Une bonne partie de golf … et la suite !! 3 et FIN » Une bonne partie de golf… et la suite. 3 et fin.Ma nuit a Ă©tĂ© rĂ©paratrice et j’ai pris un petit-dĂ©jeuner copieux seul (quel calme) avant de me rendre au practice pour quelques essais de golf avant le parcours.La journĂ©e Ă©tait belle et cela promettait un agrĂ©able parcours puisqu’une partie des fairways est ombragĂ©e. Ă€ peine arrivĂ© au club-house pour me changer, mon portable sonne. C’est Claudine en pleurs !! » Mon chĂ©ri, je viens d’avoir un appel de mon mari et je dois aller le chercher Ă l’aĂ©roport de Bordeaux ce matin. Je ne pourrai donc pas venir jouer au golf… j’en suis triste comme tu ne peux pas savoir. Finalement, je me demande si je ne suis pas tombĂ©e amoureuse de toi ? Tu me contente si parfaitement sexuellement et tu es si gentil. Je te promets de faire l’impossible pour te voir demain… Je t’embrasse très tendrement.Je suis peut-ĂŞtre un mufle, mais cela me contentait parfaitement, car je me voyais mal embarquĂ© avec une femme mal baisĂ©e par son mari et qui se serait accrochĂ©e Ă moi. Qui vivra verra…..Vers 09.30 j’étais sur le practice et je venais de prendre un seau de balles lorsque My Chan est arrivĂ©e. Je ne m’en souvenais pas aussi belle ! Ses cheveux pendaient autour de son visage. Elle s’était maquillĂ©e discrètement mais en accentuant la proĂ©minence de ses pommettes et la profondeur de ses yeux. Le contour de sa bouche Ă©tait dessinĂ© au crayon presque noir. Un chemisier assez grand et bouffant, un pantalon de jersey moulant… et la voilĂ devant moi, un petit sourire aux lèvres.Un rapide bonjour, quelque peu froid, un petit baiser sur la joue et ne voilĂ -t-elle pas qu’elle s’éloigne pour jouer sur un tapis Ă 20 m du mien.Bon, me suis-je dit.. elle fait sa mijaurĂ©e !! Ah ! les femmes.Je me sentais en bonne forme physique et mes balles, que ce soit avec un fer ou un bois, partaient loin et bien droite, sans slides. My Chan ne s’occupait pas de moi et après avoir vidĂ© son seau de balles, elle a apprĂŞtĂ© ses affaires, ajustĂ© son chariot et est partie vers le trou n° 1 du parcours. Passant devant moi, elle me dit : » Alors, on y va pour ce parcours matinal ? « J’étais assez refroidi, mais je me suis dit que j’étais ici pour jouer au golf et que le  » reste  » n’était que supplĂ©ment !Comme toujours sur un parcours, pour ne pas nous dĂ©concentrer, nous Ă©changions juste les paroles nĂ©cessaires au jeu. Nous avancions vite. C’était une excellente joueuse, très rĂ©gulière dans ses coups.Au trou n° 5,comme la veille, nous avons fait une longue halte repos. J’ai tentĂ© de la prendre par la taille et de lui donner un baiser un peu appuyĂ©, mais la garce s’est refusĂ©e et m’a dit : » Non, n’exagère pas. Je t’ai promis une sieste… ne mĂ©lange pas le golf et la baisse !!C’était romantique Ă souhait. On verra bien.Avant de continuer le parcours, j’ai eu envie de faire pipi et, sans me gĂŞner, je me suis libĂ©rĂ© quasi devant My Chan, juste un peu tournĂ© pour qu’elle me voie de profil. Mon jet Ă©tait puissant et, comme un gamin, j’essayais d’aller le plus loin possible !!! Cela ne devait pas laisser ma partenaire indiffĂ©rente car elle s’est levĂ©e et, comme si de rien n’était, elle s’est accroupie devant moi, culotte baissĂ©e, pour Ă©galement un long pipi. Comme j’avais terminĂ©, je me suis approchĂ© d’elle, queue au vent, espĂ©rant une petite caresse… RIEN. Elle m’a donnĂ© une petite chiquenaude sur le sexe en riant et s’est relevĂ©e. Sa toison abondante mais taillĂ©e Ă l’iroquois, luisait d’humiditĂ©. D’un geste a peu près similaire Ă celui qu’on utilise pour enlever des miettes, elle a brossĂ© son bas ventre et, ensuite, empoignant sa touffe, elle l’a secouĂ©e doucement pour faire tomber les dernières gouttes (NDLR : il y a certainement une des critiques qui va essayer cela ! Hello Jeannette !)A fin de la partie, nous sommes revenus au club-house oĂą, après avoir bu une excellente orange pressĂ©e, je l’ai interrogĂ©e sur ses intentions. Fallait savoir !