Comme je m’attendais plus ou moins à ce spectacle, j’avais prévu la réaction que je devais avoir pour être « cohérente » avec mon image de vieille fille célibataire, très stricte et plutôt BCBG…Je suis restée bouche bée quelques secondes (le temps de me rincer l’œil !), et sous le coup de la surprise (simulée évidemment, mais elle ne pouvait pas le savoir), je laissai échapper, d’une voix blanche, et d’un ton autoritaire pour bien marquer qu’elle n’était que ma bonne :— Charlotte… Charlotte ??? Que… Que fais-tu ??Depuis que nous nous connaissions, que ce soit dans le bar où nous nous étions rencontrées ou bien chez moi les quelques minutes où nous nous croisions quand elle arrivait pour faire le ménage, j’avais bien pris garde de ne pas la « mater » et de ne jamais la regarder avec insistance, pour ne pas lui donner l’impression que je pouvais être intéressée par son physique. C’était donc finalement la première fois que je pouvais détailler son corps, puisqu’elle était en petite culotte (impossible de savoir si mademoiselle était une vraie blonde), les cuisses très largement écartées, les seins nus, la main glissée sous la petite pièce de dentelle qui devait être imprégnée du nectar de son plaisir… On ne voyait même pas son sexe, mais sans que j’arrive à me l’expliquer, sa position m’avait semblé extrêmement sensuelle, et même franchement obscène.Je me l’étais finalement bien imaginée, un petit peu plus ronde que je ne le pensais (en fait, j’ai appris plus tard qu’elle faisait 74 kilos pour 1m60), avec des seins trop lourds et qui, malgré son jeune âge, s’affaissaient très nettement sous leur poids imposant… J’ai aussi appris ses mensurations par la suite : 90 75 95, avec un bonnet C qui aurait pu être joli en théorie, mais ils n’étaient pas très fermes et on avait plutôt l’impression qu’elle avait déjà allaité trois enfants.Pour compléter sa description, elle n’avait pas vraiment les traits fins, comme je vous l’ai déjà dit… Elle n’était pas vraiment très grosse, mais plutôt épaisse de partout, avec des hanches bien larges, les cuisses et les mollets dans le même genre et des lèvres trop pulpeuses, assez vulgaires. Elle ne correspondait donc vraiment pas aux canons de beauté actuels, et elle était surtout très loin des cadres supérieures, grandes et fines, que j’avais l’habitude de fréquenter jusqu’alors.Pourtant, je dois reconnaître que dès notre première rencontre ses charmes ne m’avaient pas laissée indifférente, et depuis… Eh bien sans dévoiler la suite de l’histoire, je dirai que sa sensualité vulgaire me faisait depuis de plus en plus d’effet…Ne lui laissant surtout pas le temps de s’expliquer, je fis trois pas en arrière, ressortis de l’appartement l’air très choquée, et claquai la porte d’entrée.Au bout de quelques secondes, le temps de reprendre mes esprits après ce spectacle obscène et si choquant pour la bourgeoise coincée que je prétendais être :— Charlotte ! Rhabille-toi immédiatement !— Madame…— Non, je ne veux même pas savoir ce que tu faisais, je ne veux pas d’explications, rhabille-toi tout de suite, je veux pouvoir rentrer chez moi, c’est tout de même la moindre des choses…— Mais je… Ho… Pardon… Entrez, pardon… (Sa voix tremblait de honte, et les larmes n’étaient pas loin.)— Pour voir ce spectacle obscène et dégradant d’une jeune femme que je croyais pure en train de s’adonner à des plaisirs malsains chez moi ? Il n’en est pas question, rhabille-toi immédiatement !Au bout de quelques minutes d’attente sur le palier, je suis revenue dans mon appartement et l’ai trouvée rhabillée, assise sur le canapé, les yeux baissés, son sac à main ramené sur ses genoux, les cuisses serrées et les joues écarlates de honte. J’ai pris mon ton le plus distant et le plus froid possible pour lui faire comprendre que l’époque où on rigolait ensemble à la terrasse des bars en commentant un film à l’eau de rose était vraiment très loin :— Rentre chez toi, petite impertinente. J’espère que tu n’imaginais pas terminer ton repassage en discutant de la pluie et du beau temps avec moi, après ce que tu viens de faire ! Je réfléchirai ce week-end aux suites que je donnerai à cette affaire, mais sache que tu m’as profondément déçue… Moi qui voyais en toi une jeune fille pure et honnête… La simple idée que tu as eu des pensées impures et malsaines chez moi, sur mon canapé, devant des photos de moi… Je ne sais même pas quoi dire…Je me suis arrangée pour ne pas être là les fois suivantes où elle est venue faire le ménage, lui