Je me suis levée ce matin avec un goût amer dans la bouche. Hier soir, François m’a plaquée pour l’une de mes amies, Ludivine. Oh, je ne lui en veux pas. Depuis plusieurs mois, cela n’était plus la fougue des débuts entre nous, même si sexuellement, il me donnait toujours autant de plaisir.Il était sportif, moi plutôt lecture, il aimait les blockbusters, moi plutôt les films d’auteur. On se faisait des concessions, moi acceptant d’aller voir des films ennuyeux, lui de courir dans la forêt tandis que je lisais assise sur un banc.Il a rencontré Ludivine lors d’un repas où j’avais invité quelques amies de longue date. Ludivine est vraiment jolie, mince alors que j’ai des formes, grande alors que je fais à peine 1, 62 m. Elle adore la natation et se prend beaucoup moins la tête que moi.Ils ont flirté ensemble et François, m’a avoué hier soir qu’il était tombé amoureux d’elle, qu’il sentait que c’était réciproque et qu’avant d’aller plus loin, il voulait que l’on se sépare. Même si ça fait mal, il faut avouer que François est un gentleman et qu’il s’est bien comporté vis-à -vis de moi.Il m’a embrassée sur les joues, m’a dit qu’il souhaitait que l’on reste amis et il est parti de mon appartement. Je suis restée stoïque et je n’ai versé mes larmes que lorsqu’il est sorti.Ce matin, j’ai donc l’impression d’avoir la gueule de bois. Je me trouve moche et repoussante.Je n’ai pas envie de sortir et je me prépare à me morfondre tout le week-end en faisant le ménage et en me suicidant intellectuellement devant quelques séries américaines d’un intérêt plus que réduit.J’ai passé une robe, la première qui se présentait. Elle est noire, comme si je voulais faire le deuil d’une liaison de presque une année. Je suis en train de lire mon courrier. Des factures ou des publicités sans intérêt.Tout à coup, on sonne. Je n’attends personne. J’espère, malgré que nous ayons rompu hier soir et que je tente de tourner la page, qu’il s’agit de François, qu’il a des remords, qu’il va me prendre dans ses bras et qu’il me fera langoureusement l’amour.Je me précipite vers la porte et l’ouvre, espérant sans y croire.Je suis déçue, ce n’est pas François, mais un homme d’une trentaine d’années, en costume, très élégant. Il fait environ 1, 70 m, il a belle allure et semble sportif.Je réalise immédiatement que, sous ma robe, je n’avais rien mis. Je peux voir son regard se porter sur mes seins, lourds et volumineux. Ma robe laisse apparaître deux petites pointes à travers le tissu. Il ne peut avoir aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. Mes petits tétons sont bien saillants.— Bonjour, je me présente, je suis Stéphane, chargé de clientèle au Crédit Agricole, et je viens vous informer sur de nouveaux produits. J’espère ne pas vous déranger.À vrai dire, si, il me dérange. Je ne suis pas au mieux, je ne suis pas vraiment décente et je n’ai pas besoin d’assurances ni de produits financiers. Il est pourtant mignon. Brun, il a de très beaux yeux et il a l’air plein de charmes.— Non merci, je n’ai pas vraiment besoin de quoi que ce soit et encore moins d’assurances ou d’épargne.— Je comprends, Mademoiselle, ou Madame. Je ne compte pas vous importuner. Je crois cependant que je peux vous proposer des produits intéressants. Me permettez-vous de vous les présenter ? Ce ne sera pas long, je vous assure.— C’est mademoiselle. Bien, dans ce cas, je vais vous accorder une dizaine de minutes. Entrez.Je le fais entrer dans la salle de séjour et nous nous installons autour de la petite table en bois, de forme ronde. Il commence par me présenter quelques produits, je le surprends à regarder de temps en temps mes seins. Je ne le laisse pas indifférent, mais il me paraît bien timide. En même temps, il vient pour me vendre des produits financiers et il doit se contrôler tout de même.Je regarde ses mains, lorsqu’il me fait l’éloge de ses produits, et je me surprends à les trouver belles, à m’imaginer celles-ci sur mes seins, mon corps. Je sens tout à coup une douce chaleur envahir mon ventre. Mais que m’arrive-t-il, moi qui viens juste de me séparer ? Je suis là , en face d’un inconnu en train de fantasmer sur lui. J’ai envie de lui plaire alors qu’il y a quelques instants, je me lamentais sur mon sort.Je me sens le besoin de lui plaire. Je sais qu’il ne peut s’empêcher d’estimer la forme de ma poitrine en examinant le haut de ma robe.Je choisis de croiser et décroiser mes jambes de manière à lui laisser un aperçu fugace du galbe de mes jambes et du bas de mes cuisses.Je lui propose de boire quelque chose :— Voulez-vous un café, un thé, ou autre chose ?