Laurent et moi nous connaissons depuis plus de dix ans. Nous avons partagĂ© les moments les plus heureux de nos vies. Les mariages, les naissances⊠mais aussi les plus difficiles, les accidents mortels ou les maladies graves. Chacun a pu mesurer sa combativitĂ© et sa capacitĂ© Ă rebondir devant les soubresauts foudroyants de la vie. De cette bataille ordinaire est nĂ©e une amitiĂ© spĂ©ciale, forte et profonde, largement soutenue par une passion commune pour la randonnĂ©e, la montagne, la nature et les voyages. Que dâĂ©vasions vĂ©cues ou imaginĂ©es ensemble !Dâabord cĂ©libataires, maintenant mariĂ©s et heureux de lâĂȘtre, nous adorons les petits week-ends et les vacances Ă la campagne, Ă la mer ou Ă la campagne, tout est bon pour passer de bons moments ensemble.Laurent, la quarantaine bien sonnĂ©e, a le charme bien particulier de cette dizaine mĂȘlant maturitĂ© et un physique encore pas trop dĂ©crĂ©pi. Ă propos de physique, dâailleurs, quelques activitĂ©s sportives et nos escapades sur des itinĂ©raires parfois athlĂ©tiques, nous permettent de ne pas bibendumiser, et de rester largement prĂ©sentables. Pas de gros muscles, mais pas de gras non plus.Finalement, je me suis souvent fait la rĂ©flexion : notre ressemblance est autant physique que philosophique. Pas trĂšs grands, plutĂŽt minces, trĂšs peu poilus, jusquâĂ son sexe circoncis, comme jâai pu le constater Ă lâoccasion de nombreuses toilettes ou douches communes.Oui, câest vrai, je lâavoue, je suis un mateur. Je plonge souvent mon regard dans les dĂ©colletĂ©s affriolants de ces dames, je ne loupe jamais une jupe un peu trop courte ou des jambes un peu trop Ă©cartĂ©es, je caresse du regard un bas-ventre ou un string offert Ă mes prunelles alertes par un pantalon un peu trop taille basse. Mais finalement, je ne suis quâun homme parmi tant dâautres, nâest-ce pas ?Il mâarrive aussi de jeter un coup dâĆil sur ces messieurs, mais uniquement dans des circonstances bien particuliĂšres : les douches communes du club de sport, la piscine, la plage. Oui, je dois le dire, je me sens parfois attirĂ©, je pourrais me qualifier de « hĂ©tĂ©ro, bi-curieux », comme on dit. Je peux fantasmer sur un beau sexe. Imaginer une belle Ă©rection me met moi-mĂȘme automatiquement au garde-Ă -vous ! Pourtant, lâidĂ©e dâembrasser un homme ou de le caresser me fait carrĂ©ment lâeffet inverse. Jâai parfois du mal Ă comprendre. Mon expĂ©rience se rĂ©sume donc Ă quelques jeux sexuels avec deux copains quand jâĂ©tais ado, plutĂŽt style « touche-pipi » avancĂ©, le plus abouti ayant Ă©tĂ© des masturbations communes devant des films de cul. Bref, rien de bien Ă©blouissant !Mais aujourdâhui je sais que mon attirance est lĂ . Si je mate une vidĂ©o, jâaime que les hommes soient « bien montĂ©s », et surtout quâils aient un beau sexe, ce qui reste une notion Ă©videmment trĂšs subjective. Et puis, les annĂ©es passant, je me suis mis Ă regarder des sĂ©quences gays choisies. Pas les grosses partouzes entre mecs, mais plutĂŽt les sĂ©quences intimes Ă deux, et particuliĂšrement la sodomie et encore plus les feuilles de rose, que jâavais pu tester Ă lâoccasion dâune aventure hĂ©tĂ©ro et dont je suis devenu un inconditionnel.Mais revenons Ă Laurent. Au