Devant le succès d’estime de mon histoire précédente, je me suis décidé à publier celle-ci. Elle vient d’un autre couple du Québec, Sandra et Claude… Le même fantasme que la dernière fois, mais écrit très différemment.Au volant de ma voiture, j’avais de la difficulté à me concentrer sur la route. J’allais enfin rencontrer Sandra en personne. Cela faisait déjà un bon moment qu’on avait fait connaissance sur un des canaux de bavardage. Ce matin-là, je m’étais connecté avec l’espoir de la trouver en ligne. Non seulement elle était là, mais elle avait accepté mon invitation à prendre un café.J’étais ivre d’anticipation ; serait-elle ce à quoi je m’attendais ? Nos conversations sur le Net étaient-elles un indice de ce qui allait se produire ? Était-elle prête à tromper son mari ? Je n’en savais rien. Cela faisait déjà quelque temps qu’on partageait nos fantasmes et nos désirs les plus intimes sur le Net et on avait parlé au téléphone une fois. J’avais été enchanté par sa voix douce et sensuelle ; elle m’avait mis hors de moi en me disant ses fantasmes les plus chers. Mon cœur battait tellement fort j’avais peur d’avoir un malaise.Je réussis à me rendre tant bien que mal à l’endroit prévu pour notre rendez-vous. Serait-elle là ? Changerait-elle d’avis à dernière minute ? Je me présentai avec quelques minutes d’avance. Devant les portes du café convenu comme lieu de rencontre, je vis une fille qui attendait… c’était elle ? D’un air distrait, elle me regarda approcher. Mes doutes disparurent quand je la vis avec un magnifique sourire qui se dessinait sur son visage. Elle était telle qu’elle s’était décrite, et plus. Elle avait de grands yeux vifs et un regard innocent qui la faisaient paraître beaucoup plus jeune que ses vingt-cinq ans. Je pressai mes pas, lui serrai la main et l’embrassai sur la joue d’un baiser nerveux, en touchant à peine son visage.— Sandra ?— Oui. Comment ça va ?— Très bien… Heu… hmmm… Je suis très content de te rencontrer… Uhh… s’cuse-moi si je ne sais pas trop quoi dire… Tu es vraiment ravissante.— Merci… Moi aussi je suis un peu nerveuse…— On va à l’intérieur ? On fera mieux connaissance devant une tasse de café.— C’est pas nécessaire. J’ai l’impression de te connaître déjà comme un vieil ami. Viens chez moi, on sera mieux à l’abri des regards.Je n’hésitai pas une seconde avant d’accepter son invitation. J’avais seulement un doute :— Ton mari n’est pas là ?— Il est au bureau. Il ne sera pas là avant sept heures… Alors tu viens ? T’as ton auto ? Je suis venue à pied, j’habite à dix minutes d’ici.Il commença à pleuvoir et on courut s’abriter dans l’auto. À l’intérieur, l’imper qu’elle portait s’ouvrit et me permit de découvrir une divine paire de jambes. Elle portait une jupe très courte en dessous et je ne savais pas si elle faisait exprès pour montrer le plus de peau possible. Pendant qu’elle me montrait le chemin à prendre, je jetais des regards furtifs en sa direction. Une bosse imposante prenait déjà forme sous mon pantalon. Elle ne fit pas semblant de rien voir, au contraire, elle me regarda directement dans les yeux en passant lascivement sa langue sur ses lèvres.La voiture s’arrêta devant sa porte et nous y rentrâmes d’un pas rapide.Sa demeure était décorée avec goût. Je m’assis sur un divan moelleux au salon pendant qu’elle fermait les stores et m’offrait un verre. Assise sur la causeuse, elle me fit signe d’approcher. Nous commençâmes une conversation sur nos différents intérêts, je complimentai sa maison en buvant lentement ce qu’elle m’avait offert. Après seulement quelques minutes, je sentis sa main effleurer ma jambe, qui était près de la sienne. Elle prit le verre que j’avais encore dans ma main et le plaça sur la