Je vais vous vous narrer mon histoire avec Christel. Mais laissez-moi d’abord vous la présenter.Elle fait partie de ce qu’on peut appeler les belles plantes. Bien en chair, elle n’est pas comme elle le dit trop grosse. Elle a tout ce qui faut pour rendre un homme heureux : des formes assez voluptueuses et surtout une poitrine qui est sa fierté (un 95D de derrière les familles !). Bref, elle a de quoi faire fantasmer les hommes qui comme moi qui aiment avoir les mains bien remplies et qui détestent par-dessus tout « les planches à pain ».Maintenant que vous « voyez » mieux la demoiselle, laissez-moi vous raconter la manière dont je l’ai connue.C’était il y a peu de temps. Un congrès de bienfaisance eut lieu dans ma ville. N’ayant pas grand-chose de passionnant à faire, je m’y rendis.C’était bien la première fois que je participais à ce genre de colloque. Peu habitué à ce genre de réunion, je pris place dans la grande salle où devaient discourir des sommités locale, régionale et même nationale, pour l’une d’entre elles.Je m’apprêtais à suivre les débats d’une oreille plus ou moins intéressée, quand mon attention fut attirée par ma voisine.Celle-ci venait de prendre place à mes côtés, quand, par inadvertance, elle fit tomber le contenu de son sac.Galant comme je le suis, une vieille tradition française à laquelle je suis viscéralement attaché, je plongeai vers l’amas de trucs féminins qui s’était répandu au sol.Hélas, ma voisine ayant eu le même réflexe que moi, nos têtes vinrent se heurter.— Aie ! Protestâmes-nous avec un bel ensemble.— C’est ma faute, je vous demande pardon fis-je en me massant le cuir chevelu.— Non, c’est de la mienne, si je n’avais pas renversé ma mallette, vous n’auriez jamais eu cet œuf de pigeon au visage. Il est là et bien là . Dit-elle de manière à s’excuser à son tour.Ce qui fait que n’ayant pas trop bobo à la tête, nous partîmes d’un rire franc et communicatif. »Je veux me faire pardonner, et je vous offre une boisson à la pause » me dit-elle vaguement inquiète par la bosse qui commençait à croître sur mon front marmoréen.Il est vrai que je devais être sonné, car je ne me rappelle plus rien de l’intervention de l’huile nationale qui ouvrait les débats.Deux heures après cette prise de contact plutôt brutale, nous partîmes vers un troquet à l’air paisible, où Christel m’avoua d’abord son prénom puis sa gêne de m’avoir ainsi blessé.Contusionné, je l’étais certes physiquement, mais ce n’était rien comparé à la blessure infligée à mon amour-propre, moi le célibataire endurci, personnage que je campais depuis une grosse trentaine d’années, je m’étais fait « embarquer » par une fille, pas par n’importe laquelle, j’en conviens, mais le fait était là  : je ne l’avais pas choisie au contraire c’était elle qui m’avait attiré dans ses retsMoi, le mâle que je me flattais d’être avait été blessé et troublé par un petit bout de femme !Quand je dis petit bout, je veux dire par la taille, puisque entre nous il y avait une bonne vingtaine de centimètres de différence.Nous fîmes plus ample connaissance. Là , j’appris qu’elle était de la même ville que moi, depuis peu de temps, ce qui expliquait que je ne l’avais jamais encore vue.Au fur et à mesure que se déroulait la conversation je notai quelques détails sur sa vie, par exemple elle était célibataire, avait une vingtaine d’années et avait changé de ville à cause d’un sale con qui s’était imaginé des choses sur elle. Plutôt que de laisser pourrir la situation, elle avait plié armes et bagages et était donc venue grossir les rangs des électeurs de ma cité, ce qui dénotait un caractère fort et entier..La demi-heure de pause étant passée elle me demanda si j’avais l’intention de retourner au congrès. Comprenant qu’elle n’en avait pas tellement envie pour sa part, je l’invitai à déjeuner à la bonne franquette dans un self. »Génial, me répondit-elle, je n’habite pas très loin de l’endroit en question, et ça me permettra de te poser une compresse sur cette vilaine bosse »Nous fîmes donc ainsi, et je pénétrais à sa suite dans le petit appartement, où des caisses et paquets divers montraient que le déménagement ne remontait pas à Mathusalem.Elle fut extrêmement douce en tamponnant mon front avec de l’eau glacée (ou qui m’apparût comme telle)Puis, nous allâmes au self, où elle fit tout pour se faire pardonner, prenant mon plateau pour y poser les aliments que j’avais choisis, se montrant d’une prévenance extrême et poussant la gentillesse jusqu’à déplacer mon siège et me