Une mise en application de mon obéissanceRésumé :Nathalie vit heureuse en couple, mais cela ne l’empêche pas d’avoir des fantasmes. Le plus fort d’entre eux est celui de coucher avec une femme, et plus précisément avec Corinne, sa meilleure amie. Au cours de vacances, Nathalie lui a dévoilé ses sentiments, un peu malgré elle (voir n° 14821 : Les premiers désirs). À son grand bonheur, Corinne a répondu implicitement à ses avances, sans toutefois qu’il y ait eu une relation physique. Quelques semaines plus tard, l’occasion de passer à l’acte s’est enfin présentée (voir n°14729 : Une initiation particulière), et Nathalie a pu enfin assouvir ses envies, au grand plaisir de son mari, à qui elle a tout avoué. Après l’épisode des vacances, j’ai revu Corinne plusieurs fois. Je lui avais avoué mon fantasme de soumission, et elle se prêtait au jeu avec un petit amusement. Cela demeurait assez soft, mais petit à petit, elle prenait de plus en plus d’assurance. Cela ne faisait que me remplir de joie. Une fois, elle m’a proposé d’aller faire un tour en ville. Il faisait chaud, mais j’ai senti qu’il y avait quelque chose de particulier dans sa demande.Corinne me dit alors :— Allons-y, mais d’abord je vais choisir ta toilette…Je vois dans son regard une pointe de vice, qui me fait frissonner. Depuis quelque temps, je m’attends à tout de sa part. Entrée dans la chambre, Corinne choisit rapidement une robe blanche, boutonnée sur le devant, et surtout, légèrement transparente.— Tiens ! Tu vas mettre cette robe, mais que cette robe.Une angoisse me saisit :— Sans rien d’autre ?— Non, juste quelques bijoux, si tu le veux.— Mais elle est transparente !— Justement ! En plus, je veux pouvoir sentir ta chatte sous mes doigts quand je le désirerai…— Mais là, on va en ville !— Et alors ? Je veux voir jusqu’à quel point tu peux être docile. Je te rappelle que tu me dois obéissance.Rouge de honte, mais aussi d’excitation, je me vêts lentement en boutonnant la robe de bas en haut.— Non, dit Corinne, n’attache pas le dernier bouton, je veux voir la naissance de tes seins.La naissance, mon œil, pensé-je, si je me penche légèrement, on voit le bord de mes aréoles. Enfin, je me regarde dans la glace, et j’y vois une fille délurée habillée de façon provocante. Je devine le petit triangle sombre de ma chatte. Mon sang ne fait qu’un tour. Mes pointes de seins se dressent et apparaissent à travers le fin tissu de ta robe. Corinne m’observe d’un sourire narquois, assez satisfaite de son petit effet.— C’est fou ce que tu es belle et désirable dans cette tenue. Je sens qu’on va bien s’amuser toutes les deux.Et nous voilà parties en ville sous un soleil radieux.Les premières minutes à marcher sans culotte et sans soutien-gorge sont un peu difficiles. J’ai l’impression que tout le monde me regarde, mais en fait, avec l’été, la plupart des femmes sont habillées dans des tenues légères. Nous arrivons sur une petite place, et Corinne choisit la terrasse d’un café légèrement en retrait. Après avoir pris place, nous commençons à papoter en commandant un café.Au bout de quelques minutes, une jeune femme de 35-40 ans s’assied à la table située en bordure de terrasse, au coin le plus tranquille de la place. Elle est vêtue d’un chemiser pâle et d’une jupe d’été assez longue, mais fendue de telle manière que l’on peut voir le haut de ses cuisses. Après avoir commandé, elle se met à lire.— Regarde-la, dit Corinne. Je suis sûre qu’elle est n’a pas de soutien-gorge. Qu’en penses-tu ?— Je ne sais pas, mais comme il fait chaud, c’est possible.— Regarde bien, peut-être même qu’elle n’a pas de culotte.— Chut, elle pourrait nous entendre.Sur ces mots, la femme tourne la tête vers nous avec un regard sévère en s’ajustant le chemisier, ce qui le rend encore plus moulant. Je vois alors par transparence les aréoles brunes, et je discerne les pointes. Une sensation familière me prend dans le bas du ventre.Qu’est-ce qui m’arrive encore, Corinne me dit de reluquer cette nana, et ça me trouble. Je commence à devenir folle.— Dégrafe le bouton du haut de ta robe, dit Corinne.— Tu es folle, on va me voir les seins !— Non, ELLE va voir tes seins !Je rougis aussitôt, et je sens la main de Corinne qui passe sur mes fesses. La caresse me laisse sans défense, et je déboutonne ma robe. La cliente jette un petit regard par-dessus son livre et découvre mon sein dont la pointe s’est dressée brusquement. D’un coup elle rougit, et se replonge dans sa lecture, mais je vois qu’elle est mal à l’aise. D’ailleurs, elle commence à se trémousser sur sa chaise, en lançant des coups d’œil de plus en plus fréquents.