table à café.C’est toujours indescriptible cette sensation du premier baiser. Je sentis sa bouche se poser sur la mienne et ce fut comme si un éclair avait touché à terre. Nos langues s’entremêlèrent. La sienne avait un goût de miel et d’amandes en pénétrant ma bouche. Je caressais l’intérieur de sa bouche avec des va-et-vient furtifs de ma langue. Elle mit une jambe à chaque côté de moi et s’assit sur mes genoux. Me devançant, elle prit chacune de mes mains et les posa sur ses hanches voluptueuses.Je caressai chaque partie de son corps d’une main fébrile. Ses fesses et ses seins étaient d’une douceur infinie. Très habile, elle commença à défaire mes boutons de chemise et ceux de sa blouse sans briser notre baiser. Elle défit mon pantalon avec la même adresse, puis je vis ses mains baisser sa jupe qui ne tenait que par un élastique. Elle se mit debout pour la laisser glisser à ses pieds. Sa blouse défaite et sa chevelure en désordre, elle avait l’air d’une femme dans tous ses états.Elle m’aida à baisser légèrement mon pantalon et vint coller encore une fois son corps au mien. Cette fois en m’embrassant sur le cou et la poitrine, elle réussit à sortir mon sexe déjà surexcité de sa prison. Tout en lâchant des petits râlements, des « ohh » et des « ahh », elle commença à me masturber lentement. Sa main massait la hampe de mon membre rigide, soupesait le sac se forçant sous mes caleçons, serrait le nœud fermement. Elle descendit son corps pour se mettre à genoux entre mes jambes, traçant son chemin sur mon cou, ma poitrine et mon ventre avec sa langue humide.Je sentis sa bouche se serrer comme un étau autour de ma queue. Levant les yeux vers moi, elle commença une succion répétitive. Son visage était comme illuminé pendant qu’elle s’activait à prendre le plus possible de ma bite dans sa bouche gourmande. Elle était devenue une mangeuse de queues. Si elle ne faisait pas attention, elle allait vite recevoir une abondante décharge de sperme à avaler.Son regard s’égara, elle semblait se concentrer sur cette pipe comme si la queue qui remplissait sa bouche était la seule chose au monde ; de temps en temps, elle la sortait de sa bouche et la léchait à grands coups de langue. Cela me permettait d’éviter un orgasme trop vite venu tout en me donnant d’agréables sensations. Puis, elle me dit :— Vas-y… Tu peux décharger dans ma bouche… J’aime ça.Et elle entama une pipe endiablée. Elle me branla d’une main en suçotant sur le nœud de ma bite. C’était presque violent. Mon dos se cambra, mes jambes raidirent et je sentis ce courant électrique qui précède la jouissance. Je giclai avec beaucoup de force une abondante quantité de liquide visqueux et chaud. Elle n’arrêta son pompage que lorsque ma queue était devenue tellement sensible que c’était douloureux. Puis elle remonta vers moi. Son visage était radieux.— Tu n’as pas échappé une seule goutte.— C’est mieux comme ça… Pas de gaspille.— Merci. C’était magnifique… Mais je n’ai même pas caressé ton sexe. Je voudrais te donner autant de plaisir que toi tu m’as donné.— Tu l’as déjà fait. J’ai joui sans me toucher… Mais si tu veux me caresser, je suis toute à toi.En disant cela, elle écarta de son sexe sa petite culotte. Il suffit d’un coup d’œil pour voir que sa forêt était inondée. Sa toison reluisait tellement elle mouillait. Je pus voir de longues coulisses de jus qui descendaient le long de ses jambes.Une envie soudaine de plonger mon visage entre ses jambes me secoua. Je voulais fouiner chaque recoin de sa fente avec ma langue et laisser ma bouche éponger ses sécrétions généreuses. La prenant presque violemment par la taille, je la fis s’étendre sur le sofa. Elle sembla amusée par mon empressement. Je me ruai