— Oui un café, pourquoi pas !— D’accord, je m’en occupe.Je m’affaire, m’appliquant à bouger avec grâce, à lui faire admirer ma silhouette, que je sais appétissante. J’ai besoin de tasses. Je choisis de prendre volontairement celles du bas du buffet, plutôt que celles du placard. Au lieu de m’accroupir, je me baisse de manière à faire remonter ma robe et lui laisser admirer une partie non négligeable de mes cuisses.Je prépare le café, le sucre et les petites cuillères, rapporte tout cela sur un plateau que je dépose sur la table ronde et rapproche ma chaise de la sienne, dans l’esprit de pouvoir nous servir commodément. Dans un geste faussement maladroit, je fais tomber le petit ramequin qui contient les dés de sucre lesquels s’étalent à mes pieds.Il se précipite pour ramasser les morceaux de sucre. Il s’accroupit devant moi et je vois son regard se porter tout d’abord sur mes pieds puis mes mollets. Il a arrêté de ramasser les morceaux. Comme figé, à genoux devant moi, sans un mot, il se redresse en me fixant dans les yeux, un léger sourire aux lèvres et dépose sur mes lèvres un baiser doux et langoureux puis se recule, toujours à genoux, et me dit d’une voix calme :— Je suis désolé, je n’aurais pas dû. Je suis impardonnable.— Ce n’était pas trop désagréable, je vous rassure. Mais il faudrait maintenant penser à terminer votre travail, dis-je en désignant les morceaux de sucre.Tandis qu’il se penche à nouveau au sol, j’écarte les jambes jusque-là poliment serrées. Je vois sa tête se redresser et j’imagine son regard découvrant mes cuisses et ma petite culotte noire.Il me regarde à nouveau dans les yeux. Mon regard pétille et constitue pour lui une approbation. De manière délibérée, il regarde à nouveau entre mes cuisses. J’écarte un peu plus les jambes, afin qu’il puisse bien apercevoir ma culotte. À ce moment, je sens mon sexe s’humidifier et mes lèvres gonfler de désir. J’imagine le spectacle que je donne et cela m’excite. Nos regards se croisent, et sans un mot, seulement avec mon regard un petit sourire, il comprend mes envies.Il se relève et me prend par la main. Nous nous retrouvons debout et il m’enlace. Une main autour de la taille, l’autre sur l’épaule, il m’embrasse à nouveau. Ce baiser ne ressemble en rien au précédent : c’est un délicieux baiser fougueux. Nos langues se cherchent. Cela dure une longue et délicieuse minute, comme une éternité. Il me repousse tout doucement et je sens le bord de la table contre mes cuisses. Il m’assied sur la table, et m’installe jambes écartées.Je ne contrôle plus rien. Il pose sa main droite sur mes seins dont les tétons dardent sous la robe. Sa main gauche caresse délicatement mon mollet droit, mon genou puis ma cuisse, sans oser aller plus loin.Se rapprochant encore de moi, il m’embrasse à nouveau, mais quitte ma bouche pour s’intéresser à ma nuque. Ses mains passent dans mon dos et entreprennent de défaire une à une les agrafes, jusqu’à toutes les ôter. Il dégage doucement mes épaules et tire doucement sur les manches. Je me retrouve seins nus devant lui. Mes tétons dardent et appellent ses caresses.Je me cambre et il répond à l’appel de mes seins dressés. Il me caresse les seins, les embrasse, il serre mes tétons entre ses lèvres. Je sens une main glisser le long de mon ventre, passer entre mes cuisses. Je frissonne. Va-t-il faire preuve d’audace ? Oui, sa main se glisse sous ma culotte. Il ne s’attarde guère sur l’ensemble de ma vulve et me pénètre avec deux doigts sans aucune difficulté tellement je suis mouillée.Il me masturbe tout en m’embrassant les seins. Il est doué : il a placé