Résumé des premiers épisodes (1 à 6) : Chantal fantasme avec son inspiratrice, Aline, sur sa participation à une formation hôtelière aux méthodes très particulières. D’abord déconcertée et humiliée, puis stimulée par des exercices érotiques réjouissant les participantes, une pause l’amène à des confidences de plus en plus lestes avec son amie et leur hôtesse, Mme Marie-Blanche C**. Après la traditionnelle séance d’évaluation où deux étudiantes nouvellement arrivées sont invitées à se joindre au stage et un repas convivial, Mme C** se retrouve piégée dans l’élaboration de la punition d’une stagiaire, Déborah. L’application des sanctions réunit autour de la coupable, Aline, Chantal, Clémence et son amie Viviane, petite cousine de Mme C**, celle-ci, ainsi que sa jeune soubrette, Sandrine, qui devient à son corps défendant un sujet d’intérêt.Et, dans l’épisode précédent : Après quelques moqueries visant la soubrette, la mise en scène de la punition de Déborah s’organise sous la direction de Aline. Les juges surveillent de près la contrition masturbatoire de la pénitente. Celle-ci exprime avec une telle sincérité son repentir qu’il explose en cataracte sur les jolis atours de Mme C**.Déborah retombe mollement sur la chauffeuse, pantelante, mes ongles encore plantés sur la peau d’un sein. Mes baisers les remplacent pour atténuer leurs traces douloureuses tandis que Viviane et Clémence reposent délicatement les chevilles qu’elles serraient par réflexe. Sandrine est encore bouche bée, aussi désorientée que sa maîtresse, nos pieds toujours emmêlés. J’en profite pour caresser les siens, agréable sensation de peau douce au bout de mes orteils. Elle ne s’en rend même pas compte.— Sandrine ! Allez-vous laisser Madame dans cet état ?Ton injonction lui rend vie. Elle se dresse et jette un regard de détresse au tas froissé et imbibé que sont devenus blouse et tablier. Les jugeant à bon droit immettables, elle ramasse machinalement le chemisier de Clémence tout aussi détrempé, pour le rendre à sa propriétaire qui le dédaigne. Sa patronne s’est levée, elle aussi, secouant la tête d’un air incrédule à la vue du désastre qui frappe son élégante mise. Sa moue de dépit atteste de la crainte d’une catastrophe irréparable.— Mon dieu, je suis désolée pour votre jolie robe, t’exclames-tu hypocritement. Mais rassurez-vous chère Marie-Blanche, ça ne tache pas si on le lave encore humide. Sandrine va tout de suite vous aider à vous déshabiller.— Mais… euh… comment… là ? balbutie la pauvre arrosée.— Tout de suite, oui, pour éviter d’aggraver les choses, précises-tu. Sandrine, dépêchez-vous, voyons !Il n’y a plus de madame C**, plus de respectable bourgeoise, plus de code des convenances. Il ne subsiste qu’une Marie-Blanche déboussolée par ce qu’elle vient de découvrir et subir, perdue dans des pensées contraires, tiraillée entre le désir de s’encanailler et la peur de la tentation. Elle n’a pas la force de refuser ton conseil impératif, ni même d’en différer l’exécution. En a-t-elle l’envie, au fond ? La petite bonne se dépêche, en effet, de dépouiller sa patronne apathique de la tenue souillée des reliefs de l’orgasme. Peut-être voit-elle là une sorte de renversement des rôles après sa propre mortification. Déjà, les épaules nues se dégagent du vêtement dégrafé.— Dites-moi, chère Marie-Blanche… questionnes-tu, sans qu’elle réagisse.— Hem ! Marie-Blanche ? poursuis-tu d’une voix plus forte.— Oh, oui, pardon Aline, que disiez-vous ? J’étais ailleurs, s’excuse-t-elle en s’extrayant difficilement de sa léthargie.— Je vous en prie, souris-tu, c’est tout naturel. Je pense que vous avez été surprise, n’est-ce pas ?— Je l’avoue. Plus que surprise, dirais-je ! Je ne m’attendais pas à cette… heu, à ces…, heu, enfin, à ce débordement. Comme je vous le disais, je ne connaissais pas ce genre de… particularité. Peut-être m’avait-on informée ? Je n’avais pas retenu. Mais, Aline, vous parliez de fontaine. Ce n’est pas une fontaine, c’est une douche !Sa voix se raffermit au fil de sa réponse. Elle redevient la dame bien née, qui sait discourir de ces choses d’un ton détaché, un brin égrillard en sus. Elle s’est tournée vers toi, manifestant ainsi le moindre intérêt que lui inspirerait le reste de l’assistance. Elle converse avec un petit sourire de bon aloi et de gracieux mouvements des mains qui ralentissent le travail de Sandrine. Cette dernière, tout en prenant garde que le bout de ses seins nus ne frôle le dos qu’elle dévoile, parvient enfin à faire descendre le haut de la robe sur la taille. Un élégant et coûteux soutien-gorge mauve est apparu.