La chaleur du salon de thé, l’intimité de l’hôtel…Ces souvenirs se rappelaient souvent à sa mémoire. C’était intense, tendre et fort à la fois. Il n’avait jamais revu Margaux depuis ce temps-là , préférant garder un souvenir intact de son corps fendu sous ses assauts et de ses envies, la reléguant à l’un de ses plus beaux souvenirs.Le samedi 6 septembre dernier il reçut un message de l’une de ses lectrices :Bonjour Monsieur,J’ai beaucoup apprécié votre histoire du salon de thé. Je l’ai trouvée osée, sensuelle, très coquine, et j’avoue qu’elle m’a fait beaucoup d’effet et procuré beaucoup de bien. Je me demandais pourquoi vous n’écriviez plus ? Est-ce parce que l’envie n’est plus là  ?Est-ce parce que votre histoire s’est poursuivie au-delà de l’hôtel ?Peut-être ne fréquentez-vous plus ce site.Je serais ravie de vous lire de nouveau si ce message vous parvenait.Au plaisir de vous lire,Un constat simple, sans appel. Cela faisait plus de deux ans qu’il n’avait pas publié d’histoires, et comme la grande majorité des personnes fréquentant ce site, il avait raconté une fois une histoire. Cette aventure, écrite à quatre mains qui se déroulait entre un salon de thé et un hôtel à laquelle Margaux avait contribué corps et âme.Les envies d’écrire étaient parties, et depuis il venait sur le site plutôt pour lire les histoires des autres qui le réconfortaient les soirs de solitude.Touché par ce petit mot, il prit la peine de répondre gentiment :Chère lectrice,Je suis ravi de vous voir captivée et vous remercie de votre petit mot. J’ai eu je pense autant de plaisir à raconter cette histoire qu’à la vivre. C’était intense, brut et plein d’ardeur, et il y avait ce côté indéfinissable de la montée du désir entretenu par les fantasmes encore inassouvis de chacun jusqu’au plaisir final. Pour vous répondre le plus simplement possible, l’écriture est parfois en panne, le moteur des mots ne voulant démarrer. Je viens régulièrement sur le site cueillir les histoires des autres. Lorsque le moment sera venu, je publierai une suite.Bien à vous,Un écrivain qui aime être luLa réponse ne se fit pas attendre :Cher Monsieur,Merci d’avoir pris le temps de me répondre. J’ai omis de me présenter. Je m’appelle Lise, j’ai 38 ans et je suis dentiste à Paris. Le moteur de vos mots ne veut pas démarrer ? Et si je vous proposais un starter ? Que diriez-vous de me rejoindre à mon cabinet un de ces prochains soirs ?Au plaisir de vous lire,Lise avait joint l’adresse de son cabinet. Après quelques échanges, le rendez-vous fut pris. Chacun de son côté se préparait à vivre cet instant avec autant d’excitation que d’appréhension mêlées. La rencontre d’un écrivain mais aussi d’un lecteur et d’une de ses lectrices.« Serai-je à la hauteur ? Que va-t-il penser de moi ? Je dois être complètement folle ! Qu’est-ce qui m’a pris ? Ai-je bien fait d’inviter un inconnu à me rejoindre au cabinet ? » pensait-elle. Elle avait préféré lui proposer ce lieu plus anonyme que son intérieur et moins banal qu’une chambre d’hôtel.De son côté il se demandait vraiment ce qui lui arrivait, et surtout ce qui se passerait ce soir-là . À vrai dire, il ne s’attendait à rien de particulier. Une femme qu’il n’avait jamais vue, avec laquelle il n’avait échangé que quelquefois et par messagerie interposée.Vendredi 19 septembreIl avait revêtu pantalon noir et veste assortie. Une chemise blanche chic et simple venait contraster le sombre de son complet. Il avait opté pour deux petites touches de Rochas Man ; une sur le bas de ses paumes et une juste au creux de ses oreilles. « Pour un premier rendez-vous, il faut faire simple. » s’était-il répété en se souriant dans la glace.