son pouce sur mes nymphes et glissé deux doigts dans mon vagin. J’ai plus de plaisir qu’avec François, mais la situation y est sans doute pour beaucoup.Moi, d’habitude si prude, réservée, je suis en train de m’offrir sans retenue à un inconnu. Je le laisse fouiller mon intimité, et j’y prends un énorme plaisir. J’essaye de ne pas jouir tout de suite pour ne pas tout lui offrir, mais c’est impossible. Ma respiration devient haletante et je ne peux réprimer de légers gémissements. Cela l’encourage, car ses doigts vont et viennent sans difficulté dans mon vagin.Cependant, alors que je suis au bord de l’orgasme, il s’arrête de m’embrasser, s’agenouille pour placer sa bouche au niveau de mon nombril et sa langue glisse le long de mon ventre, ce qui me fait frissonner.Il tourne autour de mon nombril et descend à la frontière de ma culotte. Il place ses mains derrière mes fesses, me tire au bord de la table et commence à baisser ma culotte. Je soulève mon bassin et il me la retire doucement.Sans tarder, il glisse sa tête entre mes cuisses. Sa langue remplace ses doigts. Il me lèche avec envie.Je l’entends pousser quelques gémissements. Ces « hum ! » qui sortent de sa bouche m’excitent au plus haut point. Il ne me lèche plus, il me dévore le sexe entièrement. Il m’aspire les petites lèvres, pointe sa langue dans le vestibule de mon vagin, il me tète le clitoris.Je m’offre totalement à sa bouche et je hurle de plaisir. Je ressens comme une décharge électrique : il a réussi à me donner un premier orgasme. Il se relève doucement et me regarde haletante, en train de goûter visuellement à mes contractions de plaisir.Il m’a fait divinement jouir. Cet inconnu m’a charmée et m’a donné un plaisir que je croyais insoupçonné.— Oh que c’était bon. Je ne connais même pas ton prénom…— Stéphane et vous ?— Maelys, mais tutoie-moi, je crois que l’on est suffisamment intimes pour ça, non ?— Tu es divinement belle Maelys. Je pourrais continuer à te lécher Maelys. Ton sexe est merveilleux, mais je me sens un peu à l’étroit dans mon pantalon.Ce n’est pas très fin comme allusion, mais on ne peut pas avoir toutes les qualités non plus. Je l’attire à moi, déboutonne son pantalon qui tombe sur ses genoux. Sa verge est dressée. Mon dieu, comme il est bien membré : au moins 17 cm. Elle dépasse de son slip, plaquée contre son bas-ventre. Je descends sa culotte et sa verge surgit, palpitante de désir, presque à la verticale tellement son excitation est grande.Je descends de la table et me mets à genoux entre ses jambes.Je commence à lécher ses testicules ce qui le fait presque défaillir. Il gémit. Je donne des petits coups de langue le long de sa hampe. Je sens les pulsations de son membre à chaque fois que ma langue remonte vers son gland. Je m’apprête à le prendre en bouche lorsque de sa main, il fait mine de se décalotter.— Non laisse-moi faire avec la bouche.Je prends sa verge et place ma langue sur le bout de son gland. Mes lèvres se placent dessus et d’un coup, je rétracte son prépuce. Il se recule d’un coup.— Désolé, mais j’ai failli éjaculer. C’est la première fois que l’on me décalotte avec la bouche et c’est divin.Sans un mot, je le reprends en bouche, le plus loin que je peux et prenant la base de sa verge dans la main, je commence à le pomper doucement, puis de plus en plus vite. Je caresse ses bourses de l’autre main puis pose mes deux mains sur ses fesses. Il me caresse la tête, la nuque, c’est bon… Après quelques minutes durant lesquelles j’ai accéléré le rythme des va-et-vient de ma bouche sur sa verge, je sens ses fesses qui se contractent.Alors que je le sens venir jouir en moi il se retire et jouit sur mes seins. Je lui en demande la raison.— J’en avais envie, mais par respect, ne connaissant pas tes limites, j’ai préféré me retirer. Je le regrette un peu, mais je pense que c’est mieux, non ?