Brrrrr ! Il commence à faire froid. Nous sommes au moi décembre, la nuit tombe. Il est à peine dix huit heures. La neige fondu a cesser de tomber. Les bois sont sombres. Pourtant dans le faisceau des phares, je distingue des ombres furtives… Des promeneurs attardés ?Je monte un peu le thermostat du chauffage, la radio chantonne un air diffus…Pour le troisième fois, je vais le tour du parking… Plusieurs voitures y stationnent…Je roule à faible allure, mais je distingue à peine les conducteurs assis derrière leur volant.Un promeneur discute avec un autre homme à travers la vitre de la portière. Il est assez ventripotent. Je continue ma route…Derrière moi, des phares se rapprochent, j’accélère et je finis par sortir du parking. Je vais jusqu’à la nationale où je fais demi tour au carrefour pour revenir vers le parking.Comme à chaque fois, une boule d’angoisse me noue l’estomac, de plus, l’heure tourne et je commence à me dire qu’une nouvelle fois, je serai bredouille.A l’approche du parking, je voie que de nouvelles voitures s’y stationnent tout juste. J’y pénètre à mon tour, suivie par une autre voiture.Zut ! Encore une derrière moi, je presse un peu l’allure et ne souhaitant pas faire un énième tour pour rien, je m’engage dans une place libre.Je tire le frein à main. Je souffle. Je sens bon nombre de regards posés sur moi. J’entrouvre la vitre de la portière, éteins mes phares. LE moteur tourne me permettant de me réchauffer un peu. J’observe mais ne vois pas grand chose. Je finis par couper le contact et décide de sortir…J’entrouvre la portière……..Brrrr ! Trop froid ! Je la referme et me recale dans mon siège. J’observe le balai des voitures. Tantôt l’une quitte son stationnement suivie par une autre, une autre prend sa place ainsi de suite…Derrière moi, sur la droite, dans un véhicule, je vois la lueur rouge d’une cigarette. La fumée s’échappe par la vitre entre ouverte. Je ne distingue pas le visage du fumeur d’où je suis.Je saisis ma veste sur la baquette arrière. Je respire un grand coup, coupe le plafonnier et ouvre la portière. D’une poussée je suis dehors, j’enfile prestement le manteau referme et verrouille mon véhicule et enfourne mes mains dans les poches fourrées.Il fait vraiment frais.Au loin, un homme fait mine de promener son chien… Mes yeux s’accoutument à l’obscurité… Il fait vraiment nuit maintenant… A l’orée du bois, un type semble uriner, mais vu le coin, je doute que cela soit vraiment ça.Je me déplace un peu, vers les arbres, contourne ma voiture et l’air de rien, je me rapproche du véhicule du fumeur. Sans doute m’observe t il, ou pas. JE ne vois toujours pas comment il est ! Jeune, vieux, gros, maigre, qu’en sais je ?Pourtant j’aimerai savoir… Le désir se fait plus présent… Mon nœud aux tripes aussi…Une voiture approche, je fronce les yeux pour ne pas être ébloui. LE faisceau balai l’habitacle du fumeur… OUI ! J’ai eu le temps de l’apercevoir… Un jeune, comme moi. Il semblerait du même âge que moi, 26-28 ans.Je vais pour aller vers sa portière, mais mes jambes me trahissent… Trouillard ! me dis-je.Non pas trouillard, c’est juste l’hétéro que je suis qui résiste à chaque fois que je penche vers mon côté Mr HYDE…. Vers une rencontre homosexuelle….Trouille et désir se dispute violemment en moi…. Désir finit par gagner et mes jambes reprennent leur mouvement.Mes pas crissent sur les feuilles mortes. J’arrive à hauteur de la portière, la lueur incandescente de la cigarette se tourne vers moi.— ’scuse moi, t’aurai une cigarette ? (blaireau ! t’as plus bateau comme approche ?!!!)— Oui… Il fouille sur la console, extirpe une clope du paquet et me la tends. Tiens ! Du feu ?— Merci, j’en ai.J’allume cette cigarette, alors que j’ai arrêté de fumer (double blaireau). Je tire profondément dessus et souffle…. Un silence pesant…— Tu cherches ? lui dis-je doucement.— Un homme….— Je m’en doute mais encore.— Moi je suis actif. Me répond il.Lueur de joie dans ma tête…— Tant mieux car moi je ne le suis pas….— Tu veux quoi ?— Orff… Un plan cool sans prise de tête. Et toi ?