Je m’appelle David…En Novembre 2002 je croisai pour la première Léa une fille haute en couleur..Elle se trouvait dans la liste des connectés d’un salon… et je décidai d’aller lui parler. D’habitude je suis peu enclin aux discussions privées avec des inconnues muettes…Mais là je ne sais pas pourquoi je me dis qu’il fallait quelque peu insister pour savoir le fin mot de l’histoire.En fait Léa était en pleine scène de ménage pour ainsi dire avec un garçon… qui n’allait pas tarder à être son ex. Elle devint un peu plus bavarde et je pris du plaisir à parler avec elle. Elle se décrivit… ma foi fort agréable à regarder à priori. Son ex rapidement fut surnommé par mes soins « El Tyranos »… je crois que je parvenais somme toute facilement à faire rire cette Léa. Heureusement car elle était assez morose cette nuit de Novembre 2002 quand nous nous rencontrâmes sur Internet.Les semaines qui suivirent furent exquises véritablement. Nous nous parlions sur Caramail… échangions des smset fîmes des chats sur MSN MESSENGER.C’est là que notre relation s’est affinée puis affirmée. Nous devenions comme des amis intimes en quelque sorte. C’était assez troublant à dire vrai de savoir des choses l’un de l’autre alors que nous ne nous étions toujours pas rencontrés. Cela fut le cas le 10 Octobre 2003 ! Jour béni des Dieux dois-je dire. J’étais sur Paris… et enfin nous allions nous rencontrer. Nous avions rdv devant le BHV à 20h…puis 21h… puis un peu plus. Elle fut très en retard (n’est-ce pas Léa…*). Je fus pour ma part presque à l’heure. Je me baladai dans le quartier et fus abordé par un jeune arabe homosexuel… de manière assez maladroite mais courtoise.Léa était en retard… et elle m’envoya un sms lorsqu’elle fut arrivée sur les lieux… du crime! « t où lol »… J’étais à quelques encablures de là . J’arrivai et fus quelque peu surpris même si je la reconnus :— David je présume… ou alors Sam Lombardo ? Moi c’est Léa… enfin Mademoiselle Stokowski n’est-ce pas me murmura-t-elle au creux de l’oreille ?— Enchanté !Elle me paraissait plus jeune que sur les photos assez coquines qu’elle m’avait envoyées. Dans les 1m70… une petite cinquantaine de kilos… des seins pointus que je devinais à travers ses habits… des yeux bleus-gris somptueux de beauté… ainsi qu’une lippe rosée bien sensuelle.J’étais en face d’elle… je connaissais des détails sur sa vie privée… et en même temps nous étions des étrangers. Nous allâmes boire et manger dans quelques endroits bien sympathiques du Marais. L’alcool aidant…nous nous mîmes à parler de nos échanges internautes… et donc de sexe bien évidemment ! Sur le ton de la plaisanterie je lui avais parlé maintes fois de mes frasques et même de mon pénis dont je louais l’aspect esthétique et notamment la couleur : marron.Je me levai pour aller aux toilettes. J’avais envie de me masturber en pensant à elle… Je repris ma place et vidai mon verre de vodka. « Léa tu sais… j’ai bien envie d’aller me branler dans les chiottes de ce bouge… »— Ben vas-y fais-le qu’est-ce que t’en as à foutre des clients… tu fais rien de mal… t’as besoin d’aide ou quoi? fit-elle avec un rictus taquin.— Euh en fait hum… ahanai-je non sans difficulté… bah pourquoi pas !Elle me rendit une œillade complice. Elle était ivre. Moi de même ! Nous nous prîmes la porte des toilettes… nous titubions bel et bien. Arrivés dans le box je me dressai non sans difficulté et me mis debout sur la cuvette.— À moi de jouer je crois non? dit-elle les yeux pétillants.