Résumé des événements précédents : Je tiens à m’excuser auprès des lecteurs, lors de mon premier envoi, je n’ai pas fait une série. J’ignorais que je ferais des suites. Ensuite, j’ai eu envie de continuer.Jean-François m’avait incitée à prendre un amant. Après douze années de fidélité absolue, j’avais cédé à la tentation. Après ma liaison avec Patrice, mon dernier amant, entrecoupée de nos trios avec lui et Jean-François, mon mari, j’ai repris un rythme plus en accord avec mon statut d’épouse exemplaire aux yeux de ma famille.Suite à nos retrouvailles, on avait repris une relation amicale avec Sylvie et Richard. Ayant eu toutes les deux Patrice comme amant à un an d’intervalle, une grande complicité s’était établie entre Sylvie et moi. Elle était étonnée que Jean-François m’accorde une complète liberté sexuelle, voire même l’encourage.Un jour, au bord de leur piscine sans vis-à-vis où nous étions toutes les deux allongées, chacune sur un matelas posé l’un près de l’autre, je lui ai raconté nos trios avec mon mari et notre amant commun. Elle a exigé des détails, je me suis amusée à les lui donner.Nous étions toutes les deux excitées par mes histoires. Elle s’est approchée pour me demander si les deux hommes avaient eu des relations ensemble, s’ils s’étaient embrassés comme ça, et à ce moment, elle posa ses lèvres sur les miennes. Le premier baiser fut sage, elle s’est penchée à nouveau et son baiser est devenu un vrai beau et intense baiser. Nos langues jouaient ensemble, elle s’est approchée de moi, une main dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge puis le même geste pour enlever le mien.Je découvrais le baiser entre femmes que je trouvais fort agréable, on se caressait les seins, on se les léchait, en même temps chacune passait la main dans le slip de bain de l’autre. En rigolant, chacune a enlevé celui de l’autre. On s’est regardées, on a ri encore. On s’est embrassées à nouveau et on a commencé à caresser le minou de l’autre, Sylvie mouillait autant que moi. C’est elle qui se baissa la première pour écarter mes jambes et venir embrasser ma chatoune. Elle s’est placée sur moi, en 69, et j’ai dégusté à mon tour son abricot. Après deux amants en quelques mois, j’avais maintenant une maîtresse avec qui je venais de connaître mon premier orgasme, elle m’a suivie de peu.Couchées côte à côte et serrées l’une contre l’autre, je lui avouai que c’était une première pour moi, elle m’a dit que c’était pareil pour elle, mais qu’elle avait eu brusquement une énorme envie de m’embrasser. Tout était de ma faute, avec mes histoires sur mes trios et mes doubles pénétrations. On s’est avoué qu’on avait bien aimé et qu’on recommencerait.Le soir, je n’ai pas dit à Jean-François que j’avais une nouvelle liaison, encore moins que c’était avec notre amie Sylvie.J’ai passé la semaine occupée dans mon coin, il a plu tous les jours. Je ne savais pas si je devais faire le premier pas avec Sylvie ou attendre son appel. Le lundi, le soleil était de retour, Sylvie m’a téléphoné pour me proposer de venir me baigner, en toute innocence, bien sûr.Lorsque j’ai sonné, elle m’a dit de loin d’entrer, de refermer derrière moi et de venir la rejoindre à la piscine. Elle était nue au bord de l’eau, elle s’est levée et m’a fait naturellement un bisou sur les lèvres suivi d’un :— Ça va, ma chérie ?Je me suis aussitôt entièrement dévêtue, elle a remarqué que j’avais raccourci ma toison. Mes grandes lèvres étaient bien visibles, en rigolant elle a dit :Dans l’eau elle est venue se coller contre moi et on s’est embrassées sans hésitation. Sorties de l’eau, une fois séchées, elle m’a proposé de rentrer, je l’ai suivie dans sa chambre.Nous étions déjà nues, nos serviettes sont restées au pied de lit, on a repris nos baisers et nos caresses. Elle m’a fait écarter les jambes et s’est placée en face de mon minou en disant :— Hier, je n’ai pas bien vu…Elle n’a toujours pas bien vu, mais elle a beaucoup goûté ; chacune de mes lèvres, petites et grandes a été léchée et sucée, mon clito a été tété, aspiré, chouchouté, ses doigts et sa langue ont visité mon vagin, j’ai eu orgasme sur orgasme. Elle a sorti son gode pour voir de près comment un phallus écartait les lèvres en pénétrant un vagin.Ayant eu une bonne éducation, j’ai proposé à ma copine d’inverser les rôles. Sa toison était aussi bien entretenue, elle était aussi brune que la mienne était blonde et plus dense en poils. Je les ai écartés pour accéder à sa fente, j’ai commencé à la parcourir avec mon majeur, regardant où étaient les points sensibles, il y en avait partout. Ensuite ma langue a pris le relais, c’était aussi doux que dans mon souvenir de la semaine précédente. À mon tour, j’ai exploré sa chatte, je me suis attardée sur son clito plus gros et plus proéminent que le mien. Je n’ai pas eu à regarder comment un gode pénétrait une chatte, Jean-François avait fait suffisamment de vidéos du nôtre dans mon sexe.Face à face, jambes emmêlées nous avons amené nos sexes l’un contre l’autre pour se frotter, nos doigts essayaient de s’incruster pour caresser l’autre.Une fois, sur nos matelas de piscine, on rigolait. On prenait notre liaison comme un jeu qui nous plaisait, mais un jeu tout de même. Au moment où j’allais le dire, Sylvie a sorti :— Tu te rends compte, si nos maris nous voyaient, je suis sûre qu’ils aimeraient et se branleraient en nous