Un parfum… d’un autre tempsCet Ă©pisode est le 7ème d’une sĂ©rie commencĂ©e il y a plusieurs annĂ©es et publiĂ©e sur Revebebe. La rĂ©fĂ©rence aux rapports entre personnes ayant des liens familiaux (mĂŞme par alliance seulement) posant problème, j’ai dĂ©cidĂ© de modifier cet aspect qui n’est ni la base, ni mĂŞme essentiel dans le rĂ©cit.Vincent est donc dĂ©sormais Ă©tudiant Ă Paris. Il a trouvĂ© Ă se loger chez Elizabeth, bourgeoise dĂ©laissĂ©e par son mari. Il en devient l’amant, ce qui libère ses inhibitions. Dès lors, il explore avec, ou sans elle, les diverses facettes de l’amour physique.J’ajoute, pour rĂ©pondre Ă certaines critiques dont ont fait l’objet les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, qu’il s’agit d’une fiction. Le but de ce rĂ©cit n’est ni autobiographique ni de faire un « roman vĂ©rité ». Je ne suis pas non plus très bon pour dĂ©crire les scènes entre personnes du mĂŞme sexe, n’ayant jamais pratiquĂ©. Mais je ne pense pas ĂŞtre, de ce fait, interdit d’en parler ? Je sais Ă©galement que certaines scènes ou rĂ©fĂ©rences sont un peu dĂ©suètes, et que mes personnages ne mettent jamais cet accessoire indispensable qu’est le prĂ©servatif. Alors disons que tout cela se passe dans les annĂ©es 70 (du XXème siècle quand mĂŞme). Temps bĂ©ni de la rĂ©volution sexuelle et qui ne connaissait pas les problèmes actuels.J’espère que vous prendrez quand mĂŞme plaisir Ă lire cet Ă©pisode qui m’a Ă©tĂ© rĂ©clamĂ© rĂ©cemment par plusieurs « mails ». Ce n’est sans doute pas le meilleur, mais la machine Ă©tant un peu froide, il faut le temps de la rĂ©chauffer.Si vous n’aimez pas, surtout ne vous forcez pas ! Passez Ă un autre rĂ©cit.Si vous aimez, dites-le, on Ă©crira la suite.Quelques jours plus tard, Vincent, continuant sa quĂŞte de la dĂ©couverte des joies du sexe, dĂ©cida d’aller voir un de ces films pornos qui, Ă cette Ă©poque, Ă©taient projetĂ©s dans un certain nombre de salles spĂ©cialisĂ©es. Un peu handicapĂ© par le noir assez dense de la salle, il commença par s’installer sur le premier siège venu, sur la dernière rangĂ©e. Sur l’écran, une fille plutĂ´t bien faite exĂ©cutait une sorte de striptease devant un jeune gars, qui exhibait un sexe de taille inhabituelle dont il entretenait l’érection en se masturbant la base du gland. Quand Vincent se fut habituĂ© Ă la pĂ©nombre, il distingua mieux ce qui se passait autour de lui. Sur la mĂŞme rangĂ©e, deux sièges plus loin, un homme avait sorti sa verge et se masturbait Ă grands coups de poignet. Il comprit d’oĂą venaient les mouvements qui faisaient bouger toute la rangĂ©e.Un peu tendu, notre jeune homme profitait peu du spectacle et demeurait hyper sensible Ă tout son environnement. Au-dessus de lui, il entendait des bruits de pas et de sièges. IntriguĂ©, il se demanda ce qui pouvait bien motiver cette agitation au balcon. Les bruits continuant, il dĂ©cida d’aller voir ce qui s’y passait. ArrivĂ© en haut des escaliers, il s’installa de nouveau sur le premier siège venu et regarda autour de lui.Le balcon Ă©tait relativement petit et s’étendait Ă sa droite. Une dizaine d’hommes l’occupaient, dissĂ©minĂ©s en petits groupes. Il comprit immĂ©diatement qu’il Ă©tait dans un lieu de rencontre homo.Le groupe le plus proche de lui Ă©tait composĂ© de trois jeunes gens. Celui du milieu avait Ă´tĂ© son pantalon et exhibait une longue bite toute blanche que son voisin de gauche masturbait avec vigueur. Le branlĂ© avait en mains le sexe de son voisin de droite, qu’il caressait de haut en bas, tandis que ce dernier l’embrassait Ă pleine bouche. Un peu plus loin, un gars, cul nu, s’appuyait des avant-bras sur le siège. Son partenaire avait enfoncĂ© son dard dans l’anus offert et l’enculait avec vigueur. Un troisième groupe Ă©tait plus confus et Vincent ne voyait qu’une tĂŞte qui montait et descendait, sans aucun doute occupĂ©e Ă tailler une pipe.Vincent n’avait Ă priori aucune attirance particulière pour les hommes. Cependant il ressentait un trouble Ă©trange. Les femmes suçaient bien, pourquoi pas les hommes? Sophie se faisait enculer et y trouvait son compte de jouissance. Peut-ĂŞtre Ă©tait-ce