— Oui, Déborah s’est surpassée, conviens-tu. Il nous faudra en reparler car… Oh, mais quel dommage ! Votre soutien-gorge aussi ! Regardez, il est tout humide. Il est si joli, ce serait malheureux de le perdre.— Comment ? Mais vous avez raison, il est mouillé, s’exclame l’infortunée en considérant les bonnets qui ont effectivement recueilli leur part de la preuve de contrition de Déborah. Et, vraiment, vous pensez que… poursuit-elle en rosissant sans oser terminer.— Absolument, ne serait-ce que par prudence, si vous voulez mon avis, affirmes-tu tandis que la robe, maintenant aux chevilles, laisse voir culotte et porte-jarretelles assortis au soutien-gorge.Manifestement, se trouver, comme elle le minaude, en petite tenue est gênant pour une voyeuse qui s’ignorait. Mieux vaut tenter de négocier, attendre une heure ne nuirait sans doute pas à cette lingerie, du moins le prétend-elle.— Je ne sais, après tout peut-être. D’un autre côté, il fait chaud. Si les taches sèchent… supputes-tu en la considérant de haut en bas. Mais si voulez prendre le risque… Et je crains, hélas, qu’il en soit de même pour votre culotte !— Ma culotte ?— Rassurez-vous, le porte-jarretelles a été épargné.Force lui est de se rendre à l’évidence : la culotte est abondamment imprégnée de fluide. La suggestion de l’enlever aussi la choque, cependant. À l’idée d’être nue, elle s’insurge, un peu trop faiblement, semble-t-il.— Non, pas toute nue chère amie, vous pouvez garder le porte-jarretelles et les bas. Avec vos escarpins, mon dieu, il n’y a pas de honte, modères-tu. D’ailleurs, nous sommes entre nous, n’est-ce pas ?— Avec vous, Aline, oui, avec Chantal, aussi je ne dis pas, mais là…Elle proteste mollement, en désignant d’un mouvement de tête la jeunesse qui nous observe, intriguée et amusée.— Chère Marie-Blanche, voyons ! insistes-tu. Déborah ne compte pas, elle a un devoir de réserve. Sandrine vous connaît, je pense. Viviane et Clémence ? Je viens de les intégrer dans la formation, à votre demande. Elles en ont accepté les règles de discrétion. Et puis, Marie-Blanche, pensez-y, quelle expérience pour elles ! Votre petite cousine et son amie n’auront pas souvent l’occasion d’une si véridique mise en situation. Toutefois…— Toutefois ? répète Marie-Blanche d’une voix indécise.— Je me disais qu’il ne conviendrait sans doute pas que la soubrette soit plus habillée que la personne qu’elle sert, achèves-tu en désignant Sandrine qui se faisait toute petite dans son string.Est-ce ton argumentaire qui décide notre hôtesse, ou ta dernière remarque ? À moins que les démons de la luxure, temporairement calmés par la douche tiède, ne viennent lui souffler d’ajouter le péché d’exhibitionnisme au péché de voyeurisme ? Ou bien est-elle seulement entraînée par les exemples de nudités, partielles ou totales, qui l’entourent ? Bref, elle succombe à la tentation. Mieux, elle se donne un excellent prétexte pour t’approuver.— C’est une observation très pertinente, ma chère Aline, te remercie-t-elle, sinon j’aurais oublié le petit contrôle d’hygiène dont je vous parlais ce tantôt. Pour le reste, vous avez raison sur toute la ligne, c’est moi qui suis sotte. Je m’en remets à vous !— Merci à vous, ma chère Marie-Blanche, vous êtes trop bonne. Pourquoi ne pas en profiter pour joindre l’utilité et la pédagogie, alors ? Viviane pourrait vous suppléer pour l’examen, sous notre contrôle commun bien sûr, en commençant par retirer elle-même le string de Sandrine en guise d’apprentissage, suggères-tu.— Ce serait parfait, agrée d’enthousiasme une Marie-Blanche requinquée. Viviane, ma chérie, tu as entendu madame Aline ? Viens ici, oui, là, à côté de Sandrine.— Madame, pleurniche celle-ci, c’est très gênant pour moi. Je suis seule avec vous pour ça, d’habitude.