laissant juste des petits mots très secs avec mes consignes concernant les tâches ménagères qu’elle devait effectuer…Au bout de quinze jours, je l’attendais chez moi jeudi matin, très maquillée avec un tailleur très strict que je ne mettais que lors des grandes occasions. Assise sur mon canapé, l’air moins sèche que la dernière fois, je l’attendais et, en tapotant le coussin à côté de moi, je lui ai fait comprendre qu’elle pouvait venir s’asseoir sur le canapé…— Charlotte, je t’attendais, j’ai bien réfléchi à ce qui s’est passé… (sur un ton volontairement maternel pour la remettre en confiance)— Oui madame, je vous demande pardon, si vous saviez comme j’ai honte et comme je suis désolée.— Je n’ai rien à faire de tes excuses, petite idiote. Tu as trahi ma confiance. Tout ça ne rime à rien, j’ai voulu te donner un coup de pouce… Un job d’appoint pour une petite étudiante de bonne famille et bien éduquée… Mais le moins que je puisse exiger de ma bonne, c’est qu’elle soit propre et ne soit pas complètement obsédée, totalement soumise à ses désirs obscènes… Ce que tu es, je suis désolée de te le dire… Je ne comprends même pas comment nous avons pu sympathiser… J’ai honte pour toi… Comment ai-je pu croire un seul instant que tu avais une bonne éducation ? Tu m’as bien trompée…— Oh pardon, madame, je suis désolée, madame, cela ne se reproduira plus…— Arrête de répéter toujours la même chose comme une enfant… Je t’ai attendue ce matin pour te dire que je vais chercher une autre bonne pour te remplacer… Je n’ai pas de bijoux de valeur ou d’exigence bien exceptionnelle sur le ménage, mais je ne peux pas imaginer d’avoir une bonne en qui je n’ai pas confiance… Les consignes que je te donne doivent passer avant tes désirs obscènes… Une maîtresse de maison te paye pour la servir, pas pour te masturber !— Oui madame… Bien sûr, je sais que je suis impardonnable… Mais je vous en prie, j’ai besoin de ce salaire…— Ça, c’est vraiment le cadet de mes soucis, ma chérie… Je cherche une bonne, c’est pour me faire servir. Bien servir, ça nécessite d’assimiler les désirs de ta maîtresse… Et ça s’apprend, ça nécessite une excellente éducation, et tu es loin de la perfection, c’est le moins qu’on puisse dire !En quelques minutes, j’étais passée du terme général « une maîtresse de maison » à quelque chose de beaucoup plus précis : ta maîtresse, pour la préparer psychologiquement à ce que j’envisageais de lui proposer…— Mais… Mais… Comment je vais faire… Je… Je suis prête à tout, vous avez toujours été très gentille pour moi, et j’ai besoin de ce salaire… Je vous promets que je vais m’améliorer…(Tu m’étonnes que tu es prête à tout ma cocotte, tu es folle amoureuse de moi !!!)— T’améliorer ? Laisse-moi rire, ça ne va pas suffire ! C’est une formation complète pour apprendre à me servir qu’il te faudrait ! Ou plutôt carrément refaire ton éducation ! Je n’ai jamais trop insisté, mais depuis que tu as commencé chez moi… Sans même parler du jour où tu t’es laissée aller… Tu es loin d’être parfaite…— Je… Je… S’il vous plaît !— Tu m’as entendue : j’ai besoin d’une vraie bonne, pas d’une idiote dans ton genre…— Vous avez parlé de formation, de refaire mon éducation… Je vous ai dit que j’étais prête à tout pour m’améliorer… S’il vous plaît, laissez-moi une chance !— Une chance ? Après tout, je t’ai bien aidée quand tu es venue ici la première fois, alors pourquoi pas… J’espère que je ne le regretterai pas… C’est la crise, et pour limiter les coûts, mon entreprise m’a justement proposée de travailler chez moi trois jours par semaine, ce qui devrait me laisser du temps pour m’occuper de toi…D’un seul coup j’ai vu son visage s’illuminer, elle est quasiment tombée à la renverse du canapé, et sans que je l’incite à quoi que ce soit, elle a pris ma main, l’a serrée et l’a même embrassée, comme si je venais de lui sauver la vie…— Oh madame… Merci… Si vous saviez… Je suis si heureuse… Je serai digne de votre confiance…— Ne t’emballe pas ! Je t’ai prévenue, tu es loin de ce que j’attends, il ne te suffit pas simplement de « t’améliorer », je vais vraiment T’ÉDUQUER, au sens propre…— Oui madame, j’ai compris, je suis d’accord ! Et puis sans vous, je ne sais pas comment je m’en sortirais…— Je te l’ai déjà dit : tes problèmes d’argent, je m’en fiche complètement… Ce que je te propose, c’est pas un job d’été que tu pourras prendre par-dessus la jambe, je ne cherche pas une bonne qui vient repasser trois pantalons… C’est ce que je t’avais proposé au