C’était un soir comme tant d’autres on était tous les deux couchés dans le divan à regarder la télé, tu m’as dit :— Je vais prendre un bain.Je suis resté dans le salon à regarder distraitement la TV. Tu es revenue après un certain temps, tu m’as regardé depuis l’entrée du salon, tu étais magnifique. Tu avais mis tes yeux parfaitement en valeur avec un bleu qui faisait ressortir tes yeux pétillants de malice, un rouge à lèvre léger et de ma place je sentais le parfum que je t’avais offert à ton anniversaire. Tes cheveux étaient rabattus sur la moitié droite de ton visage te donnant un air sensuel. Tu avais mis la robe que j’adore te voir porter et tes cuissardes.Devant mon air ébahi, tu m’as juste dit :— Soit tu me rejoins dans la chambre, soit tu continues à regarder la télé, mais si tu viens dans la chambre, tu seras complètement à mes ordres.Naturellement, il ne m’a pas fallu deux secondes pour faire mon choix et te suivre jusqu’à la chambre en admirant tes jambes et ton cul. À peine dans la chambre, tu as refermé la porte derrière moi et tu m’as plaqué contre le mur en m’embrassant sensuellement, ta langue cherchait la mienne avec avidité. Tu as vite abandonné ma bouche et tu m’as tiré la tête en arrière et mordu dans le cou, jamais je ne t’avais vue avoir une telle attitude et j’avoue que ce n’était pas pour me déplaire. Tu t’es reculée en me laissant planté là , j’ai voulu avancer pour te prendre dans mes bras, mais tu m’as repoussé sauvagement contre le mur en m’ordonnant de ne pas bouger.Tu as sensuellement défait les boutons de ta robe un par un et j’ai pu admirer tes seins, enfermés dans ton soutien noir, lorsque tu as défait le dernier bouton, je me suis rendu compte que tu ne portais pas un collant, mais ton porte-jarretelles avec des bas noirs assortis à ton soutien et que tu ne portais pas de culotte. J’ai pu admirer ton sexe parfaitement épilé, tu étais tellement belle comme ça. Tu t’es rapprochée de moi avec ta robe ouverte et le regard étincelant d’envie. Tu m’as tapé sur la main comme à un enfant qui a fait une bêtise lorsque j’ai voulu te caresser.— N’oublie pas que tu es à mes ordres et que tu ne me toucheras et parleras que lorsque je te le permettrai, m’as-tu rappelé d’un ton autoritaire.Tu m’as à nouveau tiré par les cheveux et embrassé et mordu l’oreille et le coup, tout mon corps frissonnait de désir sous tes caresses et tes baisers parfois doux et sensuels, parfois dur me griffant et me mordant.Tu m’as fait allonger sur le lit en faisant tomber mon short. Eh oui, pour moi c’était une soirée banale comme tant d’autres, je n’avais passé qu’un vieux short en sortant de la douche, si j’avais su la soirée que tu avais prévue, j’aurais mis mes plus beaux habits pour te faire honneur et être à la hauteur de ta beauté.Dès que j’étais nu sur le lit, tu m’as plongé dans le noir en me mettant un masque sur les yeux. Je t’ai senti t’allonger à mes côtés, tu as exploré mon corps avec ta bouche et tes mains et comme quand j’étais plaqué contre le mur, tu alternais entre douceur et rudesse.Petit à petit, tu t’es approchée de mon sexe tendu, tu l’as léché et mordillé sur toute sa longueur pour finir sur mon gland avant de l’engloutir jusqu’au fond de ta bouche, tu caressais en même temps mes couilles. Tu as pris une de mes mains que tu as fait jouer dans tes cheveux avant de la placer sur ton cou en me fermant les doigts sur ta gorge pour t’étrangler légèrement, tu as ressorti mon sexe d’entre tes lèvres et demandé de te caresser les cheveux avec l’autre.Tu as repris tes longs va-et-vient sur mon sexe de plus en plus dur et j’ai senti ton doigt recouvert de gel s’insinuer dans mon petit trou, tu l’as enfoncé sans ménagement et tu as commencé à jouer avec pour trouver ma prostate et faire encore plus durcir mon sexe dans ta bouche. Tu as continué à me doigter et sucer mon sexe de plus en plus loin manquant parfois de t’étouffer.Je n’allais plus tenir longtemps à l’assaut de tes caresses et, sachant que tu n’aimes pas avaler, je t’ai prévenue que j’allais vite exploser vu le traitement que tu m’infligeais.Tu as sorti mon sexe de ta bouche et mordu à l’intérieur de mes cuisses en me rappelant que je n’avais rien à dire et faire sans un ordre de ta part, et sans un mot de plus, tu as repris tes va-et-vient sur mon sexe.Je n’ai pas tenu longtemps à ce traitement et j’ai joui comme jamais en inondant ta bouche de mon orgasme, tu en as avalé une grande quantité puis tu as attendu les derniers soubresauts de mon sexe pour le sortir d’entre tes lèvres et, à mon grand étonnement, tu es venue m’embrasser à pleine bouche pour me faire partager le reste de ma jouissance que tu avais gardé en bouche.