— Tatata, vous ferez ce qu’on vous dit, ma petite, la morigène sa maîtresse. Soyez fière de participer à un exercice pédagogique, au contraire !Viviane et Clémence échangent des regards amusés. La première semble malgré tout vaguement embarrassée d’avoir été choisie pour déculotter une domestique. La seconde porte au contraire sur celle-ci un regard que l’on qualifierait volontiers de gourmand. Elle suit d’ailleurs son amie auprès du sujet d’exercice sans y avoir été invitée. Probablement pour mieux bénéficier des enseignements de ces travaux pratiques, supposons-le au nom de la bonne morale.Et Déborah ? Tout le monde paraît l’avoir oubliée. Elle repose, détendue, sur le siège de ses exploits, un bras replié sous sa nuque, jambes allongées, cuisses et fesses baignant dans son jus. Il n’est pas certain que la protection de la blouse et du tablier de Sandrine ait suffi à épargner le tissu de la chauffeuse, mais j’ai scrupule à troubler son repos. Les frissons qui parcourent par instants son corps témoignent du degré de tension qu’elle vient d’éprouver. Tant pis pour les taches de mouille sur le velours, elle a bien mérité de récupérer en paix. Déculpabilisée par cette pensée, il est vrai un peu égoïste à l’égard des meubles de madame C**, je rejoins moi aussi la séance d’initiation. En assistante consciencieuse, je me place, toujours nue, modestement en retrait de l’ordonnatrice.— Excellente idée, réponds-tu justement à notre hôtesse, mettons-nous devant le canapé, nous serons en effet plus au large pour travailler.— Asseyez-vous donc près de moi, propose celle-ci, ravie de ton approbation et devenue très à l’aise dans ses sous-vêtements. Vous pouvez aussi bien diriger l’exercice d’ici.Sans te soucier de ma présence, tu te rends à son invite avec un tel empressement que je me demande qui de vous deux cherche à piéger l’autre. J’ai du mal à suivre l’évolution du comportement de Marie-Blanche, à saisir quelles sont ses réelles attentes. Depuis qu’elle en a accepté le principe, la perspective de se trouver bientôt mise nue ne semble pas loin de l’exciter. Les compliments sur sa silhouette ont dû être plus flatteurs pour son ego qu’elle n’a voulu le faire croire lors de notre entretien privé.Maintenant, elle laisse sans vergogne sa cuisse s’appuyer contre la tienne dans un doux bruissement de soie froissée. Les légers mouvements, apparemment involontaires, qui accompagnent votre discussion enjouée sur les vertus des bonnes pratiques hygiénistes, font continuellement glisser le pan de ta tunique. Ta jambe sera bientôt découverte jusqu’à l’aine. Tu n’as pas l’air de le remarquer, tout occupée à donner tes consignes aux gamines.Cobaye à son corps défendant, Sandrine se cacherait la figure dans ses mains pour ne pas voir la suite si sa patronne ne la rabrouait lorsqu’elle essaie. Debout devant toi, elle ne sait que faire de ses bras sinon de tenter de masquer sa poitrine et son pubis en sentant descendre son string. Viviane n’est pas moins empruntée. Penchée en avant, elle cherche maladroitement à baisser les élastiques sur les hanches de son sujet d’exercice.— Voyez-moi ça, prends-tu à témoin ta voisine, on ne leur apprend décidément rien à l’école. Quand je vous disais que rien ne remplace la pratique !— Ah, chère Aline, si je vous disais, moi, que je préfère me déculotter seule que de me confier à la gaucherie d’une soubrette !— Vraiment ? Nous y remédierons, compatis-tu. En attendant, Clémence, prenez la place de Viviane et montrez-nous si vous vous débrouillez mieux.Plus maligne que son amie qui se retire mortifiée, Clémence commence par imposer avec douceur, mais fermement à Sandrine de garder les bras levés. Puis elle s’accroupit derrière elle et passe délicatement les mains sous les fines attaches. Sandrine frémit en éprouvant ce contact sur sa peau. Les pouces écartant l’élastique des reins, les autres doigts glissés sous le coton qui couvre la motte, Clémence dépiautent le string avant que sa patiente comprenne ce qui lui arrive. Ce n’est que son dernier rempart aux chevilles que Sandrine prend conscience de la caresse fugitive qui a frôlé les lèvres de sa minette. S’en offusquerait-elle qu’une brusque poussée sous ses fesses l’en distrait. Clémence a passé sans façon la tête entre ses cuisses et force l’une puis l’autre à se soulever. Une fois dégagé l’objet de sa quête, elle se relève souplement et vient vous le présenter.Marie-Blanche avance instinctivement le bras, mais tu retiens son geste d’une vive pression de la main.— Vous oubliez quelque chose, Clémence, remarques-tu.— …— Vous avez oublié de vérifier.— Heu… Vérifier… Que je vérifie quoi ? rétorque Clémence, vexée.— « Madame Aline », s’il vous plaît, Mademoiselle. « Que je vérifie quoi, Madame Aline », la reprends-tu. Vous devez vous assurer de la propreté de cette lingerie avant de la remettre à madame C**.— Ben… Elle doit être propre… Euh… Madame Aline.— Vous croyez ? Regardez mieux. Non, pas comme ça. Retournez le gousset.Elle s’exécute, mais reste muette. Il te faut la relancer pour qu’elle se décide à parler.