début, mais ce n’est plus ce dont j’ai besoin… Tu seras là pour me SERVIR… Et pour que ça se passe bien, pas question que tu le prennes à la légère, surtout si je passe une partie de mon temps libre à refaire ton éducation… En fait, si tu veux que je te garde, il ne suffit pas que tu t’améliores et que tu sois motivée, il faut que tu aies ENVIE de me servir, que ça te plaise… Grâce à l’éducation que je vais te donner, si tu acceptes, ça finira par faire partie de ta personnalité… Tu comprends, Charlotte ?Je savais parfaitement que j’avais été suffisamment floue pour qu’elle ne saisisse pas tout ce que j’avais en tête et de toute façon, elle semblait presque capable d’accepter n’importe quoi…— Oh oui madame ! Bien sûr madame ! J’apprendrai vite, je vous jure que je ne vous décevrai pas…— J’y compte bien ma chérie… Mais si tu as vraiment envie de me servir, j’aimerais que tu le dises…— …— C’est important pour moi tu sais… Si tu es sincère, ce que j’espère, ça prouvera que nous parlons vraiment de la même chose…— …— Je vais te mettre à l’aise, je ne veux pas que tu te sentes obligée, et si tu ne le fais que pour le salaire, ce n’est vraiment pas la peine de me faire perdre mon temps… Écoute bien ce que je vais te dire… Pour être sûre que tu ne le fais pas pour l’argent… Si tu refuses de me servir, tu n’as qu’à te lever et quitter mon appartement. Nous ne nous reverrons plus jamais, mais pour te donner des chances de réussir dans la vie, et parce que je t’aime bien, je te donnerai 5 000 euros… Tu peux partir avec 5 000 euros… Tu n’as qu’à me le demander. Et nous ne nous reverrons plus jamais… Sinon, eh bien tu restes…À ce moment-là, je sais que si elle part, j’ai tout perdu, mais plutôt que de tourner autour du pot pendant des semaines j’ai préféré tout risquer d’un coup… Si je gagne mon pari, après ça, je pourrai faire d’elle ce que je veux !À cet instant sa timidité a repris le dessus, et elle a piqué un fard monumental… Elle a baissé les yeux, serré les cuisses encore plus fort (pour se procurer de délicieuses sensations, ou bien par pudeur ? Je ne le saurai jamais…)— Je… Je…— …— …— …— J’ai envie de vous servir, madame…Elle a prononcé cette phrase dans un murmure, les yeux fixés au sol, et j’aurais parié mon salaire que sa culotte était aussi trempée que si elle sortait d’une piscine… C’est la première fois que j’ai décelé chez elle l’excitation incroyable que pouvait provoquer un sentiment de honte… Comme elle avait peu confiance en elle, était très pudique et pas très jolie, elle était très souvent et très facilement submergée par la honte… J’ai évidemment, depuis ce jour-là, usé et abusé de mon autorité sur elle pour provoquer sa honte en tous lieux et en toutes circonstances…— Tu as compris où est ton intérêt Charlotte, c’est parfait !— …— Qu’est ce que t’attends, on va pas déboucher une bouteille de champagne pour fêter ça ! Ton repassage t’attend !Je continuai à alterner un langage très sec avec des mots beaucoup plus tendres, comme une patronne un peu trop maternelle, pour mettre le trouble dans son esprit et affirmer mon emprise sur elle… De toute façon, vu la tournure que prenaient les évènements, même si elle avait perdu tout espoir qu’on devienne un jour copines, puis amantes, elle était toujours folle de moi… Cela se voyait dans ses yeux quand je l’appelais « ma chérie », et elle avait probablement eu l’occasion ces derniers temps de se donner du plaisir seule dans sa chambre d’étudiante en pensant à sa patronne…— Oh madame ! Merci de me faire confiance !— Bon comme je te disais, je vais être souvent chez moi, donc on aura le temps de parler de tout ça…Elle a donc fait le ménage ce jeudi-là, et pendant encore deux semaines à raison de deux jours par semaine, sans que je change de manière trop évidente mon attitude avec elle. Je travaillais chez moi, donc je pouvais la surveiller… Elle se tenait à carreau, et j’étais plus stricte que par le passé, plus sèche, lui faisant quelques commentaires sur son travail de manière à la mettre mal à l’aise, mais ça restait très « soft »… Comme j’étais là, j’en profitais pour me faire servir, j’interrompais son repassage en lui demandant de me servir un thé dans mon bureau, ou d’attendre à côté de moi, debout, le temps que je finisse mon petit déjeuner, pour remporter mon assiette à la cuisine et faire la vaisselle… Bref des choses assez anodines…Au bout de deux semaines, j’avais décidé de lui faire franchir encore un cap, et je lui proposai de venir boire un thé dans mon bureau pour que nous fassions ensemble le point sur ces deux premières semaines…— Bon, Charlotte, je dois reconnaître que tu fais des efforts… Tu fais attention à ce que je te dis, et je vois bien que tu essayes de me faire plaisir…— Oh merci madame !