fil des annĂ©es, sâest donc installĂ©e une profonde intimitĂ© entre nous. Et, petit Ă petit, jâai rĂ©alisĂ© que cette complicitĂ© prenait parfois de drĂŽles de tournures. Laurent semblait ainsi, tout comme moi, prendre un malin plaisir Ă multiplier les occasions de se retrouver Ă poil ou en petite tenue quand nous Ă©tions ensemble. Les douches au club de sport sâallongeaient bizarrement, et ce nâest que lorsque mon Ă©rection devenait trop visible et Ă©vidente que je mettais fin Ă un long savonnage, assez ciblĂ© pour tout dire. Parfois Laurent devait arrĂȘter avant moi dâailleurs, 1-1, la balle au centre !Les envies pressantes en pleine nature se sont multipliĂ©es, de prĂ©fĂ©rence lorsque nous nous retrouvions tous les deux. En fait, câest lui qui a commencĂ©, une fois oĂč jâai dĂ» mâarrĂȘter en pleine forĂȘt pour soulager ma vessie. Au lieu de rester en retrait ou de sâĂ©loigner, Laurent, sans vraiment en avoir lâair, se positionne de façon Ă pouvoir pleinement observer les opĂ©rations. Je me garde bien de me dĂ©tourner, et avance au contraire mon bassin le plus ostensiblement possible, tout en faisant mine dâĂȘtre trĂšs absorbĂ© par lâadmiration des rayons de soleil dans les feuillages. Le problĂšme est que cette situation me fait trĂšs vite bander, et je suis presque gĂȘnĂ©, mais je ne peux plus rien faire ; je termine avec difficultĂ© mes petites affaires, et remballe le tout vite fait, mine de rien. Le soir mĂȘme, arrivĂ© au gĂźte, je mâoffre une longue masturbation sous la douche en repensant Ă cet instant, et je jouis avec une force insoupçonnĂ©e.Depuis ce jour, une sorte dâaccord tacite veut que chacun puisse largement, toujours en ayant lâair de rien, largement profiter des nombreuses envies pressantes de lâautreâŠUn matin, lors dâun week-end Ă la campagne, je pense ĂȘtre le premier Ă me lever mais je tombe sur Laurent, confortablement allongĂ© sur le canapĂ© du salon. Je comprends vite, Ă ses gestes furtifs, que je suis arrivĂ© au mauvais moment. La dĂ©formation Ă©norme de son caleçon en est la preuve rĂ©siduelle incontestable. Je ne peux pas dĂ©tacher mon regard de cette apparition, et je reste quasiment bouche bĂ©e, laissant simplement Ă©chapper un « salut » en bonne et due forme. Laurent ne bouge pas, et je reste debout, nâosant plus bouger de peur de mettre fin Ă ce dĂ©licieux instant. Moi-mĂȘme en caleçon, je peux sentir presque immĂ©diatement mon sexe enfler, gonfler, se raidir et se tendre. Nous Ă©changeons quelques banalitĂ©s, qui permettent de ne pas avoir lâair complĂštement stupides Ă rester lĂ , moi bĂȘtement debout devant lui. LâĂ©rection de Laurent me paraĂźt Ă©norme, son sexe donnant Ă son caleçon la forme dâune tente indienne dont il serait le piquet central. Je nâose regarder le mien, qui est je suppose tout aussi dĂ©formĂ©. Nous restons comme cela dix bonnes minutes, parlant de tout et de rien, comme si nous Ă©tions tranquillement installĂ©s Ă la terrasse du cafĂ©. Puis Laurent finit par sâexcuser.