— Tu vois que tu fais de l’effet, cochonne, dit Corinne assez fort pour que l’autre l’entende.Je deviens cramoisie de honte d’autant que la cliente me regarde avec de plus en plus d’insistance. Mon regard croise le sien, et je peux y lire son trouble, ce qui me provoque une bouffée de chaleur. Mon émoi n’a malheureusement pas échappé à Corinne.— Ça te plait de t’exhiber devant une inconnue.— …— Tu es en train de découvrir des pulsions que tu n’imaginais pas.— On devrait arrêter là. Ce n’est pas bien !— Mais non, c’est maintenant que ça va devenir intéressant. Pour commencer, tu vas te tourner pour lui faire face, remonter un peu ta jupe, et écarter les cuisses. Je veux qu’elle voie que tu n’as pas de culotte.À ces propos, je me raidis, mais ma chatte se met à mouiller comme jamais. Si ça continue, je vais tacher ma robe. La pression de la main de Corinne qui me pince les fesses m’oblige à m’exécuter. Je pivote lentement sur ma chaise, et je sens alors une légère brise me caresser le sexe. Je ferme les yeux et profite pleinement de cette sensation qui électrise mon corps. Lorsque je reprends contact avec la réalité, je vois la cliente se désintéresser totalement de son livre pour me dévorer des yeux. Ses seins sont tendus à l’extrême, et elle déglutit avec peine.— Ça y est ! Tu l’as accrochée, dit Corinne. Tu es tellement salope que j’ai une folle envie de me branler. Mais, on va faire mieux. Est-ce que tu mouilles, cochonne ?— Oui, beaucoup…— Prends ce mouchoir, et rentre-le dans ta chatte jusqu’à ce qu’il soit trempé.— Là, devant elle ?— C’est un ordre !Les derniers mots de Corinne ont été prononcés si fort que la cliente ne peut plus ignorer notre stratagème. Elle serre les cuisses en se tortillant sur sa chaise, comme si elle avait une envie pressante. Elle se met à frissonner alors que je passe le mouchoir sous ma robe. Mon sexe est tellement trempé, que je n’ai aucune peine à l’introduire, mais Corinne me dit de faire durer le plaisir, en le rentrant tout doucement. Le contact du tissu sur les lèvres me fait frissonner. Je suis au bord de la jouissance. J’effleure mon clitoris, la jouissance monte, furieuse, et je suis prise d’un spasme sans équivoque.— Tu viens de jouir, salope, dit Corinne.— …La cliente en reste bouche bée, mais n’est pas dupe de la situation.Je retrouve peu à peu mes esprits, et je vois la main de la femme s’agiter frénétiquement sous sa jupe, qui s’est légèrement troussée. On peut d’ailleurs deviner un petit bout de dentelle. Elle est en train de se branler discrètement, mais sûrement. Corinne dit alors :— Enlève le mouchoir de ta chatte, lève-toi et va le déposer sur sa table.Je tire sur le morceau de tissu lentement, et je sens le fruit de ma jouissance sur les doigts. Puis je me lève, le regard fiché dans celui de la cliente, et je m’approche de sa table. Elle rougit violemment lorsque je dépose le mouchoir sur la table, avant de retourner m’asseoir en prenant un malin plaisir à tortiller du cul. Corinne me fait un grand sourire, puis elle écarte les cuisses, et je constate qu’elle n’a pas de culotte, et que sa chatte luit de plaisir.Elle est encore plus garce que moi, la salope, me dis-je.Je m’installe et nous nous mettons toutes les deux les jambes écartées face à la jeune femme, qui ne sait plus ce qu’elle doit faire. Elle est toujours pivoine, et sa respiration s’accélère. De longues secondes s’écoulent, avant qu’elle ne tende la main vers le mouchoir imprégné de mes sécrétions. Délicatement, elle le porte à ses lèvres, et le sent avec un plaisir non dissimulé. Son corps se raidit, et nous la voyons jouir le plus silencieusement possible. Ayant repris une posture plus convenable, elle range le mouchoir dans son sac, avant de lécher discrètement ses doigts. Prenant un stylo, elle griffonne sur une carte, qu’elle dépose ostensiblement sur sa table. Elle se lève ensuite et s’en va, non sans nous avoir adressé un regard appuyé. Son allure est superbe, et nous la regardons s’éloigner, l’air songeur.— Tu vois que tu ne l’as pas laissée indifférente, dit Corinne. Va donc chercher le carton sur sa table, mais sans le lire !Je rapporte le carton à ma maîtresse, et je m’assieds à côté d’elle. Elle me prend alors la main et la dirige vers son sexe trempé.