— Mais comme je te l’ai déjà dit, refaire ton éducation va prendre du temps, et tu te doutes bien que tu n’es pas devenue la soubrette idéale en deux semaines… C’est bien de faire des efforts, mais c’est vraiment quasiment rien par rapport à ce que j’attends de toi…— Bien sûr madame, vous m’aviez prévenue, je suis motivée, je vous l’avais dit… Je veux vous montrer que vous pouvez me faire confiance…— Je voudrais t’aider à prendre conscience que quand tu viens chez moi, tu n’es pas une étudiante qui gagne trois sous en passant l’aspirateur, mais tu es vraiment une soubrette, tu es là pour me servir, avec tout ce que cela implique…— …— Et je pense que ça commence par une tenue plus adaptée que tes pantalons et tes baskets…— Oh ! Euh…— Voici ce que je t’ai acheté !Elle était manifestement surprise mais en tout cas elle ne semblait pas farouchement opposée… Ma petite bonniche docile et passive n’allait pas être difficile à convaincre…Je suis allée chercher une petite valise dans un placard, et je lui ai déballé la fameuse tenue « plus adaptée » : des chaussures noires en cuir, à talons (4 cm de haut), très sobres, laissant le dessus du pied nu, avec une petite sangle pour serrer autour de la cheville ; une jupe tablier noire couvrant environ un tiers des cuisses (c’est-à-dire vraiment pas beaucoup, surtout pour elle qui ne mesurait que 1m60) ; un soutien-gorge pigeonnant couleur chair (pour qu’il ne se voie pas) légèrement trop petit pour elle et avec un très bon soutien (étant donné le poids de ses mamelles !) afin de donner l’impression que sa poitrine était encore plus imposante qu’elle ne l’était en réalité, et en coton tout simple pour atténuer l’impression que j’avais choisi des vêtements sexy ; une tunique blanche à manche courte, suffisamment décolletée et provocante pour qu’on voie bien la plus grande partie du sillon de ses seins, qui devaient en plus être bien « remontés » et « gonflés » par le soutien-gorge que j’avais prévu. Et pour finir, une culotte large en coton, pas sexy du tout, plutôt genre « confortable et enveloppant », pour lui donner le sentiment que ça m’était égal qu’elle soit sexy (et lui confirmer que ses charmes ne me faisaient strictement rien), mais que ce qui comptait pour moi c’était qu’elle rentre « dans la peau d’une soubrette ».— Voilà les achats que j’ai fait pour toi, Charlotte ! Évidemment j’ai acheté cette tenue en double et tu la laveras et la repasseras d’une fois sur l’autre… Tu peux me remercier, parce que c’est de l’excellente qualité et ça m’a coûté une petite fortune !Elle en est restée bouche bée et ne savait pas trop comment elle devait réagir…Je ne voulais surtout pas lui laisser le temps de réfléchir, et sachant qu’elle pouvait être parfois assez gamine (elle n’avait que 22 ans !) et s’amuser d’un rien, je lui présentais ça presque comme un déguisement…— Tu vas voir, tu vas être toute mignonne avec ça ! Tu pourras dire à tes copines de fac que tu te déguises comme dans les films historiques, et que tu travailles pour une bourgeoise qui se croit encore au 19ème siècle ! Regarde comme tu seras élégante, je t’ai même acheté des pics à cheveux pour que tu te fasses un chignon… Je veux un beau chignon bien rond très strict… Pas question que tu fasses « négligée » !— …— Allez hop, ne perds pas de temps, ma petite chérie, tu ne voudrais pas te faire gronder parce que tu n’as pas fini le ménage ?— Mais… Euh… Je vais être un peu ridicule, non ?— Pas du tout, pas mal de mes connaissances ont des bonnes qui portent l’uniforme comme toi… Bon c’est vrai que ce sont en général des femmes plus âgées que moi… Je veux bien admettre que je suis un petit peu vieux jeu… Mais si tu veux vraiment apprendre à servir, il est indispensable d’être habillée correctement… Regarde comme c’est de la belle qualité, je suis sûre que tu seras fière de porter cette tenue… Et le plus important : est-ce que tu veux faire honneur à ta maîtresse ? Surtout quand je ferai des dîners à la maison avec des amies, si tu acceptes de faire un extra pour le dîner, quelle fierté de te voir ainsi !