—  » Alors, ma belle, quels sont tes projets. Tu sais que nous sommes seuls et que Claudine ne viendra pas. Que faisons-nous ? « —  » Laisse moi t’expliquer… hier je me suis montrĂ©e sous un jour qui n’est pas rĂ©el. Je ne suis pas la salope que j’ai dit ĂŞtre. Je ne sais ce qui m’a pris par la tĂŞte … Il faut dire que mon mari et moi nous comblons mutuellement et que je n’ai jamais eu le besoin de prendre un amant. « —  » Oui, mais tu n’es montrĂ©e carrĂ©ment lubrique et ouverte Ă tout puisque tu as caressĂ© Claudine devant moi et que c’est Ă trois que nous avons continuĂ© notre douche !! « —  » Tu as raison, mais il faut te dire que cela faisait plus de 10 jours que je vis sans homme et cela me dĂ©mangeait !! Ce ne sont pas mes coups de fils amoureux avec mon mari qui peuvent me satisfaire ! « —  » Bon, je te comprends et je ne veux certainement t’obliger Ă rien. Tu me plais et nous sommes ici libres tous les deux. Essayons d’en profiter quant mĂŞme « —  » Oui, j’hĂ©site encore… dĂ©jeunons et crĂ©ons une ambiance propice. J’avoue que tu me plais aussi beaucoup. L’Angleterre est loin et mon mari n’en souffrira pas ! « Le restaurant du Club-house Ă©tant renommĂ©, nous n’avons pas hĂ©sitĂ© Ă y manger. Nous avions une table un peu isolĂ©e, bien calme. J’ai commandĂ© un de ces vins de pays que les viticulteurs de la rĂ©gion rĂ©ussissent Ă merveille et un menu du terroir.J’ai constatĂ© que My Chan se dĂ©crispait et, tendrement, j’ai mis ma main sur la sienne. Son sourire de remerciement me fut une rĂ©compense inestimable.Elle me dit : » Tu sais, je te remercie de ta douceur. Tu ne t’es pas fâchĂ©, tu as acceptĂ© ma drĂ´le d’humeur… c’est rare pour un homme ! J’apprĂ©cie. « Nos genoux se rencontraient sous la table et, très visiblement, My Chan avait rejetĂ© au loin toutes ses vellĂ©itĂ©s de fuite.Calmement, au dessert, je l’entrepris Ă nouveau :—  » Ma petite chatte, j’ai envie de toi. Je voudrais te rendre heureuse cette après-midi et te faire l’amour comme si c’était la première fois pour toi et moi. Je voudrais dĂ©couvrir ton corps et te faire dĂ©couvrir le mien. Je voudrais que tout ce qui est Ă toi soit Ă moi. « (Comme on peut ĂŞtre baratineur quand on a envie !!)—  » tu me troubles, me dit-elle, car tu es plus sensuel que sexuel et, moi aussi, je sens une envie monter en moi. Laissons-nous aller .. . et oublions-nous après. « —  » viens… « La rĂ©ception nous loua facilement une chambre dans le motel voisin et, la main dans la main nous y sommes allĂ©s. Je ne m’expliquais pas la mĂ©tamorphose de ma compagne, si chienne dĂ©chaĂ®nĂ©e hier ! Mais, je l’aimais autant comme ceci car les amours bestiaux ne sont pas mon fort. !Dans la chambre, nous nous sommes regardĂ© et, sans mot dire, nos bouches se sont rejointes. Rarement un baiser fut aussi langoureux, aussi amoureux. Elle et moi faisions passer par nos langues, tout notre dĂ©sir. Nous mĂ©langions nos salives et tournions nos langues comme de petits serpents agiles dans nos bouches jointes. Cela semblait ne jamais devoir finir tellement c’était bon…Ma main s’était glissĂ©e sous son chemisier et