— C’est gênant… on se connaît à peine finalement(Rires)— Tu parles Italo-Calvino… montre-moi ta pine marron foncé dont tu me parles sur msn et caramail depuis un an. Tu vas pas te défiler maintenant. J’me suis pas tapé tout ça pour craquer devant le bol de sangria.On riait à gorges déployées… Mais elle avait assez de contrôle sur elle-même et l’alcoolémie pour faire montre de ce dont elle était capable !! Elle saisit mon sexe à travers mon sous-vêtement… le tâta. Elle me prit de vitesse avant même que je ne pus réagir. Elle goba mon gland gorgé de sang et de sperme. Ses mains allaient, venaient… sa langue furetait… et fouillait mon intimité… mes couilles assez grosses dois-je dire… la hampe. Elle montait et descendait telle une furie !Je descendis de la cuvette le sexe bandé…il faisait chaud dans les toilettes. La chaleur qui s’exhalait de nos corps rendait l’atmosphère moite, voire étouffante.— Bon alors j’te suce ou merde ?!?— À mon tour Mademoiselle !Je me mis à laper son entrejambe.— MANGE-MOI LE MINOU SAM LOMBARDO!!!!Elle était déchaînée ! Mon excitation allait croissant notamment lorsque mon portable vibra dans ma poche et que je devinai qu’il s’agissait de ma copine. Léa avait également un petit ami. Elle me reprit en bouche puis me fit m’asseoir pour s’empaler sur moi. Elle ne portait pas de culotte sous sa jupe en daim de bonne facture soit dit en passant ! Sa matrice était serrée et son pubis peu fourni bien entretenu.Je m’étais masturbé pendant la journée… et en me rasant j’m’étais entaillé la tige. Avec l’effet de l’érection, cela était assez douloureux mais ça ne faisait qu’accroître le plaisir. Le frottement des parois vaginales sur ma verge était un pur délice divin ! Par moments, elle se déboîtait et s’emparait de ma queue bien humectée par sa mouille en sus de sa salive. Je prenais un pied d’enfer avec ma meilleure copine du net !C’était un vendredi 10 Octobre dont je me souviendrais longtemps pensai-je in petto.Ivres de caresses de léchages sur toutes les parties de nos corps, nous nous aperçûmes à peine qu’un homme était dans les toilettes d’à côté de déféquer manifestement d’après les bruits et l’odeur sui generis qui émanaient de son box. Le type ne réagissait pas. Nous devinâmes -nous nous le sommes dits ensuite- qu’il devait être aussi « pompette » que nous. Nous l’entendîmes glisser en se relevant et pester contre je ne sais quoi.— HEY!!! HEY !!! marmonna-t-il…vous faites quoi à côté… mal digéré ou quoi… rajouta-t-il dans un éclat de rire caverneux.— ON BAISE CONNARD! glapit Léa…— OH MAIS RESTEZ COURTOIS…ET…PROFITEZ-PAS DE MA POCHTRONNERIE D’UN SOIR POUR M’AGONIR D’INJURES NOM DE DIEU !!Léa… s’était placée devant moi… pour une levrette bien sentie… Semblant deviner quelles étaient mes intentions elle crut bon de rajouter :— Au fait… pendant que tu me prends en levrette mate bien mon anus… et penses-y bien… Je te le laisse pas… je suis vierge de là tu le sais et j’ai trop bu… par contre j’ai bien envie que tu éjacules dessus… et sur mes fesses.Je m’activai ardemment et langoureusement… la léchai partout… pour me repaître de sa peau. Je sentais son parfum capiteux sur mes mains, doigtai son anus pour lui montrer qu’elle pourrait me faire confiance prochainement. :-)Mes testicules se faisaient masser par Léa pendant que je la prenais énergiquement. Je me mis à la pistonner violemment en tirant ses cheveux vers moi pour faire venir l’éjaculation. Je me retirai et envoyai plusieurs jets sur ses fesses et sa rosette… et quelques derniers sur son visage. EXQUIS MOMENT !Nous sortîmes des toilettes au bout d’une trentaine de minutes…le bar était toujours aussi bondé et les gens aussi gais et « ailleurs ».Léa et moi sommes toujours amis en cette fin d’année 2003… et nous nous revoyons juste avant Noël. :-p D.