Une fin de session à la course…Il y a environ quatre mois, je débutais la dernière session de mon bacc en littérature. Eh oui! J’en étais déjà à ma troisième année, et jusqu’à maintenant, tout avait été au mieux: les notes, les nouveaux amis, quelques copines avec qui j’avais été un peu plus intime.. Même pour l’argent, il n’y avait pas eu de problème! Que demander de plus?J’ai fait la connaissance de Caroline au début de ce trimestre: elle avait pratiquement fait tout son bacc à l’université de Montréal, mais étant récemment déménagée à Sherbrooke -parce que celui qui allait être son directeur à la maîtrise était prof à l’université de Sherbrooke, parce qu’elle en avait mare de Montréal, parce que.. Parce que.. Bref, elle complétait son bacc dans ma ville, ce dont, vous en conviendrez plus tard, je n’aurai pas lieu de me plaindre!Caroline a un visage incroyable: les traits les plus exquis; des yeux bruns très foncés, presque noirs (des yeux rieurs qui donnent envie d’être complice avec elle); une belle petite bouche avec des lèvres qu’on se retient d’embrasser! Physiquement, elle est également incroyable; mais un détail doit être mentionné: Caroline est très, très petite: elle ne fait même pas cinq pieds! Tout de même, ses proportions sont sublimes: ses hanches sont parfaitement dessinées, tout comme ses jambes; ses seins, qui ne semblent pas si gros, ont tout de même fière allure étant donnée la charpente de Caroline, sans oublier qu’ils sont parfaitement ronds, et que -tout comme pour sa bouche- on doit presque se retenir d’y mettre la bouche; ses fesses sont parfaitement rebondies; enfin, le tout est agrémenté d’une peau basanée à faire craquer!Tous ces détails, je les avais remarqués durant la session -j’eus toutefois l’occasion d’approfondir mon examen, récemment.. En effet, vers la fin de la session, après une semaine chargée d’examens et de travaux (je sais, ce n’est pas très original; mais que voulez-vous que j’y fasse: c’est souvent après une semaine pénible, lorsqu’on est parfaitement fatigué et presque abruti, que surviennent les expériences les plus plaisantes!), après cette dure semaine, bref, nous sommes allés, moi et Caroline, quelques-uns de mes copains et copines ainsi que Julie, une nouvelle amie de Caroline, nous sommes allés nous exténuer complètement dans une discothèque. On nous avait dit que cette boîte était «branchée».. Nos sources nous avaient trahis! La piste de danse était remplie de «phénomènes» plus spéciaux les uns que les autres -nous nous sommes presque tous fait aborder, à un moment ou à un autre de la soirée, par un de ces spécimens! Bien que ce ne soit pas exactement agréable, cela nous faisait bien rire; sans oublier qu’au moins, la bière était presque gratuite, que nous nous amusions beaucoup entre nous et que, somme toute, nous passions une très agréable soirée!J’ai passé la soirée à faire rire Caroline, comme à mon habitude. J’avais beaucoup ri avec elle, d’ailleurs, durant tout le trimestre; sans oublier les grandes conversations que nous avions eues, souvent jusqu’au matin.. Bref, vous aurez deviné que j’étais amoureux d’elle et, comme un imbécile, je croyais qu’elle n’avait que de l’amitié pour moi (elle disait toujours qu’elle n’avait jamais eu de meilleur ami que moi!).Vers deux heures du matin, nous étions tous à moitié ivre, à moitié endormis et complètement fourbus! Je remarquai, en revenant des toilettes, que la belle Caroline n’y était plus ; «Elle ne se sent pas très bien, et elle est entrée chez elle, me dit Julie».— Elle aurait pu dire bonsoir, au moins!Environ quinze minutes plus tard, intervalle durant lequel je ne dis pas un mot, songeant trop à ce que j’avais bien pu dire qui aurait vexé Caroline, Julie me suggéra:— Tu devrais peut-être aller voir comment elle va.