Une mise au point et un hommage pour les femmes
Avant de poursuivre avec
mes histoires, fantasmes et autres récits, je voudrai signaler que
je suis  »HORRIFIE » lorsque j’entends ou lorsque je lis dans certains textes
avec des femmes le mot  »SALOPE ». J’ai le plus grand respect pour la
gente féminine, et les personnes de sexe féminin. Pour moi ce sont
des personnes sensibles, chaleureuses, qui ont des envies comme nous
les hommes, et dont je dis que nous en avons besoin pour satisfaire
nos envies sexuelles. MĂŞme si certaines vont plus loin ou sont plus
crades que d’autres et sortent du lot, ce n’est pas une raison pour
moi de les traiter de  »salopes » pour autant. Pour moi en fin de
compte les salauds, ce sont nous les hommes, qui ne respectons pas le
sexe fĂ©minin. Je n’ai pratiquement jamais entendu qu’une femme (ou
très rarement) violait un homme, alors que dans les journaux, on
relate souvent qu’une femme ou fille a Ă©tĂ© violĂ© par un ou
plusieurs hommes. Je trouve que les hommes qui abusent de leur force
pour violer ou maltraiter les personnes du sexe opposé, ce sont cela
les salauds et qu’il faut les punir de façon Ă ce qu’ils ne
puissent ou ne recommencent JAMAIS PLUS. Personnellement une pour
moi, une femme c’est : une image de nous les
hommes, avec une chose en plus qu’on ne
pourra jamais avoir ou faire, c’est Ă dire donner la
vie. C’est un corps fabuleux, pour certaines
femmes que la nature à favorisé où bien qui se tiennent en
conditions physique, ou qui font de sorte de resté avec un
corps parfait ou encre qui font de gros efforts pour rester avec un
corps désirable, et je vous assure que ça ne doit pas
toujours ĂŞtre Ă©vident pour elles. Donc je disais que c’est
un corps semblable au nĂ´tre (nous les hommes) avec
certaines particularités, dont
une peau douce et qui est très réactive à nos caresses, avec une
bouche sensuelle qui ne sert pas qu’Ă enfiler la nourriture
ou la boisson pour le maintenir en vie, avec une poitrine
et ses deux monticules qui Ă notre naissances, nous servent Ă nous
immuniser pour le restant de notre vie, ce sont des seins,
que nous aimons toucher, masser, pétrir, sucer tout au long de notre
vie, et qui nous donnent Ă nous les hommes, lorsqu’ils sont comme on
les aiment (pour certains petits et fermes, pour d’autres plus
volumineux et pendants), ils nous font rĂŞver, fantasmer, ils nous
donnent des envies de toucher et autres … Tandis qu’aux femmes ça
leur procure beaucoup de bien, de sensations, des frissons, surtout
lorsque c’est bien fait. C’est un corps qui a deux orifices
dont nous les hommes aimons user et abuser Ă notre guise et avec le
plus grand plaisir, malheureusement pour les abus quelque fois. Il
est vrai que certaines femmes aiment bien qu’on se servent de l’un ou
l’autre, voire mĂŞme les deux en mĂŞme temps, mais je ne pense pas
que ça soit une généralité. Ce sont donc deux orifices
bien distinctes, dont l’un sert Ă l’évacuation de denrĂ©es
transformĂ©s par le corps et que celui-ci rejette, et l’autre
orifice, sert Ă l’Ă©vacuation des liquides du corps, il sert
aussi à la reproduction de notre espèce en priorité (ne
l’oublions surtout pas), et par la mĂŞme occasion, il nous
sert aussi aux différents envies et plaisirs sexuels, que ça soit
pour nous les hommes oĂą pour vous les femmes. Il faut dire que nous
les hommes prenons beaucoup de plaisir à posséder ce corps
féminin, il nous donne énormément de plaisirs, des envies,
des fantasmes et des idées, il nous empêche même de dormir
quelques-fois. Mais il nous sert essentiellement Ă satisfaire nos
envies sexuelles de part et d’autre, tous sexes confondu. Un corps de
femme bien proportionnĂ©, oĂą qui est comme un homme l’aime (c’est Ă
dire comme il aimerai qu’il soit, pour lui, certains l’aime grand et
fin, pour d’autres un peu plus musclĂ© avec des seins plus gros, oĂą
pour d’autre encore un peu plus petit et rond), celui-ci peut faire
faire Ă un homme beaucoup de choses bien ou pas bien du tout, mais
il ne faut surtout pas oublié, que ce corps féminin DOIT ÊTRE
RESPECTE, et que nous lui devons la vie. Alors messieurs un peu plus
de respect pour la gente fĂ©minine, et remercions les d’ĂŞtre lĂ
pour nous, pour apaiser nos rĂŞve les plus fous et nos envies les
plus chauds. Et par pitié ne les traité plus de salopes, la plupart
ne méritent pas ce nom odieux et vulgaire à mes yeux
et Ă mes oreilles. Un grand MERCI Ă vous les femmes, pour tout ce
que vous faites, pour nous les hommes. Par ce petit texte, je vous
rend humblement un grand hommage et je vous remercie pour tout,
surtout pour le fait d’ĂŞtre lĂ Ă nos cĂ´tĂ©s. Chapeau bien bas, Ă
vous Mesdames. MERCIÂ !