Ayant quelques soucis d’écriture pour finir mes looongues sagas en cours, voici un court récit sans grande prétention, histoire de me remettre dans le bain… 🙂 Un bon accueil comme il se doitLillie, sa petite touffe à l’air, uniquement vêtue d’une nuisette et de bas autofixants sombres, parade lascivement sous mes yeux. Sous le charme, admiratif, je ne dois mon self-control qu’à une seule chose : nous attendons quelqu’un ! Soudain, un bruit de moteur se fait entendre ; je regarde par la fenêtre puis me retournant vers ma femme, je déclare :— Voici notre invité qui arrive, accueille-le comme il se doit !— Pas de problème, mon Denis !Et elle disparaît dans le couloir pour aller lui ouvrir en petite tenue. Comme je ne désire louper aucun morceau de la scène, je me positionne au fond du couloir, spectateur attentif à ce qui va suivre. Ce n’est pas la première fois que Valin, notre invité, vient chez nous. Eh oui, il a un prénom peu commun, qu’on confond parfois avec Alain, qui est d’ailleurs son second prénom ! Je songe qu’il y a des parents qui devraient faire un peu plus attention aux prénoms qu’ils donnent à leurs enfants. Faire original, pourquoi pas, mais il faut penser à l’enfer que peuvent vivre ces pauvres enfants par la suite ! Même quand ils sont adultes !En début de semaine, ayant eu Valin au téléphone, je lui avais proposé de passer chez nous. Il avait accepté avec joie. C’est alors que j’avais glissé le thème « petite chienne » dans la conversation :— Que dirais-tu, un beau jour, d’une petite chienne ?— Tu veux dire quoi par-là, Denis ?— Qu’une adorable petite chienne soit à ta disposition…— Je suppose que tu me parles d’une femme et pas d’un animal…— Oh, quelque part, nous sommes aussi des animaux !— Je sais, je sais ! Des gros cochons, même !Et nous avions ri, et nous étions passés à un autre sujet.On sonne à la porte, Lillie l’ouvre, s’effaçant sur le côté afin de laisser passer un Valin qui ne la quitte absolument pas du regard, appréciant visiblement la tenue plus que légère de son hôtesse. Après être resté planté quelques secondes, contemplatif, il se décide à déposer deux baisers sur les joues de ma femme, un de chaque côté.La porte refermée, Lillie s’avance dans le couloir tandis que je viens serrer la main de notre invité. C’est ensemble que nous arrivons dans le salon où nous attendent nos verres. Excepté ma femme, nous nous asseyons, elle demande :— Tu désires boire quoi, Valin ?— Toi !— Désolée, je ne suis pas à boire !— Tu es à croquer !— Merci, Valin, mais ça ne me dit pas ce que tu veux boire…— Ceci, ça ira très bien !Il désigne une bouteille, Lillie le sert, me sert puis fait de même pour elle, ensuite nous parlons un peu de tout et de n’importe quoi, notre invité ne quittant pas des yeux sa vis-à-vis qui ne fait pas grand-chose pour cacher ses charmes. Je dirais même qu’elle le fait exprès, s’ingéniant à jouer les innocentes ingénues !Je me lève, allant chercher quelque chose dans le coffre qui orne un coin de notre salon. De retour, je tends à notre invité un collier grenat très foncé avec un gros anneau argenté. Valin hausse les sourcils, ne comprenant pas bien. J’explique :— Une petite chienne n’a-t-elle pas un collier ?— Ah si, c’est vrai !Avec un grand sourire, il se saisit du collier et le place aussitôt autour du cou de Lillie qui se laisse faire sans problème, relevant ses longs cheveux soyeux pour lui faciliter la tâche. Le collier mis, elle met ses mains dans son dos, tendant le cou pour bien faire voir l’objet, chose que Valin fait, son regard ne pouvant pas s’empêcher de glisser plus bas, vers ses seins très visibles sous la nuisette à peine opaque.Je m’assieds sur le rebord de la table, profitant du spectacle de profil, puis je suggère :— Valin doit être reçu comme il se doit dans les règles de l’art…— Oui, assurément…— Pour lui prouver que tu es définitivement sa petite chienne et aussi la mienne, accueille-le délicatement dans ta bouche.Elle se dirige vers un fauteuil, prend un coussin dessus et revient avec. S’accroupissant