— Vous ne serez pas la seule à me voir ainsi ? Vous inviterez des amies ? Je ne suis pas vraiment sûre de…— Bon, bon, ne t’inquiète pas pour cela, ce n’est qu’un détail, nous en reparlerons plus tard, quand tu seras prête… De toute façon tu ne feras jamais rien dont tu n’aies pas envie… Je ne veux que ton bonheur, tu sais !— Oh oui madame, je sais bien, vous êtes si gentille avec moi malgré que je vous ai offensée…Voyant qu’elle était quasiment convaincue, j’en rajoutais, pour l’amener à dire spontanément ce que j’attendais qu’elle dise :— Enfin, si tu n’as pas envie de porter cette tenue, ce n’est pas grave…— Oh non madame, ce n’est pas du tout ce que je voulais dire, j’ai envie de vous servir… Et puis quand j’étais enfant, j’aimais bien me déguiser, alors là, bah… Je commence à me faire à l’idée…— Allez trêve de bavardages, change-toi vite !— …La voyant de nouveau rougir comme une pivoine, j’ai compris que sa pudeur reprenait le dessus…— Si tu veux utiliser ma chambre, y a pas de problème !— Merci madame, je reviens tout de suite…Elle est revenue au bout de quelques minutes, en parfaite soubrette docile et soumise (même si elle ne le savait pas encore)…Même si je ne voulais surtout pas qu’elle s’en rende compte, j’ai eu l’occasion pendant les trois heures qui ont suivi de détailler son corps et la manière dont elle portait son nouvel « uniforme »…Son décolleté était assez provocant, mais il n’était pas sensuel au sens classique du terme… Au risque de me répéter, j’avais soigneusement choisi sa tenue pour qu’elle soit excitante à mes yeux mais en essayant de ne surtout pas lui donner l’impression qu’elle me plaisait, ou que je la voulais sexy. Ce décolleté était plutôt vulgaire et caricatural, comme un personnage de bande dessinée, avec ces deux grosses mamelles exagérément remontées et comprimées, dont n’importe qui comprenait obligatoirement qu’elles tenaient ainsi grâce à un soutien très ferme…Quant à ses cuisses, elles étaient suffisamment épaisses pour être beaucoup trop grosses, et visiblement obscènes sous cette jupe trop courte, mais sans exagération tout de même ce qui fait qu’elles restaient sexy et excitantes…Pour bien se les imaginer, toujours selon nos fameux canons de beauté, elle avait le genre de cuisses qui devaient faire dire à ses copines de fac un peu langues de vipères, pendant l’été, des choses du genre :— Charlotte devrait pas porter des minijupes comme ça, ça lui va vraiment pas… Elle dit qu’elle va essayer de perdre 5 ou 10 kilos, mais à mon avis ça ne suffira pas pour qu’elle soit jolie en minijupe…Mais moi… Les canons de beauté, je les avais oubliés depuis que je connaissais Charlotte, et elle me plaisait beaucoup (c’est peu de le dire !)…Enfin son chignon effectivement extrêmement strict (ses cheveux blonds lui tombaient maintenant en dessous des épaules, elle n’avait pas dû aller chez le coiffeur depuis notre première rencontre) renforçait cette tonalité d’ensemble, d’une jeune femme docile et soumise…Charlotte a donc fait le ménage ce jour-là dans sa nouvelle tenue, offrant involontairement, et apparemment sans s’en rendre compte (il faut reconnaître qu’elle était aussi très naïve et que cela faisait deux mois que je passais mon temps à la persuader qu’elle était la dernière personne au monde qui puisse m’inspirer du désir sexuel ou une quelconque pensée sensuelle) à sa maîtresse de superbes points de vue sur ses cuisses, son fessier, et ses splendides mamelles dès qu’elle se penchait pour épousseter quelque chose… Et à vrai dire, dès qu’elle bougeait tout simplement, tellement sa tenue était ajustée sur ses formes, et trop courte…Je n’ai pas poussé les choses trop loin ce jour-là, l’acceptation par Charlotte de la tenue de soubrette étant déjà un cap important pour elle dans sa nouvelle vie… La semaine suivante, une routine s’installait déjà, et sa tenue l’attendait dans ma chambre…— Tu peux aller te changer Charlotte, j’ai préparé tes affaires sur mon lit !— Bien madame…Au bout d’une minute ou deux d’une voix forte :— Zut, j’ai oublié mon portable dans ma chambre !— Pardon madame, vous me parliez ?— Non je disais que j’ai oublié mon portable dans ma table de nuit ! C’est urgent, ça t’ennuie si j’entre ?