C’était il y a quelques années…Mon histoire débuta il y a près d’un an, lors du concert de fin d’année (j’étais musicien), quand je vis surgir devant moi une belle jeune rousse qui m’acheta un billet d’entrée et me demanda à qui il fallait s’adresser pour venir jouer avec nous. Je le lui indiquai puis la perdis de vue, mais dans ma tête je me dis que les répétitions allaient devenir de plus en plus passionnantes. Je ne croyais pas si bien dire.Lors de la répétition suivante, elle était là , assise devant moi. Avec les copains, les remarques quant à ses courbes généreuses commencèrent à circuler. Mais après quelques semaines, les joueurs invétérés que nous étions, la voyant s’intéresser à nos parties de cartes, nous l’invitions à notre table pour partager l’un puis l’autre verre. Là , les plaisanteries devenaient de temps en temps plus précises. Un soir, ayant appris qu’elle était venue à pied, je me proposai, en bon chevalier servant, de la raccompagner en voiture. Là , la situation commença à basculer. D’un simple arrêt devant chez elle, ça évolua en des discussions de plus en plus longues, puis en des mains baladeuses de plus en plus entreprenantes… D’abord juste le cou, puis, de semaine en semaine, une main qui remontait sous la robe jusqu’à mi-cuisse, qui descendait dans le dos jusqu’au soutien-gorge ou qui effleurait le contour de seins.La situation devenait des plus électriques : oserais-je tromper ma femme ? Sophie (cette rousse qui mettait une boule dans mon ventre à chaque fois que je pensais à elle, et surtout les soirs de répétition), avait-elle aussi cette envie de mêler nos deux corps dans une joute amoureuse ?L’orage devait arriver et ce fut ma femme qui m’en donna l’occasion, sans le savoir bien entendu ; elle devait partir une semaine en déplacement. L’occasion ou jamais ! Mais en aurais-je le courage ?Le soir fatidique arriva… Hélas, une mauvaise nouvelle par rapport à son boulot fit avorter l’occasion.Je me décidai alors pour son anniversaire de faire ce qui avait fait craquer ma femme : lui écrire le poème ci-dessous :Si tu étais un adjectif : sensuelleOn pourrait aussi dire sexy ou bellePeut-être tout simplement rousseHeureuse et jolie frimousseIl est difficile de la saisirEt pourtant elle inspire le désir.Belle à croquer, tu es mon tourmentOde à l’amour comment être ton amant ?Nuit d’ivresse derrière ce sourire charmant.Alors laisse ton corps se couvrir de frissonsNuée de sensations qui s’unissent au diapasonNuée de petits plaisirs qui font voir le cielIlots qui se dressent dans une mer au goût de mielViens, laisse-toi emporter par ces doux flotsEntreprends une lente ascension qui t’emmènera là -hautRejoindre la félicité par de tendres caresses,Sent monter en toi la vague de l’ivresseAccepte ce plaisir sans aucune retenueIl est là , près à submerger ton corps tenduRéceptacle d’un phantasme secretEntends-le si lointain et pourtant si près.Mais étant timide, je ne l’avais signé qu’avec une abréviation de mon prénom.La répétition après son anniversaire fut le tournant de notre relation. Dans la voiture, alors que notre petit jeu du chat et de la souris reprenait, elle me demanda, tout à coup, si le poème était de moi. Je répondis que oui et elle me remercia en se penchant vers moi pour me faire une bise qui devint un baiser ardent. Une étreinte violente nous unit, nos langues partirent dans une ronde effrénée tandis que nos mains parcoururent nos corps en émoi. Après de longues minutes, tous deux hors d’haleine, nos lèvres se séparèrent à regret et elle me dit :Nous sortîmes en toute hâte de la voiture et montâmes dans son appartement. Dès que la porte se referma, mes mains et ma bouche reprirent le ballet sur son corps. Nous nous déshabillâmes et je découvris