En ce Dimanche après-midi, alors que j’étais en vacances, je me rendais à la gare pour récupérer un copain. Il s’appelait Michel. Je le connaissais depuis maintenant plus de dix ans. En fait, je le voyais tous les étés, sur mon lieu de vacances. On s’entendait parfaitement bien. Ces dernières années, on s’était un peu perdu de vue. En effet, lui ayant une copine vivant relativement loin de chez lui, il profitait des vacances pour aller la voir. Un mois avant ce Dimanche, il m’avait appelé en m’expliquant qu’il souhaitait venir à Paris pour qu’on puisse se revoir. De mon côté, je n’étais que moyennement chaud car les vacances étaient courtes et je voulais passer du temps avec ma copine. Sur son insistance, j’acceptais. Lui était à nouveau disponible car sa copine l’avait quitté quelques semaines auparavant. Je me rendais donc à la gare et l’attendais en début du quai d’arrivée de son train. La poignée de main fut très chaleureuse. Nous décidons d’aller boire un coup dans un café. Nous passons ainsi la fin d’après-midi à nous remémorer nos bonnes histoires du passé. Il semblait très affecté par l’abandon de sa copine à laquelle il tenait particulièrement. Je lui proposais d’aller passer la soirée dans ma chambre de cité universitaire. En effet, je pensais que nous serions plus tranquille que chez mes parents. En fait, je lui cédais ma chambre pour la nuit tandis que je prenais celle de ma copine.Nous avons dîné rapidement dans un self situé non loin de ma chambre, puis nous regagnons tout suite après, la cité universitaire fort calme en cette période de congés scolaires. Nous nous installons dans ma chambre et commençons à discuter de différents sujets. La discussion s’oriente assez rapidement vers le souvenir des expériences sexuelles que nous avons eu en vacances avec les mêmes filles. Pendant que nous parlons, je ne peux m’empêcher de repenser à la façon de nous avons découvert le sexe tous les deux. On avait eu quelques jeux de  » touche pipi « . Je me rappelle d’un été où un jour, nous avions décidé de ne pas aller à la plage. Nous étions restés à la maison à jouer aux cartes. Celui qui perdait la partie devait subir le bon vouloir de l’autre. Cela n’allait évidemment pas très loin.. Le gagnant enlevait le maillot de bain de l’autre et décidait par exemple qu’on devait s’embrasser sur la bouche ou s’allonger nu l’un sur l’autre. Mais après coup, en étant un peu plus âgé, je me suis dit que cela aurait pu être intéressant d’aller plus loin pour savoir ce que cela faisait. Par la suite, avec d’autres copains, il m’était arrivé d’avoir des séances de branlettes collectives comme le font beaucoup d’adolescents. Parfois, je masturbais un copain puis c’était lui qui me masturbait. Une fois, alors qu’un copain se faisait une branlette et que je le regardais, il éjacula. Le problème, c’est qu’il risquait d’en mettre partout. Je recueillis donc tout dans ma main. Prétextant d’aller me laver les mains, en fait, je décidais de lécher le sperme qu’il y avait déposé. Je pris un énorme plaisir à avaler sa semence.Enfin pour en revenir à mon copain Michel, j’avais très envie de poursuivre ce que nous avions entamé des années auparavant. Michel qui était très maigre à son adolescence, s’était plutôt rembourré depuis notre dernière rencontre. Je prétextais donc de vouloir voir son bide pour lui faire ouvrir son pantalon. Je pus effectivement constaté qu’il avait augmentait de volume à ce niveau là . Mais en réalité, c’était d’avantage la taille de son sexe qui m’intéressait. Je me souviens que son pénis avoisinait les 17 à 18 cm au repos et près de 21 à 22 cm en érection. Je me lançais en lui demandant si son sexe était toujours aussi grand. Il descendit un peu son jean pour me faire constater qu’effectivement son engin était toujours d’une bonne taille. Je poussais le vis en lui demandant ce qu’il en était en érection. Il souligna que pour observer cela, il fallait se mettre au travail. Je lui proposais de le masturber mais, il m’indiqua que cela avait relativement peu d’effets sur lui. D’après lui, le moyen le plus efficace pour qu’il y parvienne serait qu’on lui fasse une fellation. Je fis le gars un peu dégoûté. En réalité, je mourrais d’envie de faire cette expérience. Il finit de me convaincre en m’indiquant qu’après cela, il me ferait à son tour une fellation. Finalement, j’acceptais. Je lui proposais donc qu’on se déshabille entièrement pour être plus à l’aise. Une fois nus tous les deux, on s’installa sur le lit. Michel était allongé sur le dos m’offrant sa queue encore mole tandis que pour ma part j’avais déjà une érection respectable. Je n’avais finalement encore jamais joué avec une queue non circoncise. Cela m’intriguait