— Idem.Il jette sa clope et je finis par l’imiter. Il me regarde avec insistance, sans doute me détaille-t-il des pieds à la tête. Je le sais. Tout ce joue à cet instant. Nerveusement je remets mes mains dans mes poches et tripote les clefs qui s’y trouvent.— Tu me suis ? On va dans un coin tranquille dans les bois…— Ok.Intérieurement, je jubile. Je me presse vers ma voiture alors que j’entends son moteur démarrer. La bosse dans mon pantalon se fait plus présente… Ouvrir la portière… Mettre le contact… Reculer… Il m’attend quelques mètres devant… La ceinture ! N’oublions pas la ceinture. Il démarre, je le suis. On quitte le parking. Dans le rétro je vois une voiture qui nous emboîte le pas mais je n’y prête pas attention.On traverse les bois… Clignotant à droite, je vire aussi à droite au carrefour. On approche d’un petit village. Re-clignotant ce coup ci à gauche… Je fais de même. La voiture qui nous a emboîté le pas au parking agit comme nous. Zut un enquiquineur comme il y en a.Mon homme devant accélère, et je l’imite. Nous mettant une distance entre nous et notre « poursuivant ». Mais il s’accroche le lascar.On tourne un moment comme cela… De nouveaux les bois, clignotant, feux de stop. LA voiture devant s’engage dans un chemin fermé par une barrière. Il manœuvre et se met dans le sens prêt à partir. Je me stationne à côté. Je coupe tout et descend.Zut ! Le casse pied s’engage dans le même chemin. Je suis dans ses phares… Je lui fait signe de dégager mais rien n’y fait. Je peste et me dirige vers cet intrus quand je l’entends appeler un prénom. Re zut ! Mon homme lui répond… Grrr c’est son ex !Je vois mon beau plan s’envoler en fumée !…. J’enrage sur place. Mais non l’intrus recule et mon homme se dirige vers moi.— On s’enfonce un peu dans les bois ? me propose-t-il.— J’te suis.On n’y vois rien ! On évite les branches du mieux qu’on peut. Je regarde derrière moi, on est à une centaine de mètre des voitures et de la route.— Ça va là , non ?— Oui c’est bon, je ne pense que l’on soit dérangé. Répondis-je.On se rapproche l’un de l’autre. Nous ne parlons guère. Mon homme est lus grand que moi d’une tête ce qui n’est pas pour me déplaire, car après tout ne jouerai-je pas le rôle de la femme ? Je m’enhardis le premier et lui pose la main sur le paquet. Il ne tarde guère à faire de même. Malgré le Jean’s épais, je sens les pourtours de son membre. Ce dernier semble de bonne taille et l’eau me vient à la bouche. Il palpite à travers le tissu.Sa main se glisse dans ma veste, en écarte les pans avant de se poser sur ma ceinture. Il penche sa tête et commence à me bécoter le cou.Je n’apprécie pas trop mais je le laisse faire. De ses doigts agiles, il soulève mon pull et extirpe mon tee-shirt de mon pantalon. Sa main se fait caressante sur mon ventre et remonte vers mes pectoraux où il se saisit d’un téton. Je ne suis pas en reste, je m’attaque aux boutons de son jean’s. Avec difficulté, j’arrive à ouvrir sa braguette et j’y glisse la main. De sa main libre il remonte mon haut, il descend la tête et me happe un téton qu’il fait rouler sous la langue. Le froid me saisit les faisant pointer.La situation m’excite, il fait noire, à travers les arbres, je distingue la lueur des phares de voitures qui transitent sur la route. S’ils savaient ce qu’il se passe à quelques mètres d’eux ! On provoquerait sans doute un accident !Ma main gauche est au chaud entre son pantalon et son slip. À travers le tissu, je masse doucement son chibre que je sens palpiter. Il me tarde de le prendre en bouche…Sa bouche s’active sur ma peau. Sa langue glisse le long de mon ventre avant qu’il ne lèche le bas de mon ventre. Il décide alors de s’attaquer à ma ceinture qu’il défait prestement. En un instant, j’ai le pantalon et le boxer à mi cuisses. Le froid mord ma peau. Il se redresse, se plaque contre moi, une de ses mains se pose sur ma queue l’autre par dessous ma veste caresse mes fesses. Timidement, ses doigts effleurent la naissance du sillon intime, tandis que son autre main caresse ma verge tendue. Il s’empare de mes bourses épilées, qu’il malaxe doucement.Je