ses seins, magnifiques, que je m’empressai de couvrir de baisers… Ses pointes durcirent sous le plaisir. Elle m’entraîna dans sa chambre, ma langue continua de goûter au plaisir de ses seins qui se tendaient vers moi, et mes mains descendirent rejoindre son jardin secret. À travers son string, je sentis les contours de sa chatte et une absence de poils (chose que ma femme me refusait depuis longtemps), mon excitation monta encore d’un cran. Mes doigts accrochèrent les bords du mince bout de tissu et le tirèrent vers le bas, ma langue prit le même chemin et vint s’introduire dans son nombril pour y jouer quelques instants, puis poursuivit sa descente.À ce moment, elle me prit la tête entre ses mains et me dit :Je la regardai dans les yeux et, en l’allongeant sur le lit, je lui répondis :— Laisse-toi faire !Je continuai doucement la découverte de sa peau et rencontrai sur son pubis un fin duvet, je déposai quelques baisers et coups de langue sur ce doux gazon roux avant d’arriver lentement à destination. Ma bouche embrassa alors longuement ses lèvres chaudes et humides. Je passai alors mes mains sous ses cuisses pour les remonter sur son ventre afin de lui ouvrir encore plus ses lèvres secrètes pour pouvoir les saisir de nouveau et titiller avec mes doigts ses seins.Ma langue alterna entre un lapement tout au long de ses lèvres et des caresses rapides de son clitoris. Je sentis son plaisir monter en elle, son bassin commença un déhanchement qui s’accéléra. Pour augmenter encore son plaisir, mes doigts tirèrent les mamelons au même rythme.Sophie, dans un râle, me dit : — Continue comme ça, tu vas me faire jouir !Elle pressa ma tête sur son sexe, j’enfonçai ma langue au maximum entre ses petites lèvres, et là , je sentis sa jouissance inonder ma bouche. Elle serra ses cuisses à m’étouffer et moi je bus ce liquide sucré et parfumé avec délice. Je remontai alors pour l’embrasser et nos langues reprirent une valse lente en attendant de repartir pour des joutes plus intenses.Tous deux allongés côte à côte, nos mains repartirent à l’exploration. Elle s’empara de mon membre tendu et entreprit de le caresser du gland jusqu’aux couilles ; ma main arriva entre ses jambes et un premier doigt s’introduisit entre ses lèvres.Sophie se pencha alors au-dessus de mon sexe et l’agaça avec ses longs cheveux, elle continua de descendre pour y passer sa langue avant de me prendre dans sa bouche. Pour ne pas être en reste, je me contorsionnai pour parvenir à réaliser un 69 de rêve. Pendant qu’elle suçait ma colonne de manière divine, ma bouche tout entière torturait son petit bouton et deux autres doigts rejoignirent celui qui était dégoulinant dans son con. Je ne restais pas inactif de mon autre main, après avoir recueilli sur mon majeur sa liqueur, je rejoignis sa rosace pour lui procurer une onde de plaisir supplémentaire. Sa réaction ne se fit pas attendre, je sentis sa chatte mouiller encore plus et un filet de liquide vint jusqu’à son anus… j’en profitai pour y mettre un puis deux doigts. Un cri de plaisir à demi étouffé sortit de sa bouche pleine, afin de l’emmener de nouveau au 7e ciel. Mes doigts se rejoignirent dans son ventre, juste séparés par une mince peau, pour faire un va-et-vient qui l’emporta rapidement vers la félicité.Étant moi-même au bord de la jouissance, je me retirai de sa bouche et me plaçai pour une caresse que ma femme aurait eu du mal à me faire (ayant une poitrine plus menue) : une branlette espagnole. Sophie emprisonna mon sexe de ses seins et à chaque allée et venue, sa langue passa sur mon gland. Je ne tins plus, mon sexe gonfla encore puis – en de puissants jets – lâcha des giclées de sperme dans sa bouche et sur son visage.C’était merveilleux, j’étais aux anges.