bon? Il dĂ©cida qu’il Ă©tait prĂŞt Ă faire des expĂ©riences de masturbations et de fellations qui, Ă priori, ne lui semblaient pas très risquĂ©es, mais qu’il refuserait d’aller plus loin, les risques d’avoir mal lui semblant trop importants pour une simple expĂ©rience. Il n’attendit pas longtemps. Un homme vint s’asseoir Ă ses cĂ´tĂ©s, et sans attendre, extirpa de sa braguette dĂ©jĂ ouverte un sexe de belle taille. Il le flatta quelques instants puis, sans un mot, il prit la main de Vincent et la posa dessus. Le coeur du jeune homme battit plus fort.D’abord lentement, Vincent commença Ă masturber son voisin. Sa main montait et descendait rĂ©gulièrement le long de la colonne de chair. La peau Ă©tait douce, la pine raide et chaude lui procurait une Ă©trange sensation. Petit Ă petit son apprĂ©hension disparaissait. Il devenait de plus en plus hardi. Il se tourna vers l’inconnu pour ĂŞtre plus Ă l’aise. Ce dernier, la tĂŞte renversĂ©e sur le fauteuil, les yeux clos, se contentait de jouir de la caresse.Vincent accĂ©lĂ©ra ses coups de poignets, dĂ©couvrant le gland turgescent d’un coup sec, puis le recouvrant de sa gaine de peau. Le souffle du masturbĂ© se fit plus rapide. Vincent eut une pensĂ©e pour le pantalon qui allait ĂŞtre taché… Tant pis, c’était le problème de l’homme, pas le sien!Sentant son partenaire prĂŞt Ă jouir, le garçon accĂ©lĂ©ra encore son allure, diminuant l’ampleur du mouvement au profit de la vitesse. D’un coup il sentit la veine se gonfler, et la première goutte gicla hors du mĂ©at et retomba sur ses doigts. Machinalement, comme il l’eĂ»t fait pour lui, Vincent, pour Ă©viter qu’il y en ait partout, remonta sa main jusqu’au gland. La gaine de peau se referma sur le bout, et les gouttes suivantes ne jaillirent plus, mais formèrent une petite mare qui bientĂ´t dĂ©borda et coula sur les doigts serrĂ©s autour de la verge. L’homme haletait Ă petits coups mais ne bougeait pas. Vincent sentit le volume du sexe dĂ©croĂ®tre rapidement. Il le lâcha et il retomba mollement rĂ©pandant le sperme sur le slip de l’homme. Celui-ci, reprenant ses esprits, remit le morceau de chair flasque encore gluant dans sa braguette.— Merci souffla-t-il simplement en quittant son siège.Presque immĂ©diatement, un autre homme prit la place laissĂ©e libre. Il n’avait plus de pantalon ni de slip, et sa verge assez longue, battait entre ses cuisses. Vincent le regarda.— Tu veux me sucer mon chĂ©ri? Après je t’enculerai, d’accord?— D’accord pour vous sucer, mais je ne veux pas me faire enculer!— Tant pis pour toi. Tu ne sais pas ce que tu rates! Alors, vas-y, suce-moi la pine, et fais ça bien, parce que j’ai dĂ©jĂ jutĂ© trois fois et ça ne viendra pas tout seul!— Vous… vous avez jutĂ© comment? En enculant un gars?— Non, non! Rassure-toi, j’ai eu deux fellations et une branlette! Elle est propre!Vincent prit la bite de l’homme dans sa main et la masturba durant quelques temps. L’engin commença Ă se redresser, sans s’allonger, bandochant lĂ©gèrement. Après quelques hĂ©sitations, le garçon se pencha vers le bas-ventre nu. Ses lèvres se refermèrent sur le gland qui sentait le sperme. Il entreprit de faire tourner sa langue autour du gland, excitant les terminaisons nerveuses. Doucement, le membre se redressait sans prendre beaucoup de volume. Ce n’était pas dĂ©sagrĂ©able, la peau douce et chaude lui plaisait. Lorsque la verge eut reprit la station verticale, Vincent se mit Ă monter et descendre le long de la hampe de chair, comme il l’avait vu faire par les femmes qui l’avaient sucĂ©. Il accĂ©lĂ©ra son mouvement et le membre prit du volume. Il avait oubliĂ© l’homme pour se concentrer sur ce qu’il avait dans la bouche.Se rĂ©fĂ©rant toujours Ă ce que les femmes lui avaient fait, il mit sa main en conque, soupesa les lourdes couilles et les pressa lĂ©gèrement. Puis il remonta ses lèvres Ă la base du gland, et, de sa main qu’il referma sur la colonne de chair, il se mit Ă le masturber. Longtemps il suça, branla, mais le plaisir de l’autre ne venait pas. Il allait se lever et partir, lorsque l’homme lui dit:— Vas-y, pompe plus vite, ça vient. Suce! Suce bien, oui, ça