— Il y a… il y a des traces… Madame Aline.— Des traces ? Des traces ou des taches ? De quoi ? Où ? Soyez plus précise, Clémence ! Ouvrez vos yeux et votre nez !L’apprentie femme de chambre étudie avec circonspection l’endroit indiqué et, sous la pression de ton regard attentif, elle finit, avec un soupçon de répulsion, par renifler le coton douteux. Prise d’un doute, et voulant rattraper sa première méprise, elle y remet le nez et inspire plus longuement.— Alors, Mademoiselle, vos conclusions ? Pouvez-vous nous en dire plus, après ce si minutieux examen ?— Oui, Madame Aline, affirme Clémence sans relever le ton ironique de ta question. Il y a des auréoles sèches et des taches humides sur le coton.— Non ! C’est pas vrai, proteste Sandrine au bord des larmes.— Le gousset ne sent pas que le pipi… euh, pardon, l’urine, poursuit l’élève examinatrice, ce serait plutôt de la… euh… mouille…Révolte de l’examinée qui sanglote qu’elle est propre, qu’elle le promet, qu’elle l’est toujours, et qui n’écoute plus les dernières précisions, pourtant à son avantage, de Clémence.— Mais la ficelle des fesses est nette, termine-t-elle. Voulez-vous le voir, Madame Aline ?— Donnez le à madame C**. Merci. Qu’en pensez-vous, chère amie, notre petite stagiaire a-t-elle jugé correctement ?— Non… c’est faux… elle ment… hoquette Sandrine entre deux sanglots.— Hélas, c’est vrai, contredit sa patronne d’un air désolé. Voyez vous-même, Aline, regardez et sentez. Clémence a raison, malheureusement.J’ai pitié de Sandrine. La pauvre, je suis quasiment certaine que Clémence a aggravé les choses pour se faire valoir et que vous prenez, Marie-Blanche et toi, un malin plaisir à augmenter sa confusion. Je connais bien les petites rides qui entourent tes lèvres quand tu réprimes un sourire, et Marie-Blanche contrefait trop mal l’apitoiement. Les coups d’œil goguenards que je surprends entre Viviane et Clémence achèvent de m’édifier. Mais je suis curieuse de savoir la suite de ce bizutage.— Eh bien, Sandrine, interroges-tu d’une voix sévère, on soutient toujours que l’on n’a rien à se reprocher ?— Ouiii, snif, ouiii, snif…— Donc, Clémence a menti, je mens, et ta maîtresse ment aussi ?— … snif… je vous promets… snif… Madame… snif… je vous promets…— Bon ! Puisque tu mets en doute notre jugement, il y a un bon moyen de trancher. Nous allons faire appel à Chantal et à Viviane pour arbitrer. Elles n’ont rien vu encore, elles sont neutres. Tu es d’accord ? Dis-le !Personnellement, cette proposition me convient tout à fait. J’y vois l’occasion de jeter un œil objectif, certes, mais intéressé aussi, sur cette jeune intimité. Sandrine, elle, y voit une lueur d’espoir d’être innocentée. Elle accepte volontiers, pour déchanter aussitôt en entendant ta réponse.— OK. Elles vont regarder ton minou. Tu te souviens de comment était placée Déborah, tout à l’heure ? Va te mettre sur le fauteuil, comme elle.— Non ! Non, pas ça ! Je vous prie ! Madame, s’il vous plaît…— Il fallait avouer tout de suite, ma petite, vous n’auriez eu qu’une admonestation, explique sentencieusement sa patronne. Maintenant, il faut vous plier à cette épreuve. Et vous serez punie, en plus, si Chantal et Viviane nous confirment que vous avez menti.— Et, reprend-elle en te regardant, si nous demandions aussi à Déborah ?Une suggestion que tu juges excellente et dont tu remercies une Marie-Blanche ravie de cette nouvelle complicité.— Déborah est parfaitement habilitée pour ce genre d’examen, lui confies-tu dans la foulée. Vous êtes toujours de bon conseil, ma chérie ! Oh, pardon, excusez-moi cette familiarité.— Pas du tout, pas du tout ! Ma chérie, c’est très bien, merci à vous. La chère amie devient trop cérémonieuse entre nous… Ma chérie, s’enthousiasme Marie-Blanche, nous adoptons cette formule, n’est-ce pas ?— Bien sûr, bien sûr, l’assures-tu, j’en suis enchantée. Mais revenons à notre affaire. Déborah, réveillez-vous et venez ici ! Sandrine, en place, s’il te plaît. Chantal, j’ai deux mots à dire à Clémence, tu veux aider Sandrine ? Tu as l’habitude…Je souris à ton clin d’œil en prenant la main de Sandrine pour l’amener au pied de son échafaud. Car elle tremble comme une condamnée à sa dernière heure, la pauvre enfant. Et avec toujours ce ridicule réflexe de pudeur pour cacher tétons et minette, elle va finir par m’insupporter ! Je préfère m’intéresser à tes commentaires sur la prestation de Clémence.