rapidement, j’ai dĂ©grafĂ© son soutien-gorge. Ses seins Ă©taient durcis par ses envies et je les sentais rĂ©ceptifs et vibrants Ă mes caresses. Les pointes cherchaient mes doigts et ceux-ci virevoltaient de l’un Ă l’autre. My Chan avait collĂ© son bassin au mien et je sentais le renflement de son pubis masser mon entre jambe et entretenir mon Ă©rection. Elle avait ouvert ma chemise et ses longs ongles griffaient dĂ©licieusement mes tĂ©tons. Nos bouches restaient soudĂ©es et nous Ă©mettions des sons sourds au fur et mesure de la montĂ©e de notre passion.Je lui ai enlevĂ© son chemiser, comme elle ma chemise, et nos deux torses nus se collaient l’un Ă l’autre. J’ai dĂ©tachĂ© la fermeture de son pantalon de jersey et l’ai fait descendre sur ses jambes, dĂ©voilant son slip blanc. Voulant continuer dans le calme, c’est très doucement que j’ai glissĂ© mes doigts sous le tissu, pour atteindre son entrejambes. J’ai Ă©tĂ© Ă©tonnĂ© de l’état dans lequel je trouvais son intimitĂ©. Ce n’était pas humide, mais trempĂ©Â !!!! La cachottière …Sentant mes doigts près d’elle, ma compagne poussait son bassin en avant pour me faire comprendre qu’elle voulait plus encore. Nos bouches restaient comme deux ventouses et c’est vraiment par nos langues enlacĂ©es que nous communiquions les rythmes de nos dĂ©sirs… J’introduis deux doigts dans sa chatte et trouva directement son bouton d’amour bien Ă©rigĂ©.Nous Ă©tions toujours debout et, Ă très petit pas, j’ai amenĂ© ma compagne vers le lit oĂą elle s’est allongĂ©e. Rapidement, comme si maintenant nous ne savions plus attendre, nous avons retirĂ© les derniers vĂŞtements qui nous gĂŞnaient et nos deux corps se sont rencontrĂ©s nus.J’avais une envie folle de prendre le goĂ»t de son intimitĂ© et je me suis retournĂ© sur elle, offrant ma verge Ă sa bouche tandis que, de mon cotĂ©, je lĂ©chais son entre jambes, jouait de mes lèvres avec son bouton d’amour ou rentrait aussi profondĂ©ment que possible dans son vagin. Elle avait les muscles pelviens et vaginaux très dĂ©veloppĂ©s et participait visiblement Ă son propre plaisir par des contractions.Ma queue Ă©tait profondĂ©ment engloutie dans sa bouche. Celle-ci Ă©tait d ’une agilitĂ© diabolique et rampait le long de ma hampe, mordillait dĂ©licatement le gland, s’emparait de mes bourses, revenait en une succion du gland, glissait la peau du prĂ©puce …. C’était du grand art et j’ai du faire des efforts de volontĂ© pour ne pas jouir trop vite. Je sentais que le moment n’était pas encore arrivĂ© pour elle..De son cĂ´tĂ© elle avait ouvert largement ses cuisses et les avaient remontĂ©es bien haut, m’ouvrant ainsi, comme une grotte, son intimitĂ© dont je voyais couler la jouissance abondante.Elle et moi, la bouche occupĂ©e, nous grognions de plaisir.Dans la position qu’elle avait prise, elle dĂ©gageait son petit orifice et, Ă un certain moment, j’ai quittĂ© son intimitĂ© pour lui faire ce que l’on appelle communĂ©ment une  » fleur de rose « . Ma langue tournait autour de son petit trou tout plissĂ© et y pĂ©nĂ©trait un peu. Je voyais distinctement les petits muscles se crisper de plaisir. Pour ne pas abandonner le reste de son corps, je continuais en elle des mouvements de va et viens par trois doigts bien enfoncĂ©s.Cela devait lui plaire car j’ai senti que du doigt, elle chatouillait mon anus et sans vergogne y avait enfoncĂ© une petite phalange. Nous Ă©tions comme cela totalement mĂ©langĂ©.Il n’est pas d’usage de mesurer le temps en pareille position, mais je peux dire que cela a durĂ©  » très longtemps  » et que, de visu, je pouvais