Il fait lourd cet après midi d’août nous déambulons au hasard dans les rues désertées par les habitants de la ville. Le seul fait que tu effleure mes fesses de temps a autre me suffis a comprendre ce dont tu as envie. – Si nous allions au parc ? Il y fait sûrement plus frais – Bof oui, mais il y a sûrement plein de monde. – Alors j’ai une idée, regarde cette salle de cinéma affiche salles climatisées ! Tout ce qu’il nous faut, on se fout de ce qui passe comme film non ? Deux minutes plus tard nous entrons dans une salle quasi déserte, a part deux couples assis devant l’écran, nous optons pour nous asseoir a l’arrière. Sans précautions je laisse ma jupe remontée sur le haut de mes cuisses écartées pour laisser l’air frais rafraîchir ma chatte, tu ne tarde pas a y poser une main d’ ailleurs J’ai envie de t’exciter, je défais plusieurs boutons à mon chemisier, les bonnets de dentelles blanche apparaissent, et sans hésiter tu passe ta main libre pour malaxer mon sein durci. Je pose la mienne sur ta braguette déformée, nos lèvres se soudent, tandis que mes cuisses s’écartent davantage, .j’implore une caresse Tes doigts se fraient un passage entre l’élastique de l’entre- jambes de mon string, j’ai la motte en sueur et la chatte en feu, tes doigts me fonts du bien, fébrile je tire sur le zip de ta fermeture, tu bande si fort que j’ai de la peine à extraire ton membre du pantalon, une fois chose faite je tire sur la peau douce pour décalotter ton gland qui suinte, je te branle lentement tandis que tu fouille avec deux doigts ma chatte détrempée Mais soudain mon sixième sens me dit qu’il y a une présence derrière nous, je t’en fais part. – Oui il y a un jeune homme juste derrière, tu veux qu’on change de place ? – Ho non ça va casser la magie de l’instant, laisse le se masturber s’il le souhaite, et remet tes doigts dans mon minou Et pour confirmer j’avance mes fesses au bord du siège. Sans doute excité par la présence de cet homme tu extrais mes seins de leurs bonnets, mes bourgeons sont tendus, et ils aimeraient bien êtres sucés Je sens un souffle chaud dans mon cou, l’homme s’enhardit ? Tu dois le savoir car tu viens de regarder derrière, je te connais, tu lui as fait un signe Aussitôt une main se pose sur mon épaule nue car le corsage a glissé, elle est douce cette main qui descend lentement vers ma poitrine, bientôt j’ai les bonnets du soutien-gorge sou le cou, je ronronne comme une chatte en chaleur, mes deux seins sont triturés mes bouts roulés, ma chatte est fouillée par tes doigts, ah que c’est bon !Je n’ose pas te demander à quoi ressemble ce jeune homme, mais j’aimerais bien faire plus ample connaissance. Ma tête se renverse en arrière, la sienne approche de la mienne, nos lèvres se joignent tu assiste a ce baiser fougueux, toi d’ordinaire jaloux tu me laisse faire, mais pourquoi me lâche t il soudainement ?, il se lève, va-t-il quitter la salle ? Ouf ! Non il vient s’assoir prés de moi Sans perdre de temps il passe ma jambe sur la sienne, tu en fais autant avec l’autre, me voilà écartelée entre deux hommes avec je ne sais combien de doigts entre les cuisses. Mes lèvres intimes sont tiraillées vers l’extérieur, ma chatte est visité dans ses moindres replis, même mon petit trou est sollicité, je me mords les lèvres pour ne pas crier. Soudain notre invité se lève, le voilà a quatre pattes dans l’allée, il passe entre mes cuises, ses mains sous ma jupe saisissent mon string sur les cotés, je soulève mes fesse et lève les jambes, le vêtement est ôté, qu’en a t il fait ? Je m’en fiche ! A nouveau écartée j’ai la chatte a l’air, l’odeur de l’amour remonte a mes narines, sa bouche se pose a l’intérieure ma cuisse et remonte doucement en déposant milles baiser sur ma peau satinée, Mes fesses dépassent du siège afin que ma chatte soit accessible a sa langue, tu m’embrasse les lèvres du haut lui celles du bas, je vais jouir heureusement ta bouche fait bâillon, la voix des acteurs a l’écran couvre a peine les bruits de sucions, il ne veut pas perdre pas une goutte de ma cyprine abondante, il se relève en s’essuyant le visage d’un revers de main. C’est a ce moment là que je m’aperçois qu’il a sortit sa queue et me fait nettement comprendre ce qu’il désire – Tu veux le sucer chérie ? Je n’ai pas le temps de répondre qu’il avance sa bitte vers moi, tu me pousse la tête en avant. Il fait écran de son corps avec les autre spectateurs j’avale ce sucre d’orge improvisé, les mains posées sur mes oreilles il baise ma bouche comme un forcené jusqu’à ce qu’il crache son sperme au fond de ma gorge. L’homme s’essuie le nœud avec un mouchoir, il va partir ? Non, il te parle à l’oreille – Chérie ? Tu veux le suivre aux toilettes ? Et moi comme une