un peu, elle le dépose soigneusement aux pieds de Valin puis, élégamment, elle s’agenouille dessus, sa tête à bonne hauteur. Avec une lenteur calculée, elle défait la ceinture puis un premier bouton. Peu après, émergeant d’un caleçon noir, une verge tendue et robuste pointe sous son nez. Doucement, lentement, lèvres arrondies, elle happe la hampe de chair offerte qui disparaît dans les profondeurs de sa bouche bien chaude.Avec application, elle fait coulisser la tige frémissante entre ses lèvres, un fois, deux fois, plusieurs fois, lentement, délicatement, puis elle la sort pour lécher les veines palpitantes, câlinant insidieusement le gland écarlate du bout de sa langue taquine, avant de tout remettre dans sa bouche chaude et accueillante.Valin la regarde faire, très heureux de ce qui lui arrive. Il est visible que ça lui plaît beaucoup, son visage en porte la trace évidente. Ma femme s’occupe à présent de ce gland rien qu’à elle, l’entourant voluptueusement de ses lèvres vicieuses. Elle s’attarde sensuellement sur ce bonbon de chair, langoureusement. Puis quelque temps après, suite à ce traitement très dévergondé, je crois voir la queue de notre invité tressaillir au moins deux fois. Penchée sur cette bite qu’elle sert et qu’elle possède à la fois, elle s’active encore plus, ses lèvres arrondies lissant ce bout rouge palpitant. Puis Valin la repousse délicatement, soupirant fortement, révélant un méat déjà légèrement poisseux.Lillie lèche sur les lèvres quelques petites traces de sperme. Elle s’écarte, plutôt fière de son résultat. Elle se tourne alors vers moi et me demande :— Ce fut un bon accueil, cher Maître ?— Pour ma part, il me semble que oui, mais demande à Valin ce qu’il en a pensé…Toujours agenouillée, elle lève la tête et questionne :— Ce fut un bon accueil, cher Maître ?— J’aimerais bien être accueilli tous les jours comme ça !— Je prends ça pour un « oui »…Puis elle se relève, coussin en main et s’en va en dandinant ostensiblement du popotin vers le canapé. Durant ce temps, sans la quitter des yeux, notre invité remballe sa marchandise, un certain sourire aux lèvres. Puis se penchant vers moi :— Ça commence encore mieux que je ne l’aurais imaginé !— Tant mieux, car ça ne fait que commencer !— Il ne faut pas demander !Lillie passe devant nous puis quitte la pièce, tandis que nous la suivons du regard afin de profiter de ses courbes. Il y a comme un vide quand elle disparaît. Pour meubler le silence, je demande :— Au fait, tu n’as pas eu de problème sur la route pour venir jusqu’ici ?— Non, la circulation était fluide, ça roulait très bien !— Tant mieux pour toi, je me souviens que ça n’a pas toujours été le cas…— Houlà, ne m’en parle pas !— Excuse-moi, une petite chose à faire, je reviens dans une minute…— Fais comme chez toi !Je quitte la pièce vers la salle de bain, quelques bricoles à préparer… Ceci fait, je reviens auprès de notre invité :— Pas trop long ?— Pas du tout, pas du tout ! Que de mystères ! Lillie est passée où ? Elle nous prépare quelque chose ?Pour toute réponse, je fais signe à Valin de me suivre jusqu’à la chambre d’amis…Place netteAllongée sur le lit, jambes largement écartées, Lillie attend la suite des événements. Agenouillé au bord du lit, entre ses jambes, je dépose la crème à raser sur la petite touffe qui orne son pubis et ses lèvres, et je l’applique soigneusement, sous l’œil intéressé de Valin. Quand son entrejambe est tout blanc, je m’empare d’un rasoir neuf dont je trempe la tête dans l’eau chaude de la bassine bleue, faisant d’amples mouvements.Puis, j’applique la tête mouillée du rasoir sur le pubis en faisant attention à la pression que j’exerce et au sens du poil. Ce n’est pas la première fois que je rase intimement ma femme, mais c’est toujours une découverte de révéler petit à petit un pubis glabre sous la lame…Visiblement, ça intéresse aussi Valin qui voit à présent un pubis encore ci et là maculé de blanc devenir rose chair. De temps à autre, je nettoie scrupuleusement la triple lame dans l’eau chaude avant