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Une autre vie que celle que j’imaginais

Posted on novembre 11, 2022décembre 1, 2022 By 2ne7l Aucun commentaire sur Une autre vie que celle que j’imaginais
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Nous nous sommes croisés dans un ascenseur. C’était il y a 2 ans, quand j’ai pris mon poste au service juridique du 12ème étage. Il pleuvait des cordes, et nos parapluies se sont télescopés alors que nous nous précipitions l’un et l’autre. Il s’est excusé platement, plusieurs fois, alors que pour moi l’incident était clos avant d’ouvrir.Il m’est arrivé de le croiser à la pause cigarette, et à la longue j’avais l’impression qu’il faisait partie de mon paysage quotidien alors que nous ne nous étions jamais vraiment parlé.Il était avec ses collègues du 17ème étage, moi avec les miens. Je ne savais pas quel était son nom, encore moins quel métier il pouvait bien faire. Toujours tiré à quatre épingles, les chaussures bien cirées, il tranchait un peu avec le look casual des gens qui bossaient aussi au 17ème dans cette start-up informatique. Il avait l’air aussi sensiblement plus âgé, mais pas plus de 35 ans sans doute. Il me faisait un peu penser à un joueur de tennis américain, brun, assez grand, baraqué, mais aux traits assez fins. Sauf que lui c’était plutôt le costume que le short.J’étais assez contente de moi. Une scolarité brillante, un physique qui me convient, sportive par passion, j’avais intégré l’entreprise de mes rêves au poste de mes rêves avec un salaire décent. J’avais rencontré le copain idéal, pas trop envahissant, bien éduqué, mignon et sympa, très compréhensif, et qui devait ignorer ce que peut bien être un reproche. Nous projetions de nous marier, d’avoir des enfants et un chien, et de vieillir ensemble. Encore qu’à nos âges, vieillir, on ne sait pas trop bien ce que ça englobe.Ensemble depuis le début de nos études en école de commerce, donc depuis 5 ans, nous partagions les mêmes goûts éclectiques, les mêmes opinions politiques, les mêmes avis sur tout. Nous ne faisions qu’un. Mon ami était toujours d’accord avec moi, et j’y avais pris goût. Il préparait un diplôme d’ingénieur pour compléter son cursus, mais je ne me sentais pas le courage de le suivre, et m’étais donc mise au travail.Avant moi, il avait eu quelques petites amies, pour des durées plus ou moins longues. Il avait appris à ne pas dire ce qui fâche les filles, et à dire ce qui les ravit. J’avais eu moi-même quelques aventures, plus ou moins réussies. J’avais appris à reconnaître les mecs qui veulent juste profiter de vous, et ceux avec qui on pouvait avancer. Au lit, nous étions parfaitement en phase. Je lui donnais tout ce qui lui faisait plaisir, et il s’efforçait également de me combler totalement. Nous partagions tout ou presque, y compris un caractère assez exclusif. Mon ami était un gros jaloux, et je supportais assez mal qu’il se retourne sur des filles dans la rue. Ça avait pour lui et pour moi la même origine probable : un petit manque de confiance en soi.En rentrant chez moi un soir de mars, après une journée pendant laquelle rien n’avait semblé tourner correctement, le pneu avant gauche de ma voiture s’est subitement dégonflé. Je me suis rangée sur le bas-côté. J’ai fouillé la boîte à gants pour y rechercher le manuel, en vain. Je suis allée ouvrir le coffre pour le chercher là aussi, sans plus de succès. Incapable quoi qu’il en soit de changer ma roue moi-même, je m’apprêtais à sortir mon portable pour chercher de l’aide quand un véhicule imposant s’est arrêté juste derrière moi. J’ai reconnu immédiatement le beau gosse du 17ème. Il m’a proposé son aide. Je l’aurais volontiers envoyé balader, mais j’étais quand même dans la merde.Je l’ai donc laissé faire son crâneur qui sait tout, ouvre le coffre pour en sortir la roue de secours et le cric, desserre les écrous sans effort, dépose la roue crevée, met