— Tu penses juste, lui répondis-je, je n’aime pas le sperme. Tu es un gentleman d’y avoir pensé avant de gicler dans ma bouche.Il me prend par les mains, m’aide à me redresser et m’embrasse tendrement. Son baiser voulait dire beaucoup de choses.Je décide de l’emmener dans ma chambre. Au passage, je prends un préservatif dans le tiroir de mon bureau. Je m’allonge sur le lit. Il se déshabille et me rejoint et me caresse les seins, ma taille, mes hanches. Je lui caresse le torse. Il est musclé et j’aime ça.J’ouvre la pochette du préservatif. Je le lui enfile facilement. Sa verge est raide. Il passe sa main entre mes cuisses. J’écarte les jambes pour qu’il puisse accéder facilement à l’ensemble de mon intimité. Il met sa main sur ma vulve et m’écarte les lèvres à l’aide de ses doigts. Je frémis ; mon sexe est mouillé ; mes lèvres sont gonflées de désir. Il reste là , quelques secondes à me regarder allongée sur le lit, complètement nue, offerte.Il semble m’admirer et cela me donne envie de me livrer complètement à ses désirs. J’ai l’impression que jamais je n’ai été autant désirée. Il soulève mes jambes et les place sur ses épaules. Je lui offre une vue imprenable sur mon sexe et mes seins. Il saisit sa verge et frotte son gland sur mes lèvres. Il le regarde monter et descendre le long de ma vulve. Il insiste sur mon clitoris avec des mouvements circulaires.C’est un amant délicat et expert. Avant même qu’il me pénètre, je suis au bord de l’orgasme.Il place maintenant son gland à l’entrée de mon vagin et y reste quelques instants lorsqu’il le fait redescendre. Il observe également les réactions provoquées par ses caresses. Je ferme les yeux presque dans un état second. Au bout de quelques instants, je n’en peux plus :— Vas-y, prends-moi, je te veux en moi !Il me pénètre lentement afin de faire durer le plaisir de cette première pénétration. Mes lèvres recouvrent entièrement son sexe. Il avance en moi tout doucement, mais très profondément. J’ouvre la bouche de plaisir, les yeux fermés. C’est divin. Il commence de lents va-et-vient. Je regarde son sexe sortir et entrer complètement de mon vagin.— Ça te plaît ?— Oh oui, tu sais te servir de ta queue.— Ton sexe aussi, il m’avale entièrement ; on dirait qu’il m’attendait.Il est de plus en plus excité, et ses va-et-vient deviennent de plus en plus rapides et violents. Je ne retiens pas mes cris de plaisir.— Tu aimes ça ? Tu aimes la queue ? Tu aimes sentir mon sexe en toi ?— Oh oui, j’adore.— Oh putain, que tu es bonne… vas-y jouis ! J’aime quand tu jouis. Elle te plaît ma grosse queue ? Vas, dis-le moi…— Oh oui, elle est bonne… Vas-y ! Encore plus fort ! Défonce-moi !Son ventre claque sur mes cuisses et ses testicules tapent contre mes fesses. Je me mets à hurler de plaisir. Alors que je m’apprête à jouir, il se retire et me demande de me mettre à quatre pattes. Il me prend maintenant en levrette. Il me redresse sur ses coups rapides, profonds et violents. Stéphane saisit mes deux seins avec mes mains.— Tu aimes te faire baiser ?— Oui, j’adore être prise, possédée par le désir d’un homme…— Tu aimes quand ça claque, tu la sens bien, là  ?— Oh oui ! continue à me pilonner. Je veux que tu m’anéantisses.— Hum ! J’aime ça. Tes fesses rondes m’excitent, Maelys. J’aime te voir cuisses écartées.— Masturbe-moi en même temps.Il place sa main droite sur mes nymphes et commence à y exercer un mouvement circulaire des plus appropriés. Je suis quasiment assise sur ses cuisses puissantes qui me soulèvent à chaque assaut. J’ai pris la suite de ses caresses sur mes seins. Je renverse ma tête prête à défaillir.À moi de prendre les commandes. Je me soulève et me dégage de sa pénétration. Je m’allonge de tout mon long sur le ventre et écarte les jambes au maximum. Je dois lui offrir une magnifique vision de mon intimité luisante et béante.— Finis-moi comme ça. Profondément, le plus profondément possible.Stéphane prend appui sur ses mains, bras tendus. La pénétration se fait sans difficulté. Mon désir est tel que son sexe est littéralement aspiré par mon vagin. Ses mouvements sont très profonds, lents, mais très puissants. Je hurle à chacun de ses coups. Je serre les draps dans mes mains. Il me pilonne toujours avec autant de désir, excité qu’il doit être par mes fesses.