ââŻUn instant, je reviens. Une envie pressante ! me dit-il.Encore une ! Il sâĂ©clipse aux toilettes, mais je sais trĂšs bien de quelle envie il sâagit. Son « instant » est trĂšs bref, mais, dans lâĂ©tat dans lequel il Ă©tait, il ne pouvait pas pisser, ça câest sĂ»r ! La rapiditĂ© avec laquelle il sâest masturbĂ© me surprend, mais je mâempresse de faire de mĂȘme Ă mon tour, et constate que quelques va-et-vient Ă peine suffisent Ă me faire jouir violemment. Je retiens avec beaucoup de difficultĂ©s mes gĂ©missements de plaisir, et ne contrĂŽle pas la puissance de mon Ă©jaculation qui macule le rĂ©servoir de la chasse dâeau, le carrelage et la lunette des chiottes. Laurent a dĂ» ĂȘtre plus douĂ©, parce que le temps de tout nettoyer, mon sĂ©jour au petit coin se prolonge bien plus que le sien. Lorsque je ressors enfin, il est en train de prĂ©parer les petits-dĂ©jeuners. Comme dâhabitude, nous ne parlerons de rien, et ferons comme si de rien nâĂ©tait.Mais les masques finissent toujours par tomber, je mâen doute depuis longtemps, et câest arrivĂ© ce week-end.Nous voilĂ donc en week-end tous les deux : un week-end entre mecs, comme on a pris lâhabitude dâen faire une fois par an. Mais cette annĂ©e, nous nous retrouvons seulement lui et moi. Nous nous dĂ©cidons pour un week-end ski, et squattons le chalet de sa famille, perdu au milieu des montagnes. Lâoccasion de se contenter dâun confort plus que limitĂ©, mais tellement authentique. Pas dâeau courante, chauffage exclusivement Ă lâaide du gros poĂȘle Ă bois de la piĂšce commune, silence total : le hameau est inaccessible en voiture en hiver.AprĂšs une journĂ©e Ă skier comme des brutes, cent pour cent hors piste (nous profitons de vingt-cinq centimĂštres de poudre tombĂ©e la veille, quelle chance !), nous voilĂ donc installĂ©s, poĂȘle chargĂ© Ă bloc, ronflant et nous irradiant de chaleur rĂ©confortante. Lâambiance est joyeuse. Nous avons englouti quatre biĂšres chacun au village avant de nous retirer dans notre refuge pour nous tous seuls. Jâai lâimpression que les degrĂ©s qui sâaccumulent dans la piĂšce me pĂ©nĂštrent littĂ©ralement, et jâentre dans un Ă©tat de bien-ĂȘtre et de plĂ©nitude surrĂ©aliste. Laurent et moi discutons joyeusement, dâabord emmitouflĂ©s, puis nous laissons tomber anoraks, pulls et salopettes de ski les uns aprĂšs les autres. Nous nous arrĂȘtons au collant et tee-shirt, mais je me surprends Ă nous imaginer Ă poil. On serait tellement mieux !Une bonne tasse de vin chaud nous aide Ă vaincre dĂ©finitivement le froid, mais aussi notre discernement. La discussion devient, comme souvent, trĂšs mono-sujet : les filles et le sexe. Mais, mĂȘme si nous partageons parfois quelques secrets de nos vies de couple, nous nâabordons jamais le sacro-saint sujet des rapports sexuels avec nos Ă©pouses.Mais, ce soir, Laurent me fait des confidences.ââŻTu sais, me dit-il, depuis la naissance des enfants, Isabelle nâest plus vraiment pareille, enfin, sexuellement je veux dire : elle est beaucoup moins portĂ©e sur la chose quâavant.Je suis plutĂŽt surpris, car jâimaginais Isabelle au contraire assez « portĂ©e sur la chose », ou en tous cas plutĂŽt assez libĂ©rĂ©e.