en place sa remplaçante, range celle qui est crevée à sa place, remet le cric dans son logement, et tout ça sans se salir les mains. Le pire, c’est qu’il n’avait même pas l’air condescendant ou l’air sûr de lui. Il avait fait tout ça de façon mécanique, organisée, sans hésitation, à la vitesse de l’éclair. Il me retirait une épine du pied ; j’étais bien obligée de le lui dire et de le remercier. Eh bien, je n’en ai même pas eu le temps. Il m’a fait un signe de la main en s’éloignant pour remonter dans son véhicule, me disant de loin :— Voilà. J’espère que tout ira bien.Il a mis son clignotant et s’en est allé.J’étais furieuse. Quel mufle ! Ne pas me laisser le remercier, c’est me laisser avec une dette. Et puis quoi encore ?À la pause clope du lendemain, j’ai donc été obligée de traverser le patio pour aller lui serrer la main. Il ne voulait plus la lâcher. J’ai bien cru que j’allais devoir recompter mes doigts. Comme une idiote, en plus, je lui ai demandé :— Comment puis-je vous remercier ?Tu parles, l’occasion était trop belle.— En déjeunant avec moi.J’ai senti le sang me monter dans les oreilles, à la fois en colère à cause de sa réponse de macho dragueur, du fait qu’il fasse ça devant plusieurs personnes rigolardes, mais aussi parce que j’étais incapable de dire non. Curiosité ? Goût du risque ? Je ne savais pas très bien. Et pour me donner une contenance, c’est avec fermeté que je lui ai répondu et sans sourire :— Très bien, comme il vous plaira…Il a osé me demander mon numéro de portable, que je lui ai donné pour qu’il puisse effectivement me joindre quand il aurait une disponibilité. Il fallait en plus que je sois à sa disposition…Il m’a appelée le matin trois jours plus tard. Je croyais y avoir échappé, mais non. Je n’avais rien de spécial à faire, j’ai donc accepté. J’imaginais qu’il prendrait l’addition. Ce serait toujours ça de gagné.Il m’attendait comme convenu à 12 h 15 dans le hall. Je suis arrivée en retard de quelques minutes pour lui être désagréable, et c’est la première chose qu’il m’a envoyé dans le nez quand je suis arrivée, avant même de me saluer :— Vous n’êtes pas très ponctuelle…Ça commençait bien.Durant le repas, il a été d’une courtoisie irréprochable, très galant sans être lourd, ne cherchant pas à se valoriser et, au contraire, très à l’écoute. Mais il semblait bien que sur de nombreux sujets, nous ayons des points de vue un peu éloignés. Il est vrai qu’il a 10 ans de plus, nous ne sommes pas vraiment de la même génération.J’ai assez d’ouverture d’esprit pour comprendre que tout le monde ne pense pas comme moi. Il me l’a fait remarquer d’ailleurs. Nous étions au moins d’accord sur le fait qu’on ne peut pas être d’accord sur tout.La discussion est devenue petit à petit plus détendue, et je me suis surprise à apprécier sa compagnie. Il devait aussi apprécier la mienne, puisqu’aucun des deux ne s’est rendu compte que l’heure tournait, au point que le serveur a dû venir toussoter près de nous pour nous faire partir. Il était 15 heures. C’est en repartant en courant à mon poste que j’ai réalisé que je venais de passer 2 h 30 avec un séduisant inconnu, en ayant eu l’impression que ça n’avait duré que quelques minutes.Quelques minutes après mon arrivée au bureau, j’ai reçu un SMS sympa : « Très bon moment avec vous. J’espère que ce n’est pas le dernier. » J’ai imaginé quelques réponses, pour finalement ne rien envoyer.Le soir, avec mon ami, je me sentais un peu coupable. On ne se cache rien, alors je lui ai parlé de ce déjeuner. Il n’a pas semblé agacé, encore que les questions qu’il m’a posées sur ce monsieur, Jacques, fussent pleines de sous-entendus. Nous sommes allés nous coucher assez tôt, et pour la première fois je n’ai pas sombré dans le sommeil juste après avoir fait l’amour. J’avais pris du plaisir certes, mais je sentais comme un vide. Il m’avait manqué quelque chose ce soir-là et je peinais à comprendre de quoi je