Sarah m’appelle sur mon portable.— Où es-tu ? Tu sais quel jour on est ?— Oui, bien sûr ! Mercredi 20 juillet, pourquoi ?!— Arrête de faire l’andouille ! C’est ton anniversaire, gros bêta ! Et je t’ai réservé une surprise… que tu ne seras pas près d’oublier, mon petit loup ! Rentre vite, je t’attends !— Ah ? Qu’est-ce que c’est ? Allez, dis-le-moi !— Na, na, na ! Reviens vite à la maison et tu sauras tout ! À tout de suite… !Clic !C’est sur cette dernière tonalité que je quitte Sarah, après la sortie de bureau.La journée a été rude et j’ai hâte d’être à la maison.Qu’est-ce qu’elle peut bien me préparer, la coquine ? Comme d’hab, on va faire l’amour… Elle me sucera un peu, on baisera sur le lit et, comme les autres fois, en prétextant un mal de tête, elle refusera que je la prenne par-derrière. Mais qui sait, elle peut faire une exception, cette fois-ci !Sur cette réflexion, je m’engage avec entrain dans les bouches du métro, tout en laissant mon esprit papillonner. Je suis chaud et Sarah va savoir de suite de quel bois je me chauffe !En rentrant chez moi plus tôt que d’habitude, je pousse la porte avec l’énergie d’un gamin de vingt ans (j’ai en réalité trente-cinq ans)Je suis certain que Sarah ne s’attend pas à ce que je sois déjà là, à peine cinq minutes après son appel !Et là, je n’en crois pas mes yeux… La scène qui se passe devant moi est tout simplement irréelle !Comme toute soirée ordinaire, Sarah est en train de papoter et de jouer aux cartes avec ses « nouvelles » copines. Elles sont toutes les quatre assises par terre, en cercle autour de la table basse !Intérieurement, je bous d’impatience ! J’ai trop envie de baiser ma Sarah, et ces petites fouines viennent de gâcher mon anniversaire ! Mon sang de mâle en rut ne cesse de bouillonner.En voyant ma surprise et mes réactions, Sarah amorce une petite retraite pour venir m’embrasser. Elle m’entraîne dans la cuisine pour me ramener à la raison.— Ce sont mes nouvelles amies du club couture, en cours du soir (Sarah y va les mardis soirs, deux fois par mois).— Mais je m’en fous ! Débarrasse-toi d’elles et occupe-toi plutôt de moi ! Je croyais que tu m’avais réservé une surprise !Sans un mot, le visage fermé, elle se dirige vers les filles, chuchote quelques mots et ces dernières se lèvent tranquillement pour aller prendre leurs affaires dans la chambre. Elles me jettent au passage un regard froid et font claquer la porte.Fier de mon sens de l’autorité, je me sens à présent complètement maître chez moi et prêt à croquer la chair à pleines dents.Je me laisse tomber sur le canapé, à présent entièrement pour moi ! Sarah s’approche furtivement à mes côtés et me caresse le torse. Elle ondule son corps, telle une féline en chaleur. Elle me mordille les lèvres et m’embrasse avec sensualité pour se faire pardonner.Je me sens désiré et mon sang continue à bouillir agréablement. Elle commence alors à baisser ma braguette. Je prends précipitamment sa main et lui fais comprendre que les filles sont justes dans la chambre d’à côté, derrière la porte fermée !— Attends qu’elles soient parties… Tu ne perds rien pour attendre !Et quelques minutes plus tard, les filles sortent de la chambre… Mes yeux me trahissent de nouveau, car le spectacle qui s’offre à moi est inimaginable à cet instant !Les jeunes filles sages de tout à l’heure se montrent alors dans leurs petites tenues, les unes aussi désirables que les autres ! Je reste bouche bée, incapable d’articuler un son ! Elles en profitent pour s’aligner devant moi comme lors d’un défilé de mode, en exposant leurs dentelles et leurs dessous.Enfin, je prends la peine de bien les regarder dans les yeux. Elles ont toutes entre vingt-deux et vingt-cinq ans environ. Tout comme Sarah, elles ont un joli minois, des seins bien galbés, des lèvres soulignées, les cheveux soyeux et onctueux à souhait, le corps parfumé, la peau