Une balade en voiture qui a « dégénéré ».Nous partions avec Christine pour un week-end dans le sud du massif central, il faisait assez chaud, Christine conduisait, je pouvais donc la mater à ma guise. Elle portait un débardeur à bretelle qui laissait légèrement apparaître la naissance de ses seins et les brides de son soutien-gorge.Nous étions partis depuis environ 20 minutes et je ne résistais pas longtemps à l’envie de caresser doucement sa peau, d’effleurer son corps, je passais un doigt sur ses épaules, je descendais et caressais la chaire douce du haut de ses seins. Mais ce tissu était vraiment gênant, je faisais donc tomber la bretelle du côté droit pour caresser à ma guise sa peau. Elle ne disait rien, j’avais comme l’impression que sa poitrine se gonflait accentuant légèrement le rythme de sa respiration. Il me semblait que ses tétons pointaient sous ses vêtements et témoignaient d’une excitation naissante ?Je décidais d’aller un peu plus loin, je glissais ma main sous son sous-tif et je saisissais son sein à pleine main, pinçant légèrement son téton. Un léger soupir venait récompenser ma hardiesse et témoignait du plaisir que lui procurait cette caresse. Je décidais de me donner encore plus d’espace et non sans quelques difficultés je dégrafais son soutien-gorge et libérais ainsi ses deux seins. Il faut dire que Christine n’a pas des seins très gros mais juste à la bonne taille pour que l’on puisse les saisir dans la main et avec des tétons très réactifs qui sortent très vite de l’aréole qui les entoure pour venir pointer, arrogants comme des seins d’adolescentes.Nous n’avions toujours pas échangé une parole, mais les soupirs de Christine s’amplifiaient et ses seins se durcissaient. Ces tétons étaient maintenant bien plantés en avant et d’un rouge presque violet. Ce plaisir chez ma compagne avait aussi comme effet de m’exciter fortement et je sentais mon sexe en manque de place dans mon jean.Je libérais complètement un sein qui profitait ainsi des rayons de soleil et je venais déposer mes lèvres, goûtant à ce goût subtil qui avait pour effet de m’exciter encore d’avantage (Christine conduisait toujours, sa poitrine largement découverte, heureusement nous avions atteint l’autoroute).J’en voulais encore plus, je défaisais donc sa ceinture et baissais la fermeture éclair de son jean, son mont de venus, bien proéminent, était masqué par un slip en dentelle blanche, des petits poils qui s’en échappaient laissaient deviner sa toison brune. Je plaquais alors ma main, forçant un peu le passage pour sentir la chaleur qui s’échappait de son sexe. J’entendis quelques protestations, un « non » timide, mais en même temps son sexe venait encore plus s’appuyer contre ma main. Je continuais donc mes caresses et je passai un doigt puis deux sous son slip. Quel plaisir !C’était déjà complètement trempé, elle n’avait pour ainsi dire plus un poil de sec et mes doigts se baladaient dans sa fente toute lubrifiée, son ventre ondulait autant que pouvait le permettre la conduite de la voiture.Christine aussi voulait avoir son jouet et d’une main vive, elle déboutonna mon jean, le baissa violemment et vient saisir mon sexe qui avait bondi comme un diable hors de sa boite.Elle remarqua vite aussi la goutte transparente et légèrement visqueuse qui perlait au sommet de mon gland, délicatement elle passa le doigt puis le porta à sa bouche semblant se régaler de ce nectar. Elle répéta ainsi l’opération deux trois fois déclenchant à chaque passage sur mon sexe comme une décharge électrique.Je continuais à explorer son sillon, remontant jusqu’à son clitoris que je contournai doucement avec mon doigt. Puis avec mes doigts mouillés, je venais faire le tour de son aréole.C’est ainsi que nous arrivions au péage, les seins à l’air, son pubis également profitant du soleil et mon sexe droit comme un i.Christine cacha légèrement sa poitrine et nous passâmes rapidement, cela ne pouvait que distraire la personne bloquée des heures dans sa cabane de verre.Aussitôt le péage passé nos deux mains respectives repartir explorer, Christine était de plus en plus tendue, certaine de mes caresses déclenchaient des petits cris, ses cuisses enfermaient alors ma main comme un étau puis se relâchaient.Nous ne pouvions plus tenir, il fallait nous arrêter, nous prenions la sortie suivante, première route à gauche, premier chemin.Christine coupait le moteur. Oubliant le paysan sur son tracteur dans le champ en contrebas, j’embrassais goulûment Christine, nos langues se mêlaient, mélangeant également le goût sucré de nos sexes qui avait déjà parfumé nos salives.Nous basculions à la hâte le siège du passager, et je débarrassais Christine de ses vêtements. Cela me permis d’approcher ma bouche de son sexe et de plonger dans sa toison. Ma langue trouva rapidement ses petites lèvres, et je me régalais tantôt aspirant son liquide, tantôt mordillant son clito ou tout simplement remontant de l’orifice de son vagin jusqu’au sommet de son clitoris. J’essayai même de rentrer ma langue au fond de son vagin mais elle était définitivement beaucoup trop courte. Je me contentais donc de son clito, écartant avec mes doigts ses lèvres pour qu’il jaillisse, bien proéminent, prêt à être dévoré. Ces gémissements m’excitaient plus que n’importe quelle caresse Je demandais ensuite à Christine de se retourner, elle me montrait ainsi ses belles fesses rondes que j’écartais pour découvrir sa petite rosette. Je fondais dessus comme un oiseau de proie et ma langue venait titiller son petit trou tandis qu’une main en profitait pour se promener sur sa fente. »Viens, donne-moi ton petit trou ».Comme une fleur, sa rosette s’ouvrait puis se refermait. Le plaisir montait et je savais que je ne pouvais pas jouer trop longtemps à ce petit jeu ; ces baisers avaient toujours déclenché chez Christine un plaisir à la limite de l’orgasme. (Je regrette de n’avoir jamais pu encore lui donner du plaisir avec une sodomie, peut être à cause d’une première expérience loupée ou du fait de son anus tellement musclé qu’il me broie mon petit doigt quand elle me laisse la pénétrer). Je l’excitais donc avec la pointe de ma langue en essayant de l’introduire sentant parfois sa rondelle tenter d’emprisonner mon organe titilleur.Soudain Christine repoussa mes mains et cria : « Arrête, je vais jouir et je veux te sentir tout au fond de moi. »Elle se retourna et releva ses jambes le plus possible. Je n’avais plus qu’à m’installer entre ses cuisses et je la pénétrais sans aucune résistance sentant son fourreau chaud entourer ma queue et ses contractions me transportaient progressivement vers la jouissance. Je ralentissais le rythme pour profiter le plus longtemps de ce plaisir, sortant presque mon sexe puis le rentrant jusqu’à la garde. Je sentis soudain les doigts de Christine rentrer dans la chair de mes fesses, m’écartelant légèrement l’anus ; j’accélérais le mouvement sous les cris de plus en plus fort et ma sève brûlante se déchargeait en flots successifs augmentant l’orgasme de Christine qui n’en finissait plus.Nous sommes restés longtemps l’un dans l’autre, profitant de cette longue redescende de notre orgasme.Puis nous sommes sortis, histoire de se rhabiller. L’air frais qui sentait bon la campagne est venue apporter une dernière caresse.Frankclaude : frankclaude@hotmail.com