pouvais bien manquer. Et naturellement, j’ai repensé à ce déjeuner. Ma sensation de manque a disparu et je me suis endormie.Le lendemain, c’est lui qui a traversé le patio. Juste pour me demander si j’étais libre à midi. « Pot de colle… » me suis-je dit, mais j’ai accepté avec plaisir contre la promesse de me laisser revenir à l’heure, cette fois. Et je me suis surprise à sourire bêtement.J’ai appris pendant le déjeuner qu’il n’était pas salarié de la start-up, mais qu’il en était le fondateur et patron. Il n’en avait pas moins l’air humble et mesuré, mais j’ai ressenti pour lui, à ce moment-là, une forme d’admiration. Il avait eu des idées et du toupet. Il en était récompensé. Il employait déjà pas mal de monde, et sa société progressait vite.Quand il m’a fait remarquer que l’heure du départ approchait, j’en ai éprouvé de la peine. Je me sentais bien avec lui. Il a dû voir ma déception à mon regard. Je luttais contre l’envie de rester, et contre ce que je commençais à ressentir.J’ai été cash avec mon ami en rentrant. J’avais eu le temps de gamberger l’après-midi et j’avais cette fois les idées claires. Cet homme me fascinait. J’aimais ce ton sûr de lui, ce charisme enjôleur, cette façon qu’il avait de vous déshabiller du regard sans vous mettre dans l’embarras. Mon ami a compris assez vite le danger de la situation et n’a pas cherché à me ramener à la raison. Aucune critique, aucun reproche, aucune mise en garde. Et pourtant, j’aurais peut-être bien aimé.Le soir au lit, alors qu’il avait sa tête entre mes cuisses pour me lécher, il s’est tout à coup redressé pour, sur le ton de la plaisanterie, me demander si je pensais à lui pendant qu’il me bouffait le clito. Il a éclaté de rire. Je suis restée de marbre. Il a reposé la question sans dire, cette fois. Je l’ai regardé dans les yeux, pour lui répondre :— Pas avant que tu m’en parles ; mais maintenant, oui.Il est resté stoïque et, tout en me regardant dans les yeux, m’a introduit deux doigts qui sont rentrés tout seuls ; et avant de se baisser pour reprendre son travail, m’a juste répété :Puisque mon ami m’en donnait l’autorisation, j’ai fermé les yeux pour l’imaginer devant moi, à genoux, la tête entre mes cuisses écartées, et c’est à lui que je pensais quand j’ai joui violemment. J’ai fini mon ami avec une pipe rapide, histoire qu’il ne saute pas son tour. Je n’avais pas envie qu’il me pénètre, juste envie de m’endormir en gardant l’image de Jacques derrière mes paupières closes.Nous avons eu dès le lendemain une conversation à ce sujet. Mon ami m’a clairement invitée à ne pas trop résister à mes pulsions, et à me laisser aller si j’en avais envie. Ce n’était pas le tromper s’il était d’accord, et il était prêt à tout accepter pour me garder. Il craignait que si je n’assouvissais pas mes fantasmes, j’en devienne aigrie et invivable. Il n’imaginait pas vivre avec une femme renfermée et résignée, et préférait être cocu que malheureux. Je suis restée un moment à essayer de comprendre ce qu’il voulait me dire. Comment pouvait-on être ou cocu ou malheureux ? Pouvait-on être un cocu heureux, ou un non-cocu malheureux ? J’avais du mal à m’y retrouver.Il a fini par m‘avouer une certaine tendance au masochisme. Il avait besoin que je lui fasse du mal pour ressentir des poussées salvatrices d’adrénaline. Il avait besoin que j’aie des envies d’ailleurs pour se sentir en concurrence et devoir se dépasser pour me reconquérir. J’en étais estomaquée. Nous étions un samedi. Nous sommes repartis au lit. J’avais dans l’idée de le laisser me faire jouir mais de le laisser sur le sable, frustré, me disant que s’il ne pouvait pas supporter une petite frustration, il pourrait encore moins supporter une franche humiliation. Je pensais qu’il s’en rendrait compte et finirait par me dire qu’il était allé trop loin dans son délire.