À 19 h 30 il se tenait devant le 25 rue des Tournelles. Il lut sur la plaque :Dr Lise BAIGTChirurgien-dentisteDiplômée de la Faculté de Lyon4ème gauche« Sonnez et entrez » annonçait sobrement la plaque à côté de la porte d’entrée.Il sonna. Elle l’attendait. Impatience de l’instant. Elle s’était préparée à ce rendez-vous en réservant son après-midi à sa venue.Elle possédait un avantage de taille sur lui : elle l’avait lu. Elle savait parfaitement ce qui lui ferait plaisir, ce qui le ferait craquer ; bref, ce qu’elle devait porter pour faire monter le désir, susciter son envie qu’il la parcoure de ses mains avant qu’il ne la possède. Depuis longtemps elle connaissait le secret… Les hommes et la lingerie : ils en sont tous fous ! Elle s’était mirée en ajustant son petit ensemble. Elle avait ajouté une petite touche personnelle qui, espérait-elle, n’allait pas manquer de l’émoustiller !Il poussa la porte d’entrée. Celle-ci débouchait sur un long couloir sombre. Il aperçut les rais de lumière qui s’échappaient de l’entrebâillement de la porte, au fond du couloir. Gêné par la pénombre, il s’avança doucement vers la lumière.Il entendit le verrou de la porte d’entrée se refermer. Il sentit une présence dans son dos et voulut se retourner. Elle l’en empêcha en lui mettant un bandeau sur ses yeux et lui dit d’une voix câline :— Bonsoir Monsieur.— Bonsoir Madame.— Vous êtes mon hôte, ce soir ; je vous kidnappe !— Je vois ça…Elle le guida ensuite vers la pièce éclairée. Il ne voyait rien au travers de son bandeau ; elle le savait pour l’avoir déjà utilisé.À moitié rassuré, il s’avança.Elle lui ôta sa veste et l’allongea sur le fauteuil dentaire puis lui dénoua ses chaussures. Il se laissait faire tout en se demandant où tout cela allait bien pouvoir le mener. Elle lui enleva ses chaussettes et commença à lui sucer le bout de ses orteils. Sa bouche allait et venait le long de son gros orteil, et le rythme qu’elle imposait était plutôt suggestif.— Ohhh si je m’attendais…— Vous n’avez encore rien vu !Elle continua ce traitement et continua de l’effeuiller, dénouant sa ceinture et faisant glisser son pantalon. Il se retrouva en caleçon noir, moulant. Elle prit son autre pied et lui imposa le même traitement. Une bosse était en train de se former au niveau de son caleçon : la médication était bonne.— Pour quelqu’un en panne d’écriture, vous n’êtes pas totalement en panne !— Il me reste quelques ressources, en effet…Il lui sourit. Elle entreprit de déboutonner quelques boutons de sa chemise, laissant apparaître quelques poils de son torse.— Nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses, fit-elle fièrement.— Ai-je le choix ?Il avait toujours son bandeau et ne pouvait que deviner au travers de l’effeuillage quelques attributs de sa tenue. Tout d’abord elle portait des gants, probablement faits de soie. Les questions se bousculaient dans sa tête : « Sont-ils longs ou courts ? De quelle couleur sont-ils ? » Lorsqu’elle avait pris son pied pour le porter à sa bouche, il n’avait pas été indifférent à la douceur avec laquelle elle le tenait… cela avait d’ailleurs renforcé son excitation. Il lui avait aussi semblé sentir que ses jambes étaient gainées de nylon lorsqu’elles avaient effleuré les siennes.Elle vint s’installer à califourchon sur ses jambes, lui faisant face. Il eut la confirmation que ses jambes étaient bel et bien gainées de nylon, et ce contact ne fit qu’accroître son désir. Son membre turgescent emprisonné dans son écrin de coton noir commençait à lui faire mal.Elle se rendait compte que la bosse ne faisait que croître à mesure que son visage se tendait. Elle entreprit alors de le mettre à l’aise en faisant glisser son caleçon, laissant apparaître sa queue bien raide. Elle vint souffler doucement sur celle-ci et entreprit de la prendre entre ses mains gantées. Le contact des gants mêlé au souffle dont il percevait l’haleine mentholée le mit dans un état d’excitation extrême.Elle entreprit un va-et-vient d’une main, serrant la base de son sexe de sa main gauche en mettant sa main droite en chapeau au-dessus du gland. De temps en temps elle venait toucher le bout de son gland avec sa main droite, simulant artificiellement l’extrémité d’une grotte intime. Il n’en pouvait plus. Si elle continuait son traitement, il n’arriverait jamais à se retenir.