de repartir à l’attaque. C’est à présent un mont tout lisse qui se révèle au grand jour. Méticuleusement, je passe le gant de toilette pour nettoyer toute trace et rafraîchir la peau fragile. Aucune coupure pour l’instant, tout va bien. Bien que je commence à avoir de l’expérience en la matière, je me méfie beaucoup des petits boutons et autres aspérités…— Replie ta jambe gauche, s’il te plaît…Docile, elle s’exécute. Cette position me facilite l’accès à sa lèvre intime gauche ; gauche pour elle et droite pour moi. Il me faut peu de temps pour enlever la fine toison, dedans, dehors. Je commence à avoir le coup de main depuis quelques années.— On alterne, s’il te plaît …Elle allonge à nouveau sa jambe gauche et replie la droite. Je fais de même à son autre lèvre intime. Il n’y a pas trop de finition à faire, sa toison est moins fournie du côté de sa fente. Par contre, ses poils deviennent vite une petite forêt du côté de son pubis.Poils ou pas poils, moi, au final, je m’en fiche, j’aime le plaisir des deux alternatives. Par contre, Lillie préfère souvent sans ; c’est son choix.Voilà, j’en ai fini. Comme de coutume et par plaisir, je dépose mes trois bisous rituels : une sur le pubis et un sur chaque lèvre. Puis je m’offre une dernière petite gâterie : j’incruste ma langue dans sa fente et je remonte doucement à son clitoris que je câline un peu. J’ai la satisfaction de constater qu’elle mouille déjà, et que ce n’est pas que l’eau de mon gant de toilette…— Retourne-toi, s’il te plaît !Obéissante, elle me présente ses belles fesses. Je ne peux m’empêcher d’y déposer deux baisers sonores ! Du pouce et de l’index, je dégage son petit trou, celui dans lequel j’aime m’égarer. Un zest de mousse, une légère application du bout du doigt, et voici le rasoir qui fait son office. C’est vite terminé de ce côté. Je nettoie avec mon gant de toilette toujours imbibé d’eau chaude, puis j’essuie délicatement.— Terminé, ma chérie !Et je donne une petite claque qui fait rebondir agréablement sa fesse qui rosit légèrement…Tandis qu’elle se redresse, j’en profite pour filer dans la salle de bain avec tout mon attirail. Je nettoie le tout soigneusement dans le lavabo avant de revenir auprès de Valin et Lillie qui vient juste de terminer de s’essuyer. Elle se poste ensuite au pied du lit, je me tourne alors vers notre invité :— Peux-tu vérifier si c’est bien lisse ?— Avec joie !En effet, il ne faut pas lui dire deux fois !C’est avec une visible volupté que Valin passe ses doigts entre les cuisses de Lillie, caressant avec application les douces lèvres offertes. Il s’attarde ensuite sur son pubis lisse et suave, pour redescendre vers sa fente déjà entrouverte. C’est avec détermination qu’il taquine un clitoris qui n’attend visiblement que ça. Ma femme se cabre, soupire d’aise, laissant s’échapper quelques sons lascifs :C’est avec une certaine peine qu’elle préfère repousser cette main cajoleuse. Avec un grand sourire, elle regarde Valin dans les yeux :— Je ne demanderai pas mieux que tu continues, mais il ne faut pas aller trop vite…Sur ces paroles plus ou moins sages, elle se penche en avant et dépose un furtif bisou sur les lèvres de notre invité, et avant qu’il ne réagisse, elle pivote sur elle-même et quitte la chambre. Nous la regardons partir ; Valin est sorti de sa surprise, il me confie :— Ta femme est surprenante à plus d’un titre !— N’est-ce pas ? Je ne m’ennuie jamais avec elle…— Je te crois sur parole !Sortant à notre tour de la chambre, nous suivons Lillie vers la suite des événements, sachant que ça ne fait que ce n’est que la suite du commencement…Une dame entre deux messieursLillie est installée confortablement sur le canapé entre ses deux hommes. Nous devons former un étrange spectacle : deux hommes habillés encadrant une femme en nuisette transparente qui ne cache pas grand-chose de ses appas, jambes gainées de bas noirs. Le contraste doit être saisissant, je le suppose ! La connaissant, je suppose aussi que la situation doit amuser ma coquine de femme.Sans qu’on le lui