caler dedans une fois assis. »Décidément, je m’en veux de t’être rentrée dedans et de t’avoir fait mal » »Oh, ça va ! Il n’y a tout de même pas mort d’homme, je parie que je ne suis pas défiguré. Alors, tout va bien, tu ne vas tout de même pas jouer à l’infirmière soignant un grand blessé ! »Là je me maudis, en constatant que ses yeux noirs, magnifiques au demeurant, venaient de s’embrumer. »Quel con, pensai-je en moi-même, elle ne voulait que te faire plaisir et tu vois comme tu lui parles »Je mis toute la galanterie dont j’étais capable pour essayer de lui faire oublier cette phrase malheureuse. Malheureusement, plus je me montrai gentil avec elle, plus elle sanglotait. »Ce n’est pas grave, rassure-toi, c’est parce que je ne suis pas habituée à tant de douceur que je pleure », me dit-elle.Oui, d’accord, mais on n’allait tout de même pas passer le réveillon là -dessus ! Je fis tant et si bien que j’arrivai à la dérider, à la re(mettre) en confiance et je parvins même finalement à la faire rire à gorge déployée. »C’est si bon de rire, me confia t’elle, j’en ai perdu l’habitude et tu te montres aussi bon thérapeute que j’ai voulu être une bonne infirmière.Ainsi nous quittâmes-nous bons amis et eûmes encore l’occasion de nous croiser.J’étais satisfait, car après la goujaterie que j’avais commise, nous apprenions à nous connaître.Jusqu’à cette fameuse soirée où tout dérapa.Comme je lui demandais si elle savait jouer aux cartes, je ne me souviens plus comment c’était arrivé dans la conversation, elle me répondit qu’à part la bataille elle ne connaissait rien aux « cartons ». »Donc tu ne saurais même pas jouer avec moi au strip-poker ! » »Hé non, mon cher Philippe, mais ne pourrait-on pas remplacer le poker par la bataille ? »Y voyant là une invite grosse comme ça, je ne pus qu’approuver, cherchant à adapter ce jeu basique aux règles d’un strip-tease en bonne et due forme.Et effectivement, les règles du strip-bataille, furent élaborées en concertation étroite entre elle et moi, nous qui avions envie de nous découvrir mutuellement (aux deux sens du terme).Rendez-vous fut pris chez elle afin de tester ce nouveau jeu.Je sonnai chez elle, et quand elle ouvrit la porte je restai bouche bée. Elle était la sensualité incarnée vêtue d’un simple peignoir, et il n’y avait pas longtemps qu’elle devait être sortie de sa douche si j’en croyais ses cheveux mouillés. »Ah, te voici, entre donc et fais comme chez toi, tu commences à le connaître mon appart. »Il est vrai que je commençai à me sentir chez moi, et je plaçais le bouquet que je lui avais ramené dans un vase dont je connaissais l’existence. »Oh, que c’est mimi ces fleurs » me remercia t’elle. »Bon, maintenant on va passer aux choses sérieuses » dis-je avec un certain entrain, en pensant que dès ce soir j’allais découvrir son corps qui, me disais-je, doit être magnifique. »Tout d’abord on doit avoir le même nombre de vêtements sur soi, édictai-je »Oh pour moi c’est simple, je ne porte que ce string, et ce soutif dit-elle en écartant le négligé.Alors là mes aïeux, le Mannekenpis lui-même aurait eu une érection aussi brutale que violente.Soutenant sa poitrine assez opulente, un soutien-gorge lacé sur le devant faisait le pendant à un string minimaliste. »J’ai l’intention de passer aussi cette jupe, en attrapant un petit bout de chiffon blanc qui se révéla être une minijupe, et ce chemisier en enfilant un corsage couleur chair, transparent comme peut l’être l’intelligence de votre belle-mère.Moi, il va me manquer un vêtement, puisque je n’ai sur moi que mon slip, mon pantalon et ma chemisette, dis-je, en espérant qu’elle ne mettrait pas de soutif.Elle fit tant et si bien qu’elle n’eut aucun mal à me convaincre de nouer un foulard autour de mon cou, comme cela, dit-elle, nous aurions le même nombre de vêtements sur nous. Je fis contre mauvaise fortune bon cœur et me rangeai à son avis.Nous nous apprêtâmes donc à nous livrer à ce jeu de strip-batailleNous convînmes que chacun d’entre nous, après avoir remporté une victoire, pourrait enlever à l’autre, le vêtement de son choix et surtout de la manière qui le ferait le plus fantasmer. Celui qui terminerait nu le premier pourrait ôter le dernier vêtement de l’autre de la manière dont il le souhaite toujours, mais en plus, avec la mise en scène finale de son choix.Suit alorsle jeu des cartes, qui n’est qu’une simple partie de bataille.Après le premier tirage, il s’avère que c’est elle qui perd. J’annonce donc à Christel sur quelle pièce