douce. Toute ma rancœur de tout à l’heure contre elles s’évanouit aussitôt ! Je comprends enfin que la surprise est bien là, devant moi !En faisant un clin d’œil à Sarah, je la remercie pour ce beau cadeau, si inespéré et jamais ouvertement formulé !Elle se lève, se met en ligne avec les filles, se débarrasse de son peignoir lavande pour présenter fièrement sa poitrine nue. La toison de sa chatte est colorée par un rouge vif (par des rouges à lèvres, je suppose). Elle ne manque pas de me faire bander d’envie, en se déhanchant légèrement.Elle me dit alors :— Bon anniversaire, Pat ! Voici ton cadeau ! Choisis celle que tu veux ! Mais attention, à minuit, tout s’arrêtera et tu ne pourras plus aller au-delà ! Alors, profites-en !— Euh… Je peux choisir n’importe qui d’entre vous ? dis-je en balbutiant comme un jeune homme timide.— Oui, coquin ! Et comme tu le vois, chacune de nous a une spécialité ! À toi de découvrir !En jetant un regard furtif, je devine les spécialités secrètes de chacune !Il y a la blonde Stéphanie, aux gros seins, en nuisette de star, cheveux longs, yeux bleus, lèvres pulpeuses, dont la tenue ne me laisse pas indifférent.Ensuite, il y a la brune Sophie, experte en fellation, avec les lèvres surdimensionnées, les seins fermes et tétons pointus, les cheveux courts, le visage rayonnant de sex-appeal.Enfin, à droite, se tient la soumise rousse Élise, un collier de chien autour du cou, laissant tomber la laisse sur ses épaules frêles, des seins à croquer, la peau douce et exotique. Ses hanches fines portent un petit fouet autour de la taille comme accessoire et ses hauts talons lui confèrent une démarche sexy.— Oui, j’ai deviné ! C’est pas difficile. Vous m’avez bien aidé… ! Et toi, Sarah, c’est quoi ta spécialité ce soir ?Au lieu de me répondre, d’un mouvement parfaitement orchestré, d’une seule femme, toutes les quatre filles se mettent à genoux derrière la table basse, en face de moi !Sarah commence par m’expliquer les règles :— C’est très simple : pour acheter nos faveurs, il faut gagner de l’argent aux cartes ou en jouant à un autre jeu ! Tu seras le banquier, qui distribue les cartes et qui achète cash nos services, en nous affrontant à tour de rôle ! Si tu gagnes, ton gain augmente. Si tu perds, nous déciderons des punitions ou des gages !En voyant mon air abruti et sur le point d’être vindicatif, elle coupe court à toute discussion.— C’est à prendre ou à laisser !De nouveau, toutes les quatre menacent de s’en aller en me laissant seul. Je me précipite pour accepter le défi, sans savoir où je vais atterrir ! Je me doute bien qu’elles vont me réserver des surprises de taille.À présent, chacune prend place autour de la table ronde, dans la salle à manger.Élise, la rousse, vient m’embrasser amicalement sur la bouche et se place en face de moi. Elle pose un échiquier sur la table. Je comprends de suite que c’est elle ma première adversaire.Fastoche ! pensai-je. À ce jeu, elles ne sont pas de taille. Je suis un bon joueur ! C’est curieux que Sarah ne les ait pas prévenus. Décidément, cette affaire tourne en ma faveur. Je vais en profiter !Je me vois déjà terminer la partie haut la main.Passant d’une bouche à une autre, je leur ferai goûter à toutes le nectar de l’amour. J’amènerai Élise dans la chambre, pour consommer au plus vite ma victoire.Avec un cul pareil, je vais me régaler !Élise s’installe délicatement sur le lit en écartant ses fesses des deux mains, en guise d’offrande. La tête courbée, les joues contre le matelas, elle lève ses fesses d’une manière obscène pour me laisser l’honorer, telle une chienne soumise et obéissante.Au bout de quelques minutes, tout en sueur, j’invite Sophie à venir nous rejoindre. Celle-ci s’installe au pied du lit, à genou, le derrière pointé vers nous. J’amène alors Élise au bord du lit, et la fais pencher vers l’avant pour lécher ce cul merveilleux. Elle manque de peu de basculer par-dessus, lorsque j’attrape ses deux bras en la tirant vers l’arrière, pour faire contrepoids.Ainsi en équilibre instable, au gré de mes assauts, Élise subit le mouvement de va-et-vient et sa langue vient en même temps narguer en rythme le fondement de son amie…Mais Sarah m’arracha de mon rêve idyllique, en criant d’une voix autoritaire et décidée.