vient, ça vient!En effet, il sentit la veine se gonfler et l’homme Ă©jacula. La première giclĂ©e le surprit. Il avala et un goĂ»t prononcĂ© envahit sa bouche. Ce n’était pas du tout le mĂŞme goĂ»t que lorsqu’il avait fait l’expĂ©rience avec sa propre semence. Quelques gouttes suivirent, c’était chaud, plutĂ´t liquide et la source se tarit très rapidement. Manifestement son compagnon Ă©tait vidĂ©.Après cette dernière expĂ©rience, Vincent quitta la salle obscure sans rĂ©pondre aux autres sollicitations. Il sortit du cinĂ©ma encore tout Ă©tourdi. L’air de la rue lui fit du bien, et il rentra directement chez lui, gardant dans la bouche le goĂ»t un peu âcre de l’inconnu.Dans les jours qui suivirent, Vincent dut s’avouer qu’il se sentait sexuellement frustrĂ©. Son escapade dans le monde homo ne lui avait pas vraiment apportĂ© de satisfaction, mais rĂ©pondait simplement Ă sa curiositĂ©. Par ailleurs ses dernières rencontres et expĂ©riences diverses avec Sophie lui avaient plu, mais c’était sans comparaison avec ce qu’il avait expĂ©rimentĂ© auprès ses initiatrices. Il devait s’avouer que ses rapports avec des femmes plus âgĂ©es lui manquaient. Que ce soit sa logeuse ou avec son amie Denise, elles lui avaient, l’une comme l’autre, fait partager une sexualitĂ© profonde et complexe dont le seul but Ă©tait de faire vibrer au maximum leur corps qu’elles semblaient connaĂ®tre si bien. MĂŞme les «petits dĂ©fauts» de ces corps dont il raffolait, Ă©taient pour lui des sources d’érotisme. Sans rejeter la fermetĂ© des seins et du petit cul de Sophie, il prĂ©fĂ©rait de beaucoup la gĂ©nĂ©rositĂ© et la relative mollesse des appas des deux amies. Il regrettait la plasticitĂ© des fesses d’Elizabeth, si mallĂ©ables et si douces sous ses doigts. Les petits plis Ă l’aine, Ă la taille ou sous les seins Ă©taient autant d’endroits charmants qu’il adorait caresser du doigt ou de la pointe de la langue. La gĂ©nĂ©rositĂ© d’un clitoris bien charnu l’excitait plus que la petitesse du bouton de rose de son amie qui, pourtant, faisait tout pour dĂ©velopper cette partie de son anatomie.Tout cela manquait Ă notre jeune homme qui commençait Ă trouver que la prĂ©sence inhabituellement longue du mari d’Elizabeth Ă©tait un vĂ©ritable flĂ©au.Un jour cependant, rentrant chez lui vers 16 heures, il constata qu’il n’y avait personne dans les pièces communes. Il savait les filles Ă l’extĂ©rieur, et les chambres des propriĂ©taires Ă©taient ouvertes et vides. Depuis quelques jours, Charles V… prĂ©parait un nouveau voyage et passait ses journĂ©es hors de la maison. Quand Ă Elizabeth, elle devait ĂŞtre sortie. Mais après s’être dĂ©barrassĂ© de ses livres dans sa chambre, il entendit l’eau qui coulait dans la salle de bains. Un rapide coup d’oeil par le trou dans la cloison (qui sĂ©parait toujours sa chambre de la salle de bains) lui confirma que son amante prenait une douche. Sans rĂ©flĂ©chir, il se prĂ©cipita pour la rejoindre.Le spectacle qui s’offrait Ă lui provoqua immĂ©diatement une violente Ă©rection.Elizabeth, le corps entièrement savonnĂ©, les jambes Ă©cartĂ©es, se masturbait d’une main et se caressait langoureusement les seins de l’autre. Elle avait fermĂ© les robinets et ouvert la porte de la douche pour n’être pas gĂŞnĂ©e. Les yeux fermĂ©s, haletante, elle s’astiquait le clitoris et les grandes lèvres sur un rythme lent. Ses poils pubiens et l’ensemble de son sexe Ă©taient couverts de savon, et ses doigts glissaient aisĂ©ment sur sa peau. Elle en profitait pour se les introduire profondĂ©ment dans le vagin. Au bruit que fit Vincent en entrant, elle ouvrit les yeux et dĂ©couvrit le jeune homme qui la contemplait, les yeux brillants et la braguette gonflĂ©e.— Oh! Vincent, mon chĂ©ri, tu es lĂ ? Si tu savais comme c’est bon de se caresser avec du savon. Viens, mon chĂ©ri, nous sommes seuls. Mets quand mĂŞme le verrou par prudence, puis dĂ©shabille-toi et viens me rejoindre. Tu vas en profiter aussi!Vincent se hâta de se dĂ©vĂŞtir. Nu, le sexe dur, orgueilleusement dressĂ©, il entra dans la douche pour rejoindre sa logeuse. ImmĂ©diatement il voulut profiter des trĂ©sors qui s’offraient Ă lui et ses mains cherchèrent Ă remplacer celles d’Elizabeth.