demande, elle s’amuse à tâter de la main nos protubérances au niveau du pantalon. De ses doigts agiles, elle caresse le tissu tendu, s’amusant à suivre les formes raides et frémissantes. Je reconnais qu’elle est diablement efficace dans ses frôlements, un homme moins habitué pourrait en éjaculer très vite dans son boxer !Puis se penchant sur Valin, elle déboutonne à nouveau son pantalon et sa queue bien dressée s’en échappe peu après. Elle en fait de même pour moi, puis se calant dans le canapé entre nous-deux, elle commence à nous branler délicatement en même temps. Elle s’en amuse :— Deux joujoux pour moi !— Profites-en, ils sont à toi tous les deux !Et elle en profite, activant un peu plus son action sur nos tiges de chair, ce qui est très agréable. Elle amorce à présent un ample mouvement qui fait coulisser nos peaux fines le long de nos verges érigées. Après quelques va-et-vient, elle proclame :— Amusant, vous n’avez pas les mêmes bites… Elles sont assez différentes, mais ce n’est pas plus mal !— Ah bon ?— Oui, c’est flagrant, mais je vous rassure, mes chers hommes, je ne fais pas de comparatif entre la queue de notre invité et celle de mon mari. Non, non, j’apprécie la différence !Et elle nous le prouve ensuite en nous donnant à chacun un petit coup de langue vicieuse ! Perso, j’en profite pour lui caresser les fesses quand elle est penchée sur Valin. Toujours savoir profiter des occasions qui surviennent, car on ne sait jamais si elles se présenteront à nouveau ! Elle, ça la fait rire, tout simplement !Elle alterne diverses positions sans nous lâcher, nos bites bien fermement maintenues entre ses doigts vicieux. À un moment, elle est allongée sur nos genoux, faisant une gâterie à Valin, tandis qu’elle me propose ses belles fesses à caresser et un peu à fesser, ce dont je ne me lasse pas ! Voir la tête de sa femme monter et descendre autour d’une autre queue que la sienne, c’est un spectacle assez… curieux, dirons-nous…Mais diablement excitant !Après avoir joué de ses fesses, et même un peu plus bas, de ses lèvres déjà bien humides, je me cale sur le canapé pour lui griffer délicatement le bas du dos. Elle se trémousse, ondulant sous mes ongles, sans lâcher la verge qu’elle a toujours en bouche. Ce petit manège dure une bonne minute, puis elle se redresse, mettant fin à tout ceci. Alors qu’elle change de position, j’en profite pour lui ordonner :— Enlève ta nuisette, cagnolina (petite chienne en italien) !— Bonne initiative ! approuve Valin.Peu après, la nuisette voltige dans le salon pour retomber dans un fauteuil. Poitrine insolente en avant, debout devant nous, Lillie questionne impertinemment :— Et je parie que je garde mes bas ?— Oui, tu gardes tes bas !— Pourquoi les hommes sont si prévisibles ?Nous nous jetons sur elle, l’attirant à nous, sur le canapé, mains et lèvres en avant ; elle rit. Voluptueusement, elle se laisse caresser et embrasser partout, sur la moindre parcelle de son corps offert à notre convoitise commune, offerte sans retenue, tel un navire ballotté sur une mer pleine de nos désirs et de nos concupiscences, allant vers l’un puis vers l’autre, peau contre peau, cherchant à se faire désirer plus encore.Elle est à présent assise sur mes genoux, son bras autour de mon cou, sa main dans les cheveux de notre invité. Moi, je l’embrasse follement, tandis que Valin lui dévore les seins de sa bouche insatiable. Je glisse une main entre ses cuisses.— Je vois que tu es déjà bien mouillée, ma petite chienne !— Oh oui ! trempée même !— Très bien ! Alors tourne-moi le dos, cagnolina mia, et assieds-toi sur ma queue bien raide ! Je veux la chatte de ma chienne !— Oh oui !Excitée comme elle l’est, elle se hâte de m’obéir. Écartant doucement Valin, elle se met debout. Écartant largement les jambes, son mignon cul presque sous mes yeux, elle se penche en avant, s’accroupissant lentement, afin de bien viser. Du bout des doigts, je dirige ma tige de chair vers son antre humide, et c’est avec une facilité déconcertante que tout mon mandrin entre en elle sans effort et vient se caler dans ses profondeurs accueillantes !