sur elle et commençai par embrasser sa bouche comme un affamé. Elle goûtait encore moi. Je léchai et suçai son cou et ses épaules, je m’attardai spécialement sur ses seins, que je tétai et mordillai avec délectation. Ses mamelons dressèrent tout de suite et elle gémit un peu en s’abandonnant à mes caresses. Je frayai mon chemin le long de son ventre, son odeur de femelle commença à remplir mes narines.Quel plaisir que de trouver enfin l’objet de mes convoitises ! Les jambes écartées, son sexe était offert à moi et à mes caresses buccales. Je plaçai sous ses fesses un coussin qui se trouvait sur le divan. Sa chatte était toute baveuse et gluante déjà, elle bâillait légèrement et une traînée de jus allait échouer sur son anus rosé.Son corps se raidit au premier toucher de ma langue sur son sexe. Ouvrant un peu sa fente avec mes doigts, je trouvai son petit bouton sans difficulté. Il était tout rouge et demandait de l’attention, dressé comme une petite bite. Je le roulai sur le bout de ma langue, le pris dans ma bouche pour l’aspirer, le massai en le pinçant entre mes doigts. Je léchais son con au complet, sans rien négliger. Je le lapais comme un chat. Ma langue défilait tout le long de son sexe qui me gratifiait avec son liquide doux-amer. Je plongeai ma langue dans son vagin, en léchouillant l’entrée, je pus sentir ses contractions qui voulaient emprisonner ma langue à l’intérieur. Puis, je glissai ma langue vers le bas. Son anus s’ouvrit sans objections à mes attaques buccales, pendant que je jouais avec son clito. Son orgasme me surprit, tant par sa violence que par sa durée. En sentant ses frémissements, je sortis ma langue qui fouinait les plis de son petit trou pour aller coller ma bouche sur son sexe fumant.Je fus vite récompensé par une coulée succulente de jus féminins. Ses jambes emprisonnèrent ma tête, m’empêchant presque de respirer. Des longs flots de liquide salé remplirent ma bouche et descendirent en grosses gorgées chaudes.Je ne savais pas si elle criait, car j’avais les oreilles bouchées par ses jambes, mais son orgasme durait ce qui me semblait être des longues minutes. Je n’arrêtai pas de lui brouter la chatte que lorsque son corps se détendit et elle resta molle comme une poupée de chiffon.Je m’assis à côté d’elle pour qu’on reprenne notre souffle. Mon sexe avait repris ses forces pendant que je m’occupais d’elle, mais elle avait l’air épuisée.— Merci. C’était trop bon. Tu manges toujours aussi bien les chattes ?— Je t’avais dit que je suis très oral. Je pourrais faire ça pendant des heures entières…— C’est parfait ça ! Moi je pourrais me faire manger comme ça pendant des heures.— Dommage… Ton mari va arriver trop vite. On n’a pas des heures devant nous.— Tu sais quoi ? Elle m’a dit d’un ton presque moqueur.— Quoi ?— Tu te rappelles, une fois… tu m’as dit avoir un fantasme… Ça te tentait d’avoir une relation à trois… avec un mec bi ?— Oui… Mais c’est pas mal difficile de trouver un couple partant.— T’as toujours envie de le faire ?— Bien sûr… Si l’occasion se présentait.— OK. Tu sais quoi encore ? Tu ne vas pas te choquer ? Mon mari n’est pas au bureau… Il est là, derrière la porte du placard et il a tout vu.— Heu ?!!Mon cœur fit un saut. Je ne m’attendais surtout pas à ça. Elle eut mal à contenir son fou rire quand elle vit l’expression sur mon visage. Je retournai la tête en direction du placard à l’entrée et je vis la porte s’ouvrir. Son mari sortit comme si de rien n’était et se dirigea vers nous. Il n’avait pas du tout l’air d’un mari cocu. Il était plutôt souriant. Il ne portait qu’un t-shirt et un boxer… L’image de quelqu’un qui profite d’une journée de congé à la maison pour flâner et pour… regarder sa femme s’éclater avec un autre mec !