bêtasse – Pourquoi faire – Allez viens, je vous accompagne, referme un peu ton corsage pour traverser la salle Nous voici devant les toilettes des hommes, ça pue l’urine mais j’ai trop envie de baiser pour faire la fine bouche, vous me faites entrer la première, a peine la porte refermée avec le verrou je me retourne pour découvrir le visage de cet homme, ça va le hasard a bien fait les choses – Tourne-toi et pose tes mains sur le siège Je rabats le couvercle du w c et me penche en avant, aussitôt ma jupe est rabattue sur mes reins, je suis offerte comme une vulgaire pute – Ecarte les pieds encore plus, Hum ! Elle est bonne ta femme, joli petit cul et la moule très serrée j’aime ça Ses doigts passent et repassent sur ma fente et mon petit trou, il sépare mes lèvres tellement en feux que je me laisserais baiser par un clodo ! le gland se positionne sur ma faille je bloque ma respiration car je devine qu’il ne va pas lésiner quand il va m’enfiler – Ah…ah…non… Trop tard pour dire non ses couilles sont écrasées sur mon clitoris, mes muscles vaginaux enserrent la queue, mon mari se fraie un passage prés de ma tête et me présente sa bite afin que je le suce aussi Cramponnée d’une main aux cuisses de mon mari je suce sa queue pendant que l’autre me ramone comme un malade, ses cuisses claquent sur mes fesses, a chaque poussée les queues entrent plus profondément dans mon ventre et dans ma bouche, mes seins ballottent en tous sens Soudain je sens les premiers jets de sperme jaillir dans ma chatte, il ne s’arrête pas pour autant et continue à me limer, et sans crier gare sa bitte sort de mon vagin pour pointer ma rondelle, le temps de retire la queue de ma bouche pour crier : – Non…non…pas là… Peine perdue, j’ai les trois quarts de sa queue entre les reins, il a de la réserve ce gars ! – Tu l’encule ? – Ben oui pourquoi ? – Tu aurais pus me demander mon avis avant non ? – Je sais reconnaître une chaudasse et la tienne a vachement envie, et ça tombe bien y a une éternité que je n’ai pas dégorgé mon membre. – C’est vrai chérie t’a en envie ? – Maintenant que je l’ai dans le cul autant en profiter ! Mais qu’il se dépêche à jouir ! Ce salaud m’a limé le cul pendant un bon moment avant de décharger abondamment dans mon boyau. Une boule de papier toilette pour s’essuyer et le voilà partit, je me redresse péniblement – Ça va chérie ? Assied toi je vais regarder dans quel état il t’a mise .Hum ça coule jusque dans tes chaussures, t’en a plein entre les cuisses, attend je vais t’essuyer… – Avec du papier ? – Oui mais seulement jusqu’aux genoux, le reste je le fais avec ma langue – Tu va lécher le foutre de ce gars ? – Écarte bien les jambes et tais-toi ! Hum quelle bonne odeur… Je me laisse faire…ah oui, sa langue apaise l’irritation provoquée par ma récente baise, il lèche, suce aspire tout ce qui sort de mon vagin et de mon anus, lorsqu’il se retire je pouffe de rire il a de la crème jusqu’aux yeux, il se pourlèche les babines si je puis dire – Ça va? tu t’es régalé ? – Tu ne crois pas si bien dire ma chérie un vrai régal, je ne sais pas si tu es au courant mais jusqu’à présent je n’ai fait que me branler, je n’ai pas encore jouir, il serait peut être temps d’y penser non ? – Excuse moi mon amour mais ce gars là est un vrai phénomène, il ne débandait pas après avoir déchargé, qu’est ce qu’il m’a mis – Pour ça oui, mais ne me dit pas que ça t’a contrariée ? – Non. Baise moi chéri mélange ton foutre a celui de mon amant – Cale toi le dos au mur je vais te trousser debout La fraîcheur du carrelage fait du bien, il me lève une jambe qu’il maintient sur sa hanche, ma vulve baille, un restant de foutre continu à couler, le pieux de mon mari n’a aucune peine à m’enfiler d’un coup de rein. – C’est un vrai marécage là dedans, c’est à peine si je sens les parois de ta chatte. – Alors fait comme lui chéri, tu jouis une fois dans ma chatte, puis tu me la mets au cul – T’es vraiment une grosse salope toi, je vais te ramoner les trous tu te souviendras de ton après midi Comme promis, mon mari m’a tronchée pendant combien de temps ? Bonne question mais quand il a jouis en hurlant dans mon cul des coups sont frappés a la porte – Messieurs dame si vous ne vous ne voulez pas être enfermés pour la nuit je vous conseille de sortir très vite A la hâte nous essayons de remettre un peu d’ordre dans nos tenues, tant pis pour le foutre qui recommence à descendre le long de mes jambes, dans le couloir un homme attend les bras croisés en nous regardant comme si nous étions des bêtes curieuses, il fixe mes jambes avec un sourire narquois – Hé ben, elle a eue sa dose la petite dame, je vous conseille de ne plus revenir ici sinon c’est la police qui vous délogera compris ?