ââŻEn fait, continue-t-il, je crois que lâaccouchement a modifiĂ© des trucs, et maintenant elle mouille beaucoup moins, alors jâai du mal Ă rentrer⊠et ça peut lui faire mal.Bingo ! Jâai le mĂȘme genre de problĂšme avec ma femme. JâenchaĂźne aussi sec, et jâajoute un dĂ©but dâexplication un peu osĂ©Â : en ce qui me concerne, et sans vouloir paraĂźtre prĂ©tentieux, il se trouve que jâai un sexe particuliĂšrement imposant en Ă©rection (câest en tout cas ce que plusieurs conquĂȘtes ont pu me confier, sâĂ©tonnant toujours notamment de lâĂ©paisseur de mon pĂ©nis), et je pense que câest plus difficile Ă cause de ça.ââŻAh ben ça alors, sâexclame Laurent, câest exactement la mĂȘme chose pour moi ! Isabelle mâa fait remarquer quâil fallait que je sois conscient de la taille de mon engin, et que je devais faire trĂšs doucement.La perche est tendue, et je la saisis immĂ©diatement :ââŻOui, je sais, jâai cru apercevoir que tu Ă©tais bien montĂ©, comme on dit !Ăa y est, câest dit, je sens le feu monter envahir mes joues. Laurent vacille lĂ©gĂšrement sur sa chaise, mais sa rĂ©ponse est sans appel :ââŻOui, enfin on va dire que tu nâas rien Ă mâenvier, hein ! Jâai bien vu aussi que tu avais des caleçons parfois trĂšs remplis !Ouh lĂ , ouh lĂ Â ! Je ne sais plus quoi faire. Mais finalement nous nous avouons mutuellement nos sĂ©ances de voyeurisme et exhibitionnisme non assumĂ©es mais tellement excitantes.Ăvidemment, mon regard ne peut Ă©viter plus longtemps de plonger sur le collant de Laurent, et ce que je vois est impressionnant. La forme de son sexe tendu se dessine parfaitement sous le fin tissu synthĂ©tique. Son gland semble pousser lâĂ©lastique et vouloir bondir Ă tout moment. Je suis scotchĂ© Ă cette vision, et je ne peux plus mâen dĂ©faire. Un coup dâĆil Ă mon entrecuisse me confirme ce que je ressens : jâoffre exactement le mĂȘme spectacle Ă Laurent, qui ne cache pas non plus son obnubilation.ââŻBon ! mâĂ©criĂ©-je, eh bien on nâa quâĂ enfin se montrer tout ça sans faire semblant de ne pas sây intĂ©resser.Seul lâalcool a pu me faire dire ça, je nâen reviens pas moi-mĂȘme ! Laurent approuve dâun son guttural Ă©tranglĂ© qui semble vouloir dire « oui oui bien sĂ»r ». Je fais donc doucement glisser mon collant et mon boxer, et dĂ©voile ma bite gonflĂ©e Ă bloc au regard de mon pote, dont je dĂ©cĂšle lâĂ©norme Ă©motion au travers de son regard brĂ»lant, et de sa grande difficultĂ© Ă dĂ©glutir. Il mâimite aussitĂŽt, et ce que je vois me fait tourner la tĂȘte. Un sexe magnifique, bien droit et lisse, un gland bien proportionnĂ© et une Ă©paisseur au moins aussi Ă©tonnante que la mienne !ââŻEh ben dis donc, dis-je, je comprends mieux les difficultĂ©s que vous pouvez avoir maintenant. Mais, cela dit, tu as une bite vraiment magnifique !ââŻCâest marrant comme la tienne lui ressemble ! Je nâarrive pas Ă dire laquelle est la plus grosse !ââŻBen regarde, moi, jâarrive Ă peine Ă faire le tour avec mon pouce et mon index, et toi ?ââŻMoi jây arrive bien, regarde, tu vois ?Jâai lâimpression que mes yeux vont sortir de mes orbites tellement je suis obsĂ©dĂ© par ce sexe magnifique Ă deux mĂštres Ă peine de moi.ââŻOui, mais tu as de plus grands doigts, fais-je remarquer.Et nous voilĂ partis Ă comparer nos mains, bĂȘtement, et encore une fois trĂšs hypocritement, car nous attendons tous les deux la mĂȘme chose :ââŻBon, attends, câest plus simple, je peux ? dis-je en montrant son sexe.