Le soleil darde ses rayons à travers les persiennes. Caroline ouvre un œil et revient lentement à la conscience. Le voyage en diligence, Paris, Elodie… Elle sent la soie sous ses doigts. Elle est allongée nue sur le lit, le drap est à ses pieds. Ses cheveux sont défaits. Elle hume le parfum musqué qui règne dans la pièce. Elle contemple les murs aux tons pastel, la garde-robe au grand miroir, sa robe et ses sous-vêtements abandonnés sur la chaise.Caroline se complaît dans ce doux état de demi-sommeil. Le souvenir de son aventure d’hier soir avec Elodie fait renaître son excitation. Sans même s’en rendre compte, elle écarte légèrement les cuisses et commence à se caresser. Mon Dieu, que la domestique a été habile pour lui donner du plaisir. Elle doit se retenir de prendre la sonnette pour l’appeler immédiatement. Elle veut d’abord se calmer, et puis il ne faut pas qu’elle donne l’impression d’une jument en chaleur. Qui sait si la soubrette n’ira pas tout raconter à sa mère ? Elle résiste aussi à l’envie de poursuivre ses caresses et de se branler jusqu’à l’orgasme. C’est agréable, le plaisir au réveil, mais quelque chose lui dit que la journée sera pleine de surprise, et qu’il lui faut garder quelques réserves si elle veut en profiter.Elle se lève donc à regret. Tiens, pendant son sommeil, la soubrette a vidé sa malle et rangé ses affaires. Elle en est un instant contrariée : elle y avait caché quelques objets et quelques vêtements dont elle préférait dissimuler l’existence à sa mère. Qu’aura pensé la soubrette en les découvrant ? Qu’importe, Elodie est une petite vicieuse que rien ne doit étonner.Elle se dirige vers la garde-robe. Elle sourit à son reflet dans le grand miroir. Elle trouve toujours son corps nu très excitant. Elle est si fière de ses gros seins arrogants, qui ont une fermeté insolente malgré leur poids. Maîtrisant difficilement l’envie de se donner du plaisir face au miroir, elle ouvre la garde-robe et choisit un habit léger. Elle l’enfile, et décide de partir à la découverte plus approfondie de la maison. Quittant discrètement sa chambre, elle s’arrête d’abord devant la porte de sa mère. Elle tend l’oreille, mais n’entend aucun bruit. Est-elle là ou pas. Elle n’ose glisser sa tête, et passe à la porte suivante. C’est celle d’Elodie. Là non plus, elle n’entend aucun bruit. Elle n’hésite pas à entrouvrir la porte. Si la domestique dort encore, elle la caressera pour la réveiller. Peut-être feront-elles l’amour ? Mais Caroline est déçue. La chambre est vide.Peu d’objets ont bougé depuis hier. Elle remarque juste que l’objet en bois qui ressemble à un énorme phallus ne se trouve plus sur la table de nuit, mais repose sur le lit, comme s’il avait été utilisé cette nuit. Elle entre dans la pièce, referme doucement la porte derrière elle. Elle prend l’olisbos. Il est gras, il sent le sexe de femme. Elle hume les draps, elle y retrouve l’odeur chaude de sa domestique, et cela provoque une poussée d’excitation dans son bas-ventre. Sur la chaise, des bas, des dessous, dont elle respire également l’odeur.Craignant quand-même d’être surprise par quelqu’un dans la chambre de la soubrette, elle s’arrache au plaisir de fouiller son intimité et ressort de la chambre. Il y a encore d’autres chambres à cet étage. Elle décide de les visiter plus tard. Elle a terriblement faim : les ébats d’hier ont creusé son appétit, et elle n’a pas dîné ! Sans faire de bruit, elle descend au rez-de-chaussée et se dirige vers les cuisines.Elle va ouvrir la porte, quand elle entend des gémissements. Puis une femme parle de manière étrange. Elle reconnaît la voix d’Elodie, mais ne peut comprendre