— Oh que c’est bon ! gémit-elle !— Ça va être encore meilleur dans quelques instants ! Valin, ça te dirait une cravate de notaire entre les nichons d’une belle petite chienne en train de se faire baiser ?Notre invité ne répond pas, il agit, et peu après, son sexe bien dressé se niche entre les seins de Lillie qui les presse sensuellement contre sa tige qui amorce des mouvements de va-et-vient.C’est une grande volupté que de baiser une adorable cochonne qui offre en même temps ses seins à la queue d’un autre homme, qui offre et qui visiblement profite de son pouvoir sensuel sur la gent masculine ! Mes amples mouvements de pitonnage dans un vagin détrempé profitent plus haut à mon camarade de baise, bien niché dans ses nichons accueillants et doux…Soudain, Valin se retire de ces seins si accueillants, semblant être sur le bord de l’épanchement en cascades. Même si je ne vois pas son visage, je suis prêt à parier beaucoup que Lillie doit sourire de son effet sur cet homme ! C’est alors que je décide :— Très bien, petite chienne, retire-toi de là !— Ah bon ? Je suis bien là !— Depuis quand une petite chienne discute les ordres ?— Pardon, pardon !Et elle obéit en grognant un peu, rechignant un peu à la tâche ; j’ai l’immense plaisir de voir resurgir à l’air mon sexe toujours bien droit comme un i, mais couvert de cyprine, luisant, presque brillant.J’accroche ma femme par les hanches avant qu’elle ne se redresse totalement et j’applique la suite de mon idée :— Et maintenant, encule-toi tout de suite sur ma queue que tu as si bien lubrifiée de ta chatte détrempée !— Tout de suite, comme ça ?— Tout de suite, comme ça !Elle s’accroupit à nouveau, la fente de ses fesses frôle mon gland ; lançant sa main vers mon ventre, elle se saisit de ma tige gluante, et sans chichi, la dirige vers son petit trou accueillant. Deux secondes plus tard, mon bout écarlate épouse sa petite cuvette, elle tortille alors du cul comme pour éprouver, tester mon mandrin. Puis elle se laisse choir sur mon sexe raide qui s’enfonce sans effort en elle, dans cette gaine étroite et chaude où je suis si bien. Sous les yeux étonnés de Valin, elle absorbe toute ma queue, jambes largement écartées, s’allongeant sur moi, sans vergogne. Toute ma tige est en elle, complètement, mes testicules sont comprimés sous ses fesses toutes douces, prêts à éclater sous son poids. Je suis bien calé dans le fondement étroit de ma femme, c’est divin ! Je me retiens difficilement d’exploser en elle, de lui remplir le cul de mon sperme qui ne demande que ça !Lillie écarte un peu plus les jambes, puis elle tend les bras vers Valin :— Allez, viens me la mettre, toi aussi !Valin ne se fait pas prier et plonge littéralement en elle, elle pousse un petit cri étrange et désarticulé. Moi, je sens nettement cette autre verge en elle, à travers la fine paroi qui sépare rectum et vagin. Je sens aussi le poids de cet autre homme vautré sur le corps de ma femme, homme qui commence à la pistonner, un homme excité, plein de désirs qui veut la posséder, elle-aussi.Alors, tant bien que mal, moi-aussi, je lui fais sentir ma queue en amorçant des mouvements de coulissement dans son étroit rectum. Valin accentue son pistonnage, Lillie lui griffe le dos, l’attirant encore plus contre elle, ses seins écrasés contre son torse. Nous restons ainsi de longues secondes entre plaisir, attente et retenue, partageant impudiquement la même femme qui s’offre sans retenue, par pur plaisir d’être prise et possédée doublement.Puis Valin explose dans un grand râle, ma femme projette son bassin pour mieux le capturer, l’avoir à elle ; ce faisant, elle coulisse violemment autour de mon sexe, le pressurant plus encore, tandis que je replonge en elle d’un violant coup de rein. La sensation est telle que j’explose à mon tour. À travers un certain brouillard des sens, j’entends les cris de jouissance de ma femme se mêler à ceux de son amant du jour.Autre serviceÀ présent debout, ma femme laisse impudiquement le sperme de sa chatte glisser le long de ses jambes en de longues traces luisantes. Valin est affalé sur une chaise, matant visiblement le cul qu’elle offre à sa vue, tandis que j’en fais de même pour son pubis tout lisse.