profite de l’instant pour dégrafer son jean’s. J’extirpe sa queue du sa prison de tissu. Elle surgit à l’air libre. Sa chaleur contraste avec ma main froide qui s’en empare. Doucement j’entame un mouvement de masturbation qui ne semble pas déplaire à mon homme car il gémit doucement.Sa main lâche mes couilles, caresse mon scrotum. Ses doigt glissent vers ma rondelle. Ils appuient doucement dessus me procurant de délicieux frissons, avant de revenir aux bourses.Je suis au comble de l’envie…Il cesse ses caresses et défait sa ceinture afin de baisser son pantalon et son slip. Ma main glisse vars ses couilles… Légèrement velues, elles sont douces au toucher. Ses mains se posent sur mes épaules. Elles me poussent à me baisser… Je comprends l’invitation et me réjouis d’avance.Ma tête se retrouve à hauteur de son pubis. Suite à mon pantalon à mi cuisse, je suis en équilibre précaire… Afin de ne pas tomber à la renverse, je me cramponne à ses fesses. Des herbes hautes me chatouilles les cuisses et les fesses qui sont exposées à la morsure du froid.Je pointe ma langue vers se gland que je ne vois qu’à peine, sous cette caresse, la verge tressaute. Ses mains se portent à ma tête et l’attirent vers son pubis. J’entrouvre mes lèvres où le gland chaud se pose. C’est lui même qui d’une poussée de bassin pénètre ma bouche. Il a un goût de savon. Je m’applique savamment dans cette fellation, alternant de fortes succions et tournoiement de langue sur cette verge. Je me délecte à faire le tour du gland avec la pointe de la langue avant de taquiner le frein. Doucement j’entame de la tête un va-et-vient. La colonne de chair coulisse entre mes lèvres, lubrifiée par ma salive. Quel délice…..Ma mâchoire se distant pour l’enfourner en entier… Par moment je la laisse s’échapper et frotte mes joues alternant coups de langue et baiser. Je la laisse un peu à l’air libre avant de la reprendre en bouche. Mon amant soupire sous mes caresses. Je sens le goût âpre du méat qui perle de son gland. Je ralentis la cadence car je ne souhaite pas qu’il jouisse… Du moins pas encore car mon tréfonds palpite d’envie d’être comblé…J’éloigne ma tête de son pubis et fait mine de me relever, lui indiquant que je souhaite passer à autre chose… Je manque de tomber à la renverse mais d’une poigne ferme il me retient et m’aide à me relever.— Tu suces divinement… Me complimente-t-il— …A son tour, il s’agenouille devant moi. Je sens son souffle chaud sur ma verge, qui à cause du froid à perdu un peu de vigueur. Ses lèvres posent un léger baiser sur mon extrémité, s’entrouvrent et coulissent sur sa longueur. Il s’immobilise, savourant le gonflement de ma verge dans sa bouche…. Humm…La sensation est divine… Chacune de ses mains se saisit d’une de mes fesses, les écartant, présentant ma rondelle au rigueur du temps…Quel contraste, un souffle froid sur mon œillet, un souffle chaud sur ma queue….Il libère ma colonne… Sa langue suit le contour veineux jusqu’à mes bourses qu’il prend chacune à leur tour en bouche… Sa tête force le passage de mes cuisses, son souffle se pose sur mon scrotum tandis que sa langue tente d’atteindre le sillon de ma vallée… J’écarte mes jambes tant que je peux pour lui en faciliter l’accès… Il y dépose un peu de salive qu’il étale sur ma corolle de son index tendu en exerçant de légères pressions… Je me détend le plus possible pour qu’il puisse s’y glisser, ce qui ne tarde guère… Sa bouche remonte le long de ma hampe… De nouveaux ses lèvres glissent autour de ma verge… Son nez se glisse dans ma toison pubienne… Il ne peut aller plus loin… Elle est toute entière dans sa bouche. D’une langue experte, il en parcourt le moindre cm2, virevolte autour du gland tandis que son index coulisse dans mon anneau. Hannn……Je gémis de bonheur… Son doigt ressort et replonge… Un deuxième rejoint le premier… Mon anneau se contracte autour de ses doigt… Je suis au bord de la jouissance, ce que je souhaite mais avec son membre dans mon fondement…— J’ai envie que tu me prennes. Lui dis-je.Il retire ses doigts et se relève… Je regarde autour de moi afin de