d’habillement porte mon choix: »Je vais t’enlever ton string, mais pour ce faire, je ne devrais pas me servir de mes mains, uniquement de la bouche et des dents »Plongeant la tête sous sa mini, je me mets en devoir de lui enlever ce fin rempart à ta vertu.Après une délicieuse bataille où finalement j’arrive à saisir et à descendre le tissu arachnéen, je le fais glisser le long de ses jambes, après lui avoir donné (c’est son avis, et elle me le fait savoir) de fabuleuses sensations dues au contact de mes dents sur son sexe, et au contact de ma langue sur ses grandes lèvres et son clito.Nous nous saisissons des lames et disputons une autre cartée.C’est encore elle qui perd ! »Cette fois, je vais t’enlever ton top » et consentante, elle lève les bras, à ma demande.Je fais alors passer son haut par-dessus la tête, en effleurant ses seins au passage, faisant durcir, si besoin en était, ses tétons qui sont maintenant plus durs que de la pierre.Elle continue à râler doucement, perdant pied de plus en plus, se sentant caressée de toutes parts, comme si j’étais Bouddha (vous savez, le gus qui a huit mains !) Et tout entière désireuse que je passe à l’action, que je la prenne à la hussarde, s’imaginant prise en levrette par le pieu qu’elle sent, bandé à l’extrême, à travers l’étoffe de mon pantalon.Là , nous continuons notre jeu de cartes, et, tout heureuse Chris se rend compte que cette fois j’ai perdu. »Et hop, le foulard va s’envoler » proclame-elle d’une voix joyeuse.Elle m’enlace alors, passant autour de mon cou ses bras parfumés par la douche, et dépose un baiser torride sur mes lèvres.Les cartes étalées montrent qu’encore une fois je suis le grand perdant de ce jeu, mais que je me rapproche de plus en plus du rôle de « grand metteur en scène du délire final ». »Je vais enlever ton pantalon » me dit-elle, pressée de découvrir le trésor que je lui cache.J’apparais alors en slip, ma hampe tentant de s’échapper du barrage de l’élastique pour prendre ses aises et lui faire un clin d’œil.Elle flatte le méat de mon sexe de sa paume brûlante, réussissant à faire naître une goutte de pré semence au moyen de cette seule douce et tendre caresse.Puis le hasard, toujours lui, me désigne encore comme perdant. »Je vais ôter ta chemisette » et joignant le geste à la parole, elle déboutonne le vêtement qu’elle a tôt fait d’enlever, en frôlant d’abord (par inadvertance ?) Ma poitrine velue, puis se rendant compte que mon sexe prend encore du volume, elle se frotte carrément sur mon torse, m’agaçant les tétons de sa poitrine encore voilée par son soutien-gorge, cherchant à incruster ses seins dans ma poitrine.Elle se dit que malheureusement elle va perdre, vu le seul effet que je porte encore, quand un nouveau coup du sort la désigne comme devant ôter une pièce de son habillement. »Je vais ôter ta jupe, de cette manière nous serons à égalité. Toi, il ne restera plus que ton soutif et moi mon slip ».La prochaine donne sera donc décisive.Je lui fais donc quitter le dernier rempart protégeant son minou de mon regard.Là je lui flatte les fesses, vais agacer sa rosette de mon index et termine par une imposition de ma main sur sa chatte.Celle-ci coule à l’instar d’une source.Ma Chris ne peut retenir ses mots de désir, d’acceptation du mâle, des mots d’amour, des mots d’allégeance au suzerain que je deviens et que je suis, de plus en plus pour elle.Nous buvons un verre de champagne avant de passer à l’ultime étape.On se met debout, elle te blottit contre mon torse, les seins arrogants perçant presque l’étoffe de son soutif.Son coquillage vient se frotter à mon sexe qui s’est finalement affranchi de l’élastique, mais qui reste prisonnier du mini slip.Mon vît se frotte contre les bouclettes de son petit minou, mais il est tout contrit de ne pouvoir prendre toute son ampleur et de ne pouvoir butiner les lèvres intimes de Christel.Nous achevons notre verre et décidons d’attaquer la dernière ligne droite, ce qui donnera à l’un d’entre nous la possibilité d’accomplir son fantasme les plus cher.Elle retourne sa carte en premier : Une dame ! Elle est pleine de confiance, quant à mon tour, je retourne la même image à mon tour.Tout est à refaire !Elle me présente, cette fois, un roi. Un sourire éclaire son doux minois.