assez de manipuler son prépuce. Je commençais à lui titiller le gland encore couvert avec la langue. Telle une glace, je lui léchais la tige de haut en bas passant également sur ses testicules. Il y prenait visiblement beaucoup de plaisir puisque sa queue prenait des proportions importantes. Lui prenant l’engin en main, je le décalottais lentement puis le recalottais plusieurs fois. Une fois que sa bitte avait atteint sa taille maxi soit environ 22 cm, je le décalottais définitivement le gland et enfournais le tout dans la bouche. Je ne pouvais l’enfoncer complètement dans ma bouche car elle était bien trop longue. Je montais et descendais en accélérant progressivement le mouvement.Au bout d’une bonne dizaine de minutes, je sentais qu’il se raidissait se rapprochant probablement de l’orgasme. Je lui demandais donc de me prévenir avant son éjaculation de façon à ce que je puisse me retirer avant qu’il ne décharge. Il insistais pour que je prolonge ma pipe jusqu’à ce qu’il se vide. Je lui disais ne pas avoir très envie qu’il me décharge son foutre dans la bouche. Il insista en disant que son sperme avait un goût très agréable. En effet, sa copine lui faisait souvent des fellations jusqu’à l’orgasme et avalait systématiquement son jus alors qu’elle refusait de la faire avec tous ses anciens copains dont elle n’appréciait pas le foutre. Je finis par accepter. Je poursuivais donc ma pipe. Il se contracta puis déchargea une quantité impressionnante de liquide laiteux au fond de ma gorge. J’ai cru que cela ne s’arrêterais jamais. J’avais de la peine à tout avaler. Il en coulait le long de ma bouche. Lorsque cela cessa, je nettoyais tout ce qui traînait autour de mes lèvres. Je débarrassais également tout ce qui restait sur son gland encore tout gluant. Il m’expliqua qu’il n’avait plus éjaculé depuis plusieurs semaines justifiant ainsi la quantité de semence dont il m’avait gratifié. À mon tour, je me mis sur le dos lui présentant ainsi ma bitte bien bandée. Il la prit en bouche complètement sans trop de mal. Il faut dire qu’elle n’a pas les mêmes proportions que la sienne puisqu’elle ne dépasse pas les 15 cm en érection. Il montait et descendais assez rapidement sur ma queue faisant monter du même coup le plaisir. Il ne fallut pas plus de 5 minutes avant que je ne me déverse dans sa bouche. Je lui expédiais 4 giclées qu’il avala facilement. Il est vrai que la quantité était bien moindre que celle que j’avais due absorber.Michel avait très envie que l’on poursuive. Je n’y étais pas opposé. Il me proposa de me sodomiser. Je n’étais pas très chaud compte tenu de la taille de son engin. De plus, mon anus était vierge. Il n’avait jamais été pénétré par autre chose que mes doigts. Cela ne me préparait pas vraiment à recevoir pareil engin. Il m’indiqua qu’il me lubrifierait bien le trou du cul avant de me pénétrer comme il le faisait avec son ex copine qui, d’après lui, n’avait jamais souffert de ses assauts rectaux. Bien au contraire, il me dit qu’elle y prenait beaucoup de plaisir et lui en réclamait à chacun de leur rapport. Je me plaçais donc à quatre pattes sur le lit. Aussitôt, il commença à me lécher la rosette. Je trouvais cela très agréable. Une fois qu’il avait déposé un maximum de salive, je lui pris la bitte et lui déposait à mon tour une bonne quantité de salive en la suçant. Je crois que maintenant tout était prêt pour qu’il m’encule. Il positionna son gland contre mon trou et commença à pousser. Au début, ce fût assez douloureux. Puis, je finis par y prendre du plaisir. Il avait alors sa bitte entièrement dans mon cul. Il entama ses va-et-vient en me tenant par les hanches. Tantôt, il allait vite, parfois il s’enfonçait lentement. Il poursuivit ainsi pendant près d’un quart d’heure. Il m’informa qu’il arrivait au bout. Je lui demandais de se vider sur mon cul. Il reprit alors ses mouvements quelques instants puis sortit sa queue et explosa sur mon cul et mon dos. Il m’expédia encore une fois une quantité importante de foutre qui se déposa jusque dans le milieu de mon dos. Il prit soin de tout étaler sur mes fesses et mon dos. Je me retournais en enfournant sa bitte dans ma bouche pour la nettoyer complètement profitant du goût mélangé de son sperme et de mon orifice annal. À mon tour, j’avais très envie de lui fourrer les fesses. Il prit donc ma place sur le lit et je commençais à lubrifier son petit trou en le léchant abondamment. Je ne me contentais pas de cela, je passais également ma langue sur toutes ses fesses descendant jusqu’à ses couilles poilues ce qui visiblement le faisait beaucoup jouir. Je plaçais enfin mon gland à l’entrée de son cul et je poussais lentement. J’étais maintenant totalement enfoncé dans