— T’es malade! Ça fait combien de temps qu’elle est partie? Vingt, vingt-cinq minutes? Elle doit être déjà au lit: je n’irai pas la réveiller, surtout qu’elle est très fatiguée… Oh! Et tu sais, elle est quand même un peu prude: elle ne serait pas tellement à l’aise -et moi non plus- de se retrouver en sous-vêtements devant un ami..— Je suis sûre qu’elle te pardonnerait… (après un bref silence)Tu sais qu’elle t’adore, Caroline?— Bien sûr, bien sûr..J’avais dis cette phrase d’un air détaché, et sans doute que Julie avait pris le change à ce moment.. Mais mon cœur, n’en doutez point, battait un peu bien vite! J’avale ma bière d’une traite, pour me donner un peu de contenance (la bonne idée, tiens!). J’en achète une autre, que je bois aussitôt d’un trait; je continue à danser avec mes amis, le plus naturellement possible, afin que cette maudite Julie pense que tout est parfaitement normal dans ma tête!!!Trente minutes plus tard, très précisément, le temps nécessaire pour que Julie n’ait plus aucun doute, je pars enfin, en feignant une grosse migraine:— Je suis complètement fourbu, Julie; je l’étais avant même d’arriver… Salut les gars! On se rappelle?!Enfin, j’embrasse Julie, tapes sur l’épaule de mes copains, j’enfile mon manteau, je sors très tranquillement, feignant d’être plus ivre et plus mal en point que je ne le suis vraiment. Une fois hors de la vue de mes amis, je commence à courir comme un fou: Caroline demeure à peu près à dix minutes de voiture du centre-ville; j’y suis en sept, à la course et avec quelques raccourcis par les arrières-cours! Je me donne encore trois minutes pour reprendre mon souffle; à la dixième minute, je cogne à la porte -et je sens mon cœur qui frappe encore plus fort dans ma poitrine! J’entends que quelqu’un vient («Merde! Que je me dis: est-ce une hallucination cette douleur dans mon bras gauche? Tiens bon mon cœur! Ce n’est pas le temps pour une crise cardiaque! Merde! ») Caroline ouvre la porte; elle porte un t-shirt bleu assez moulant, et des petites culottes qui sont également bleues; ses cheveux sont un peu défaits, elle a les yeux un peu gonflés de sommeil; elle me voit, et je suis un peu rassuré de voir que ses yeux s’aggrandissent en me voyant. Sans un mot, elle me fait signe d’entrer.Je referme la porte derrière moi, je me retourne et lui demande:— Est-ce que ça va bien? Julie m’a dit que…Elle enlève mon manteau.Je tente une phrase intelligente:— Une migraine? Tu as une migraine?— Ça va très bien.Elle me regarde, me sourit: son visage est superbe, j’en suis maintenant déconcerté. Soudain, un mouvement irréfléchi, on ne peut plus spontané de ma part: je prends sa tête entre mes mains, j’approche mon visage du sien. Je la regarde dans les yeux. Je la trouve si belle, puis.. J’approche encore un peu son visage du mien, et l’embrasse très doucement. Elle me prend par la taille, puis me donne un baiser très chaud, un peu mouillé, dans le cou; elle remonte ensuite vers mon oreille gauche, qu’elle lèche un peu, puis mord mon lobe. Je frissonne. Je sens ma tête près d’exploser. Caroline est sur la pointe des pieds, et prend à son tour ma tête entre ses deux mains, et m’embrasse plus vivement que la première fois. Ses lèvres sont délicieuses, Caroline goûte divinement bon! Elle ouvre un peu sa bouche, et ma langue en profite pour aller rejoindre la sienne. Mes mains profitent de l’occasion pour aller palper ses fesses, ce que je fis en l’embrassant un peu plus énergiquement; elle soupire un peu.. Nos langues se mêlent avec un peu plus d’énergie, mes mains s’aventurent maintenant sous la petite culotte de Caroline, et elle soupire de plus en plus vite, de plus en plus fort. Pour moi, de toucher ses fesses, de l’embrasser comme je le fais me rend un peu fou; mon cœur bat