— Vous ne vous en êtes pas trop mal sortie, la complimentes-tu. On vous avait déjà appris cette tâche ?— Non, Madame Aline. Ma sœur est danseuse, je l’aide souvent à se changer en coulisses. Entre deux tableaux, il faut faire vite.— C’est très bien de s’entraider. Surtout sans pudibonderie, si j’ai bien compris, insinues-tu. Vous serez vite experte. Mais la prochaine fois, évitez de bousculer la cliente avec la tête. Et essayez de garder les genoux serrés. Vous nous avez offert une jolie vue de short bien moulant. Avec un tissu aussi fin, faites attention, ça peut choquer les personnes trop prudes…— Remarquez, pour nous c’était charmant. Et instructif, ajoutes-tu en la voyant rougir.Du coup, je regrette d’autant plus d’avoir été tenue à l’écart du canapé et je comprends la raison des yeux enjoués de Marie-Blanche pendant le déculottage de sa timide servante. Laquelle renâcle pour l’heure à se renverser jambes en l’air par-dessus le dossier du fauteuil. Je réclame l’aide de Viviane et Déborah plutôt que de tenter de convaincre la récalcitrante. À nous trois, deux par les bras, la troisième par les chevilles, nous arrivons à l’installer dans la position indiquée. Elle se débat, au début, mais Déborah l’oblige à coller son dos au siège en lui bloquant les épaules avec ses genoux. Sandrine lève les yeux, voit la fente rose et luisante qui la domine, et se tient tranquille.Viviane n’a pas pipé mot durant toute l’opération, pas vraiment réticente aux inévitables contacts entre nous, mais pas vraiment détendue non plus. Je devine les sentiments mitigés qu’elle doit éprouver, troublée par l’ambiance érotique et à moitié nue au milieu de trois filles à poil. (Quoique « à poils » serait plus juste pour deux d’entre elles…)— Hé, les trois Grâces ! Pressez-vous un peu, notre amie attend votre sentence pour envoyer Sandrine porter sa robe à la buanderie, nous rappelles-tu à demi sérieuse.Sandrine tient ses jambes serrées pour retarder le moment de ce qu’elle ressent comme une terrible humiliation. Pourtant, elle ne résiste pas quand je les écarte. Elle me fixe intensément, dans une supplication muette. Deux grosses larmes perlent au coin de ses paupières. Elles roulent le long de ses tempes lorsque je rehausse ses hanches pour caler ses petites fesses rondes sur le bord du dossier. Malgré son désespoir et ses sanglots, elle est si habituée à obéir qu’elle facilite le mouvement en poussant sur ses coudes. Son innocente servilité me touche. J’aimerais atténuer sa détresse. Sans me soucier de mes pointes de sein qui frôlent ses genoux, je me penche vers elle pour lui parler gentiment.— Ne t’inquiète pas, ma puce. Ce n’est rien du tout, je te promets que tu n’auras pas mal. Tiens, imagine que tu es chez le docteur. D’accord ? Ferme les yeux, si tu veux. Voilà, c’est bien. Tu resteras sage, sans bouger ?Elle hoche la tête en reniflant et ses hoquets s’atténuent lentement. Déborah peut la libérer de son emprise et venir se placer de mon côté. Au passage, elle attrape le bras de Viviane et l’oblige fermement à se tenir entre nous. Peut-être à cause de l’évocation du Botticelli, ou par simple coïncidence, j’ai le même geste que Déborah pour enlacer étroitement la gamine et lui ôter toute possibilité d’échapper à ses responsabilités. Devant nous, sous un court buisson de fin duvet, ses grandes lèvres bombées et closes, s’expose le petit minou de Sandrine.— Ma puce, lui dis-je doucement, tu te souviens de la façon dont tu as ouvert le sexe de Déborah ? Tu veux bien faire pareil pour le tien ? Non ? Tu préfères que je demande à Viviane ?Cette alternative la décide. En soupirant de honte, elle pose les doigts sur les bords de sa vulve et esquisse un timide mouvement. À peine peut-on entrevoir le liseré des nymphes dans la fente. C’est mignon, mais insuffisant.— Mieux que ça, ma chérie. Tu dois tout nous montrer.Un gémissement étouffé accompagne la réponse à mon injonction. Un effort louable nous permet d’apercevoir enfin l’entaille dans sa totalité. L’étirement des renflements jumeaux laisse apparaître une capuche rose qui se prolonge en deux petites lèvres discrètes guère plus foncées. Même si les légers froncements des bords restent encore joints, le chaste voile ne peut dissimuler le bourgeon mauve tendre qui pointe. Le ventre de Sandrine frémit quand Déborah passe un index rapide sur la graine traîtresse et sourit.— Mais tu bandes, ma mignonne !Sa réaction immédiate nous fait rire. Les mains ont déserté le sexe pour couvrir la figure. Sous cet abri dérisoire s’élèvent de nouveaux sanglots désolés.