Ça ne s’est pas du tout passé comme prévu. À peine arrivé dans le lit, il a commencé à se masturber en me regardant. J’attendais qu’il me saute dessus mais il n’en fit rien. Il s’est branlé jusqu’à jouir dans sa main. Et pour le coup, là, c’est moi qui ai dû gérer ma frustration. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Son explication a résonné comme une claque :— Je ne te toucherai plus tant qu’il ne t’aura pas baisée.Je suis sortie comme une balle du lit, de la chambre et de l’appartement. Déambulant sur les trottoirs à ruminer, je me suis petit à petit calmée. Il me mettait au pied du mur. Soit je rentrais en m’excusant, soit j’assumais. J’ai décidé d’assumer.Le lundi, j’ai vu arriver Jacques droit sur moi. Je savais ce qu’il allait me demander. Un déjeuner. J’ai refusé, à sa grande surprise, mais sa surprise a été encore plus grande quand j’ai ajouté :— Déjeuner, non ; mais dîner, oui : il n’y pas d’heure pour en terminer.Lui, si stable, m’a semblé vaciller un peu. Je n’étais pas mécontente de mon effet.Et il est reparti.Quelques minutes plus tard, il m’a appelée :— Ce soir ?— Oui. Le plus tôt sera le mieux.Il est venu me chercher à la sortie du travail, à 17 heures. Une fois dans sa voiture je me suis sentie bien, décidée, forte.— Souhaitez-vous que nous allions en ville faire un tour, puis nous prendrons un apéritif et nous irons dîner ? Nous avons le temps…— Où avez-vous prévu ce dîner ?— Je n’ai rien prévu du tout. Choisissez le restaurant, je vous invite où vous voulez.— Chez vous, alors.— Chez moi ? Vous n’avez peur de rien…— Non, je n’ai peur de rien. Mais pourquoi devrais-je avoir peur ?— Eh bien, vous êtes une très jolie fille, et chez moi je pourrais en profiter…— C’est bien ce que je souhaite : que vous en profitiez.— Sérieusement, ou vous me faites marcher ?Pour lui montrer que j’étais très sérieuse, j’ai attendu qu’il s’arrête à un feu pour lui tirer le menton dans ma direction et lui déposer un bisou sur la bouche. C’était sans doute une réponse assez claire puisqu’il a cessé de parler pour rouler jusqu’à chez lui.Il était 17 h 45 quand nous sommes arrivés. Il a libéré sa femme de ménage et le jardinier. Il m’a prise dans ses bras pour m’embrasser. J’ai adoré le goût de ses lèvres, le grain de sa peau. Ses mains se sont aventurées à la découverte de mon corps, patiemment, tendrement. Il avait déboutonné mon chemisier et j’avais jeté mes chaussures quand je l’ai senti se tendre. Il m’a prise par le cou d’une main pour me pousser, et sans que j’aie eu le temps de réagir, m’a plaquée contre un mur. Son autre main est venue sous ma jupe pour écarter ma culotte, et sans aucune délicatesse m’introduire un doigt. En même temps qu’il en entrait un second, il a serré encore un peu plus mon cou, au point de me couper la respiration. Je n’éprouvais aucune peur, que du plaisir. J’étais une plume entre ses mains et il allait abuser de moi, comme je le souhaitais. Pour une fois un homme allait me posséder sans me demander ce que j’aime. Je ne savais pas encore si j’aimerais être malmenée, mais je comprenais bien que c’est ce qui allait se passer.Il a desserré mon cou et a approché son visage du mien pour me souffler :— Alors, jeune fille, je continue ou on en reste là ?Sans répondre, j’ai cherché sa fermeture Éclair pour attraper sa virilité, mais s’il a compris ma réponse, ne m’a pas laissée faire. Il a serré à nouveau mon cou en se reculant, a lui-même libéré son sexe de son pantalon pour venir contre moi, se baisser, et me sauter debout. Je l’ai senti entrer en moi avec vigueur. Je me suis demandé s’il n’était pas déçu de ne pas avoir à forcer davantage. Il est rentré tout seul, alors que je sentais bien un volume imposant m’envahir. J’ai vite senti un orgasme arriver, que je tentai de contenir pour savourer ses outrages plus encore, mais il a bien senti ce qui se passait et ne m’a pas laissée respirer. J’ai joui comme une dingue, et s’il ne m’avait pas retenue, je serais tombée raide. Quel plaisir de se faire posséder