Élise a fini de disposer tous les blancs. Elle a choisi un échiquier parmi ma collection, dont les plus grandes figures font au moins vingt centimètres de haut. Il est en général difficile de suivre la partie dans ces conditions, car les pièces masquent complètement la surface de jeu.Je décide de laisser « la main », en priant Élise de commencer avec les blancs. En guise de réponse, celle-ci sort aussitôt un chronomètre de sous la table.— Tu ne dois pas quitter ta place avant la fin de la partie, sous peine de disqualification. Chacun d’entre nous a cinq minutes par coup. Après chaque coup, on doit appuyer ici pour déclencher le chrono de l’adversaire. Au-delà des cinq minutes autorisées, le chrono défile plus vite. Après dix minutes, le chrono double automatiquement la vitesse. Au bout d’une heure, le temps double encore. Et après deux heures, la partie est perdue. Tu as tout compris ?Elle me prend pour un débutant, ma parole ! pensai-je discrètement, en la regardant dans les yeux. Attends, ma jolie… tu vas voir comment on mate en vingt coups !— Oui, j’ai saisi ! Je t’en prie Élise, à toi l’honneur de tirer la première !C’est plutôt moi qui vais tirer un bon coup, ce soir !Les premiers pas d’Élise ne révèlent pas ses réelles capacités de joueuse. Mais au bout du dixième coup, la partie semble intéressante.Je prends alors un peu plus de temps pour élaborer une stratégie plus adaptée. Toujours sûr de moi, je prends le jeu en main.Quand soudain, je sens une main caresser mon sexe. Sophie, assise par terre, s’est placée entre mes jambes et me caresse le sexe à travers le pantalon. Je lis dans ses yeux le désir de me prendre dans sa bouche. Je réalise tout à coup que la partie risque d’être bien plus rude que prévu ! Leur stratégie semble limpide : Élise se défend au mieux et ses amies me distraient durant la partie.À peine cinq minutes plus tard, je sens mon sexe fondre dans la bouche de Sophie. Elle suce délicieusement bien et me lape telle une affamée.Les bruits qu’elle produit par ses succions m’empêchent de me concentrer totalement. Je résiste tant bien que mal à ses assauts sauvages, sans permission explicite, en cherchant à toute vitesse dans ma tête une parade efficace. Le mieux pour moi, pour le moment, c’est de profiter pleinement de cette pipe « gratuite » pour calmer mes ardeurs brûlantes depuis le début de soirée.Et quelques secondes plus tard, ma vue se trouble. Une sensation d’extase me parcourt et me secoue l’échine de haut en bas. Je me sens vidé de toute cette excitation, si courageusement contenue jusqu’alors. Je jette un rapide coup d’œil sous la table. Sophie est en train d’embrasser goulûment Stéphanie ; un filet fin de sperme coule le long de leurs lèvres réunies.La salope, elle m’a eu par surprise ! Je n’ai même pas pu résister plus de cinq minutes ! pensai-je, tout en me reposant.Le temps passe et je dois faire des efforts importants pour me concentrer sur le jeu.Au vingtième coup, il ne reste sur la table que la moitié des pièces. Chaque camp a réduit considérablement ses ressources. La partie reste favorable pour moi et j’ai de bonnes chances de porter des attaques intéressantes.Quand soudain, encore une fois, je sens une peau douce se frotter contre ma nuque. Je réalise alors que Stéphanie me prend la tête entre ses seins. Elle essaie de capter mon attention, en détournant mon regard du jeu. Mon visage vient se blottir contre sa poitrine. Elle se débarrasse de sa nuisette et attire ma bouche sur