ce qu’elle dit. Son intonation est bizarre, ses mots saccadés. Elle se penche, et risque un œil par le trou de la serrure. Sous ses yeux, les gros seins d’Elodie s’agitent en cadence ! Le champ de vision à travers la serrure est assez étroit. Caroline voit seulement que la soubrette, penchée en avant, se tient à la table de la cuisine. Elle ne voit pas son visage, elle ne voit pas non plus sa croupe, mais le doute n’est pas permis : elle se fait prendre par un homme, qui la ramone avec énergie. Les coups de boutoir secouent ses superbes seins, dont elle attrape de temps à autre un bout pour le triturer. L’œil collé à la serrure, Caroline écarte les plis de sa robe, et trouve le chemin vers son sexe. Elle écarte un peu les jambes et commence à se caresser. Énervée, elle voudrait voir le reste de la scène. Qui est en train de saillir sa soubrette ? Est-il nu, ou a-t-il gardé ses habits ? Est-ce qu’il est beau, est-ce qu’il est bien monté ? Qu’est-ce qu’il lui prodigue comme caresses ? Et elle, est-ce qu’elle prend son plaisir ? Est-ce qu’elle le regarde, ou est-ce qu’elle a les yeux clos ?Caroline est curieuse, et brûle d’envie d’ouvrir la porte. N’y a-t-il pas un autre moyen de les observer mieux ? Elle se relève, se dirige vers la droite. Le couloir forme un coude pour mener vers la cour arrière et le jardin. Elle sort de la maison, et trouve immédiatement ce qu’elle cherchait : elle s’approche de la fenêtre de la cuisine, et contemple la scène. Elodie est complètement nue, les cuisses largement écartées, appuyée sur la table. La tête baissée, elle regarde ses gros seins qui s’agitent entre ses bras. Derrière elle, nu également, un jeune homme la tient par les hanches et la laboure en rythme. Son visage est quelconque. Sans doute un valet, pense-t-elle. Mais il a un corps superbe. Il est grand, les épaules larges, les cuisses puissantes, le cul musclé. Un vrai Apollon. Et, pour autant qu’elle puisse en juger, il est monté comme un étalon. Son beau phallus est tout veiné, très gros et très long. Elodie grimace du plaisir de sentir cette grosse queue lui défoncer la moule.Caroline oublie que quelqu’un pourrait la surprendre, et ne peut résister. Elle écarte à nouveau ses vêtements et recommence à se branler. Ses doigts parcourent sa fente déjà poisseuse, taquinent son bouton déjà érigé. Elle retrouve le plaisir du voyeurisme qu’elle a si souvent pratiqué à Rennes en observant ses parents, et tous ceux qui avaient fait de leur maison un lieu de débauche quasi permanent : les nombreuses maîtresses de son père, Bérangère, la soubrette aux gros seins, Adeline, la blanchisseuse plus chaude que ses fers à repasser, Charles, le laquais qui n’avait rien à envier à ses étalons, Gérard, le serviteur zélé qui aidait parfois son père à combler ses maîtresses, le jeune valet Dominique qui avait découvert le sexe avec la jolie Louise, la cuisinière, qui connaissait tant d’usages pour les légumes de saison, et qui devait sans doute ajouter quelque ingrédient secret à ses préparations pour rendre tout ce monde assoiffé de stupre.Sous ses yeux, les deux amants changent de position. Le valet se retire. Caroline découvre avec intérêt son énorme gland tout luisant et violacé. Bon dieu, que ça doit être bon, de se faire enfiler ça dans tous les orifices. Elodie s’assied sur la table, écarte les cuisses, et commence à se caresser les seins. Le valet s’accroupit à ses pieds, il commence à lui lécher le clitoris, tout en enfonçant deux doigts dans son sexe. De l’autre main, il se masturbe consciencieusement. Son vit est décidément impressionnant. Caroline comprend le plaisir que Elodie peut trouver