— Fais-moi jouir, vite.Je fais alors pénétrer deux doigts dans sa chatte, le plus discrètement possible, parce que les passants deviennent de plus en plus nombreux. Certes, ma main est cachée par la table et sa jupe, mais des gens pourraient nous voir, ce qui rend la situation d’autant plus excitante.Corinne lit alors le carton à voix haute :— Merci mesdames pour ce merveilleux spectacle. Je pense que je m’en souviendrai longtemps le soir dans mon lit. Je viens de temps en temps dans ce café, alors, qui sait si nos chemins ne se croiseront pas de nouveau…PS : Votre petite protégée est très bien dressée.Je sens alors le sexe de Corinne se refermer sur mes doigts. Elle pousse alors un sourd gémissement tremblant de tout son être. À peine a-t-elle repris ses esprits, qu’elle me pousse vers les toilettes du café. Sans même verrouiller la porte, elle me force à me mettre à genoux, et je colle ma bouche à son sexe pour la remercier de m’avoir tant excitée. Elle se livre sans retenue en appuyant mon visage contre sa chatte. Je suis aux anges d’être ainsi à sa merci. La situation est particulièrement humiliante pour moi, et je ne peux m’empêcher de me caresser.— Tu n’es qu’une petite branleuse, me dit Corinne. Mais je ne veux pas que tu jouisses avant que je ne te le permette.Cet ordre m’excite encore plus, et j’aspire goulûment son clitoris qui semble avoir doublé de volume. Ma langue glisse entre ses lèvres jusqu’à la pénétrer. Son souffle s’accélère et je sens son vagin se contracter. Sa mouille me couvre littéralement le visage et elle jouit bruyamment.Elle se retourne alors pour me présenter ses fesses qu’elle écarte des deux mains. Je n’ose pas imaginer ce qu’elle va me demander, mais son postérieur se rapproche de plus en plus. Je vois son petit œillet palpiter, et je me sens comme hypnotisée. Je n’ai jamais pratiqué ce genre de caresse, et c’est dans un état second que je l’entends me dire :— Lèche le cul de ta maîtresse, et nettoie-le bien.Je passe alors la langue dans le sillon de ses fesses. Le premier contact avec son anus m’électrise. Il est aussi doux que ses lèvres mais surtout, il a un goût poivré qui m’enivre. Je le sens réagir sur ma langue, et je n’ai aucune peine à le faire s’entrouvrir. La sensation est délicieuse et je jouis sans même me toucher, tant cette pratique dégradante m’excite. Elle m’invite à appuyer ma caresse pour mieux la pénétrer. Un orgasme d’une grande intensité traverse alors son corps, et à chaque spasme ma langue se trouve enserrée dans son étroit conduit.Elle vient alors m’embrasser pour profiter de son goût, le plus intime qui soit. Je sens sa langue tournoyer pendant qu’elle passe une main entre mes cuisses. Elle introduit violemment deux doigts dans ma chatte, et entreprend de me branler vigoureusement. Au bout de quelques secondes, une vague de plaisir me submerge et me coupe les jambes. J’ai mis plusieurs secondes à revenir à la réalité, et à peine ai-je repris mon souffle qu’elle me pousse brutalement vers le lavabo.— Regarde-toi. Tu as l’air d’une véritable pute.Il est vrai que sa mouille a fortement altéré mon maquillage, et que le rimmel a coulé un peu sur mes joues.Je la vois soudain sourire.— Tu vas rester dans cet état le restant de l’après-midi. Voilà ta punition pour m’avoir fait jouir trop vite.Le visage maculé de mouille, je suis sortie des toilettes, suivie de Corinne. Une délicieuse honte m’envahit en passant devant les clients, provoquant une nouvelle sensation dans mon bas-ventre.Nous nous sommes alors promenées tout l’après-midi dans les rues. J’avais l’impression que tous les regards convergeaient vers moi. Corinne m’avait interdit de reboutonner ma robe, et mon décolleté était plus que plongeant. Arrivées à la voiture, je dis :— Je crois que je ne vais pas pouvoir me retenir, il va falloir absolument que je me soulage.— Eh bien, ne te gêne pas, fais-le derrière la voiture. Je te sens assez salope pour t’exhiber une nouvelle fois.N’y tenant plus, je me baisse, et je laisse échapper un long jet doré. Le soulagement est intense, mais au moment de m’essuyer, je croise le regard de Corinne :— Fais-le avec les doigts— Mais c’est sale !— Oui, aussi sale que tu peux l’être.Je m’exécute alors avec une pointe d’aversion.— Maintenant tu peux les sentir.Un frisson me parcourt l’échine.— Tu ne peux pas me demander ça !— Je te rappelle que tu dois m’obéir !Comment avais-je pu oublier… Corinne venait d’entrer réellement dans le jeu de la soumission que j’appelais de tous mes vœux.Cet épisode venait d’orienter notre relation vers des sentiers pas encore battus…Nathalie