— Attends mon chĂ©ri, attends! Je te savonnerai aussi, mais avant, laisse-moi jouir, je sens que ça vient et que ça va ĂŞtre très bon…. Prends mes seins, mais laisse-moi faire avec ma chatte.Vincent ne se fit pas prier et empauma les deux magnifiques jumeaux pour les caresser. La sensation Ă©tait des plus agrĂ©ables, ses doigts glissaient sur la peau qui Ă©tait mille fois plus douce que d’habitude, et la chair se faisait souple pour lui Ă©chapper lorsqu’il la pressait en douceur.Elizabeth, qui avait continuĂ© sa masturbation, ne tarda pas Ă jouir d’un superbe orgasme. Son corps fut secouĂ© de spasmes violents. Elle s’accrocha de sa main libre aux Ă©paules du jeune homme car ses jambes flageolantes ne l’auraient pas portĂ©e. Elle se mit aussi Ă mouiller abondamment, et sa cyprine coula sur ses cuisses, creusant deux petits sillons dans la couche de savon.Elle parut un moment complètement absente et Vincent la soutint par le bras et sous les fesses pour Ă©viter qu’elle ne tombe. Son râle de plaisir fut long et profond, et lorsqu’elle Ă©mergea, ses yeux gardèrent quelques temps ce flou que donne un plaisir intense.Lorsqu’elle fut de nouveau lucide, Elizabeth se mit en devoir de savonner le corps de son jeune amant. En particulier son sexe et ses fesses. Puis lorsque la verge fut bien enduite, elle dĂ©couvrit entièrement le gland, qu’elle se mit Ă frotter avec insistance de la paume de la main bien enduite de savon. Changeant de mouvement, elle entoura le sexe de ses doigts en forme de fourreau et, sans trop serrer, masturba lentement le jeune homme, prenant bien soin de faire en sorte d’avoir le maximum de contact avec le gland bien gonflĂ©. Rapidement Vincent eut des sensations intenses. C’était beaucoup plus fort qu’une masturbation normale. La sensation Ă©tait aussi forte qu’avant une Ă©jaculation et pourtant il ne semblait pas que son sperme soit prĂŞt Ă gicler. C’était si intense que ses jambes flageolèrent. Il s’appuya de l’épaule contre le mur, lâchant un des deux seins qu’il continuait Ă caresser consciencieusement. Elizabeth tout en le masturbant l’embrassait Ă pleine langue et lui pelotait les fesses. Petit Ă petit, elle progressait vers la raie, elle aussi enduite de savon. Elle n’eut donc aucune peine Ă introduire son majeur dans l’anus de Vincent qui, sous la caresse, banda encore plus fort. Comme elle insistait, il sentit que ses testicules trop pleines allaient expulser sa semence hors de son corps:— Ça vient, chĂ©rie, ça vient!— Vas-y, mon Vincent! Tu vas me donner ta jute! Viens, chĂ©ri! Viens!Lâchant les fesses du garçon, Elizabeth se mit dans le compas de ses jambes et, continuant Ă le masturber, surveilla l’arrivĂ©e des premières gouttes de semence. Lorsqu’elle vint, il crut dĂ©faillir tellement la jouissance Ă©tait forte. La giclĂ©e Ă©tait abondante, Ă©paisse et violente. Elizabeth la dirigea vers son pubis. Les premières giclĂ©es de sperme se perdirent dans les poils pubiens oĂą elles se mĂŞlèrent au savon. Mais la jeune femme, trop sevrĂ©e d’amour, en voulait plus. Elle interrompit l’éjaculation en pressant le canal sĂ©minal au bas de la verge et se laissa glisser Ă genoux entre les jambes de son pensionnaire. Puis elle prit le sexe dans sa bouche avant de libĂ©rer le canal et la semence gicla de nouveau, emplissant sa bouche avide. Elizabeth, tout en avalant le chaud liquide, passait sa langue sur la base du gland, augmentant sensiblement le plaisir du jeune homme. MalgrĂ© le goĂ»t prononcĂ© du savon, elle se rĂ©gala de boire cette liqueur qui lui avait tant manquĂ©.Ses coups de langue et l’excitation que le jeune homme Ă©prouvait en retrouvant ce corps qu’il aimait tant firent qu’il ne dĂ©banda pas, montrant ainsi qu’il avait envie de poursuivre la sĂ©ance avec elle.— J’ai envie de baiser! J’ai envie de mettre ma bite dans ta chatte!