à se faire enfiler par une telle queue. Sans doute le valet est-il proche de son orgasme, car il interrompt rapidement son branle, pour se consacrer entièrement à sa partenaire. Sans cesser de lui lécher le clitoris, il enfonce ses doigts en rythme dans le sexe poisseux. Puis il commence à lui taquiner la rosette, lui imprime de petits massages circulaires avant de forcer l’entrée avec son pouce. Prise des deux côtés, Elodie cambre les reins et ondule de plaisir. Ainsi donc, elle aime aussi les plaisirs de Sodome !Elle se couche sur la table, et écarte encore davantage les cuisses pour faciliter à son amant l’accès à ses trésors. Celui-ci n’en peut plus de désir devant ce sexe béant. Il se relève, prend sa grosse queue dans ses mains. Il approche le gland, le glisse entre les lèvres, et s’enfonce lentement jusqu’à buter au fond du vagin. Elodie noue ses jambes derrière son dos, comme pour mieux l’enfoncer en elle. Il reprend ses mouvements de va-et-vient, plus rapides cette fois. Les gros seins d’Elodie sont secoués par les coups de boutoirs. Elle suce ses doigts, puis commence à se branler le bouton. Elle commence à gémir très fort, puis jouit en tremblant de tous ses membres.Le valet continue à la labourer en cadence, et prend plaisir à lui agiter ses nichons. Elodie recommence à les caresser, elle prend son sein gauche et en porte le bout à ses lèvres pour le sucer. Elle n’est plus maîtresse de son plaisir, et gémit sans discontinuer, s’interrompant seulement pour encourager son partenaire :— Oui, vas-y, mets-la moi, défonce-moi avec ta grosse bite. Oh oui, plus fort. Comme cela.— Tu l’aimes bien, hein, ma grosse queue.— Tu me rends folle, je jouis !— J’adore te défoncer la moule, et te secouer tes gros nichons.— Oui, vas-y, plus fort. Oh, je la sens tout au fond de mon con. C’est bon. C’est bon.— Je sens que je vais bientôt exploser, je vais te gicler mon foutre dans le con.— Non, attends, viens, viens sur me seins, j’adore quand tu gicles sur mes seins.Le valet retire précipitamment son sexe, il grimpe sur la table, et commence à branler son énorme phallus au–dessus de la poitrine de la soubrette qui a pris ses deux seins et les secoue violemment. Une première giclée de sperme jaillit et atterrit sur les seins, suivie de plusieurs autres. La soubrette répand avec délectation le sperme sur ses beaux nichons.Excitée par le spectacle, Caroline jouit à son tour en réprimant son envie de gémir. Calmée, elle se rapproche à nouveau de la fenêtre pour épier la suite.Le valet redescend de la table. Il se rhabille prestement, sans même essuyer son pénis encore gonflé. Il embrasse sa partenaire, puis quitte rapidement la cuisine. Elodie continue un instant à se masser les seins, pour bien étaler la semence, Elle se lèche les doigts avec délectation. Puis elle se rhabille à son tour. Elle se dirige vers évier, et commence à faire la vaisselle.Caroline rajuste sa robe, rentre dans la maison et pénètre enfin dans la cuisine. Elodie se retourne, lui sourit comme si de rien n’était, les joues encore roses de son plaisir. Caroline se dirige vers elle et, sans hésiter, l’embrasse sur la bouche ! Elodie est surprise, mais n’a pas le temps de réagir. On pourrait les voir ! Mais Caroline n’en a guère cure. Elle accentue son baiser, darde sa langue. Le goût du sperme est encore présent, très puissant. La petite salope le gardait dans sa bouche !Caroline commence à la taquiner :— Alors, ma chère Elodie, bien dormi ?— Et vous Mademoiselle ? En tout cas, vous ne vous êtes pas réveillée quand j’ai rangé vos affaires !— Quel est donc ce goût que je trouve sur tes lèvres ?— Quel goût, Maîtresse ?