— Il n’y a pas de honte, ma chérie, c’est normal, tu sais, c’est tout naturel. Tu es excitée, c’est tout. Il n’y a pas de raison de pleurer pour ça.J’essaie de la consoler en lui parlant gentiment, de la détendre assez pour qu’elle accepte de me regarder. J’arrive finalement à ramener ses mains sur le pubis pour qu’elle ouvre à nouveau sa chatoune, mais pas béante, oh non ! Sans chercher, pour l’instant, à l’y obliger, je poursuis mon monologue.— C’est parce qu’on te regarde le minou ? (Vive dénégation muette.) C’est quand Clémence t’a baissé la culotte ? (Nouvelle dénégation.) Alors, c’est depuis que tu as vu Déborah se masturber si fort ? (La petite figure butée nie encore.) Bon ! Ne me dis pas que c’est sa chatte, quand tu l’as examinée ? (Toujours le déni, moins affirmé, cependant.) Si ce n’est pas ça, c’est que tu t’es touchée pendant qu’on ne te voyait pas. (Négation scandalisée, bien que silencieuse.)Je suis au bout de mes suppositions. Je consulte du regard mes compagnes, en vain. L’air absent, Viviane fait mine de se concentrer sur l’entrejambe offert. Déborah hausse les épaules en signe d’ignorance. Mais qu’est-ce qui a pu faire mouiller cette gamine au point d’être encore émoustillée ? Une idée saugrenue me vient.— Sandrine, est-ce que c’est de déshabiller Madame ? (Grands yeux désolés.) C’est ça ? (Faible refus.) Ou bien, c’est de penser que tu allais bientôt la mettre toute nue ?Les mains repartent derechef vers le visage pour étouffer une recrudescence de sanglots. Voilà donc la raison de l’excitation de notre donzelle ! Viviane n’en revient pas. Déborah affiche la mimique blasée de celle que rien ne peut surprendre. Au fond, pourquoi s’en étonner ? Chacune a droit à ses fantasmes.— C’est une belle femme, hein ? Petite coquine, tu t’imagines que tu es la seule ? Nous aussi, nous aimerions la voir nue, lui dis-je à voix basse, ignorant la désapprobation de Viviane. Ça ne change rien, tu n’as pas à avoir honte de ton clitounet qui pointe ni de ta minette en folie.Je lui donne quelques secondes pour assimiler ce conseil avant de susurrer une vague promesse.— Si tu es bien sage, je crois que tu pourras voir ce que tu espères…Oh la vicieuse ! Je n’ai pas fini ma phrase que les mains reviennent à leur poste, et, en dépit d’une paire de joues empourprées, elles écartent franchement la vulve, bien grand. Cette fois, on voit tout. Le clitoris s’est pudiquement rétracté, mais les lèvres étirées ont forcé les nymphes à se disjoindre. Elles exhibent un joli corail brillant, un mignon petit trou à pipi, et un étroit vestibule qui pleure un suintement gluant.— Mais tu es vierge, ma chérie !— Oui Madame, souffle-t-elle. C’est mal ?Petite ingénue ! Comme si se faire pénétrer était l’acmé de la femme accomplie… Viviane ne doit pas être loin de le croire, à voir sa mine condescendante. Déborah manifeste au contraire une indulgence affectueuse.— Mais non, Sandrine, ce n’est ni mal ni bien, répond-elle. C’est à toi de choisir le moment où tu auras vraiment le désir de ne plus l’être.— Déborah a raison. Ne t’inquiète pas ma puce, ça se fera tout seul quand ton corps te le dira. Sois juste attentive à tes pulsions, sans te préoccuper d’une quelconque morale. Maintenant, laisse-nous t’examiner. Ta maîtresse et Aline s’impatientent.Ce n’est sans doute pas très vrai, si j’en juge par l’aparté entre Marie-Blanche et toi que me révèle un rapide coup d’œil. Mon rappel du sujet qui nous intéresse est cependant suivi d’effet. Sandrine se détend et s’expose autant qu’elle peut. Excellente occasion d’inviter Viviane à scruter de près la minette incriminée. Il nous faut bien unir nos forces avec Déborah pour la pousser à s’y pencher, mais je peux ainsi reporter mon attention sur votre étrange manège.Vous êtes installées face à face, ce qui, sur un canapé à deux places, impose une attitude pour le moins déplacée à chacune. Marie-Blanche a posé sa jambe droite sur l’assise et la gauche sur le sol. Tu as adopté une posture inversement symétrique. J’imagine que vos pieds doivent se confronter comme vos jambes s’entrecroisent. Est-ce que le fin voile humide de sa culotte moule ses grandes lèvres à ta convenance ? Je ne saisis pas ce que tu lui expliques en désignant ton pubis. Je vois seulement qu’elle fixe avec un intérêt plus qu’évident l’endroit indiqué. J’en déduis que notre élégante amie a le plaisir d’assouvir une nouvelle fois sa curiosité, vu qu’il s’agit de ta blonde chatte nue. Petit pincement de dépit jaloux en me rappelant les sensations que m’avait provoquées son regard sur la mienne…Les paroles de Viviane me ramènent à l’actualité.