— Oh ! Heu… Non… Enfin… Je vous en prie…Je suis entrée le plus vite possible, pour ne pas lui laisser le temps de s’habiller, et tout en faisant attention à ne pas trop la regarder, je fouillais dans ma table de nuit pour récupérer mon portable. Elle était entièrement nue, et se tenait debout près de ma chaise, s’apprêtant à poser sa culotte et son soutien-gorge pour prendre ceux de son uniforme.J’avais évidemment prévu mon coup et je me doutais que se déshabiller dans la chambre de sa maîtresse ne devait pas laisser Charlotte insensible…Je regardais « par hasard » et « involontairement » dans la direction de ses cuisses, et… Pour la première fois, j’ai enfin vu la jolie toison bien blonde, pas très épaisse, qui ornait son pubis… Et surtout des traces suspectes sur les nombreux bourrelets appétissants de ses cuisses…— Charlotte, excuse-moi, je ne voulais pas te regarder… Mais, tu as quelque chose, là… Tu peux t’approcher s’il te plaît ?— …— Vite s’il te plaît !La rougeur instantanée sur ses joues, l’expression paniquée de son regard puis ses yeux qui descendent et qui scrutent la moquette intensément pour ne pas croiser mon regard, ses mains qui se portent pudiquement devant son pubis, tout me prouvait que j’avais vu juste, et que nous allions enfin pouvoir nous amuser…— Mets tes mains dans le dos !— …— Je ne te le dirai pas deux fois, Charlotte, TES MAINS DANS LE DOS !Elle a obéi sans un mot, et je savais que si elle était légèrement troublée avant que j’arrive, le cours des évènements ne pouvait qu’accroître sa honte, et… Vous m’avez comprise !J’ai avancé très lentement ma main droite vers son pubis, afin de faire durer son supplice (je me souviens que j’avais compté dans ma tête et ma main a mis environ 15 secondes pour franchir la distance qui la séparait de son sexe).Elle se tenait debout, raide devant moi, droite comme un I, alors que j’étais assise sur le rebord de mon lit. J’ai posé ma paume sur le haut de sa cuisse et avec le pouce, j’ai effleuré à plusieurs reprises la peau si douce qui se trouve juste en dessous des grandes lèvres, à la jonction des cuisses…Il a suffi de quelques secondes pour que mon pouce soit recouvert d’un liquide blanc et épais… En plus de ses nombreuses qualités, ma future soumise produisait une mouille abondante…— Charlotte… Qu’est ce que cela signifie ? Tu ne t’es pas débarrassée de tes vilaines habitudes ? Tu as encore eu des pensées perverses ? Ce n’est plus dans le salon, c’est carrément dans ma chambre cette fois ! Je croyais avoir été très claire avec toi…— …J’ai profité du fait qu’elle ne me regardait pas pour admirer son corps bien trop lourd, ses hanches larges, ses cuisses toujours aussi épaisses, qui décidément me faisaient énormément fantasmer, et ses seins trop gros qui s’étalaient sur son torse, tombant quasiment jusqu’à son nombril, avec des tétons qui semblaient durcis et tendus, prêts à craquer tellement elle était excitée… J’aurais donné n’importe quoi pour caresser ce corps de déesse… Mais il n’en était pas question pour l’instant, je devais suivre mon scénario…— Charlotte, regarde-moi quand je te parle !Pendant de longues secondes je l’ai regardée, ma main toujours posée sur sa cuisse, mon pouce immobile sur ses grandes lèvres, l’obligeant à soutenir mon regard, et je sentais que ma chatte devait être à peu près dans le même état que la sienne…— Charlotte, est-ce que tu peux m’expliquer ce qui se passe ?— …Elle n’avait pas ouvert la bouche depuis que j’avais fait irruption dans la chambre, et elle avait apparemment la gorge serrée… Et c’est peu de le dire !Tout en la regardant dans les yeux, j’ai recommencé mes petits va-et-vient avec mon pouce le long de ses lèvres, et l’humidité et la moiteur entre ses cuisses ne faisaient qu’augmenter, pour mon plus grand bonheur, et pour le plus grand désespoir de Charlotte qui n’avait probablement jamais eu autant honte de sa vie… Elle n’avait probablement jamais non plus connu un plaisir sexuel aussi intense…— Petite traînée, tu as perdu ta langue ou quoi ? En plus ça ne date pas d’il y a une heure, c’est tout récent, quelques minutes au plus… Puisque tu ne dis rien, je vais t’expliquer moi ce qui se passe ! Ta chatte est trempée de mouille, tu dégoulines, espèce de chienne… Non, ne me regarde pas avec cet air vexé, c’est bien ce que tu es, tu n’es qu’une petite chienne obsédée et lubrique… Et manifestement la source n’est pas tarie, regarde ta chatte ! Mais regarde-toi salope, tu continues à ruisseler pendant que je te parle…La honte était tellement forte qu’elle s’est mise à trembler, et ses jambes ne la portant plus, elle est tombée à genoux, à mes pieds, puis assise par terre en tailleur… J’avais une vue plongeante sur sa chatte gonflée, excitée et si appétissante… Sa toison était trempée, comme si elle venait de prendre une douche. J’étais moi-même très excitée (mais je ne voulais pas le laisser paraître), surtout à la vue de cette chatte large et rebondie, qui n’avait pas dû être pénétrée très souvent, mais qui était déjà légèrement dilatée, encadrée par des lèvres trop grosses… Tout cela était probablement l’un des effets du surpoids de la demoiselle…Je ne regardais pas la petite fente toute fine d’une jeune femme chaste, mais bien la chatte ouverte, obscène et pleine de bourrelets d’une femme bien en chair, pulpeuse et charnelle, qui était déjà largement initiée aux plaisirs solitaires…— Oh madame, pardon, je vous en supplie, j’ai honte, vous avez raison, je ne suis qu’une chienne, je me fais honte… Vous n’allez pas me garder n’est-ce pas ?