— Tu as un cul superbe, Maelys…À quoi pense-t-il à ce moment ? Il est peut-être tenté par la sodomie, mais il a la délicatesse, en ce moment, de ne pas demander d’en prendre possession, encore moins de le tenter. Nous n’avons pas encore cette intimité-là . Stéphane respecte l’amante qu’il découvre. Cela me ravit. Je suis pourtant si vulnérable dans cette position. Il semble proche de la jouissance.— Tu es très bonne Maelys et très douée… Je vais jouir : je n’en peux plus.— Non, vas-y défonce moi encore. Ne t’arrête pas…Je sens sa verge se contracter. De longs et puissants jets accompagnent sa jouissance. Il semble tellement bien en moi qu’il reste calé au fond de moi. J’ai l’impression d’être inondée, mais le préservatif est pourtant là . Il reste sur moi plusieurs minutes sans bouger. Malgré le poids de son corps, c’est délicieux.C’est comme s’il avait peur de se retirer, comme s’il sentait que c’était peut-être la seule et dernière fois qu’il était en moi.S’il me possède physiquement, je sens que c’est moi qui le possède mentalement.Stéphane se retire. Il semble comblé, mais aussi gêné. Il a bien senti que je ne n’avais pas joui. Je lui retire son préservatif. Quelle quantité de sperme ! Le réservoir est plein. Sa verge est flasque et son regard en dit plus que bien des mots. Il se sait momentanément impuissant alors que j’ai encore envie de pénétration. Comme une droguée du sexe, j’ai besoin de mon plaisir.C’est un peu honteuse, et j’en rougis d’ailleurs, que j’ouvre le tiroir de ma table de nuit et en sors mon gros gode violet dont la forme ressemble à s’y méprendre à une verge, si ce n’est sa taille, une fois et demie celle de Stéphane. Je lui tends l’objet. Il semble hésiter.— J’ai l’impression que tu m’as un peu oubliée dans l’action. Essaie de te rattraper…Il semble embarrassé, comme s’il n’avait jamais godé une femme. Il saisit le gode et semble effrayé pour moi de son diamètre et de sa longueur. Il écarte mes lèvres avec ses doigts pour faciliter son intromission dans mon vagin.— Tu as l’air d’aimer les gros sexes… tu te sens bien remplie ?— Oui j’aime bien être complètement dilatée…Il pratique de lents, mais profonds va-et-vient. Il semble découvrir qu’un vagin peut être aussi long et large. Je ferme les yeux, complètement ouverte et je laisse le soin à Stéphane de me donner le plaisir qu’il ne m’avait pas donné en me pénétrant. Il accélère le mouvement et se met à utiliser sa main libre et plus précisément son pouce pour me stimuler le clitoris. Je garde les yeux fermés et me mordille les lèvres. Ma respiration s’accélère et devient de plus en plus bruyante. Cela excite Stéphane qui semble avoir du mal à contrôler ses pensées et ses mots.— Ça te plaît hein… Vas-y, jouis salope… oh excuse-moi, je suis trop excité.— Ce n’est pas grave, continue, je me sens vraiment comme une chienne entre tes mains… fais-moi jouir !— Vas-y, caresse-toi les seins !Au premier abord, je devais paraître si prude à Stéphane. Et je suis là , devant lui, allongée sur le dos, jambes écartées, avec un énorme gode qui va-et-vient à sa guise, dans mon sexe luisant et complètement dilaté, me caressant les seins, abandonnée et totalement impudique.Je gémis de plus en plus fort et je me sens proche de l’orgasme. Stéphane s’en aperçoit et choisit alors d’accélérer ses mouvements. Dans le même temps, il s’allonge à mes côtés afin de pouvoir m’embrasser. Maintenant, mes cris sont étouffés par son baiser. Ma langue bouge tant bien que mal dans sa bouche tellement mon plaisir est intense.Mes mouvements de langue s’interrompent d’un seul coup et je suis prise de violents spasmes. Je suis pantelante, anéantie par l’intensité du plaisir que je ressens. Il retire le gode de mon sexe.Très vite, il se rhabille, m’embrasse sur la bouche et se dirige vers la porte d’entrée.— Tu t’en vas ? Reste, je t’en prie !— Je suis pressé, Maelys, mais je reprends contact.Il prend sa mallette, sort de l’appartement et referme la porte.Me voici comblée, mais seule tout à coup.M’a-t-il prise comme un objet désirable à consommer puis à ranger dans une collection de corps consommés ? Me recontactera-t-il vraiment ? L’avenir me le dira… Ou pas !