— Oh! Oui! Viens, donne-la moi!Elizabeth, face Ă son amant, Ă©carta les jambes, et reçut avec bonheur le sexe qui la pĂ©nĂ©tra facilement, glissant dans la cyprine, le savon et le sperme qui avait coulĂ© de ses poils jusqu’au milieu de ses grandes lèvres. AussitĂ´t Vincent, prenant les fesses offertes, se mit en devoir de la baiser Ă grands coups de queue. Le dos appuyĂ© au mur de la douche, il devait faire un effort pour ne pas glisser, d’autant que rapidement, Elizabeth commença Ă jouir et s’accrocha Ă lui comme une naufragĂ©e Ă une bouĂ©e. Elle eut une sĂ©rie d’orgasmes consĂ©cutifs qui la secouèrent des pieds Ă la tĂŞte. En mĂŞme temps, elle Ă©mettait un long feulement de plaisir qui disait mieux que tout combien elle jouissait.SubjuguĂ© par la beautĂ© de cette femme en train de jouir, Vincent oublia quelques temps sa propre excitation, mais les mouvements convulsifs du vagin en pleine euphorie orgasmique, le frottement des mamelons Ă©rigĂ©s contre sa poitrine, eurent tĂ´t fait d’amener sa verge au bord de l’explosion. Il tenta de se retenir quelques secondes de plus, mais la sensation Ă©tait trop forte. Avec un grognement sourd, il Ă©jacula violemment dans le vagin si chaud et si soyeux. Elizabeth redoubla ses gĂ©missements pendant que Vincent se vidait en elle. Lorsque la dernière giclĂ©e fut Ă©jectĂ©e, Vincent se laissa glisser le long du mur de la douche pour se retrouver assis sur le rebord du bac, les jambes pliĂ©es. Elizabeth suivit le mouvement et s’appuya des fesses sur les genoux levĂ©s de son amant. Dans cette position son sexe entrouvert laissait s’échapper une longue coulĂ©e gluante qu’elle recueillit de ses doigts pour s’en barbouiller les seins, insistant sur les mamelons encore dressĂ©s.— Regarde chĂ©ri! C’est très bon pour eux, tu sais! Ca les raffermit.— Que je suis content de te retrouver, dit Vincent.— Moi aussi! C’était bon tu sais! J’en avais besoin. J’ai accumulĂ© un de ces retards d’affection depuis que tu ne me baises plus!— Ce n’est pas de ma faute. Moi aussi j’ai envie. DrĂ´lement mĂŞme.— Oui je sais mon chĂ©ri, c’est Ă cause de mon mari. Mais je pense qu’il va bientĂ´t repartir. Il est en rendez-vous au ministère pour rĂ©gler les derniers dĂ©tails.Le lendemain, il Ă©tait huit heures lorsque Vincent rentra Ă l’appartement. Le dĂ®ner Ă©tait servi. Elizabeth, Agnès, Isabelle et Sophie ses colocataires Ă©taient dĂ©jĂ Ă table. Il s’installa Ă sa place et remarqua l’absence de Charles V…— Mr V… n’est pas lĂ ? demanda-t-il— Non, rĂ©pondit Elizabeth, avec une lueur dans le regard, il est parti pour un mois Ă Libreville au Gabon avec Henri. Le voyage a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© hier soir tard et ils sont partis en dĂ©but d’après-midi.Vincent s’arrĂŞta de manger, surpris. Son regard rencontra celui de Sophie puis celui d’Agnès. Elles lui sourirent, ironiques, puis se regardèrent d’un air complice. Cette garce de Sophie devait avoir tout racontĂ© Ă Agnès, et chacune savait Ă quoi s’en tenir. Car non seulement Elizabeth se trouvait de nouveau libre de ses faits et gestes, mais le dĂ©nommĂ© Henri Ă©tait le mari de Denise, l’amie d’Elizabeth, celle qui l’avait si bien aguichĂ© et qu’il avait baisĂ©e Ă couilles rabattues. Les deux maris travaillaient pour le mĂŞme ministère et partaient parfois ensemble en mission. Dans le regard moqueur des filles, Vincent vit tout ce que cette nouvelle impliquait. Il allait pouvoir recommencer Ă baiser sa belle logeuse et sans doute son amie Denise, la somptueuse salope. Mais il avait aussi promis Ă Sophie de ne pas la laisser tomber… Quand Ă Agnès, pourquoi pas?Anne-Marie, la nouvelle bonne, desservait la table. Vincent la lorgna pendant qu’elle se penchait. Il n’avait pas encore pensĂ© Ă elle, mais après tout elle devait ĂŞtre parfaitement comestible. La trentaine, plutĂ´t bien faite, elle Ă©tait toujours habillĂ©e assez court avec des dĂ©colletĂ©s qui, sans ĂŞtre vertigineux, n’en mettaient pas moins en valeur des seins qui semblaient superbes. Ce soir, sa robe noire moulait Ă merveille sa croupe un peu gĂ©nĂ©reuse. Ça changeait de la prĂ©cĂ©dente, qui Ă©tait grande et sèche comme un coup de trique. Serait-elle accessible? Pour le savoir, il convenait de se livrer Ă une tentative audacieuse. Alors qu’elle lui servait le dessert, Vincent, euphorique et profitant de ce que la conversation Ă©tait animĂ©e, remonta doucement sa main le long des jambes de la jeune femme pour atteindre les fesses, qu’il frĂ´la doucement. Anne-Marie eut une lĂ©gère rĂ©action de surprise et serra quelque peu les fesses, mais elle continua son service et, se dĂ©contractant très vite, laissa Vincent explorer son joli petit cul qu’un string protĂ©geait bien peu.