ââŻOui, oui, bien sĂ»r, je ne risque rien, hein ?Ce « je ne risque rien » instille un doute en moi. Que veut-il dire ? Quâon ne doit pas aller plus loin ? Que je ne le pince pas ? Je suis perturbĂ© et un peu perdu, mais lâalcool nâaide pas Ă y voir clair, il faut bien le dire. AprĂšs lâavoir rassurĂ©, je me risque donc Ă saisir son sexe entre mon pouce et mon index. Impossible de les rejoindre. Je le lui fais remarquer :ââŻMĂȘme en serrant un peu, regarde !Ma conclusion est donc sans appel :ââŻEh bien, tu vois, elle est plus Ă©paisse que la mienne ! Je comprends Isabelle !ââŻAttends, dit-il, fais voir ?Et, ni une ni deux, il sâempare de ma bite et constate quâil en fait plus largement le tour que de la sienne. En retirant ses doigts, jâai lâimpression quâil en profite pour me caresser le gland, mais cela est trĂšs furtif, et je ne suis plus sĂ»r de rien. Tous mes repĂšres sont sens dessus-dessous, je suis dans un Ă©tat second. Câest ce moment-lĂ que Laurent choisit pour mâannoncer :ââŻBon, câest pas tout ça, mais jâai une sacrĂ©e dalle, moi ! On se la fait cette platĂ©e de pĂątes, oui ou non ? Regarde ! Lâeau bout !AussitĂŽt dit, voilĂ mon Laurent debout, collant remontĂ©, Ă la recherche du paquet de pĂątes. DĂ©pitĂ©, je suis le mouvement, pas le choix, mais jâai du mal Ă aligner trois gestes coordonnĂ©s, et je finis par le regarder faire.Sâensuit un dĂźner rapide mais toujours joyeux, ponctuĂ© dâanecdotes sexuelles, Ă©videmment, mais pour une fois, avec nos femmes respectives. Ce qui nâaide pas mon Ă©rection Ă se rĂ©sorber, bien au contraire. Jâai presque envie de tout enlever, pour ĂȘtre au moins un peu plus Ă lâaise. Et je ne pense quâĂ la suite, la toilette !Alors, il faut savoir que faire sa toilette sans eau courante, avec comme seule ressource de la neige fondue, câest un vrai exercice de style. Mettre une grande bassine Ă chauffer sur le poĂȘle, prĂ©voir un grand rĂ©cipient pour lâeau de lavage, un autre pour lâeau de rinçage, prĂ©parer sa serviette Ă portĂ©e de mains immĂ©diate et surtout, faire ronfler le poĂȘle au maximum !Ăa y est, tout est prĂȘt, il fait vingt-cinq degrĂ©s dans la piĂšce, et il est dĂ©sormais impossible de sâapprocher Ă moins dâun mĂštre du poĂȘle. JâenlĂšve (trop ?) prĂ©cipitamment mes vĂȘtements. Je suis en demi-Ă©rection, souvenir de notre conversation et signe de mon impatience Ă voir Laurent se dĂ©vĂȘtir Ă©galement. Mais, Ă peine nu, la chaleur du poĂȘle envahit mon corps entier et renforce immĂ©diatement mon Ă©rection. Je me retrouve Ă bander fort en moins de quelques secondes.Laurent me dit sur un ton moqueur :ââŻBen dis donc, elle est encore plus belle quand tu es debout !Il nâattend pas ma rĂ©ponse et quitte ses vĂȘtements Ă son tour. Il bande dĂ©jĂ trĂšs fort, et cette manifestation de son dĂ©sir me rassure ; je doute de plus en plus que nous nous en arrĂȘtions lĂ . En plus, ce soir, il nây a quâun seul grand lit, pas le choix !Nous entamons un savonnage minutieux, insistant particuliĂšrement sur nos sexes et lâintĂ©rieur de nos fesses. Nous jouons un ballet improvisĂ©, se montrant tour Ă tour en train de nous masturber avec le savon, ou prenant des positions incroyables sous prĂ©texte dâatteindre notre plus intime orifice. Nous jouons comme cela de longues minutes, je vois Laurent me