encore fort, je suis un peu nerveux, et se mêle à cela une joie très intense; résultat: un bourdonnement dans ma tête, qui se répand dans tout mon corps, me fait savoir que je n’ai jamais été dans un état d’excitation-euphorique comparable auparavant!Nous nous rendons, sans trop nous en rendre compte, dans la chambre de Caroline, en n’arrêtant pas toutefois de nous embrasser. En reculant, elle tombe assise sur son lit, les jambes un peu écartées; je m’agenouille donc entre ses cuisses, et, tout en continuant de l’embrasser, je lui enlève son chandail. Ma bouche, ou plutôt, ma langue descend le long de son cou, ce qui fait qu’elle continue de soupirer. Je descends encore un peu plus bas, et me retrouve le visage au niveau de sa poitrine: les seins de Caroline sont, comme je l’ai déjà dit, assez gros, étant donnée sa petite taille. Ils sont surtout très beaux: d’une rondeur parfaite, et très fermes. Pendant que je lèche, suce, dévore ses seins, et que ma moins droite est affairée à les toucher, les palper, Caroline met le majeur et l’index de ma main gauche dans sa bouche, et les suce doucement, puis un peu plus vivement.Bien que cela m’excite beaucoup, je retire ma main, me met à genou par terre cette fois, et j’approche Caroline sur le bord du lit. J’écarte ses jambes, et commence à embrasser l’intérieur de ses cuisses, ce qui fait qu’elle soupire encore plus; j’approche ma bouche de sa culotte, et commence à donner des baisers sur sa chatte, à travers le tissu; en peu de temps, la petite culotte est trempée, moins par ma salive que par sa mouille. Ce petit jeu l’excite beaucoup, mais après un moment elle n’en peut plus:— Enlève là! Enlève là!J’exécute ses ordres. Elle lève ses fesses, et je peux la délivrer de ce morceau de tissu qui commençait à la gêner. Je vois que sur son pubis, il n’y a qu’un petit triangle de poils, assez peu fourni; sa chatte est superbe, et j’entreprends d’en faire mon délice. Cette petite vulve rose sent très bon; je commence par sucer une de ses lèvres. Caroline, la tête penchée vers l’arrière:— AAAaah..hmmm.. C’est bon!Ma langue part du bas de sa vulve, et remonte tranquillement jusqu’à son clitoris. Je recommence, une fois, deux fois.. trois fois, de plus en plus vite. Comme Caroline était déjà très excitée, ces premiers coups de langue lui faisaient un grand effet. Je commençai à m’attarder sur son clitoris, à le lécher, lui donner de rapides petits coups de langues. Je perdais la tête à manger cette délicieuse petite chatte; et le fait de voir tout le plaisir que je donnais à Caroline me faisait encore plus perdre la tête.— Humm.. J’adore faire ce que je te fais!— Aaaah..Hmmm.. Continue!!Perdant complètement la tête, je mis mes mains sous ses fesses, la soulevai un peu, tout en continuant de la manger; puis je la soulevai encore, sans peine, de sorte qu’elle avait le dos appuyé sur son lit, ses jambes sur mes épaules, et moi qui lui léchais fébrilement le sexe. À un moment, je le mis tout à fait dans ma bouche, continuant à le lécher et à le sucer.— Arrête! Sinon je vais jouir!— Mais oui, c’est ce que je veux!Elle défit toutefois son étreinte autour de mon cou. Elle retira rapidement mes vêtements, m’attira sur son lit, me coucha sur le dos, et se mis en sens inverse, à genoux. Elle prit mon membre, qui était déjà très dur, dans sa main droite. Elle commença à le lécher de bas en haut, très doucement; ce qu’elle me faisait était très agréable, et j’en jouissais au maximum; cela lui plaisait aussi, car elle soupirait encore un peu. Ces coups de langue me faisaient tant d’effet; et de voir ses fesses si près, je ne pus résister à l’envie de les toucher encore, ce que je fis. Mais cela ne me suffisait pas encore: je pris un peu brusquement Caroline par la taille, et l’amenai complètement sur moi, de sorte que nous étions maintenant en 69.