— Monsieur est satisfait? demanda-t-elle, espiègle.— Oui merci, dit Vincent qui abandonna les rondeurs avec regret.Puis en lui-mĂŞme:— Toi ma petite, tu seras sans doute la prochaine.Vincent, tout Ă ses pensĂ©es, ne suivait pas la conversation des femmes. IntĂ©rieurement il se moqua de lui-mĂŞme. Il rĂ©agissait comme un Ă©talon en train de faire l’inventaire de son troupeau de femelles. C’était tout Ă fait ridicule. D’un autre cĂ´tĂ©, il mesurait le changement qui s’était opĂ©rĂ© en lui depuis qu’il Ă©tait hĂ©bergĂ© par les V… Elizabeth et sa soif d’amour physique y Ă©tait pour beaucoup c’est vrai. Son regard sur les femmes avait changĂ©. EduquĂ© par une mère très prude, il avait d’abord considĂ©rĂ© l’élĂ©ment fĂ©minin comme presque intouchable, en dehors d’une union officielle. Toutes celles qui « voulaient bien » Ă©taient forcĂ©ment des filles de mauvaise vie. Ă€ Ă©viter comme le diable !D’un autre cĂ´tĂ© Vincent avait des besoins physiques importants qu’il assouvissait en se masturbant très souvent. Lors de ces sĂ©ances solitaires, il Ă©voquait toujours des corps de femmes. Et puis il y avait eu Elizabeth, son avis avait changĂ©Â ! Il avait compris que les femmes aussi avaient des envies et des besoins sexuels. Il Ă©tait dĂ©sormais bien dĂ©cidĂ© Ă en profiter pour autant de celles qui seraient consentantes. Après tout, il Ă©tait le seul mâle de la maison non?Pour terminer sa revue, il Ă©voqua sa plus jeune colocataire, Isabelle. Mais il ne s’attarda pas sur son cas:— Trop jeune, se dit-il, j’aime mieux les femmes plus âgĂ©es. Ou les vraies salopes comme Sophie.Après le repas, il remonta dans sa chambre, et attendit Elizabeth qui ne manquerait pas de venir le voir. Elle arriva en effet au bout d’une demi-heure. Elle portait une robe de chambre qu’elle Ă´ta immĂ©diatement. Nue, Vincent la trouva plus belle que jamais. Elle vint le rejoindre sur le lit.— Mon chĂ©ri, tu as entendu, nous sommes libres pour un mois. J’ai bien l’intention d’en profiter au maximum. Et comme Denise est cĂ©libataire Ă©galement, il faut que nous nous organisions. Mais d’abord, fais-moi l’amour, mon petit homme, car mĂŞme si notre sĂ©ance dans la douche hier Ă©tait un rĂ©gal, elle n’a pas comblĂ© la frustration des trois semaines pendant lesquelles tu n’as pas mis ta bonne bite dans ma chatte, et je suis en manque. Heureusement que nous faisons chambre Ă part avec Charles, car j’ai quand mĂŞme pu me masturber le soir. Mais ça ne remplace pas une bonne queue.— Tu n’as pas baisĂ© pendant trois semaines? Toi?— Qu’est-ce que tu crois?… Si ! Pour ĂŞtre honnĂŞte, une fois ! Mardi dernier, je me suis faite littĂ©ralement sauter, debout dans le salon. Mais c’était par un livreur qui Ă©tait pressĂ©, et qui m’a laissĂ©e tomber au milieu d’un orgasme. J’ai dĂ» encore une fois me finir Ă la main…. C’était quand mĂŞme mieux que mes masturbations solitaires, parce que j’avais du sperme plein la chatte, et que je m’en suis bien enduit le clitoris pour me branler avec. Alors viens rĂ©parer ça, mon Vincent, viens me faire jouir comme doit vraiment jouir une femme.Elizabeth, allongĂ©e sur le dos, Ă©carta largement les cuisses, prĂ©sentant sa crevasse rouge brĂ»lante et toute mouillĂ©e Ă la concupiscence de son amant. Vincent, qui attendait cela depuis longtemps, n’eut besoin d’aucun secours pour bander. Il se jeta sur la jeune femme. Son torse Ă©crasa la poitrine rebondie, sa verge chercha un instant le passage menant Ă la terre des dĂ©lices, et brutalement il s’enfonça en elle.La cramouille d’Elizabeth Ă©tait brĂ»lante d’excitation! Lorsque la pine juvĂ©nile la dĂ©fonça, la jeune femme gĂ©mit de plaisir. Elle caressa convulsivement les fesses masculines, puis le prenant aux hanches, tenta de lui imprimer un mouvement accĂ©lĂ©rĂ© pour qu’il la baise Ă fond. Ce dernier, trop excitĂ©, rĂ©sista et attendit un moment avant de commencer son va-et-vient dans le vagin avide de baise. La queue complètement entrĂ©e dans la grotte d’amour, les couilles Ă©crasĂ©es contre les fesses de sa partenaire, Vincent savourait la possession de cette splendide femelle.