— Celui que je viens de trouver, pardi ! Pourquoi rougis-tu ?— Je ne sais pas. Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.— Ce n’est pas grave. Dis-moi, je meurs de faim. Qu’y a-t-il à manger ?— Je vais vous préparer un petit déjeuner qui vous redonnera des forces : pain, œufs sur le plat, marmelade d’oranges…— De la marmelade d’oranges. Jamais je n’ai goûté à cela.— Nous sommes à Paris, vous découvrirez encore des tas d’autres choses merveilleuses.— Aussi merveilleuses que toi ?— Maîtresse !Elodie commence à s’affairer à la préparation du petit-déjeuner. Caroline prend plaisir à l’observer. Lorsqu’elle fait quelque chose de difficile, Elodie se parcourt les lèvres du bout de la langue. Elle chantonne doucement. Quand elle se penche en avant, le poids de ses seins fait béer son bustier. Au moment où elle pose l’assiette sur la table, Caroline s’approche par derrière elle, lui empaume les nichons et la serre contre elle. Elodie tourne la tête, pour que Caroline puisse l’embrasser à nouveau. Elles se font des jeux de langue. Caroline est très excitée. Un bruit à l’étage interrompt leur baiser. Caroline s’assied et commence à dévorer. Elodie s’assied en face d’elle et la regarde en souriant. Caroline engloutit la moitié du repas sans rien dire, puis, son appétit quelque peu calmé, elle sourit à Elodie et la remercie. Plongeant son regard dans le sien, elle reprend les jeux de séduction. Elle laisse couler de la marmelade sur son menton, l’essuie du bout de l’index qu’elle suce ensuite d’une manière provocante. Elle trempe son index dans le jaune d’œuf, le suce en souriant à sa domestique. Elle en reprend, mais tend cette fois-ci son doigt à Elodie. Celle-ci entre tout de suite dans le jeu, gobe le doigt de sa maîtresse, le suce et le lèche. Le jeu est très excitant.Sans plus se soucier du fait qu’on pourrait les surprendre, Elodie se dépoitraille. Elle trempe les doigts dans le pot de marmelade, et s’en barbouille les mamelons. Caroline s’approche, se saisit du sein gauche, porte le gros bout gonflé à ses lèvres et le suce. Elle nettoie ensuite le téton droit. Elodie décide de pousser le jeu plus loin. Elle retrousse ses jupes, écarte les cuisses, et met de la marmelade sur sa vulve gonflée. Caroline s’agenouille entre ses jambes. L’odeur chaude et humide du sexe envahit ses narines. Les lèvres sombres sont lisses et gonflées, la fente profonde. Caroline plonge le nez dans la petite touffe noire, descend vers la fente, darde le bout de la langue et commence à lécher. Elle apprécie le goût mêlé de marmelade et de cyprine. Le clitoris, sans doute encore excité de la séance de baise qu’elle a eue avec le valet, est exagérément gonflé et sensible. Lorsque Caroline l’effleure, elle sent le petit choc qui agite tout le corps de la soubrette.— Mmh, j’adore la marmelade d’oranges, je crois.— Et moi, j’adore quand vous me faites cela, maîtresse.— Elle est bonne, ta prune. Mmh, le goût salé de ton sexe, mêlé à l’amertume des oranges et à la douceur du sucre. Je vais te manger le sexe.— Oui, sucez-moi fort, comme cela.— Et ça, tu aimes, quand je te lèche le bouton ?— Maîtresse, vous allez me tuer !Caroline se concentre alors sur le clitoris, le titille, le suce, le mordille. Elodie ne tarde pas à jouir. Elle pousse un cri, ses membres se raidissent, et elle écrase la tête de Caroline entre ses cuisses.Le plaisir passé, Caroline se relève en souriant. Elodie rabat ses jupes et rentre ses gros seins dans son bustier. Elle remercie sa maîtresse, puis, comme si de rien n’était, elle range la table. Caroline se lève, et lui annonce qu’elle monte dans sa chambre pour faire sa toilette.