— Que veux-tu dire ? Je t’ai dit que j’avais décidé de t’éduquer de A à Z pour que tu deviennes une parfaite soum… Heu… une parfaite soubrette. Je ne vais pas baisser les bras maintenant, la tâche ne va pas être simple, mais je te promets que quand j’en aurai fini avec toi, tu sauras contrôler tes désirs obscènes, tu sauras obéir et servir une maîtresse, tu devanceras même ma volonté…Elle était toujours assise à mes pieds, et quand elle a levé ses yeux vers moi, j’ai lu dans son regard qu’elle me vouait une adoration qui dépassait mes espérances, elle m’était reconnaissante au-delà de ce que j’imaginais.— Madame, je ne sais pas comment vous remercier, je n’osais même pas espérer que vous alliez me garder, après ce que j’ai fait…— Pour me remercier, c’est très simple, je ne te demande qu’une chose : faire ce pour quoi je te paye, le ménage, me servir et m’obéir !— Bien sûr madame, je vais m’habiller tout de suite et commencer par passer l’aspirateur…Elle était dans un tel état d’excitation nerveuse et sexuelle qu’elle a dû s’y reprendre à deux fois avant d’arriver à se lever, et à se diriger vers ses vêtements, en gardant les cuisses serrées et d’un pas hésitant… La faute à ses jambes flageolantes et à sa chatte qui réclamait la main de sa maîtresse…— Charlotte, dans ton état, tu crois vraiment que tu vas arriver à quoi que ce soit ? Tu crois que tu vas être capable de te concentrer sur ce que tu as à faire ? Tu es dans un tel état que tu serais capable de brûler toute ma garde robe avec le fer à repasser…— Oh pardon madame, je…— J’en ai marre que tu me demandes pardon à tout bout de champ ! Tu n’es absolument pas en état de travailler, et pour te calmer, je ne vois qu’une seule solution ! Tu vois de quoi je parle ?— Je… Je… Oui madame, je vais aller prendre une douche…— J’espère que tu plaisantes, là ! Ça te calmera pendant cinq minutes, et ensuite ça recommencera, j’en suis sûre… Je commence à te connaître, petite chienne… Non ce n’est pas à ça que je pensais…— Mais alors, je… Que voulez vous… ???— Tu vas vite comprendre, mets toi à quatre pattes ma chérie, je vais m’occuper de toi, tu verras que dans dix minutes tu auras les idées beaucoup plus claires… Allez à quatre pattes, plus vite que ça ! Écarte bien les cuisses. Ça doit être naturel d’ouvrir les cuisses pour une chienne en chaleur, non ?— …— Voilà, c’est bien ma chérie, tu vois que tu sais obéir quand tu veux… Mets-toi sur les coudes, ça sera plus facile pour te cambrer…À partir de ce moment-là, il était clair qu’elle était bien sur la voie d’une soumission complète, et je trouvais bien plus humiliant d’utiliser avec elle des petits mots tendres, des petits mots qu’elle aurait rêvé de me voir utiliser avec elle puisqu’elle était (et est toujours) amoureuse de moi… Sauf que dans ce contexte, ce n’était pas du tout les mots d’une femme pour son amante, mais les mots d’une femme pour sa chienne… Et elle le comprenait parfaitement, j’aurais dit « ma chérie » sur le même ton à une petite chienne de six mois ramenée de la SPA que j’aurais eu à éduquer…Je me suis approchée d’elle par derrière et de la main gauche, j’ai exercé une pression ferme sur ses reins pour l’obliger à exagérer encore plus sa cambrure naturelle pourtant déjà très prononcée.Ses seins alourdis et gonflés à l’extrême par l’excitation pendaient comme deux outres sous son torse, et comme je lui avais demandé de se mettre sur les coudes, le bout de ses seins touchait le sol et au moindre mouvement, ses tétons frottaient douloureusement contre la moquette et provoquaient de nouvelles vagues de plaisir dans son ventre…Toujours à cause de sa cambrure, ses grosses fesses se dressaient fièrement vers le plafond, et son pubis au lieu d’être tourné vers le sol était presque à la verticale, et me faisait face. Son vagin était orienté comme son anus aurait dû l’être si elle avait été dans une position normale…J’ai approché ma main droite, et sans aucun préliminaire, j’ai entièrement enfoncé mon majeur en elle.