ses fesses. Je m’activais largement en d’amples va-et-vient.Le plaisir montait en moi. Je sortis ma queue de son trou, pris ma bitte en main et après quelques mouvements de va-et-vient, je déversais un flot de foutre sur ses fesses. À mon tour, j’étalais le tout avec mon gland prenant bien soin de nettoyer les dernières traces de foutre sur mon bout. Sa queue avait repris de la vigueur. Il me demandait de m’allonger sur le lit. Il vint s’installer sur mon torse. Il présenta sa queue à l’entrée de ma bouche. Je démarrais une nouvelle fellation. Je lui léchais également les couilles, les prenant même en bouche l’une après l’autre. Pendant ce temps, mes mains se plaçaient sur son cul. J’introduisais mon majeur dans son anus encore bien lubrifié. Il vint placer sa rosette au-dessus de ma bouche. Je lui introduisis ma langue dans le trou. Puis, je repris à nouveau ma pipe. Je crois qu’il n’était pas loin de l’orgasme. Je lui demande alors de se reculer. Il s’installe sur mon ventre. Je prends sa queue en main et débute une branlette. C’est partie. Il lâche sa purée. Il pose sa main sur la mienne pour accélérer le mouvement sur sa bitte. Les premières giclées atterrissent sur mon visage, puis sur mes cheveux, dans la bouche que j’ai grande ouverte, les derniers jets se déposant sur mon torse. Quel plaisir ! Tout ce qui s’est déposé à proximité de ma bouche, je le nettoie avec ma langue. Je lui demande de s’installer sur le dos sur le lit. Il relève ses jambes pour permettre d’avoir accès à son anus. Me voilà repartis à lui sucer sa bitte toute molle. Je lèche également avec délectation ses grosses couilles. Son anus est resté légèrement ouvert du faite de la précédente sodomie. Cela me permet d’y introduire facilement ma langue, ce qui le fait gémir. Je me prépare à l’enculer de nouveau. Cette fois, la pénétration se fait comme dans du beurre. Je le bourre sans ménagement. Il y prend visiblement beaucoup de plaisir et moi aussi. Tout en lui défonçant le cul, je joue avec sa queue. Quel plaisir de branler une bitte aussi grande et grosse. Avec mes doigts, j’essuie le précum qui coule de son gland et le porte à ma bouche. C’est un vrai nectar. Cette fois, il me faut m’activer une grosses dizaine de minutes avant que je ne sente le jus monté. Puis, je finis par exploser lui déversant ma crème dans l’intestin. Je lui mets ensuite ma bitte dans la bouche pour qu’il la nettoie complètement. Sa queue a de nouveau retrouvé sa taille normale. Je place mon cul au-dessus de sa bitte bien dure. J’écarte les fesses et j’introduis son engin en totalité dans mon petit trou. Je m’agite sur lui en faisant rentrer et sortir sa bitte de mon cul. Je me suis bien habitué à ces dimensions et maintenant je prends un plaisir immense à le sentir au fond de moi.Après un quart d’heure de pénétration, il me lâche sa semence dans l’intestin et aussitôt je m’empresse de venir lécher ce qui reste sur son gland. Cette fois, nous sommes tous les deux épuisés. Je pense que ma queue ne serait supporter une nouvelle érection. Je commence à avoir un peu mal. Pour une première, je pense que j’ai eu ma dose. On finit par s’endormir l’un à côté de l’autre. Le lendemain matin, je me réveille avant Michel. Je le vois nu à côté de moi, ce qui est vision agréable même pour moi qui avant hier soir n’était pas un adepte des relations homosexuelles. Sa queue toute mole semble me lancer un appel. Je la prends en main et commence à l’astiquer. Je la porte à ma bouche et entreprend un fellation. Cela a pour effet de réveiller Michel qui ouvre les yeux avec un large sourire. Il me propose d’aller prendre une douche et de continuer cela en même temps. Nous nous rendons à la douche. Je me place à genou devant lui et reprends ma pipe. Son engin n’a aucun mal à récupérer ses dimensions habituelles. Cette fois, je la mets en totalité dans ma bouche. Il atteint le fond de ma gorge. Au bout de 10 minutes à peine, il me lâche une quantité impressionnante de foutre. Moi qui croyais lui avoir vider les couilles la veille, j’en fus surpris mais je réussis à ne pas en perdre une goutte. Contrairement aux autres fois, il ne débanda pas. Il souhaitait me sodomiser. Il mit du gel douche sur mon anus et enfonça aussi sec sa queue dans mon cul. Il partit dans dix minutes de va-et-vient infernaux qui se terminèrent par une éjaculation abondante dans mon intestin. À mon tour, je me place derrière lui et lui masse le trou avec du gel. Sans hésitation, je lui fourre ma bitte très dure dans le cul. Je suis dans un état d’excitation intense. Je le besogne violemment et me vide à mon tour dans son cul. C’est beaucoup plus calmement que se terminent la douche et également le séjour de Michel.FRED