— Je vais venir… prévint-il, le souffle court.— Mais j’y compte bien, minauda-t-elle en accélérant la cadence.Elle continua de plus belle son traitement. Elle le masturbait sévèrement en haletant au fur et à mesure qu’il durcissait. Elle voyait perler sur le bout de son gland les prémices de la liqueur de chêne qui allait bientôt venir tacher ses gants.Continuant de tenir fermement sa queue, elle arrêta un moment son va-et-vient et entreprit de retirer le bandeau de sa main droite. Il découvrit pour la première fois Lise, une brune aux yeux verts qui arborait un joli sourire et des longs gants de soie noirs. Elle était vêtue d’un petit haut noir en dentelle transparente et d’une jupe assortie en cuir. Des nylons noirs opaques venaient compléter ce tableau très érotique.Elle reprit sa masturbation, le regarda droit dans les yeux et fit mine d’approcher sa bouche de son gland en ouvrant sa bouche.— Ohhhhhhh… je viens…— Allez-y, donnez-moi tout ! fit-elle en lui lançant un regard très coquin.Excité, complètement désarçonné par la situation, il ne put se retenir et éjacula dans le creux de ses mains, mêlant le jus blanc au duvet noir de ses mains gantées. Elle lui montra ses gants maculés de son jus.— Regardez ce que vous avez fait… Je sais que vous aimez ça !Lise connaissait très bien son penchant pour ces contrastes noirs-blancs très cochons et entreprit de lécher sa paume droite qui avait recueilli la plus grosse partie de la semence. Elle le regardait d’un air très vicieux. Elle approcha son autre gant de sa bouche.— Lèche ton jus. Nettoie mon gant que tu as souillé !Elle se surprit à le tutoyer. C’était parfaitement inconscient de sa part, mais l’excitation aidant elle avait négligé son langage. Il ne se fit pas prier et nettoya son gant en la regardant. Elle se leva et enjamba le fauteuil dentaire pour se placer à ses côtés. Lors de son mouvement, il s’aperçut qu’elle portait des bas et vit et qu’ils étaient tendus par des jarretelles. Lorsqu’elle vint s’installer à ses côtés, il remarqua qu’elle avait mis des sandales à talons et que les pointes des ses bas étaient renforcées. « Quelle cochonne ! » pensa-t-il.Lise, qui venait de le masturber sévèrement, l’avait mené au bout et léché sa semence goulûment était ultra-sexy. La soirée s’annonçait torride.— Maintenant que tu m’as fait don de ton premier jus, nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses !Il fit glisser son caleçon à terre. Elle se cambra légèrement, se pencha, et se rua sur sa queue. Elle l’emboucha. Pendant ce temps il caressait ses jambes gainées, soulevant sa minijupe et appuyant sur la large bande que faisait la lisière de ses bas. Elle entreprit une fellation très gourmande, ouvrant sa bouche sur l’extérieur pour laisser le membre la pénétrer tout en le comprimant de l’intérieur : « Le cône de l’amour », sa spécialité !Il lui caressait l’entrejambe et se rendit compte que des petites pressions séparaient ses mains de son intimité. « Elle porte un body-jarretelles ; le summum du raffinement chic ! » pensa-t-il.Elle ne mit pas longtemps pour lui redonner toute sa vigueur. Son membre n’avait pas totalement débandé, et le traitement qu’elle lui imposait lui rendait toute sa turgescence. Alors qu’elle continuait de le pomper, elle mit l’une de ses mains dans son dos et fit descendre la fermeture de sa jupe pour la faire glisser à terre, lui offrant davantage de latitude dans ses mouvements exploratoires.Il se redressa, se leva du fauteuil et la fit s’installer à genoux sur celui-ci.— Écarte bien tes jambes ; tu vas prendre cher !— Oh oui, prends-moi comme une chienne…Elle se pencha en avant en écartant les cuisses, livrant pleinement sa croupe à ses désirs obscènes. Il approcha ses mains de son antre ; il était tout humide. Il fit sauter les pressions de son body et écarta le deux pans de dentelle. Ceux-ci luisaient, gorgés de sa mouille. Sa chatte n’était pas en reste, de toutes les nuances entre le rose et le rouge, très ouverte, accueillante en diable.Il l’empala d’un coup sec. Elle gémit. Il entama alors un pilonnage rapide et profond en la tenant par la taille. Elle ahanait maintenant bruyamment et perdait le sens de toute bienséance.