À mon tour, je te fais voir ce que me réserve le hasard : un as !J’ai gagné ! …Les yeux brillants, elle fait glisser le slip qui retient à grand-peine mon bâton de chair, puis elle l’embouche, me faisant vivre des sensations extraordinaires.D’abord elle caresse de sa langue agile le frein de mon sexe et ensuite l’enveloppe sur toute sa longueur, elle gobe mes bourses me faisant presque défaillir. Me sentant au bord de l’orgasme, elle arrête et me signifie sa soumission totale et entière à ce qui sera l’aboutissement de notre jeu.Me mettant derrière elle, j’emprisonne ses seins avec mes mains, je commence par les malaxer doucement, les faisant passer par-dessus les bonnets.J’en effleure les tétons, masse les aréoles, soupèse les globes de chair. Je lui fais faire demi-tour, promène ma langue sur sa poitrine fabuleuse la mignardant de mes lèvres gourmandes, la léchant, la suçant faisant naître des frissons chez elle, la faisant feuler et rugir telle un animal en rut.Continuant ma promenade sur son corps, je dépose moult bisous coquins sur son ventre, m’attardant sur le nombril que j’humidifie de ma langue.J’attaque enfin ce morceau de roi que constitue son sexe.Plongeant entre ses cuisses je ballade mon nez entre ses lèvres ourlées, n’ai aucune peine à débusquer le clitoris dardé hors de son capuchon.Sa cyprine coule en flots ininterrompus.Ayant mon idée, je lui fais mettre les jambes sur mes épaules, ce qui fait que sa liqueur d’amour se répand jusqu’à l’anus.J’envoie alors un doigt inquisiteur explorer sa rosette. Lubrifié à souhait son rectum laisse le passage libre à mon majeur rejoint un peu plus tard par mon index qui n’a pas plus de difficulté pour forer son entrée interdite.Douce L’embrassant à perdre haleine, je me plais à assourdir ses cris de joie mêlés à de gros soupirs de contentement.Mon pouce court au secours des deux doigts qui forcent son petit trou, et là , comble de joie, je m’aperçois que lui aussi est comme attiré par son fondement.Je lui demande alors de ramener ses jambes à l’horizontale et de se retourner.Comprenant le fantasme que je suis en train de réaliser, elle installe un oreiller sur le lit, se met à plat ventre sur la couche, installe le coussin sous ton ventre pour être bien cambrée, me saisis par mon pieu et me guide vers l’entrée maintenant béante de son petit cul.Je la pénètre le plus profondément possible, reste un instant immobile pour la laisser s’habituer à l’intromission. Par des mouvements amples elle vient coulisser sur mon membre me donnant le signal de départ aux mouvements de piston que j’entreprends. Prêt à les suspendre si ma chérie se plaint vraiment trop fort.Je m’en donne à cœur joie, sortant presque à chaque fois de son entrée interdite. Mes bourses claquent contre ses fesses en un bruit mouillé de succion.Elle, pendant ce temps hurle sa soumission, heureuse de se sentir envahie à ce point. Elle me supplie alors de la prendre, mais de l’autre côté. Je me retire donc, et là elle me débarbouille le sexe comme le ferait une chatte à son petit, en grimaçant au début, peu habituée qu’elle est à l’odeur forte qu’a mon pénis, suite au voyage dans son intestin.Après qu’elle ait nettoyé entièrement et consciencieusement mon pieu, elle encercle mon cou de ses jambes, m’offrant ainsi l’accès à sa grotte intime.Repositionnant nos sexes face à face, je n’ai aucune difficulté à la pénétrer, littéralement aspiré par ta conque, je commence à la pistonner, la faisant languir quand mon sexe abandonne le sien un instant pour mieux y revenir et quand il frotte du bout du gland, ses grandes lèvres.Elle ne tarde pas à jouir pour la énième fois et son corps tout entier est parcouru de frissons lui faisant attraper la chair de poule, granulant sa peau comme le froid peut le faire.Elle s’aperçoit alors que je n’ai pas encore joui, s’en inquiètes et me demande comment je veux prendre mon plaisir.Suite à ma réponse, elle prend ses seins dans sa main comprimant ma verge avec, lui faisant une douce prison dont je n’ai pas envie de m’évader..Enserré dans cet écrin, je me masturbe avec passion, faisant aller et venir mon pieu de chair entre ses globes à la fois fermes et moelleux,Je la préviens soudain que je vais éjaculer, elle libère donc mon dard de ses seins et je décharge en jets puissants et odorants qui pénètrent sa gorge, maculent ses lèvres, inondent ses cheveux et sa poitrine qui vient de servir de tremplin à ma jouissance.Voici contée ma rencontre avec Christel, qui je l’espère se reconnaîtra et me demandera de faire, avec moi, une autre partie de cartesSi vous voulez connaître une autre de mes aventures galantes, je vous prie de me le faire savoir en m’écrivant à l’adresse e-mail suivante : phduc@wanadoo.fr.À bientôt peut-être…………………..