais avec une certaine gêne, ne sachant quelle attitude adopter. Elizabeth n’avait rien dit, rien manifesté. Une demi-heure plus tard environ, on sonna, Denise était là , souriante et particulièrement sexy. Elle portait une mini plissée qui oscillait autour de ses hanches quelque peu généreuses. Ses jambes étaient mises en valeur par de longues bottes blanches. Quant à sa poitrine, elle semblait vouloir jaillir du corsage. Denise comme beaucoup de femmes un peu rondes avait une poitrine pleine avec une large assise qui la maintenait très droite sans le support d’un soutien-gorge. C’était le cas ce jour-là et les pointes dressées apparaissaient nettement en relief.Elizabeth la contempla en souriant :— Ben, ma chère, si les yeux ne lui sortent pas de la tête…Les deux jeunes femmes discutèrent un quart d’heure, puis Elizabeth alla prévenir Vincent qu’elle sortait pour un court rendez-vous.— Denise est là mon chéri, tu veux bien lui tenir compagnie ? Je n’en ai pas pour longtemps.Vincent vint donc au salon, et la tenue de Denise lui fit immédiatement l’effet escompté. Elle était debout devant lui, et il crut que ses seins allaient lui sauter au visage.— Bon sang quel corps pensa-t-il. Je ne sais pas où elle va la Denise aujourd’hui, mais je ne l’avais jamais vu aussi sexy. Si je pouvais me la faire… Elle n’a pas de soutif… Si ça se trouve elle n’a pas de culotte non plus… Comme Elizabeth… Peut-être qu’elles ont toutes le feu au cul à cet âge-là  ?Vincent ne croyait pas être si bien dire en parlant d’absence de culotte. Il en eut la preuve quelques minutes plus tard lorsque Denise se fut installée à demi assise sur un tabouret près du bar. Cuisses écartées, jupe relevée en haut des cuisses, elle dévoilait avec une totale impudeur sa toison blonde, coupée courte. Vincent assis en contrebas sur le canapé ne pouvait ignorer aucun détail.— La salope pensa-t-il, bien sûr qu’elle n’a pas de slip ! Et si elle est aussi chaude que ma salope de belle-mère, ça doit être un bon coup. J’aimerais bien, mais comment faire pour l’aborder…Denise, le sourire aux lèvres observait le garçon avec satisfaction :— Ça va il s’excite ! Maintenant on passe aux seins, après ce sera les fesses. Si il résiste c’est qu’il est bien timide !Elle pêcha une cigarette dans un petit coffret sur le bar, descendit du tabouret avant de se diriger vers Vincent.— Tu veux bien me donner du feu ? demanda-t-elle avec un sourire enjôleur.Vincent prit le briquet de bureau posé sur la table de salon tandis que Denise se penchait vers lui. Lorsque son regard revint vers elle, il put plonger dans le décolleté profond. Les deux seins étaient là , chauds, vivants et prêts à toutes les caresses. Les pointes bistres étaient dardées, bien dressées par le frottement du tissu. Et puis ce sillon profond qui devait être torride. C’est cela qui l’excitait particulièrement. Tout le temps que dura l’allumage, et il dura longtemps, Denise lui tint les mains. Mais lui ne pouvait détacher ses yeux de cette paire de seins si prometteurs de délices.Enfin Denise se releva laissant Vincent étourdi, la tête en feu et le sexe dur à lui faire mal. Elle se dirigea vers le bar, et là se baissa pour ramasser le paquet de cigarettes qu’elle avait sciemment fait tomber en descendant du tabouret. Son coup était rudement bien calculé. En se baissant la jupe remonta évidemment sur ses fesses, et Vincent crut défaillir. À deux mètres de lui, il avait la vision la plus érotique qui soit pour un jeune homme hétéro normalement constitué. Denise offrait deux fesses blondes et rondes à souhait, séparées