— Hein ? Pardon, que disais-tu ?— Je disais que c’est vrai, la chatte de Sandrine sent la pisse, répète-t-elle plus fort.— Ah bon, tu es sûre ? Déborah, tu veux… désolée ! Voulez-vous le confirmer ?— Il n’y a pas de mal, Chantal. D’accord, je vais y mettre le nez moi aussi, s’amuse-t-elle.Viviane se renfrogne et Sandrine détourne la tête pendant que Déborah explore et hume longuement les replis présumés malodorants. Elle pousse le scrupule jusqu’à aplatir du doigt, au creux de la chatounette, un bourrelet ici, un pétale là, voire à retrousser avec précaution le délicat capuchon du clito. Après une dernière inspiration des fragrances, elle consent à se prononcer.— Rien de bien méchant : il y a quelques fines granules blanchâtres collées sur l’intérieur des petites lèvres, sinon, un faible relent de pissou, peut-être, et un arôme de cyprine plus soutenu qu’on l’attendrait. On dirait qu’elle mouille beaucoup, notre pucelle. Pas de quoi fouetter un chat, à mon avis, conclut-elle.Ces précisions distinctement prononcées sur un ton détaché font tourner toutes les têtes vers elle, tandis que Sandrine lui jette un regard affolé. Une juge pour l’amnistie, une juge pour la sanction, j’ai dans les mains – les yeux et le nez aussi – le sort de l’accusée. Prenons au sérieux notre mission d’arbitre ! (Pensée un peu pompeuse, certes.)— Bien, comme l’a dit Aline, Déborah est une spécialiste de la question, mais voyons par nous-même, professai-je à la cantonade. D’abord l’odeur… mmmh, c’est vrai, on détecte une âcreté suspecte. Cependant, n’oublions pas la virginité de l’inculpée. Je sens plutôt l’acidité de la cyprine que celle d’un vieux pipi mal essuyé…Sandrine est à moitié rassurée, Viviane froissée, Marie-Blanche intéressée. Déborah et toi échangez une mimique entendue. Je complète mon analyse par une exploration visuelle et tactile. Je tiens à être parfaitement impartiale.— Ce qui me chagrine c’est cette histoire de granules… Ne bouge pas, Sandrine, l’avertis-je. Je vais essayer d’en décoller une, mais avant je veux voir ton bouton tout sorti.Je repousse aussi loin que je peux le capuchon avec mes pouces, sans m’arrêter à ses grimaces de souffrance. Le bourgeon saille de plus belle, mauve, turgescent, et propre. Je le calme d’un doigt mouillé et me reporte sur une nymphe que j’étire fortement d’une main, ignorant la petite plainte que je suscite. La cueillette s’avère laborieuse, car ces manipulations ont déclenché une nouvelle abondance de mouille grasse. Je récolte enfin l’un de ces fameux grains au bout d’un ongle, le fais rouler sous l’index, et éclate de rire.— Voilà le mystère levé ! Dis-moi, ma puce, tu es allée faire pipi pendant que tu t’es éclipsée, tout à l’heure ?— Oui, Madame, mais je me suis essuyée, avoue une Sandrine mortifiée du soupçon.— Mais c’était après que tu as inspecté Déborah avec moi, hein ?— Ben oui. Pardon, je ne voulais pas déranger.— Ne t’excuse pas. Je suis sûre que tu as beaucoup mouillé en tripotant sa chatte, non ?Elle balbutie des mots embarrassés d’où il ressort que la raison du trouble était que je la tenais serrée contre moi, et aussi une autre qu’elle ne parvient pas à formuler. Je finis par dire à sa place le mot qu’elle n’ose prononcer.— Parce que j’étais toute nue ? Je le suis toujours, complétai-je en souriant.— Oui… Oh, excusez-moi s’il vous plaît.— Non, je te remercie, au contraire. C’est plutôt flatteur pour moi. Seulement, comme tu es une grosse mouilleuse – tant mieux pour toi d’ailleurs – ne t’essuie pas le minou avec du papier hygiénique après ton pipi.— Mais je dois m’essuyer, sinon Madame… s’inquiète l’innocente.— Bien sûr ! Sauf que le papier s’imbibe très vite, avec les gouttes de pipi et toute ta mouille grasse, et il se dissout en petits fragments bien collants. Prends une petite éponge à la place du papier, ta minette sera toujours bien proprette.— Mais c’est sale ! intervient Viviane.— Pas si tu rinces l’éponge après, cochonne, rétorque Déborah moqueuse. En plus, c’est beaucoup plus agréable que le papier. Essaye, tu verras !Je ne suis pas mécontente de ma petite leçon d’hygiène intime, ni de partager cette astuce de soin avec Déborah. Il me vient à l’esprit qu’il serait amusant de l’appliquer à cette pimbêche de Viviane, voire à user pour ce faire d’une éponge à récurer… Du coup, je fixe ostensiblement sa lingerie douteuse avant de communiquer en partie ma pensée à Déborah en approuvant sa remarque.