— Oh ouiiii, enfile-moi, bourre-moi bien !— Tu aimes ça hein ? La dentiste cache bien son jeu… T’es une bonne salope !— Oh oui, j’adore ça. Continue, c’est trop bon !Il se surprit des registres avec lesquels il lui répliquait, mais l’excitation aidant il ne maîtrisait plus lui non plus son langage ni ses gestes. Il lui asséna des fessées magistrales, faisant claquer ses fesses.— Prends ça, petite traînée ! Tu as voulu m’exciter, hein ?— Oh oui, punis-moi… J’ai été très vilaine aujourd’hui !Elle avait relevé la tête vers lui et le regardait de son air coquin. Il continuait de la prendre en la tenant fermement en regardant à la fois son dos en dentelle, sa croupe cintrée de jarretelles et ses bas opaques qui la rendaient si désirable. La puissance de ses assauts faisait voler artificiellement ses chaussures à talons dans les airs. Il regardait les brides à ses chevilles et la petite boucle qui brillait à la lumière tamisée.Il la fit se relever, s’assit sur le fauteuil dentaire, releva celui-ci pour qu’il soit en position assise et la fit s’asseoir sur lui. Il empoigna ses talons, lui laissant toute latitude pour imprimer les mouvements qui feraient grimper son plaisir. Elle se déchaîna sur son membre en ahanant de plus belle.— C’est bon de monter ton pieu ; qu’il est gros !— Enfile-toi bien dessus !Elle eut son premier orgasme et lui cria sa jouissance. Son corps tremblait.Il sentait qu’il allait aussi venir si elle continuait son rythme effréné. Il la fit alors se relever.— Je vais te démonter le cul ! fit-il en lui intimant de se mettre à quatre pattes sur la moquette.— Tu es trop gros, tu vas me déboîter ! fit-elle en le suppliant d’un sourire, mi-excitée, mi-apeurée.— J’y compte bien… Tu mérites de te faire enculer ! Tu croyais y échapper ?— Non, mais elle est si grosse, ta queue…Il s’approcha de son cul qu’elle tendait et lui mit un doigt dans la chatte pour recueillir sa mouille très abondante. Il lubrifia son cul et lui enfila le bout de son gland.— Ohhh, fit-elle, doucement !Il enfila sa queue progressivement, très lentement car c’était très étroit. Il lui tenait les fesses de ses mains et imprimait une certaine domination en la tenant très fort. Arrivé au bout, il resta un court instant puis entreprit un léger va-et-vient. Elle était complètement excitée par la situation et lui livrait un couplet d’insanités toutes les plus lubriques les unes que les autres. Cet homme qu’elle ne connaissait il y a une heure à peine et qui la possédait désormais comme une chienne en chaleur. Elle se sentait extrêmement salope.— Oh oui, prends-moi comme ça, enfile-moi, défonce-moi les fesses !— Je vais te déboîter le cul !Il imprimait maintenant à sa rosette un rythme très soutenu, et elle ne faisait que crier sa jouissance, incapable de prononcer d’autres mots. Elle eut un second orgasme et hurla.Il sentit qu’il allait venir et retira doucement son membre de son anus. Celui-ci resta béant quelques instants. Il enleva une des jarretelles, écarta la large bande noire de son bas pour y mettre sa queue et déchargea son foutre chaud entre sa peau et le fin voile opaque.— Cochon ! fit-elle en le regardant.— Pour vous servir, Mademoiselle !Il retira son membre qui n’avait pas totalement débandé et qui était encore plein de sperme, remit l’attache de son porte-jarretelles, la fit se relever puis lui intima de se remettre à genoux sur le fauteuil. Il enleva les lanières de ses sandales à talons et s’essuya le gland sur la plante de ses pieds avant de lui remettre ses chaussures, la laissant baigner dans son jus.Chancelante, elle se releva doucement en le regardant. Elle retira son gant, lui dévoilant son alliance et lui dit en souriant :— Madame ! Je suis mariée.