— Voilà , toi qui voudrais que je te laisse jouir dans ma bouche, tu sais ce que c’est maintenant.J’ai voulu répliquer, mais tu m’as mordu un téton me rappelant que je n’avais pas droit à la parole.— Tu as joui, mais ta salope n’a pas eu d’orgasme, tu vas devoir te montrer à la hauteur maintenant, mon plug anal que j’ai mis après mon bain ne me suffit pas.À ces mots, tu as repris mon sexe en bouche pour lui rendre sa vigueur perdue.Il n’a pas fallu longtemps de tes caresses buccales pour que mon sexe soit à nouveau fièrement dressé et lorsque qu’il t’a semblé assez dur à ton souhait tu t’es retournée, tu as relevé le pan de ta robe, enlevé ton plug et tu as présenté ton petit trou devant mon sexe tendu.Tu t’es empalée sur ma bite et tu m’as ordonné de commencer par de lents va-et-vient tout en exigeant que je te caresse les seins.Pendant que mon sexe était en toi, tu as commencé à titiller ton petit bouton. Tu alternais entre ton bouton et ta grotte humide dans laquelle tu as introduit un puis deux puis trois doigts que je sentais contre mon sexe. Je sentais ton excitation et ton désir monter de plus en plus.Tu as ressorti tes doigts de ton sexe trempé pour me les mettre en bouche et me faire goûter ton jus, on aurait dit que tu avais retiré tes doigts d’un seau d’eau tellement ils étaient trempés, le mélange de nos deux plaisirs dans ma bouche m’excitait énormément.— Vas-y, goûte mon désir, tu vois comme ta salope adore se faire sodomiser tout en jouant avec son petit bouton. Prends-moi plus fort, encule-moi, ce n’est pas ta femme que tu baises ce soir, c’est ta pute.Jamais tu n’avais parlé comme ça et je ne te reconnaissais pas, mais je dois bien te l’avouer, mon amour, ça m’excitait encore plus.Et plus je te pénétrais, et plus tu me disais comme tu aimais être prise comme une pute, une salope qui aime la bite. Tu m’as dit de te dire combien j’aimais que ma femme soit ma pute d’un soir et tu m’encourageais à te traiter de catin, de chienne, de salope, que tu n’étais qu’un jouet sexuel qu’il fallait faire jouir.Tu me disais que tu jouais avec ton clitoris qui était tendu comme une petite bite tellement tu étais excitée, je sentais ton sexe dégouliner de plus en plus, les draps étaient trempés par ta cyprine, on aurait pu donner à boire à une troupe de légionnaires assoiffés, tellement tu dégoulinais.Tu voulais que je tire sur tes tétons gonflés de désir et dressés comme des dards.— Continue, encule-moi, défonce le cul à ta salope.Ce furent tes deniers mots avant de crier ta jouissance, te sentir exploser de bonheur et atteindre un tel orgasme m’a fait exploser au fond de ton cul, tout ton corps était parcouru de soubresauts. Il fallut un petit moment pour que tu redescendes, tu t’es retournée et tu m’as enlevé mon bandeau des yeux.Tu étais rayonnante, tu avais un petit sourire mi-fatigué, mi-satisfait.— J’espère que tu ne m’en veux pas de t’avoir arraché à ta télé, m’as-tu dit d’un air espiègle.— Non, mon amour, j’ai passé un moment de pur bonheur et de jouissance intense.On a discuté un petit peu de cette soirée, tu m’expliquas que tu m’avais laissé jouir dans ta bouche, car tu savais que j’aimais ça et que tu voulais me combler, mais que le baiser t’était venu comme ça, juste pour me faire partager ce que tu devais avaler, mais le dégoût passé, tu avais aimé cet échange et je t’avouai qu’au lieu de me calmer cela m’avait fortement excité.— On recommencera peut-être, mais cela viendra de moi, si tu me le demandes, je ne le ferai plus jamais, m’as-tu dit d’un air sévère.Je t’ai avoué avoir été surpris des mots que tu avais utilisés lors de nos ébats, là aussi tu m’expliquas que comme pour le partage de mon sperme, que ça t’était venu comme ça, juste l’envie du moment.Tu as retiré tes cuissardes, tes bas, ton porte-jarretelles, ton soutien et t’es venue te blottir, nue, dans mes bras et après un long et doux baiser, on s’est endormis blottis dans les bras l’un de l’autre.