presque compter les orgasmes nombreux de mon amante douĂ©e. Sans ĂŞtre une  » femme fontaine  » elle jouissait avec abondance et il est inutile que je dĂ©crive l’état de l’intĂ©rieur de ses cuisses et du lit… ;Un peu repus de cette position, nous nous sommes mis cĂ´te Ă cĂ´te, elle la main caressant toujours mon Ă©rection et moi, avec mes doigts enfouis en elle… ; C’était un intermède…Elle me dit :—  » tu es merveilleux.. tu comprends ce que j’aime et tu penses plus Ă mon plaisir qu’au tiens… Je pensais que mon mari me faisait bien l’amour, mais cela n’a rien Ă voir avec toi… viens, continuons .. « Elle me reprit la bouche pour un nouveau petit jeu de langue puis, sentant que le moment Ă©tait venu de conclure, elle me dit :—  » Je voudrais que tu me prennes très doucement…. Pas trop vite, bien profondĂ©ment en moi….essayons d’exploser ensemble…. Viens.. « Je me mis sur elle et c’est elle-mĂŞme qui guida ma verge vers son vagin. J’y Ă©tais merveilleusement bien enfouis…. Elle, couchĂ©e sur le dos, les yeux clos et les mains sur ses seins, me semblait passive. Ce n’était qu’une impression car tous ses muscles intimes Ă©taient en action et me faisaient un vĂ©ritable massage de ma verge..Comme elle me l’avait demandĂ©, c’est très doucement que je bougeais en elle lui laissant presque ma queue comme un objet masturbatoire pour ses muscles intimes.C’était pour moi une sensation nouvelle mais d’une rare qualitĂ© sensuelle.Son bassin s’était animĂ© doucement et je voyais ses doigts pincer les pointes de ses seins. Ses yeux toujours clos, elle avait lĂ©gèrement ouvert la bouche et de petits râles, de plus en plus frĂ©quents en sortaient. On aurait dit une parturiente qui rĂ©gulait sa respiration. C’était une toute grande jouisseuse !.Je l’entendis me dire : » chĂ©ri… c’est merveilleux… on va jouir ensemble… je suis prĂŞte… si toi aussi, accentue ton mouvement… je t’aime… « C’était vraiment la limite pour moi et, rĂ©pondant Ă son rythme, j’ai accĂ©lĂ©rĂ© ma pĂ©nĂ©tration, m’agrippant bien Ă ses hanches. Notre cri de jouissance a Ă©tĂ© quasi simultanĂ© et moi, c’est Ă longs jets que je me suis rĂ©pandu en elle… Elle, ouvrait et fermait ses cuisses dans un coĂŻt d’une extraordinaire intensitĂ©.Pantelants nous sommes restĂ©s enlacĂ©s, mon sexe un peu dĂ©bandĂ© encore pĂ©nĂ©trĂ©.Elle avait repris ma bouche et avec, la mĂŞme initiative qu’au dĂ©but, mais avec une douceur infinie, elle s’occupait de ma langue en chatte amoureuse.Cela ne m’était plus arrivĂ© depuis longtemps, mais ne voilĂ t’il pas que je reviens Ă une nouvelle Ă©rection triomphante et, me sentant bien, j’ai recommencĂ© un mouvement lent dans la chatte de My Chan. Son fourreau n’en attendait pas moins et s’est mis immĂ©diatement Ă participer tandis que nos bouches jouaient au mĂŞme jeu…Nous n’avons pas changĂ© de position, moi bien en elle et elle possĂ©dant ma bouche… J’ai mis longtemps Ă jouir… elle pas, car je la sentais, sous moi, vibrer plusieurs fois. C’était simple, beau et bon tout Ă la fois !!!Notre rĂ©cupĂ©ration fut agrĂ©ablement entrecoupĂ©e de caresses futiles ou sensuelles. ApaisĂ©s, nous nous amusions de nos corps….Une douche commune allait nous permettre de nettoyer tout de ce que, de nous deux, nous avions rĂ©pandu l’un sur l’autre.Nus et enlacĂ©s par la taille, nous sommes allĂ©s Ă la salle de bain et, l’eau bien chaude nous fit du bien. Soudain, j’ai eu une drĂ´le d’impression. Effectivement, ma compagne faisait pipi !!Avec un peu de gĂŞne, elle me dit :—  » Excuses-moi, mais j’aime faire pipi après l’amour….Caresses-moi