— Vas-y, mon chĂ©ri! Baise-moi! Baise-moi! Bourre-moi la chatte, je n’en peux plus, gĂ©mit Elizabeth qui se trĂ©moussait sous son amant, en proie Ă une terrible envie de forniquer.— Oui, oui! Mais attends un peu. Ta chatte est trop bonne, et si je commence Ă baiser, je vais dĂ©charger tout de suite. Embrasse-moi, ma chĂ©rie! Tu es belle, tu sais!— Tu aimes mon corps de femme, hein? Ca t’excite, petit pervers!Vincent lui ferma la bouche avec ses lèvres. Qu’elles Ă©taient bonnes, douces, pulpeuses, et cette langue qui fouillait sa bouche, jouant avec la sienne… Elizabeth mettait toute sa science dans ce baiser. Et lentement Vincent commença Ă limer. La verge juvĂ©nile entama sa danse d’amour, entrant et sortant de la fente en folie. Très vite, le corps d’Elizabeth se crispa, ses pieds s’appuyèrent fortement sur les reins de son amant. Ses doigts s’incrustèrent dans les reins musclĂ©s.— Oh mon chĂ©ri, comme c’est bon ta queue dans ma chatte! Je la sens bien! Tu me limes Ă fond, tu me dĂ©fonces! Je…. Aaaaaaaaaaah! Je jouis. Tu sens comme je mouille? Tu sens? Ca me coule dans la raie. Ma mouille me lubrifie le cul. Tâte, tu vas voir! Mets ton doigt, lĂ ! Oui, lĂ , lĂ , tu sens comme c’est gluant? Mais… mais tu me mets ton doigt dans le trou de mon cul? Petit salaud, me sodomiser avec ton doigt, mais tu es un petit vicieux!… Non non, ne l’enlève pas, au contraire, branle-moi le cul ça m’excite.— Tu voudrais que je te foute ma bite dans ton cul somptueux ma chĂ©rie?— Oh! Que me proposes-tu? Tu en as envie? Peut-ĂŞtre, on verra. Je ne sais pas! Je ne sais plus! Tu es un salaud, je sens revenir le foutre. Salaud chĂ©ri, oui, baise-moi, accĂ©lère. Aaaaah! Je jouis… Et toi aussi, je sens que tu m’inondes de sperme. Vas-y, mon beau Vincent, jute, jute… Ça vient encore, je jouis, je jouiiiiiiiis.Vincent venait lui aussi d’ouvrir ses Ă©cluses et son sperme coulait Ă flots dans le trou d’amour qu’il inonda. Elizabeth, au comble du bonheur, tremblait de tous ses membres et râlait de plaisir sans discontinuer. Vincent complètement abandonnĂ© sur le corps de sa maĂ®tresse, enserrait un sein frĂ©missant de sa main gauche, tandis que la droite restait coincĂ©e sous les fesses, l’index encore enfoncĂ© dans l’anus lĂ©gèrement dilatĂ© et brĂ»lant. Leurs deux corps battaient au rythme des coulĂ©es de leurs sĂ©crĂ©tions intimes.Lorsque enfin ils reprirent leurs sens, ils s’embrassèrent tendrement en se caressant doucement et, dans les bras l’un de l’autre, discutèrent.— Vincent chĂ©ri tu es merveilleux, tu me fais jouir d’une manière incroyable. Tu sais que tu vas avoir du travail. Maintenant que mon mari est en voyage, il va falloir me baiser tous les jours. J’ai trop souffert de ne pas pouvoir le faire avec toi pendant tout ce temps. Et toi, es-tu content de pouvoir Ă nouveau me baiser?— Oh! Oui, toi aussi tu m’as manquĂ©. C’est avec toi que je jouis le mieux. Quoiqu’avec Denise, c’est vachement bien aussi.— Dis donc, petit cachottier. Si tu dis qu’avec moi c’est le mieux, c’est que tu en as baisĂ© d’autres depuis notre partie avec Denise? Raconte-moi!— Oui, j’ai couchĂ© avec deux autres femmes. D’abord je suis allĂ© rue St Denis et je me suis tapĂ© une pute. Elle Ă©tait très belle, mais c’était plutĂ´t dĂ©cevant. Et puis j’ai aussi baisĂ© avec Sophie plusieurs fois.— Sophie? La copine d’Agnès?— Oui, Sophie. Tu sais, elle est drĂ´lement dĂ©lurĂ©e et très portĂ©e sur le sexe. Elle baise bien aussi.— Comment c’est arrivĂ©? Raconte!Vincent raconta son histoire avec Sophie dans tous ses dĂ©tails, puis il lui conta aussi son expĂ©rience rĂ©cente au cinĂ©ma. Elizabeth Ă©tait plutĂ´t Ă©tonnĂ©e, mais ne dit mot durant tout le rĂ©cit. Manifestement, ce qui l’avait intĂ©ressĂ©e le plus, c’était les Ă©bats de Sophie.