— Ah ces hommes, ça promet beaucoup mais c’est vite hors-service !— Les inconvénients techniques de notre masculinité, mais nous savons vite repartir !— C’est ce qu’on dit…— Il me semble que je te le prouve à chaque fois, ma chère cochonne de femme !— Je ne peux pas dire le contraire…En attendant que nous soyons d’attaque, nous offrant respectivement ses deux côtés, elle entreprend de se doigter, peu lui importe l’aspect poisseux de sa chatte. Puis se retournant vers notre invité, elle lèche impudiquement ses doigts maculés de son sperme. Je constate que cette vision vicieuse a un effet efficace sur Valin dont l’anatomie défaillante tressaille à nouveau et reprend le chemin du ciel. Décidément, ma femme sait très bien s’y prendre ! Puis sans sourciller, ses fesses tendues vers moi, elle enfonce doucement deux doigts dans son anus toujours légèrement dilaté, mélangeant sperme et salive à ma semence restée en elle. Je reconnais que comme coup de fouet vitalisant, c’est très efficace aussi !Avant que je ne sois dépassé par les événements, je décide de reprendre la main :— Cagnolina, mets-toi à genoux et suce ma queue et fais-lui une beauté !— La sucer ? Elle est dans un drôle d’état, ta bite !— Raison de plus pour lui redonner du lustre !Elle dépose un coussin entre mes jambes, s’installe, et ses bras calés sur mes cuisses nues, elle commence à jouer avec mon sexe flasque et épuisé, mais qui commence à reprendre de la vigueur sous ses doigts.— Je constate avec satisfaction que je te fais toujours de l’effet, mon cher mari !— Tu me fais toujours de l’effet ! Mon seul gros problème avec toi est de savoir te résister, sinon je passerais mon temps sur toi et en toi !— Je vois ça…Et elle donne un petit coup de langue vicieux sur le bout de mon sexe qui frémit. Puis, tendant la peau flasque afin de dégager mon gland, elle commence à le suçoter délicatement, indifférente à son état gluant et visqueux.Je soupire d’aise, ma femme est une bonne suceuse, elle s’est affirmée dans cette pratique au fur et à mesure des années, et comme elle aime, je ne lui refuse pas ce petit plaisir qui est en même temps le mien ! Durant ce temps, Valin semble avoir repris de la fermeté. Il se lève, il fait ensuite quelques étirements, le regard bien ancré sur les fesses accueillantes de ma femme. Fesses que je désigne de ma main tendue :— Valin, si ça te dit, tu peux enculer cette petite chienne, elle ne demande que ça !— C’est vrai que c’est tentant ! Très tentant !— Alors laisse-toi tenter !C’est alors que Lillie remue impudiquement du popotin, confirmant mes dires. Et comme Valin comprend vite et bien, il se met en position entre les jambes écartées de ma femme. Puis dardant son sexe redevenu rigide, il l’applique à l’endroit stratégie, et demande :— Lillie, tu veux que je te l’enfonce lentement ou tout d’un coup ?— C’est comme tu veux ! Je suis ta petite chienne, aujourd’hui !Il se contente de sourire, pesant le pour et le contre, tandis qu’en attendant qu’il se décide, Lillie enfourne posément mon sexe en bouche, bien partie pour lui donner tout le lustre demandé ! J’adore quand elle s’occupe de moi ainsi, telle une grosse sucette qu’on lèche, qu’on suce, dont on profite à fond, sans honte aucune, par pur plaisir de part et d’autre.Soudain, Lillie sursaute, Valin ayant visiblement choisit l’option « tout d’un coup », aidé en cela par un anus bien englué de mon sperme. Abandonnant ma queue, elle entrouvre la bouche pour soupirer longuement et respirer un bon coup :— Tu es un petit salaud dans ton genre, Valin !— Je t’avais proposé de choisir…— Oui, je sais, mais tu as tout enfourné et ton machin n’est pas ultrafin ! J’ai l’impression d’être remplie à fond, gonflée comme enceinte du cul ! !Un bref instant de flottement, puis Valin reprend :— Enceinte du cul ? Tu as de ces expressions !