regardant.Lorsque je me suis préparée, Sylvie m’a embrassée tendrement me disant que je pouvais venir me baigner quand je voulais. On pouvait faire l’amour ou pas, mais on pouvait aussi faire l’amour. L’avantage, lorsque deux amies se disent « ma chérie » en public, personne ne pense que c’est sexuel.Un samedi, nous mangions chez nos amis, nous étions juste les deux couples, Sylvie nous avait préparé un délicieux repas et Jean-François avait ramené des bonnes bouteilles de notre cave. Après le dessert, les hommes ont commencé parler de leur travail, Sylvie en a eu marre, elle s’est levée pour mettre de la musique et on s’est déchaînée sur les jerks. En me faisant un clin d’œil, elle enchaîna avec des slows et m’entraîna, on s’est retrouvées enlacées en train de danser. Par jeu, Sylvie a commencé à se frotter à moi, seins contre seins, minou contre minou. À l’oreille elle me dit :— Ils sont tellement dans leurs discussions qu’on pourrait s’embrasser, ils ne le verraient même pas.Elle se pencha et appuya ses lèvres contre les miennes, puis j’ai senti sa langue entrer dans ma bouche. Nos maris ont arrêté net leur conversation et nous ont regardées, bouche bée. Nous dansions nos corps emmêlés nos lèvres soudées sans nous occuper d’eux.Lorsque la musique s’est arrêtée, Sylvie leur a dit :— Qu’est-ce qu’il nous faut faire pour que nos chéris s’intéressent à nous ?Richard s’est levé, a remis la série de slows et entraîna sa femme danser, Jean-François fit de même avec moi. Au bout de deux morceaux, Sylvie déclara qu’on changeait de partenaires. Ça faisait une quinzaine d’années que je n’avais pas dansé avec Richard, la dernière fois, on avait flirté sur un slow. Sylvie tenait mon mari par le cou et le frottait un max, par jeu, j’ai fait pareil avec le sien. Rapidement, j’ai senti que Richard avait une splendide érection. J’ai frotté mon bassin contre le sien, ses mains sur le haut de mes fesses accentuaient la pression.Lorsque j’ai regardé l’autre couple, Jean-François et Sylvie s’embrassaient comme nous quelques minutes plus tôt. J’ai tourné la tête et j’ai fait pareil avec Richard, visiblement il n’attendait que ça. J’ai vu Sylvie entraîner mon chéri vers une chambre, avec Richard on a rejoint le canapé. Je lui ai demandé :— On en était où, il y a quinze ans ?Il s’est marré en enlevant mon corsage et en faisant sauter l’attache de mon soutien-gorge. Il a trouvé mes seins plus beaux que dans son souvenir, le bas restait à découvrir. On s’était arrêté au-dessus de la ceinture. J’ai enlevé sa chemise, puis j’ai ouvert son pantalon pour vérifier si ma copine ne s’était pas vantée. En vitesse, il enleva ses chaussures ce qui m’a permis de finir de le déshabiller, de me pencher et commencer une fellation.En effet, il était pas mal équipé, le gland était presque cylindrique, la tige de taille normale, mais très large. Je l’ai sucé avec beaucoup de plaisir lui faisant découvrir toutes les possibilités de mes lèvres, ma langue et ma gorge. Il m’a arrêté brusquement à la limite de l’éjaculation. Il me débarrassa rapidement de ma jupe, mes chaussures, mes collants et de ma culotte et plongea directement sur ma chatte. Hum, très adroit le copain ! J’ai joui très rapidement. Avant de me pénétrer, il m’a demandé si nos conjoints en étaient au même stade que nous. Sans attendre ma réponse, il m’a baisée. Malgré sa largeur, il est entré d’un coup et a éjaculé rapidement.On s’est retrouvés enlacés, jambes encore emmêlées, on s’est souri. Je lui ai fait des bisous amicaux.— Je suis étonnée que tu aies laissé Sylvie partir dans la chambre avec Jean-François.— J’ai envie de toi depuis nos retrouvailles. Je sais que Sylvie n’est pas d’une fidélité absolue, qu’elle a eu quelques amants depuis notre mariage, alors, Jean-François en plus ou en moins… et, c’est un ami. Vous aviez l’air très intimes toutes les deux en dansant, vous avez déjà fait l’amour ensemble ?— Disons qu’on s’aime bien, tu n’auras qu’à lui poser la question.Il m’a prise par la main.— Viens, on va regarder où ils en sont.Lorsqu’on a ouvert la porte doucement, Sylvie était en train de se faire prendre en levrette. Richard a refermé et on est retourné dans le salon. Je me suis mise sur le tapis et Richard m’a prise à mon tour de la même manière.Lorsqu’on s’est retrouvé tous les quatre, il n’y a pas eu de gêne, nos chéris nous ont demandé si on avait aimé lorsqu’on est venu zieuter. Sylvie est venue me rouler un patin, me disant que je pouvais lui prêter mon homme quand je voulais et que le sien était à ma disposition. C’est ce qui est arrivé de manière épisodique.On était avec nos maris respectifs. Certains après-midi, je faisais l’amour avec Sylvie, certains soirs où nous sortions ensemble, il ne se passait rien. D’autres fois, on finissait la nuit avec les conjoints inversés. Une fois, on s’est retrouvés à quatre dans le même lit, tout le monde a fait l’amour avec tout le monde, sauf les deux hommes qui ont refusé toute relation entre eux. Ils ont vu qu’avec mon amie, on ne se contentait pas de baisers amicaux, notre 69 les a très excités.Devant la famille et nos autres amis, nous étions deux couples très amis dont chaque femme était une épouse exemplaire.Toute bonne chose à une fin. Richard a eu une grosse opportunité de promotion en allant travailler en Chine pour cinq années renouvelables. Notre dernière soirée a été plus triste que sexuelle.