— Salut… Ça va ? Moi, c’est Claude.— Euhh… Oui, ça va… Juste un petit peu surpris.— T’en fais pas… Toi tu ne le sais pas, mais des fois, quand tu chattais avec Sandra, j’étais à côté d’elle et je te lisais. On aurait dû te dire tout de suite qu’on serait trois à la table mais elle a préféré te surprendre. Je suis content aussi parce que j’ai trouvé ça très hot de vous voir en cachette. J’espère que tu n’es pas choqué.— Non pas du tout. Mais si vous me faites ça encore une fois, je vais mourir d’une crise de cœur. Vous êtes sûrs qu’il n’y a plus personne de caché quelque part ?— On est sûrs !L’ambiance commençait à être détendue. Ils avaient l’air d’un couple très complice et bien dans leur peau. Lui aussi avait une mine très jeune. Il était un bel homme dans la mi-vingtaine mais ses cheveux bouclés lui donnaient une apparence de gamin. Du coup, l’érection que j’avais perdue avec la surprise revenait. Ma queue commençait à s’enfler de nouveau. Les possibilités qui se présentaient maintenant étaient très excitantes. Sandra parla la première :— Et si on passait dans la chambre ? On va être beaucoup plus confortables.Elle n’avait pas terminé de prononcer ces mots qu’elle était déjà en route. Nous la suivîmes sans perdre du temps. À partir de là, tout se passa comme si l’on avait l’habitude de faire ça. Elle sauta sur moi et me dépouilla de mes vêtements en riant comme une gamine. Son mari, pendant ce temps, ôta le peu de sous-vêtements qu’elle avait encore. En le disant, on était nus, Sandra et moi, il ne restait que Claude. Je l’aidai à enlever son t-shirt et Sandra, toujours rieuse, s’accroupit devant lui pour faire descendre son boxer.Elle dévoila un sexe semi-rigide. Ses bourses étaient rasées, ainsi que la base. Il ne gardait qu’une petite touffe entre la queue et le nombril. Je me sentis presque jaloux. Sa queue n’était pas plus grosse que la mienne (de toute façon, je ne suis pas si insécure que ça), mais elle était vraiment belle. Sandra se mit à lui caresser les jambes. Elle ne riait plus et avait pris un air sérieux.Elle prit son sexe entre ses mains et amorça une masturbation sur le membre de son mari. Je voyais sa queue grossir à vue d’œil. Elle caressait partout autour de cette queue qui pointait maintenant vers le plafond. Elle me fit signe d’approcher. Elle prit nos deux pieux entre chacune de ses mains ! Elle nous masturbait lentement, on aurait dit qu’elle était fascinée par ces deux membres qui étaient durs seulement à cause d’elle. Elle pesait nos couilles comme pour essayer de voir lesquelles étaient plus dures. En nous tirant par la verge, elle nous fit approcher de son visage.Mon sexe fut le premier qu’elle emboucha. On aurait dit qu’elle avait l’eau à la bouche, tellement c’était mouillé et chaud dedans. Sa salive coulait sur son menton et allait retomber sur sa poitrine haletante. Puis elle retira ma queue pour la remplacer par celle de Claude. Elle n’arrêta jamais de nous branler simultanément, gardant un rythme constant.Après être passée d’une queue à l’autre plusieurs fois, elle s’arrêta sur la mienne. De sa main droite, elle tira sur celle de son mari pour le forcer à s’accroupir à son tour. Je devinai tout de suite ce à quoi elle voulait en venir.Très vite, j’eus devant moi ce couple libertin qui se chargeait de me sucer en tandem. Il n’avait pas autant d’expérience dans les fellations que sa femme mais il n’était pas maladroit pour autant. Il mettait beaucoup d’effort à aspirer ma bite dans sa bouche devant les yeux médusés de Sandra qui venait parfois prendre la relève ou donner quelques coups de langue à mes couilles.Puis elle fit mettre Claude debout. Répétant ce qu’elle avait fait à son