ainsi par quelqu’un qui sait ce qu’il veut ! Il m’a baisée comme un dieu, comme un homme. C’est ça qui me manquait avec mon ami.Quand j’ai repris mes esprits, il a lâché mon cou pour me presser les épaules.C’était un ordre qui me ravissait. Je me suis occupée de son engin qui, en effet, était assez massif et très dur. Il ne voulait visiblement pas de tendresse, juste que je le pompe, et je m’y suis employée avec application jusqu’à sentir son sperme couler dans ma bouche. Je n’aimais pas trop ça ; il m’a laissée me reculer pour le laisser finir sur mes seins. Il m’a relevée pour m’indiquer la salle de bain. Quand j’en suis ressortie, il était au salon avec deux verres. Nous nous sommes mis à discuter comme nous le faisions à table, sans allusion à ce qui venait de se passer.Un traiteur est venu nous apporter un repas succulent accompagné d’un vin de choix. J’ai adoré cette soirée, qui s’est allongée tard dans la nuit avant qu’il me propose de me ramener. Je lui ai demandé à mon tour s’il était pressé de me voir partir. Pour seule réponse il a pris ma main, m’a aidée à me lever et m’a priée de le suivre dans sa chambre.— Tu vas voir si je suis pressé que tu partes, s’est-il contenté de me dire avant de me déshabiller avec tendresse, couvrant mon corps de ses regards suggestifs et mes seins de ses baisers.À mon tour je me suis occupée de le dévêtir, et j’ai entrepris de le sucer. Je l’ai poussé sur le lit où il a atterri sur le dos. D’une main j’ai serré son cou, de l’autre j’ai attrapé son sexe pour le guider vers mon sexe. Une fois empalée sur lui, j’ai mis ma seconde main sur son cou, et en même temps que je faisais monter et descendre mon cul, je serrai son cou jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter. Il ne m’a rien demandé et m’a laissée faire. Il était violet, à bout de souffle. J’étais tellement déchaînée que j’en suis devenue vulgaire, et le rictus qu’il m’a renvoyé m’indiquait qu’il ne détestait pas. En entendant « Salaud, tu vas me faire jouir… » il a même souri carrément. En même temps que je vociférais, j’ai senti son sperme jaillir en moi, et mon orgasme en a été décuplé. J’ai pris un pied terrible avant de me mettre à pleurer. Je venais peut-être de détruire ma vie et celle de mon ami. Et je ne regrettais rien.Ma vie a changé, oui. Mais elle n’a pas été détruite comme je le craignais. Non seulement mon ami ne m’en a pas voulu, mais il a tenu à ce que je lui raconte tout ; et comme à chaque fois que je raconte je revis mes émotions : c’est très excitant aussi pour moi. Il se branle en m’écoutant, et parfois je me masturbe devant lui pour l’exciter encore davantage.Nous nous sommes mariés, comme convenu, mais nous avons remis à plus tard nos projets familiaux. On verra plus tard pour les enfants et le chien.C’est Jacques qui est venu me baiser pour notre nuit de noces, en présence de mon mari. Jamais, me dit-il, il n’avait ressenti une telle douleur, mais jamais également il n’avait été aussi excité. Ma jouissance emportait la sienne ; il pouvait ressentir le plaisir que je prenais au point de presque sentir la queue de Jacques le pilonner. Il avait envie de crier à ma place.Je vais chez Jacques plusieurs fois par semaine, et quand je rentre, mon mari s’est occupé de tout à la maison : les courses sont faites, le ménage aussi, et il vient me savonner dans le bain. Mais malgré mes demandes, il ne veut toujours pas me baiser. Pourtant, j’adorerais le faire jouir de temps en temps. Mais il préfère comme ça. Bon. Je m’adapte. Je lui ai quand même fait remarquer que quand nous serions décidés à faire un enfant, il faudrait bien qu’il daigne m’enfiler sa queue pour avoir la moindre chance de procréer. Il m’a répondu laconiquement que le moment venu, il voudrait être là, quand je ne prendrai plus la pilule, pour s’assurer lui-même que Jacques n’en mette pas une goutte à côté.

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