prĂ©senter de plus en plus ostensiblement son cul, y introduisant mĂȘme de temps en temps la premiĂšre phalange de son index. Jâai littĂ©ralement envie de lui sauter dessus, de venir derriĂšre lui, de faire glisser mon sexe entre ses fesses savonneuses, et de laver moi-mĂȘme soigneusement sa bite.Mais je nâen fais rien, je suis hĂ©sitant et jâai peur. Je ne sais plus trop oĂč nous en sommes. Je finis par me rĂ©signer Ă commencer Ă me rincer. Laurent fait de mĂȘme et, alors que je commence Ă mâessuyer, me demande :ââŻAlors, câest bon, câest propre, tu es sĂ»r ?ââŻOui, je pense ! Enfin, jâespĂšre !ââŻAh, ah ! sâexclame Laurent, tu nâas pas lâair trĂšs sĂ»r de toi, attends, je vais regarder.Et Laurent de me demander de me tourner, me baisser, me relever ! Quel mateur ! Finalement, il me stoppe par un « attends ! » tranchant. Ă ce moment-lĂ , je vois dans ses yeux une lueur particuliĂšre. Le point de non-retour est dĂ©passĂ©. Laurent fait mine dâinspecter mon sexe et mon anus de prĂšs, et dit :ââŻHum, hum, câest pas mal, mais on pourrait mieux faire !ââŻAh bon, comment ? dis-je. Mais je connais dĂ©jĂ la rĂ©ponse.ââŻComme ça !Et Laurent se met Ă lĂ©cher et sucer mon sexe comme un mort de faim. La sensation procurĂ©e par la combinaison de sa langue humide et la chaleur du poĂȘle est tout simplement divine. AprĂšs un moment de pur acharnement, rĂ©vĂ©lant son niveau dâexcitation, Laurent ralentit son rythme, et se rĂ©vĂšle ĂȘtre un tailleur de pipe hors pair ! Je crĂšve dâenvie de le masturber, mais il est Ă genoux devant moi et je ne peux accĂ©der Ă sa bite, pourtant plus dressĂ©e que jamais. Je sens le plaisir monter trĂšs vite, et lui indique par quelques mouvements subtils quâil faut faire attention. Ă ce moment-lĂ , Laurent me regarde et dĂ©clare :ââŻAttends, je nâai pas encore tout vĂ©rifiĂ©Â !Il pivote de maniĂšre Ă passer derriĂšre moi et me demande de me baisser un peu. Je titube lorsque sa langue vient se poser sur mon anus. La sensation est inouĂŻe. Je ne peux pas mâempĂȘcher de gĂ©mir et de lâencourager :ââŻOui, vas-y, lĂšche moi le cul, câest bon, vas-y plus fort !Jâinstalle tant bien que mal une serviette par terre. Laurent a tout compris. Il sây allonge en attirant mon cul au-dessus de lui ; je suis accroupi au-dessus de lui, et il me prodigue une feuille de rose digne des plus belles sĂ©quences que jâai jamais pu mater sur internet !Je peux enfin le masturber Ă mon tour. Jâaime sentir son sexe chaud dans ma main. Lui-mĂȘme me branle doucement, au rythme de sa langue dans mon cul.Nos gĂ©missements se font de plus en plus intenses, je sens son sexe palpiter et je suis au bord de la jouissance. Dans une simultanĂ©itĂ© parfaite, nous Ă©jaculons tous les deux en criant, rĂąlant et hurlant. Nous explosons littĂ©ralement. Nos spermes se mĂ©langent sur la poitrine et lâabdomen de Laurent, je mâĂ©croule sur lui, et nous restons avachis un long, trĂšs long moment.Je ne parviens Ă me relever que difficilement. Jâai la tĂȘte qui tourne. Laurent me regarde et nous nous sourions.ââŻBon⊠eh bien je crois quâon peut recommencer la toilette Ă zĂ©ro ! dis-je.La nuit sera longue, ou plutĂŽt trĂšs courte⊠Mais ceci est une autre histoire, si vous avez aimĂ© celle-ciâŠ