— Non! Ne recommence pas tout de suite, je ne veux pas jouir tout de suite!Mais, contrairement à ce qu’elle pensait, je ne me dirigeai pas vers sa chatte, mais plutôt vers le beau petit trou de son cul, que je commençai à sucer et à lécher. Surprise et peut-être un peu réticente au début, rapidement elle s’abandonna à ce plaisir, qui lui était nouveau. Je léchais son cul de plus en plus vite; je mordillais parfois une de ses fesses. Cela lui plaisait tellement qu’elle arrêta complètement ses coups de langue, et porta toute son attention sur ce que je lui faisais: j’avais les mains bien appuyées sur le derrière de ses cuisses, puis je ne me contentai plus de lécher: Je rentrais peu à peu, de plus en plus vite et de plus en plus profondément ma langue dans son cul, ce qui lui fit souffler quelques petits cris de plaisir. Ma position toutefois ne me convenait pas assez: je dis à Caroline de rester comme elle était, puis je me mis à genoux derrière elle, où je continuai plus confortablement à la pénétrer de ma langue, et où elle continua de gémir de plaisir.Après quelques minutes, elle se retourna, et me poussa un peu vers l’arrière, de sorte que j’étais toujours à genoux, mais le corps penché vers l’arrière, mes mains servant d’appuis de part et d’autre. Elle saisit ma verge, commença à me masturber doucement, tout en m’embrassant très délicatement sur la bouche; puis, à mesure que nos baisers devenaient plus intenses, que nos langues se mêlaient plus rapidement, plus elle me branlait rapidement. À un moment:— Ah! Je n’en peux plus, il faut que je te suce!Elle se pencha et engloutit mon membre aux trois-quarts, puis se mit à me sucer délicieusement. Le mouvement de sa bouche et de sa main était très rapide, et je l’avertis que si elle continuait à ce rythme, je ne serais pas long à venir. Elle arrêta un peu sa fellation et, tout en continuant à me branler, elle me suça les couilles pendant quelques instants. Quand elle vit que j’étais un peu plus calme, elle recommença sa pipe, lentement, mais en engloutissant mon pénis très profondément, et en le suçant avec force… «Hummm! J’adore! » Pour qu’elle ne soit pas en reste, je commençai à lui chatouiller le clitoris et, comme je vis qu’il était très gonflé -ce qui m’excitait beaucoup- j’entrepris de le masser un peu plus vivement. Elle recommença à soupirer, puis, n’en pouvant plus, elle me regarda avec des yeux remplis de volupté et de projets qui, j’en étais sûr, seraient assez de mon goût! Tout en continuant de me masturber, elle m’embrassa, me lécha les mamelons, le ventre, et même les joues! Soudain, elle lâcha prise, et se retourna très lentement; j’en profitais pour caresser tout ce que je voyais: son beau visage, ses seins, ses cuisses…Maintenant elle était complètement tournée, et, lentement, elle écarta ses jambes et ses fesses. Elle ne dit rien, car évidemment j’avais compris ce qu’elle voulait. J’approchai mon membre de l’entrée de cette belle et délicieuse petite chatte bien mouillée. Je commençai par faire entrer, très doucement, mon gland dans sa vulve, et fit des petits mouvements d’avant-arrière, en prenant bien garde de ne pas m’engloutir trop vite. Ce petit jeu excitait tellement Caroline, qu’à un moment, elle fit un rapide mouvement vers l’arrière, et s’empala complètement:Je ne pus m’empêcher de crier moi aussi, car cette attaque était aussi délicieuse qu’inattendue. Je regardais les fesses et le dos bien bronzé de Caroline; je la saisis par les hanches, en m’étonnant de sentir à quel point cette fille était menue. Son vagin était très étroit, et chaque coup de bassin que je donnais nous procurait un plaisir intense, à tous les deux. Comme je voulais être plus près d’elle, je l’attirai à moi, vers