par la raie à peine plus sombre qui s’ouvrait sur une chatte somptueuse aux poils courts, au clitoris émergeant fièrement au milieu des lèvres bien ourlées.Vincent eut un hoquet. Ce cul épanoui et au-dessous cette chatte dont il pouvait admirer les moindres détails eurent raison de sa timidité et de son inexpérience des femmes. Sans réfléchir. Il se leva brusquement et en deux pas rejoignit l’objet de sa convoitise. Ses deux mains se plaquèrent sur les fesses offertes et se mirent à les caresser avec frénésie, puis à procéder à quelques incursions du côté du sexe de la jeune femme. Denise sourit et savoura la caresse qui se faisait de plus en plus insistante, de plus en plus précise. Elle attendit quelques secondes, le temps que Vincent introduise un doigt dans son vagin, pour se retourner avant de se relever.— Dis donc espèce de petit vicieux. Tu profites que je sois penchée vers le sol pour te permettre de ces privautés… Crois-tu que ce soit convenable de surprendre une femme de cette manière ?Vincent décontenancé ne savait plus que faire. Rouge, les bras ballants, il attendait la suite de l’algarade.— Mais… balbutia-t-ilCe fut Denise qui remit les choses en place.— Alors, il te plaît mon cul dit-elle, adoptant un parler plus cru. Tu aurais bien voulu y mettre ta bite ? Avoue donc que si tu avais osé, tu m’aurais enfilé là … comme ça… tout de suite !… Déjà tout à l’heure tu lorgnais sur mes seins comme si tu voulais les bouffer. Ils sont beaux hein ? Si tu savais comme ce serait bon d’y mettre ta bite et de te branler entre mes nichons….. Je t’excite hein ? Ne dis pas non, ta queue est toute bandée, je le vois à la bosse de ton pantalon.En disant cela, Denise mit carrément sa main entre les jambes du jeune homme et caressa doucement cette tige de chair dure. Elle ajouta en souriant :— Tu as envie de me baiser hein ?…Et bien prends moi si tu en as envie. Qu’attends-tu ?Vincent, libéré par ces paroles, ne se le fit pas dire deux fois. Il enlaça la jeune femme et commença à l’embrasser un peu maladroitement à pleine bouche. Denise se mit immédiatement à jouer de la langue avec un art consommé, tandis qu’elle continuait à masser la superbe bosse qui déformait le pantalon du jeune homme. Ce dernier, ému et très impatient, tentait de toucher un maximum des trésors qu’il avait à portée de main. Il caressa d’abord les seins de Denise qu’il trouva délicieusement doux et fermes. Puis il souleva la courte jupe pour lui peloter les fesses, avant d’introduire ses doigts dans le sillon qui lui paraissait être un début de Nirvana. Denise tendit les fesses en arrière et il put lui caresser l’anus et la chatte qui déjà était bien lubrifiée et dans laquelle il put s’introduire sans difficulté. La jeune femme gémit sous la caresse.— Viens, dit-elle, emmènes-moi dans ta chambre.En quelques minutes ils furent nus. Denise fut agréablement impressionnée par la taille de la verge de Vincent. Elle la flatta quelques instants, dégagea complètement le bout de sa gaine de peau, et frotta la paume de sa main sur la base du gland, là où les terminaisons nerveuses sont particulièrement nombreuses. Sous la caresse experte de Denise, une onde de plaisir intense traversa le garçon, sa verge se redressa et grossit encore et le désir fou le submergea.— Ah ! Madame, ça vient… Arrêtez je vais jouir ! … Ça va gicler comme ça… dans vos mains si vous continuez. Je… vous… vous ne voulez pas que je… que nous b…qu’on fasse l’amour plutôt ?