ses tétons !Toujours confiant, je sais que je peux me fier à ma capacité de jouer en aveugle. J’ai l’habitude de jouer en club des parties « blind », sans avoir à regarder l’échiquier pour suivre le jeu.Je crie :— Cavalier en E7, F5.J’ai à présent mémorisé toute la partie. J’ai alors la merveilleuse idée de sucer les tétons doux et sucrés de Stéphanie, tout en continuant à jouer.Sophie, en voyant ce charmant spectacle, se met complètement nue, monte sur la table et place sa vulve sur ma bouche. Elle me cache par la même occasion toute vision du jeu.Je décide alors de fermer les yeux, aussitôt emprisonné par un bandeau opaque, que l’une d’entre elles applique avec grande rapidité.Sophie a des lèvres légèrement salées et sa cyprine coule abondamment. Je n’ai aucun mal à honorer mes obligations, fouillant de mon mieux cette intimité entrouverte.Pendant ce temps, Élise me tient au courant de son dernier déplacement en m’annonçant :C’est à ce moment-là que Sophie décide de me présenter son derrière.C’était le mauvais moment ! Je me sens assailli de tous les côtés. Pour la première fois depuis le début de la partie, je suis en position d’infériorité. Nous avons tous deux les mêmes forces, mais la situation ne me permet pas d’attaquer.Je suis partagé entre lécher ce derrière sublime, qui se balance devant moi, de gauche à droite, comme pour dire : « Mange-moi, je suis entièrement à toi ! », et l’idée que le prochain coup d’Élise pourrait être mon premier « Échec au roi », depuis un an d’invincibilité.Mon corps tremble imperceptiblement et ma confiance résonne comme un naufrage.Sachant que je dois mener ce combat contre toutes les quatre en même temps, je me dois de ne pas refuser leurs avances. En partant sur cette dernière idée, je m’applique à faire une feuille de rose en règle à Sophie.La solution me traverse au même moment l’esprit. Aussitôt, je lève la tête et crie d’un ton enjoué et libérateur :Cette manœuvre devrait me permettre de gagner un peu de temps, tout en cherchant une parade et un renversement de situation.Pendant ce temps-là, Sophie m’incite à garder le rythme en se mettant debout, les pieds appuyés sur la chaise, et elle ondule son derrière. Elle se frotte avec frénésie sur ma bouche. À coup sûr, elle apprécie que je lèche son anus. Celui-ci se dilate peu à peu, m’invitant à entrer davantage dans son intimité.Durant un bref instant, je me demande ce que fait Stéphanie, car je ne ressens plus la pression de ses seins. Je lève les yeux et je l’aperçois en train de déposer un long jet de salive, qui coule le long des fesses de Sophie, pour se déverser dans ma bouche. Je goûte enfin à ma propre semence, qui termine enfin son long périple depuis la langue délicieuse de Sophie.Non, je dois me reprendre ! Élise ne s’en tirera pas comme ça ! Même à quatre, elles ne peuvent me battre à ce jeu, sur mon terrain !— Tour en H5, crie Élise.Et voilà que Sarah choisit son heure pour entrer en scène ! Elle se glisse avec agilité à califourchon sous Sophie et me présente aussi son derrière ! Je me régale donc à lécher leurs culs à toutes les deux. Chacune a une odeur particulière et excite à tour de rôle tous mes sens.Je ne me lasse jamais de lécher Sarah, allant même parfois fouiller le plus loin possible son fondement, sans qu’elle m’autorise à la pénétrer librement. J’aurais tant voulu, ne serait-ce qu’une fois, entrer en elle par-derrière, par cette « porte de sortie » comme elle se plaît tant à répéter.Élise annonce les couleurs :— Fou en E2, échec au roi.Cette phrase résonne en moi, tel un coup de tonnerre.Au même moment, l’une d’entre elles me trouble davantage en s’installant sur moi et me serre dans son rectum ! Je ne sais pas si c’est bien cette dernière sensation qui m’a troublé (celle, bien sûr, de pénétrer un conduit étroit, chaud et humide). Toujours est-il que l’attaque a été portée au même moment, en parfaite synchronisation…Fuir, il faut fuir à tout prix et jeter ses dernières forces dans la bataille ! À présent, pas question de penser à la victoire, il faut que je défende ma peau ! Un « match nul » me permettrait de sauver la face. Ma fierté, mon orgueil m’empêchent d’apprécier les attentions insistantes de ces amazones. Seul compte le résultat du combat.