— Eh bien dis donc, commenta-t-elle Ă la fin. Ce notaire, quel vicieux! Se taper ses jeunes employĂ©s mâles et femelles, c’est un pervers! Et le curĂ©! A qui se fier?— Tu sais, t’es aussi vachement perverse, tu m’as bien dĂ©pucelĂ© et Ă©duquĂ©! Toi aussi, tu te tapes des plus jeunes que toi ! T’as pas grand-chose Ă leur envier!— C’est vrai, tu as raison. Et les filles dans tout ça? Agnès, Isabelle ? As-tu essayĂ©Â ? Ce sont des copines, non ?— Je ne sais pas, je n’ai rien tentĂ©. On n’a pas trop communiquĂ© jusqu’à prĂ©sent. Tu sais que jusqu’à ce que tu m’éduques, j’étais très timide avec les filles. Peur de me planter !— Mais tu aimerais aussi te les taper, petit salaud?— Pourquoi pas? Je les ai vues Ă poils dans la salle de bains. Elles sont superbes toutes les deux. Pour ce qui est d’Isabelle, je ne sais pas du tout quelle attitude elle a vis-Ă -vis du sexe. Quand Ă Agnès, Sophie me dit qu’elle est très portĂ©e sur la chose, mais…— Mais quoi?— Si vraiment on baise comme des fous dans cette maison avec toi, Denise et d’autres, il sera difficile de se cacher d’elles. Si elles pouvaient ĂŞtre associĂ©es d’une manière ou d’une autre, et qu’elles aussi participent Ă la libĂ©ration sexuelle de cette maison, ça serait plus facile non?— C’est vrai, tu as raison… Enfin nous verrons! Pour l’instant il faudrait nous organiser pour les jours prochains. Je vais appeler Denise. Je rĂŞve d’une belle partie de cul avec elle, toi et moi, et pourquoi pas une de ces jeunes salopes, Sophie ou Agnès…— Eh! Doucement, je vais encore ĂŞtre le seul homme. Faudrait penser Ă en trouver d’autres!— Il y a bien Didier, l’étudiant qui loge chez Denise!— Chaude comme elle est, elle devrait dĂ©jĂ l’avoir convaincu.— Elle n’ose pas! La diffĂ©rence d’âge, les conventions sociales! Bref, blocage ! Mais Didier, tu le connais toi, tu ne peux pas lui en parler? J’avoue que l’idĂ©e de se retrouver ensemble avec Denise et chacune notre petit Ă©tudiant locataire me sĂ©duit assez!— C’est ça, je vais aller le trouver en disant : « Tu sais Didier, je baise ta logeuse, et je t’invite pour que tu la baises aussi. » Ca met en cause Denise, et je ne voudrais pas faire ce genre de rĂ©vĂ©lation sans qu’elle soit d’accord. Tu t’imagines, si l’un des deux le prend mal? Le malaise ! En plus, les parents de Didier connaissent bien Denise, non ?— Bon, alors il faut s’y prendre autrement. Monter un coup! Ou alors il faudrait que tu trouves deux ou trois autres gars, mais c’est nettement plus dĂ©licat. Didier sera forcĂ©ment discret, les autres…— Et pour Agnès et Isabelle, que compte-tu faire? Dans leur cas, on ne peut pas choisir, ça marche ou ça marche pas!— Ecoute Vincent, tes copines, c’est ton problème! DĂ©brouille-toi pour les tester! Fais-toi aider par Sophie! Pour les garçons, tu les amènes ici et je m’en charge.— En fait il y a deux problèmes. Le premier c’est de savoir si je peux coucher avec elles. C’est dĂ©jĂ pas Ă©vident. Mais s’il faut les faire partouzer, c’est une autre paire de manches. Pour Agnès, Sophie dit qu’elle est portĂ©e sur le sexe. Mais Isabelle, mystère total !— Ecoute, on ne se prend pas la tĂŞte. Ă€ chaque cas, on verra, mais d’une manière gĂ©nĂ©rale c’est toi les filles, moi les gars. Mais on s’assure avant de passer Ă la phase partenaires multiples, que la cible ne va pas crier au scandale. D’accord ? Mollo quand mĂŞme.— Donc, je me dĂ©brouille pour faire venir Agnès dans ma chambre et pour la baiser. Et si elle n’est pas contre, quand nous sommes en pleine action, tu viens nous rejoindre?— Oui, j’ai bien envie de la gougnotter, cette jeune salope. Je suis sĂ»re qu’elle aime se faire enculer. Je voudrais la voir avec un gros paf bien enfoncĂ© dans son petit trou du cul. Je demanderai aussi Ă Denise son nouvel engin. Elle s’est achetĂ© un gode et je voudrais bien l’essayer un peu. Je te baise dĂ©jĂ , pourquoi pas les autres? Et toi, je t’enculerai, petit salaud, ça t’apprendra Ă avoir de si belles fesses et Ă me baiser si bien.— Pas question, je n’aimerais pas ça du tout!— Non, mais tu as bien sucĂ© et branlĂ© des inconnus dans un cinĂ©ma sordide. En attendant, nous avons beaucoup de choses Ă faire. On s’y met dès demain.A suivre…