mari, elle me fit mettre à genoux à côté d’elle. Droit devant mon visage, son sexe paraissait plus gros qu’avant. Sans hésitation, je fonçai vers lui et l’embouchai d’un seul coup. Sandra ne faisait que regarder la plupart du temps, mais elle venait à l’occasion m’aider dans la fellation de son mari. Du coin de l’œil, je la voyais se tripoter les seins et sa main qui frottait entre ses jambes avec insistance. Elle aimait le spectacle devant elle, dans son visage on pouvait lire le plaisir qu’elle retirait en se branlant avec notre show.Sandra vint se coller à mon oreille et chuchota quelque chose qui me donna des frissons :— Je veux qu’il t’encule.Elle me prit par les mains et me fit approcher le lit. J’avais les jambes en gélatine. D’une part, j’étais terriblement excité, d’autre part j’avais terriblement peur. Elle me fit mettre la tête sur le lit. J’étais presque à quatre pattes. Je sentis deux mains qui écartaient mes fesses et une langue mouilla mon anus de salive. Je regardai Claude à côté du lit et sus que c’était elle qui perçait mon cul. Elle me caressait si bien avec sa langue ! Elle la passait partout : sur mes couilles et sur mes fesses, mais surtout dans mon cul.Elle fit mettre Claude derrière moi et plaça le nœud de son sexe dans l’entrée de mon cul vierge. Je retins ma respiration un moment en sentant cette queue qui commençait à percer. Je m’attendais à plus de douleur, mais elle s’assura que Claude prenait son temps et mon cul était vraiment trempé de salive. Après un moment, je le sentis commencer un va-et-vient dans mon anus. Elle me branlait tranquillement au début, après elle prit la main de Claude, la mit sur ma verge pour qu’il s’occupe de moi. Elle vint se placer devant moi, assise sur le lit, les jambes bien écartées.Claude me fourrait de plus en plus fort et de plus en plus vite et moi je léchais Sandra avec la même force sinon plus.Je sentis Sandra tirer sur mon épaule et je compris tout de suite ce qu’elle désirait. Marchant sur mes genoux et sans arrêter mon enculage, je la rejoignis sur le lit. Maintenant couchée avec les jambes bien écartées, je ne perdis pas de temps et je m’enfonçai en elle, profitant des coups de bite que Claude donnait dans mon derrière.Elle semblait hors d’elle, m’embrassant passionnément et me disant des noms à l’oreille.— Petit enculé… Ahhh… hmmm… Je le sens en toi… Hmmm, vas-y, enculé, baise-moi encore plus fort.Son vagin caressait chaque nerf de ma queue et j’avais le cul à vif. Claude me défonçait le cul comme un déchaîné maintenant. Je savais qu’il allait jouir en moi bientôt. La pièce au complet sentait le cul et on entendait les bruits de nos sexes moites dans nos orifices encore plus humides.Elle jouit la première. Les contractions de son vagin sur ma queue eurent un effet incroyable. Le cul bien rempli, mon orgasme fut dévastateur. Très long. Je serrai le cul en même temps, ce qui fit que Claude m’envoya un arrosage de foutre gluant dans le cul.Épuisés, nous restâmes comme ça pendant des longues minutes. Je sentis Claude débander et abandonner mon cul meurtri, laissant échapper une abondante coulée de sperme de mon boyau. Je restai accouplé à Sandra pendant un moment mais, finalement, ma queue dégonfla et quitta la gaine qui l’accueillait.On était trempés de sueur, et après un bref repos, nous sautâmes sous la douche. Sandra et Claude se montrèrent très sympas, m’offrant de rester à dîner et même à passer la nuit. Pendant qu’on mangeait un excellent repas arrosé de vin rouge, Sandra me rappela un fantasme qu’elle avait partagé avec moi avant :— Tu sais ? J’adore la sodomie et j’aimerais toujours avoir deux hommes en même temps. Ça doit être quelque chose de se sentir remplie comme ça…