— Bien plus doux et plaisant, oui, et elle serait bien inspirée de l’essayer rapidement, non ?Elle acquiesce d’un hochement de tête appuyé tandis que Viviane nous fusille du regard. La petite voix de Sandrine l’empêche de répliquer.— Madame, est-ce que je peux me lever maintenant ?— On ne t’a pas regardé partout, persifle méchamment Viviane en dérivatif de sa colère.— Mon dieu, c’est vrai, dis-je gaiement. Ramène tes genoux sur ta poitrine, Sandrine, et tiens-les avec tes mains. Viviane a bien fait de nous rappeler qu’on oubliait ton petit trou.— Oh non ! Non ! Pas ça ! J’ai honte, et puis, je suis propre, clame notre nymphette outrée.— Mais si, mais si… Allez, en position, montre nous ton joli troufignon.Contrainte d’exhiber ce qu’elle considère comme sa partie la plus secrète, Sandrine pleure pour de bon tandis que Viviane lui ouvre les fesses sans ménagement. Une étoile d’un bistre foncé brille au centre d’un ovale légèrement ocré qui s’étire autour d’elle. Une coulée de mouille sur le périnée a relié la commissure des lèvres au sillon culier et baigné la rosette. À première vue, hormis cette bénigne pollution naturelle, aucune critique ne peut stigmatiser la propreté irréprochable dont s’honore la jeune bonne de madame C**.Par un acquis de conscience, dont je ne me cache pas le caractère coquin, je passe un index inquisiteur sur les plissements du mignon cratère et j’invite mes compagnes à m’imiter. Nos doigts glissent tour à tour le long de la raie soyeuse au grand dam d’une pudeur outragée. Ils déclenchent à chaque fois, frissons, spasmes, hoquets, sanglots, et production renouvelée d’un liquide intime translucide d’une délicate viscosité… Même la mesquine Viviane est troublée comme Déborah et moi par cette touchante émotivité.— Tu es propre comme un sou neuf, ma puce, affirmai-je pour tenter de calmer le déluge de larmes. Ton petit trou est aussi exemplaire que ta petite chatte.— Et tu as tout ce qu’il faut pour les garder en parfait état de marche, ajoute Déborah un rien taquine.— Et tout est très mignon, je t’assure, complimente Viviane soudain radoucie.— C’est… c’est vrai… ou vous… renifle Sandrine, vous… dites ça… pour vous moquer ?Nous nous récrions d’une seule voix en lui jurant notre totale et absolue franchise. Cette unanimité la réconforte assez pour qu’elle ose un timide sourire à travers ses larmes. Elle se détend malgré tout avec réticence, toujours honteuse d’avoir révélé ses trous, et les sécrétions qui les parent, à notre entière connaissance. Encore plus gênée, sans doute, de n’avoir pu dissimuler non plus l’excitation débordante qu’elle éprouve. Le regain de désespoir qui la saisit trahit le désordre de ses émotions, écartelées entre la pudeur déshonorée et les pulsions sexuelles inassouvies.Elle est si bouleversée qu’elle ne songe plus à s’extraire de sa position humiliante. Elle demeure renversée sur le fauteuil, la tête entre les mains, les jambes par-dessus le dossier, bien que rien ne l’y contraigne à présent. Il sera difficile de la rasséréner, sauf peut-être à soigner le mal par le mal. L’homéopathie donne parfois de bons résultats.— Crois-moi, tu as une très jolie petite chatte, une foufoune charmante, lui répétais-je en boucle. D’ailleurs, s’il faut te le prouver… Tiens !Je dépose un petit bisou sur son minou, juste sur les franges des nymphes. Elle en est si surprise qu’elle reste sans réaction autre que des yeux ronds qui me fixent entre ses doigts écartés.— Et en plus tu as bon goût, on en mangerait !Je renouvelle un baiser, plus appuyé cette fois, en titillant les petites lèvres pour mieux apprécier le suc qui les humecte. Je sens frémir les hanches entre mes mains. Un long frisson agite les cuisses, parcourt le ventre, monte vers la gorge en érigeant les tétons, et se perd sous les doigts brusquement refermés sur la figure. Un instant de plus, elle jouirait contre ma bouche. Je me redresse en flattant légèrement le pubis. Si le corps s’apaise, la figure reste cachée.— Alors, ma puce, tu n’es toujours pas convaincue ? Eh bien, on va demander à une autre ce qu’elle en pense…Hélas, avant que je puisse inviter Déborah ou Viviane à partager les saveurs fleuries que je viens de goûter, une voix trop manifestement maîtrisée coupe court à ma proposition.(À suivre)