l’arrière; je la retenais par le ventre, et de mon autre main, je lui caressais les seins: j’en profitai pour prendre un de ses tétons entre mes doigts, le pincer un peu, ce qui décidément lui plaisait beaucoup. Je l’embrassais au même moment dans le cou, la léchait et elle, se penchant vers l’arrière, suçait mon lobe, tout en soupirant dans mon oreille, ce qui me faisait frissonner.Nos mouvements de va-et-vient étaient de plus en plus rapides, de plus en plus énergiques. Je décidai de porter ma main libre sur son sexe, puis je lui caressai le clitoris doucement, très doucement, ce qui fut suffisant pour que, après une minute, elle me dise:— Ah oui! Tu vas me faire jouir! Oui! oui! Aaaah!!Elle se mit à s’empaler de plus en plus rapidement sur moi, et dans un grand soupir, elle eut un orgasme très long et très intense. Les parois de son vagin -déjà très étroites- se comprimant sur mon pénis, je sentais que mon tour était très proche. Un peu assommée de son orgasme, elle me demanda confusément:— Pourquoi te retires-tu?Elle comprit toutefois que j’étais aussi près de jouir et que, n’ayant pas mis de préservatif, il serait plus sage de ne pas être en elle au moment de mon orgasme. Mais elle s’anima quand elle vit que je me branlais juste au-dessus de ses fesses.— Oh oui! Jouis sur moi, oui!Je lâchai une abondante décharge, qui alla de ses fesses jusqu’à la moitié de son dos. Elle dit des petits «hummm» quand elle sentit mon sperme gicler sur elle. Elle garda les yeux fermés, puis commença de sa main droite à étendre le sperme sur ses fesses, tout en continuant ses «hummm».— Il est chaud… J’adore ça!Elle s’est ensuite couchée sur le dos, et moi sur elle, et nous avons recommencé à nous embrasser doucement, puis de plus en plus énergiquement. Nous étions quelque peu fatigués, mais nous voulions continuer à profiter de ce moment. Tout en l’embrassant, je caressais ses seins; puis, je décidai de les embrasser, les mettre dans ma bouche. Je n’avais jamais vu de ma vie des seins plus beaux, et je continuai à les sucer, les manier, les mordiller doucement pendant plusieurs minutes, ce qui nous excitaient tous les deux. Je constatai que mon membre avait retrouvé toute sa vigueur; Caroline aussi le remarqua, et me fit signe de m’approcher: elle le mit dans sa bouche, et le suça pendant quelques secondes, très doucement: je l’installai ensuite, à sa demande, entre ses deux seins: en les pressant, je me rendis compte qu’ils étaient de taille juste assez suffisante pour une branlette espagnole! Je commençai un lent va-et-vient entre ses beaux seins, va-et-vient qu’elle ne contribuait pas peu à rendre encore plus agréable, par de rapides coups de langue sur mon gland! Après un agréable moment, elle me fit signe d’ouvrir le tiroir du petit bureau qui se trouvait à côté; ce que je fis. Il y avait quelques condoms; j’en prie un.— J’aimerais que tu jouisses en moi.J’enfilai le condom, et nous avons recommencé à faire l’amour, moi sur elle. Cette pénétration, moins emportée, moins vive que la précédente, n’en était pas moins agréable. Après un long moment, qui me parut tout de même court, j’atteignis un second orgasme (ce qui m’étonna, car habituellement les condoms me rebutent au plus au point!); j’eus alors le plus long et le plus puissant orgasme de ma vie! Caroline et moi, après cette dernière dépense d’énergie, et contrairement à notre habitude, nous endormîmes avant que le soleil ne se lève, serrés dans les bras l’un de l’autre.Caroline est partie pour un voyage de deux mois en France, où elle compte faire des recherches à la Bibliothèque Nationale de France, cette bonne vieille BN.. Je suis très content pour elle, mais j’ai également hâte à son retour, qui sera pour dans deux semaines environ. Nous allons emménager ensemble. !