— Roi en D3, crié-je.Cette manœuvre de fuite vers d’autres remparts peut m’assurer une certaine tranquillité et assurance.En attendant de recevoir la prochaine attaque d’Élise, je sens mon bandeau glisser et j’ouvre légèrement les yeux. Je découvre avec stupeur la rosette épanouie de Sarah au-dessus de mon sexe !La chienne ! Elle me laisse l’enculer pour la première fois au moment où je peux apprécier le moins possible ses attentions ! J’ai à peine senti le passage étroit et je ne l’ai même pas vue jouir ! pensai-je dans un moment de solitude.En s’apercevant de ma vue retrouvée, Stéphanie s’empresse de m’obscurcir les yeux avec sa culotte. Son odeur du dessous porté depuis deux jours ne m’aide pas à me concentrer davantage.Puis soudain, toutes les trois me quittent.Alors je sens d’une façon pernicieuse les morsures des cordes qui me privent aussitôt de liberté de mouvement. En un bref instant, je me retrouve assailli, ligoté, bâillonné, attaché à la chaise sur laquelle je suis condamné.Pire encore, je perds progressivement l’équilibre, au fur et à mesure que le fond de chaise en paille est découpé. Mon propre poids entraîne les fesses, qui traversent ce trou béant et improvisé. Je suis prisonnier de tous les côtés, incapable de bouger librement.Soudain, une main agrippe mon boxer, le découpe en lambeaux, tout en libérant mes fesses à l’air libre. Je subis courageusement sans rien dire, en me disant que la revanche sera terrible !Je me demande quelle pièce Élise déplacera pour le prochain coup ! Je suis à présent à sa merci et elle a dû s’amuser de moi, comme le chat et la souris.La réponse ne tarde pas à venir.— Cavalier en G6, G5.Mon derrière est rapidement sollicité ! Elles m’engodent, les salopes ! Tout en ricanant, elles m’enfoncent sans ménagement un gode d’une nouvelle espèce, rugueux sur le contour, avec des veinures marquées à angles vifs. L’une d’entre elles s’installe sur mon sexe, et profite à chaque poussée du soulèvement de mon bassin. Plus je cherche à éviter ce membre conséquent, plus je m’enfonce profondément dans son con. Je sens au bout de quelques minutes son jus couler le long de mes cuisses.Elles s’amusent à enfoncer le gode loin et profond, m’arrachant des râles d’un plaisir nouveau et jouissif. J’ai l’impression qu’elles me branlent de l’intérieur, en frottant énergiquement contre mon sexe. Je ne tarde pas à cracher ma semence, tout en goûtant aux actions conjuguées de trois langues chaudes, délicieuses et voluptueuses. Elles me lèchent avec délectation et font durer le plaisir pendant un long moment…Enfin, elles me libèrent des liens. Retrouvant ma liberté et enfin, ma vue, je leur demande de reprendre la partie là où on en est. Elles rient toutes les quatre de bon cœur, ce qui suscite ma curiosité.En s’écartant les unes des autres de la table, elles me laissent entrevoir l’état de l’échiquier.Je découvre avec horreur qu’elles m’ont sodomisé avec MON ROI, une pièce de collection en bois d’ébène de vingt-cinq centimètres, que j’ai ramenée lors d’un voyage exotique. La quasi-totalité de mon camp a été décimée. Il ne me reste que quelques pions et une tour, tandis que les blancs ont encerclé mon roi !Élise m’a mis échec et mat, avec la complicité de ses amies. Et au lieu de me l’annoncer ouvertement, elle m’a passé le message d’une belle manière !Sarah s’approche de moi. Elle me fait un gros câlin et un large sourire en me chuchotant à l’oreille :— Ça t’apprendra à être macho ! Bon anniversaire, mon chéri !Fin