…Denise sourit et cessa ses agaceries :— C’est vrai que tu es vite excité, dis donc! Tu as raison, ce serait dommage de laisser cette bonne jute se répandre n’importe où… Attends, tu as aimé quand je me suis penchée pour prendre le paquet de cigarettes tout à l’heure ?… Alors viens, tu vas me prendre en levrette pour commencer.Denise se retourna et à genoux sur le lit, cuisses écartées, offrit complaisamment et sans pudeur une vision splendide sur ses fesses magnifiques et sur sa chatte luisante de mouille, tout à fait prête à recevoir la grosse bite de Vincent qui bandait toujours aussi durement.Le jeune homme s’approcha, pesant d’une main sur son sexe pour l’abaisser à l’horizontale, prêt à s’enfoncer d’un seul coup dans le vagin offert. Denise, dans un geste d’impudeur totale, écartait les lèvres de sa chatte pour lui indiquer le chemin. Vincent, avant de la pénétrer, put admirer le clitoris frémissant et perlé d’une goutte de foutre et au-dessus le fourreau accueillant qui ruisselait de cyprine.Le gland toucha enfin le sexe offert. D’une seule poussée il s’introduisit en prenant la jeune femme aux hanches. Avec un « han » de bûcheron, il s’enfonça jusqu’aux couilles d’une seule poussée et se mit à la pistonner sur un rythme qui traduisait son excitation. Malgré l’intense émotion que suscitait en elle cette fougue, Denise intervint pour le discipliner un peu:— Oh mon dieu que c’est bon!… Mais doucement… Doucement mon chéri. Si tu continues à cette allure tu vas jouir dans trente secondes. Va doucement, profites de chaque coup pour bien savourer ma chatte… Il faut aussi que tu penses à moi ! Un homme digne de ce nom doit toujours faire jouir sa partenaire… Là ouiii! C’est bon! Oui, fais en sorte que ta queue frotte sur les parois de ma chatte tantôt d’un côté tantôt de l’autre. Ouiii, je te sens mieux! C’est bon… Tu apprends vite. C’est bien ! Oh, je te sens, oui, vas-y limes, limes bien à fond. Oui vas-y c’est bon ! … Je sens tes couilles qui tapent sur mon clito… Oui c’est ça, prends-moi les seins, fais-moi les bouts… Ah! je sens ma chatte qui coule, mon foutre lubrifie ta queue. Ça fait « flic floc ». Ah le salaud, baiser l’amie de ta mère. Tu n’as pas pu résister à mon cul sans culotte hein ?Vincent avait de plus de mal à se retenir de jouir:— Madame je… Madame, je sens que ça vient!… J’ai du mal à me retenir…. Votre cul, votre… Qu’est-ce que je fais ? Il faut que j’arrête sinon je jute…— Nooon, attends que je vienne moi d’abord. Sinon après ta bite sera toute molle et je n’ai pas encore joui assez.La légère vexation causée par le doute émis sur ses capacités fit que Vincent put mieux contrôler son excitation. Il protesta néanmoins:— Toute molle?… Ah non! Normalement ma b.. euh! Elle va rester dure— Ah! cochon, c’est vrai que tu es jeune. Alors vas-y accélères… D’ailleurs ça vient, je sens que je vais jouir. Ouiiii, vas’y plus vite. De grands coups, ouiiii, c’est ça! Aaaah ça y est je jouis. Oh que c’est bon. Je jouiiiiis, tu sens mon foutre qui coule ?Un orgasme violent secouait Denise des pieds à la tête. Elle lançait son cul vers la verge qui lui pilonnait la chatte. Son corps se tordait de plaisir, elle mordait les draps et des larmes de bonheur coulaient sur ses jouesVincent qui avait enregistré la déclaration de la jeune femme sur les vrais hommes qui devaient d’abord faire jouir leur partenaire, se tenait à quatre pour ne pas éjaculer à son tour. D’autant qu’il sentait le vagin tout chaud et dégoulinant de foutre se resserrer autour de son sexe comme un fourreau de soie. Son sexe y glissait avec délices, c’était à la fois doux et si enveloppant… Le foutre éjecté par la chatte de Denise était si abondant que ses couilles