— Tu vois, une douche n’aurait pas suffi, tu es toujours aussi trempée… Tu n’as pas cherché à résister ma jolie, bien au contraire ! Ta chatte reconnaît déjà la main de sa maîtresse !Je commençai de lents va-et-vient tout en la maintenant bien cambrée pour que la moquette continue à irriter ses tétons. Pendant que mon majeur était en elle, mon pouce caressait délicatement et tendrement ses lèvres pour la mener le plus vite possible à l’orgasme…Au bout d’environ une minute, j’ai senti qu’elle n’en était pas loin et que ses tétons étaient probablement tellement durs que le contact avec la moquette devenait quasiment insupportable…— Hmmmm… Gnnnn… Hunnnn… waaaaa— Que dis tu ma chérie ?— Hmmmm… Gnnnn… Hunnnn… waaaaa— Écoute je te jure que si tu ne fais pas un effort, je ne peux pas comprendre ce que tu me dis…J’ai délicatement ressorti mon doigt, et sans lui permettre de changer de position, j’ai fait le tour de la chambre pour me mettre face à elle…— Qu’est ce qu’il y a ma chérie ? Je ne suis pas assez douce ? Tu n’y arrives pas ? Dis-moi ce que je dois faire pour te soulager ?J’avais évidemment employé ce terme à dessein… Je ne la caressais pas pour lui donner du plaisir, je ne faisais que lui donner un orgasme pour la soulager comme on soulage une vache en tirant son lait… Le temps que sa respiration se calme et qu’elle reprenne ses esprits pour être en état d’articuler, son désir avait encore augmenté et sa frustration devenait palpable…Elle transpirait de chaque pore de sa peau et son corps tout entier exprimait un désir incontrôlable, à tel point qu’elle donnait de petits coups de reins dans le vide, espérant arriver ainsi à se faire jouir seule, ce qui était évidemment improbable… À moins qu’elle n’ait cherché un hypothétique meuble contre lequel elle aurait pu frotter son clitoris en feu, mais il n’y avait rien autour d’elle…Elle m’était déjà presque entièrement soumise et se masturber elle-même ne lui était manifestement même pas venu à l’esprit, tout simplement parce qu’elle savait intuitivement que je ne l’aurais pas toléré…Je me suis mise à caresser le sommet de son crâne et ses cheveux, puis sa nuque, avec tendresse…— N’aie pas honte ma chérie, dis-moi ce que je dois faire pour te soulager ?Dans un murmure, encore à bout de souffle malgré les quelques secondes qui s’étaient écoulées et qui lui avaient permis de reprendre ses esprits :— Deux doigts… S’il vous plaît…— Pardon ? Charlotte, je vois bien que tu as besoin que je te soulage mais si tu ne me parles pas distinctement…— Deux doigts… Mettez-moi deux doigts, je vous en supplie !— Mais oui, bien sûr, tout ce que tu veux ma puce, je vais m’occuper de toi…De retour derrière elle, j’ai enfoncé sans ménagements mon majeur et mon index au plus profond de son intimité… J’ai aussi fait glisser mon autre main sous son ventre et j’ai commencé à titiller son clitoris manifestement très sensible…Son orgasme a été immédiat… Sa respiration s’est encore accélérée et en quelques secondes tous les muscles de son corps se sont contractés pendant qu’une longue traînée de cyprine s’échappait de son vagin aux rythmes de ses contractions. Un long gémissement s’est échappé de sa gorge et elle s’est effondrée, roulée en boule sur la moquette comme une petite chienne.Quand elle a commencé à reprendre ses esprits je me suis approchée d’elle et je lui ai donné mes doigts à lécher…— Charlotte chérie, nettoie mes doigts… J’ai déjà été bien gentille de te soulager, alors c’est bien le moins que tu puisses faire…Anéantie par l’orgasme, elle s’est exécutée, sans dire un mot. Quand elle a pu se remettre debout, je lui ai ordonné d’aller prendre une douche froide, et elle a ensuite fait ses trois heures de ménage. Comme je m’y attendais, elle était très attentive à la moindre de mes consignes, et beaucoup plus efficace dans les tâches ménagères qu’elle ne l’avait été par le passé…Nous n’avons pas évoqué ce qui s’était passé et à la fin de ses trois heures de ménage je lui ai demandé, comme si c’était parfaitement naturel, de se déshabiller devant moi afin que je puisse « faire une petite inspection ». Sa chatte était parfaitement propre et sans aucune trace de désir. Mon inspection a évidemment provoqué un début d’excitation, mais j’ai fermé les yeux en lui disant que j’étais fière d’elle malgré ce qui s’était passé, et que son éducation commençait bien…À suivre…