pendant….tu veux bien ??? « Bien que n’étant pas accro de l’uro, cela ne me dĂ©plaisait pas et j’ai rĂ©pondu Ă sa demande en caressant son entrejambes, dans le courant de la fontaine jaune qu’elle laissait couler. Moi-mĂŞme, sans prĂ©venir, j’ai urinĂ© abondamment en guidant mon jet vers ses cuisses, mĂ©langeant ainsi nos urines, nos jets et nos odeurs. C’était aussi assez nouveau pour moi.Notre douche commune s’est prolongĂ©e longtemps, car ma compagne Ă©tait ouverte Ă tous les Ă©bats et elle en a profitĂ© pour des sĂ©ries d’attouchements divers qui tĂ©moignaient d’une grande science de l’amour. Elle-mĂŞme guidait ma main sur et en elle avec dextĂ©ritĂ© selon ses besoins..Lorsque nous avons rejoint la chambre, My Chan s’est Ă nouveau emparĂ©e de ma bouche. Sa langue bougeait en elle comme un sexe dans un fourreau soyeux. Elle aspirait ma langue comme pour une fellation. C’était un appel Ă d’autres plaisirs.Ma verge dĂ©jĂ rebandĂ©e se collait Ă son pubis et se complaisait dans les longs poils bizarrement taillĂ©s, de sa chatte. J’avais empoignĂ© ses deux fesses et je la maintenais ainsi bien serrĂ©e contre moi. Elle quitta ma bouche pour recouvrir tout mon visage d’une multitude de bĂ©cots et puis, elle s’empara de mon oreille et y glissa le bout mutin de sa langue….Chacun sentait qu’il n’en avait pas encore fini avec l’autre… qu’il y avait encore des choses Ă faire, des choses Ă dĂ©couvrir…Je lui dis :—  » Ma petite chatte, tu es merveilleuse et tu m’as aimĂ© comme jamais je ne l’ai Ă©tĂ©. Continuons, passons la nuit ici. Ce sera notre première et dernière nuit ensemble, après cela, ce ne seront plus que des souvenirs … dis-moi OUI. « —  » Oui, j’ai encore envie de toi ! mais est ce que cela est raisonnable ? rĂ©pondit-elle. T’aimer et encore t’aimer, j’en ai encore envie, tu le sens. S’éveiller au matin, nu et enlacĂ© serait merveilleux, mais quelle tristesse alors de se quitter !!! « —  » Vis le prĂ©sent, aimons-nous…et pleurons ensemble en nous quittant mais prolongeons notre contact d’aujourd’hui… nos corps ne se sont pas tout dit encore.. « Comme seule rĂ©ponse, j’ai eu un baiser passionné……My Chan m’a ensuite racontĂ© partiellement sa vie, doucement Ă mon oreille, Ă©tendue nue Ă mon cotĂ©, sur le lit. Une de ses mains tenait mon sexe tandis que l’autre caressait ma joue.—  » Comme tu le sais, ma mère Ă©tait saigonnaise et mon père français. Ma mère est morte alors que j’avais 2 ans et mon père est rentrĂ© en France avec moi. Il s’est remariĂ© rapidement et a eu 3 enfants avec sa nouvelle femme.J’étais certes pas favorisĂ©e par rapport aux autres. Ă€ mes 16 ans, je suis tombĂ© amoureuse d’un anglais de 30 ans, en stage dans ma rĂ©gion et, j’ai fuguĂ© pour le rejoindre Ă Londres. Heureusement, ses parents m’ont bien accueillit et nous nous sommes mariĂ©s. Oh ! tu sais, ce n’était peut ĂŞtre pas un grand mariage d’amour mais je recherchais la sĂ©curitĂ© et le calme et une certaine aisance. Il m’apportait le tout. En plus, il a Ă©veillĂ© et entretenu ma sexualitĂ© et ma sensualitĂ©.Tu me croiras ou pas, c’est la première fois que le trompe et je ne m’en veux pas, car c’est merveilleux… « Elle se retourna vers moi et ses mains partirent Ă nouveau Ă la recherche de mon plaisir, tout en m’ouvrant son intimitĂ© comme une offrande ….NON, je m’arrĂŞte ici… car je suis amoureux de My Chan et nos Ă©bats futurs appartiennent dorĂ©navant Ă ma vie privĂ©e…. Tout ce que je peux vous dire c’est que la nuit a Ă©tĂ© fabuleuse et que la sĂ©paration, inĂ©luctable, a Ă©tĂ© douloureuse.FINJeromedici.