en étaient recouvertes. Serrant les dents, il parvenait difficilement à retenir sa décharge. Ses testicules commençaient à lui faire mal… Et Denise jouissait toujours. Sa tête roulait de droite et de gauche tandis qu’elle gémissait sans arrêt. Son foutre continuait à sourdre de son vagin, irisé, chaud et d’odeur un peu poivrée. Il semblait à Vincent qu’elle ne s’arrêterait jamais. Enfin l’orgasme décrut lentement et le gémissement de Denise se transforma en un râle de gorge. Son corps s’affala doucement sur le lit, libérant la queue du garçon de son fourreau de chair juteuse.Vincent avait apprécié le goût des secrétions féminines lorsqu’il avait sucé sa belle-mère. Aussi, oubliant pour un temps son envie de décharger, il voulut profiter de l’aubaine.. Denise s’était retournée sur le dos et toujours impudique, remontait les genoux écartés jusqu’à ses seins. Elle offrait ainsi largement sa chatte à son amant. Sans attendre, Vincent enfouit son visage dans la vallée torride, dont les poils luisants de cyprine étaient collés ensemble. Il se mit à brouter la motte offerte, labourant de sa langue rigide, le clitoris sensible et gonflé par l’orgasme, aspirant les longues traînées de foutre qui s’étiraient en fils qui adhéraient encore quelques instants à la chair en feu.Denise sous la caresse rugit férocement. Son plaisir, un instant en sommeil, se réveilla brutalement et un nouvel orgasme la secoua. De son vagin sortit une nouvelle coulée de foutre que Vincent s’empressa d’avaler. Cette nouvelle jouissance anéantit complètement la jeune femme, et bien que le jeune homme soit toujours en train de lui lécher le clitoris, elle n’eut plus aucune réaction.Lorsque son jeune amant s’arracha aux délices des chairs vaginales, Denise refit surface lentement.— Oh!… Il me semble que je n’ai jamais joui comme cela… Tu es doué pour un jeune…. Mais dis donc, tu n’as pas joui toi?— Ben… non, pas encore. Vous aviez dit que je devais m’occuper de vous avant…— Bravo, tu iras loin… À moi de te faire jouir maintenant. Où et comment veux-tu décharger mon chéri ? Mes seins ? Veux-tu que je te fasse jouir en te masturbant avec mes seins ?… Viens ! Couches-toi sur le dos, je vais m’en occuper.Elle positionna Vincent allongé les jambes pendantes hors du lit puis, redressant la queue qui battait contre son ventre, elle la plaça entre ses seins de manière à ce que le gland montre juste sa petite bouche dans le haut de la vallée. Puis doucement, pressant de ses deux mains ses seins magnifiques, elle se mit à monter et descendre, faisant frotter toute la longueur du sexe contre sa chair chaude et douce.Vincent fermait les yeux, savourant la nouvelle sensation. Un frisson de plaisir s’irradiait depuis son sexe dans tout son corps.— C’est bon hein mes seins ? J’ai mes gros seins autour de ta bite pour te branler, et tu vas bientôt juter. Ton sperme vas gicler entre mes seins et couler partout, jusque sur les bouts…. Ah! le salaud ! je sens la décharge qui vient… Oui c’est ça! Oh que ça gicle fort, j’en prends plein le menton! Oh les giclées qui se suivent…Tes couilles étaient bien pleines. Ça me coule dans le cou et sur mes seins. C’est gluant et chaud huuuum !Alors que les dernières gouttes de sperme jaillissaient du gland de Vincent, Elizabeth qui attendait depuis un moment en regardant l’évolution de la situation par la porte entrebaillée, entra.— Ça alors: Ne vous gênez pas ! Ma meilleure amie et mon fils. Dis donc Vincent, il ne te suffit plus de baiser ta belle-mère, il te faut mes amies aussi ? Et toi Denise, tu dévergondes mon fils ?A suivre