— Désolée de ne pas être une grande duchesse ! Moi, je fais avec les images qui me viennent à l’esprit !— Tu es ma petite chienne et j’en profite !— Mon cul l’a senti ! Maintenant que tu y es à fond, fais ce que tu as à faire !— Très romantique !Elle rit, tout en me branlant délicatement :— Je suis ta petite chienne, comme tu le dis si bien. Nous sommes dans une séance « baise », tu en profites, Denis aussi et moi aussi. Alors défonce-moi, je veux jouir comme une pure putain !— À vos ordres, Duchesse !Et sans plus tarder, il la ramone longuement, alternant les petits coups de butoir et les longues entrées-sorties, doucement, bestialement, tandis qu’elle se masturbe, ses doigts dans sa fente dégoulinante, mon sexe totalement en bouche.Valin adore visiblement être en elle dans cet obscur endroit et en exploite au mieux les diverses potentialités, la comblant, la forçant, occupant tout son espace intime. Elle n’est pas en reste, accompagnant ses coups de butoir par d’amples mouvements de bassin et une agitation frénétique de ses doigts sur son clitoris et l’entrée de sa fente ruisselante. Pour ma part, je goûte les joies d’une succion en règle, avec une langue agile au plaisir de câlin chaudement. Elle m’offre même le bonheur royal de m’enfourner à fond plusieurs fois, des gorges profondes un peu brèves parfois, mais si jouissives !Je me laisse aller, mon sperme suinte de mon méat, aussitôt léché et absorbé par une bouche avide. Je me freine comme je peux. Ce qui n’est pas le cas de Valin qui intensifie son pitonnage, entrant et sortant sans effort d’un anus distendu et lubrifié, ma femme tout frémissante, à deux doigts de jouir sous la douleur de son enculage d’enfer et le plaisir de son clitoris en feu !Je n’y tiens plus, j’éjacule dans sa bouche, je voudrais être un fleuve de sperme, l’inonder, la submerger ! Ma queue se vide dans sa bouche si chaude et humide, sa langue empoissée continue de me caresser tandis qu’elle avale par saccades. J’adore le fait qu’elle avale, qu’elle veuille tout de moi, pour le nicher au plus profond de ses entrailles !C’est englouti dans un nuage douillet que j’entends Valin jouir férocement, le corps secoué de ma femme me l’indique bien en plus du son ! Je ressens un énorme coup de butoir suivi aussitôt d’un râle grave. Ma femme doit être bien défoncée, écartelée, élargie, ouverte à fond à cette queue assez épaisse qui la prend sans vergogne, et qui jouit de tout son saoul dans ses profondeurs interdites !C’est alors que ma femme crie son plaisir, une longue plainte, mélange de douleur de ses chairs déchirées, de sain plaisir, de fine souffrance, de royal ravissement…Confidences Quand j’ouvre un œil, ma femme, à demi allongée sur le canapé, est en train de sucer son amant enculeur. Celui-ci me sourit :— C’est effectivement une belle chienne ! Sans doute, la plus belle que j’ai pu connaître jusqu’à présent !— Merci pour elle !— Oh oui, c’est bien la première fois que je me laisse tant aller avec une femme ! Et que je la traite à la fois comme la première et la dernière des femmes, avec joie et sans remord ! N’est-ce pas, Lillie ?Il pose sa main dans les cheveux de Lillie, la caressant délicatement. Elle acquiesce sans cesser de le sucer. Lui câlinant toujours la tête, il continue :— Tu es un homme heureux, Denis ! J’aimerais bien être à ta place !— Je ne te céderai pas ma place, ça non, mais je peux parfois te la prêter…— C’est déjà ça de pris…Puis regardant ma femme toujours en train de s’activer paresseusement autour de son vit, jouant des doigts avec ses cheveux, Valin poursuit :— Ce n’est pas la première fois que nous faisons un trio, mais cette fois-ci, je me suis vraiment lâché à fond. J’ai adoré posséder ta femme, vraiment la posséder, si tu vois ce que je veux dire ?— Je vois parfaitement ce que tu veux dire ! Pourquoi crois-tu que je l’ai épousée ?— Heureux homme de l’avoir vue et eue avant moi !Puis les yeux au plafond, il s’interrompt quelques instants.