trouver un appui propice. J’opte pour l’arbre qui se trouve à quelques pas. Je me saisis du préservatif que j’avais pris soin de glisser dans la poche de ma veste avant de me rendre au parking et le lui tends.Je descends mes vêtement le plus possible et m’appuie des deux mains contre le tronc… Il se rapproche… Ses mains remontent ma veste et mon pull, dégageant ainsi ma chute de reins. Ses doigts se pressent contre mon anneau… Ils se retirent et reviennent humidifiés par sa salive. Ils appuient et rentrent. Il me prépare délicieusement… Ses doigt se retirent, laissant mon conduit entrouvert… J’entends l’étui du préservatif qui se déchire. Quelques instants après, le gland se pose sur le haut de mes fesses. D’une main experte, il descend et monte sa verge dans ma vallée. Chaque fois qu’elle passe au-dessus de mon petit trou, je donne un léger coup de reins pour indiquer à mon homme que je suis près à être pourfendu…Doucement je sens la rondeur du gland qui se pose contre mon anneau. Il tient fermement son membre et le remue doucement pour gagner un peu plus de terrain à chaque fois. Doucement et sûrement il pousse son avantage. Mon anus s’étire autour de cette verge… La sensation est divine… Le gland me dilate doucement… Il rentre, mes chairs se referme aussitôt sur sa colonne… Mon amant s’immobilise, permettant à mon corps de s’habituer à sa présence… La légère douleur s’estompe.Je savoure l’instant t me décrispe. Je me cambre, indiquant que je suis prêt pour la suite.Il reprend sa poussé. Sa verge coulisse, lentement en moi, déclenchant des vagues de plaisir. Cela dure une éternité, il prend son temps. Enfin, sa toison pubienne touche mes rondeurs et ses bourse viennent toucher les miennes.Je veux le sentir encore plus profondément. Je me cambre encore plus et essaie d’écarter mes cuisses mais mon jean’s m’en empêche…Il entame doucement son va-et-vient, et ondule doucement du bassin dans un mouvement de rotation… Quel supplice, c’est délicieux…Il sort son engin quasi complètement, dilatant ma corolle par la grosseur de son gland avant d’y replonger fermement.Je pose mon avant bras contre l’arbre et y cale ma tête, libérant ma main droite qui s’empare de ma verge à qui elle prodigue une folle masturbation…L’homme s’agite. Son pubis cogne de plus en plus fortement contre mes fesses dans un claquement sourd. Je pousse de petit cris. Chaque fois qu’il ressort je contracte mon anneau pour le sentir glisser en moi. Il grogne… Entre deux souffles, je lui dit qu’il me baise bien, que c’est bon et lui demande d’aller plus fort.Je me branle énergiquement en remuant des fesses. Lui accélère le rythme, gémit. Ses doigts s’enfoncent dans ma peau. Il se cramponne fermement à mes hanches et me pilonne. Chaque coup me propulse en avant. Sa queue tressaute, le rythme s’accélère… Je veux jouir en même temps que lui… J’accélère ma branlette, contracte mon anneau tant que je peux. Il gémit de plaisir… Sa sève monte, sa queue se contracte, il râle mais continue à me pilonner plus fort encore. Le plaisir m’envahit, la jouissance monte… Hoooooo Ouiiii….Mon foutre jaillit par saccade, à chaque coup de boutoir… Le plaisir est si fort que ma verge en est endolorie…Il se plaque à moi. Mes jambes flageolent.Il se retire doucement en me procurant encore des frissons de bonheur… Je me redresse, fouille dans ma poche et en extrait un paquet de mouchoirs…Je m’essuie le gland et l’anus. Je le sens ouvert. Le contact de mes doigt à cet endroit fait renaître le désir. Mais je n’ai plus le temps. Je lui temps un mouchoir pour qu’il puisse s’essuyer.On réajuste nos vêtements. Nous retournons vers nos voitures respectives en discutant comme si de rien n’était. Avant de monter dans la mienne, je le remercie du plaisir donné.Je démarre, mets le chauffage à fond car j’ai les mains gelées.Sur le chemin du retour, je songe à mon amant d’un soir, à la manière dont il m’a baisé, comment j’ai aimé le sucer. Ma verge reprend de la vigueur et mon anneau palpite de désir… Je pense que ce soir, je vais encore me branler voir peut être me glisser un god….