— J’ai enculé ta femme comme je n’aurais jamais cru pouvoir le faire un jour ! C’était divin, extra, possessif, exclusif !J’opine de la tête, attendant la suite…— Un bel enculage de première ! Dans parler du sandwich et des sucettes qu’elle prodige prodigieusement ! Sans parler de sa nature indubitablement coquine, joueuse et perverse ! Oh oui, ta femme a vraiment des dispositions pour jouer les… les petites chiennes en chaleur, c’est incontestable !— Je suis cent pour cent d’accord avec toi, Valin…— Elle a même accompli un fantasme que j’avais refoulé dans ma tête depuis bien longtemps !— Ah ? Lequel ?— Quand je lui ai présentée ma queue qui venait juste de sortir de son cul, elle n’a pas hésité une seconde.— Comme avec moi, tout à l’heure…Il se racle la gorge :— Oui comme toi… Mais toi, c’est toi, et moi, c’est moi… C’est pas du tout la même chose entre le voir et le recevoir !— Dois-je comprendre que c’était ta première fois ?— Pour moi, oui… Et là, tu vois, elle continue à me sucer, par pur amusement de sa part et pour mon plaisir perso… C’est une bonne suceuse, une très bonne suceuse ! Oui, j’aime ça ! J’adore ça…Puis il s’est tu, savourant son bien-être d’être ainsi choyé entre les lèvres de ma femme. Puis le temps est passé, nous avons conversé à trois de tout et de rien, Lillie assise impudiquement alternativement sur ses genoux et sur les miens, se laissant peloter par nos vingt doigts avides, sans parler de nos bouches voraces. Ensuite, il a pris congés de nous. Je l’ai accompagné à la porte.Les yeux cernés, un large sourire, Valin me serre la main :— Ce fut une belle séance… Je n’aurais pas cru que tu ailles jusqu’au bout de ton idée de petite chienne. Quand tu m’en as parlé au téléphone, j’étais loin de m’imaginer que ça se concrétiserait aujourd’hui !— Ce fut une belle séance et aussi une surprise pour toi, c’est le principal !Il opine de la tête :— Oui ! Mais le problème est que je pars à regret…— Eh bien, si tu as de regrets quand tu viens, ne reviens plus !— Tu veux rire ! ? Un beau jour, on finira par faire un ménage à trois ! Même si ça m’éloigne du boulot…Il s’éloigne lentement vers sa voiture. Toujours nue, ma femme dit au revoir à Valin de la fenêtre qui lui répond d’un petit signe de la main. Tandis que je referme la porte, je l’entends dire, enjouée :— Et une bonne chose de faite !— C’est-à-dire ?— Que ce fut une bonne partouze, et que j’en ai bien profité ! Valin est un bon amant qui n’ose pas toujours mais je sens que ce ne sera plus tellement le cas, la prochaine fois !Je m’adosse au mur :— La prochaine fois ?— Oui, la prochaine fois, car j’espère bien remettre le couvert d’ici peu. Tout s’est bien passé, non ? Quand on trouve quelqu’un de bien, on le fidélise, non ?— Pas faux…Elle se plante au milieu du salon qui vit nos turpitudes, puis, jambes luisantes écartées, les mains aux hanches, elle lance, bassin maculé, ostensiblement en avant :— J’aime jouer les petites chiennes, avoir le con bien rempli, et le fion aussi ! Ça rime ! J’aime avoir le sperme des hommes en moi, sur moi. Denis, tu crois que je suis une salope ?M’éloignant du mur, venant vers elle, je ris :— Tu es assurément une adorable petite chienne ! Salope ? Sans doute pour beaucoup de personnes, mais pour moi, dans ton cas, c’est un compliment !— Un compliment ?Elle s’approche de moi, toujours nue, ses jambes toujours gainées de noir, impudique :— Redis-moi ça ?— Que tu es une adorable petite chienne ?— Non, crétin de mes deux !— De tes deux quoi ? De tes deux seins ?— Non ! De mon con et de mon fion !Je la capture, la plaquant contre moi :— Qui ont été bien remplis, il me semble ?— Ça te dérange que je sois remplie de sperme et pas que le tien ?— Non, ça m’arrange ! Vaut mieux une belle salope qui s’assume, la partager et en profiter encore plus !Elle me sourit, nichant sa tête dans le creux de mon cou, je la berce tendrement. Un certain temps de câlin plus tard, elle murmure :— C’est bien dit !— Jeudi prochain, Lillie, c’est jour férié. On recommence ?Pour toute réponse, elle m’embrasse, bien assurée de la future réponse…