Une partouze pour Anna 01/02
Anna est nymphomane et après un peu d’abstinence, elle revient vers sa passion première, le sexe.Et c’est ainsi qu’elle se fera prendre en partouze dans une boĂ®te Ă cul. N’hĂ©sitez pas Ă commenter, cela m’aidera Ă faire de meilleures histoires.
Proposée le 29/06/2018 par grizsouth Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: GroupesLieu: Sauna, club, sexe shopType: Fantasme
Anna a toujours Ă©tĂ© une fille particulière. Alors mĂŞme si elle cultive les aspects les plus triviaux d’une personne bien intĂ©grĂ©e socialement, elle se dĂ©marque des autres par ses hobbies. Elle n’aime pas la danse, les soirĂ©es filles ne lui disent rien, aller danser en boĂ®te ce n’est vraiment pas son truc. Alors que peux aimer une fille de 23 ans comme elle? Sa vraie passion, Anna la cache, pas par honte, non, mais plutĂ´t pour Ă©viter de se faire suivre dans les rues par les hommes ou insultĂ©e par les femmes soit envieuses soit incompĂ©tentes sur le sujet.
Anna est ce que l’on peut appeler une nymphomane de haut niveau. Elle aime le sexe au point de vouloir coucher avec des hommes, ou des femmes tout les jours. Elle aime ça et elle l’assume. Bien sĂ»r il y a des jours oĂą elle n’a pas envie mais en gĂ©nĂ©ral, elle s’arrange pour s’envoyer en l’air rĂ©gulièrement. Elle en a eu des petits copains, mais tous, sans exception, on fuit devant l’appĂ©tit de la belle blonde. Et il faut dire, son appĂ©tit Ă©tait Ă©norme.Assouvir ses besoins devenait compliquĂ© avec le temps. Elle avait fait le tour de ses connaissances. Tous savaient ce qui faisait d’elle ce qu’elle Ă©tait. Recevoir du monde Ă domicile Ă©tait devenu impossible depuis une certaine soirĂ©e oĂą, Ă cause du bruit, les voisins avaient prĂ©venu la police. Elle aimait le sexe mais pas au point de faire ça en lieu publique. Alors depuis, elle frĂ©quente les clubs privĂ©s. Il y a des habituĂ©s, certes, mais pas mal d’inconnus ce qui lui permet de varier les plaisirs. Elle est belle, ses mensurations feraient pâlir plus d’une mais cĂ´tĂ© partenaire, elle n’est pas exigeante. Elle veux s’offrir Ă n’importe qui, pourvu qu’elle prenne son pied.Cette semaine lĂ , Anna, grippĂ©e comme jamais, n’avait pu assouvir ses pulsions, mais lĂ , remise sur pied, elle comptait bien se faire prendre par qui voulait. Elle avait faim, faim de sexe. Son corps tremblait d’un besoin brĂ»lant. Elle avait bien le plaisir solitaire mais ça ne la calmait jamais longtemps. Ce lundi, c’est arrivĂ©e obligatoire dans son club prĂ©fĂ©rĂ©. Il y a des petites chambres privĂ©es qui permettent tout les vices et elle ne s’en priverait certainement pas.
Il est 18h quand elle entra dans le club. Pour un lundi il y avait foule dont pas mal d’habituĂ©s il y aurait donc de quoi faire. Elle alla au bar et se commanda un vodka martini, le temps et sa robe violette feraient l’affaire et vu le regard de quelques mâles de l’assistance et l’affaire de traĂ®nerait pas bien longtemps.
Un habituĂ© qu’elle connais bien, David, s’approche du bar pour la saluer. Ce grand brun, elle en avait fait l’expĂ©rience plus d’une fois et il Ă©tait plus que bon. Sa copine aussi se dĂ©brouillait bien. Elle avait eu l’occasion de l’essayer lors d’une orgie lesbienne. » Et bien et bien, le petit oiseau est revenu au nid? » plaisanta t-il
– Ha-ha…. Très drĂ´le….. J’ai Ă©tĂ© malade, j’ai bien crĂ» que j’allais y passer. La grippe, c’est très sĂ©rieux !
– Mais oui mon petit poussin, plaisantait-il encore. Enfin, te voilĂ remise, c’est dĂ©jĂ mieux. Alors? Quelle programme pour ce soir?
– Huuuum, fit-elle avec un ton enjĂ´leur, dis moi ce qui s’offre Ă moi? J’ai une faim de loup. 2 semaine d’abstinence, c’est l’enfer!
– Tu connais Mike ? Il Ă organisĂ© une touze dans le salon rouge. Il n’y a pas encore et d’inscriptions mais il est encore tĂ´t. Quand Ă moi, Carine nous a dĂ©gotĂ©e une petite nouvelle, alors je pense que je vais passer une bonne soirĂ©e.
– La salle rouge…. Combien de places ?
– 10! Alors? TentĂ©e mon petit poussin ?
– Je verrais, pourquoi pas. En tout cas bonne soirĂ©e Ă toi, tu me la prĂ©sentera cette petite..
Une partouze Ă 10….. L’idĂ©e lui plaisait bien mais bon, pour une reprise, ça paraissait un peu trop grand. Elle n’Ă©cartait pourtant pas l’idĂ©e, mais selon ce qui allait se produire, elle se rĂ©servait le droit d’y aller. Elle n’Ă©tait pas lĂ depuis 20 minutes maintenant qu’elle suivait un grand brun qu’elle ne connaissait pas dans une des petite salles alignĂ©es dans le couloir de la boĂ®te. Elle ne voulait pas savoir son nom, ça elle s’en fichait, non, lĂ elle se retrouvait Ă genoux devant lui Ă masser doucement le sexe bien dur de cet homme. Il avait une bite pas mal se disait-elle. Pas trop grand mais pas trop petit, une bonne grosseur. Elle le branlait doucement avant de commencer Ă lĂ©cher avec gourmandise le gland violacĂ© de sa proie. Sentir enfin après tout ce temps une queue au bout de sa langue lui faisait tant de bien. Et titilla de sa langue tout le membre et descendant jusqu’aux bourses. Elle fĂ®t rouler ses couilles dans sa bouche, les gobant comme des bonbons pour enfin venir engloutir la bite et la sucer plus sĂ©rieusement. Elle adorait la fellation. C’Ă©tait pour elle la preuve de son pouvoir sur les hommes. Ils devenaient ses prisonniers et cette sensation n’avait pas d’Ă©quivalent. Sentir glonfler ce muscle dans sa bouche lui offrait tant de plaisir. Justement, elle senti le gland gonfler et continua jusqu’Ă ce qu’un râle lui annonce ce qu’elle attendait. Son hĂ´te dĂ©versa sa semence dans sa bouche et elle avala avec passion ce divin nectar. Après une retouche maquillage aux toilettes, c’est plus dĂ©tendue qu’elle retourna au bar. Elle contempla l’ensemble du lieu et vit avec envie son ami David en plein Ă©bat au balcon avec la petite nouvelle. Il la prenait en levrette en lui tenant les cheveux. Oh comme avait l’air d’aimer ça ! Pour un peu elle aurait aimĂ© les rejoindre. Elle remarqua que la liste pour la salle rouge s’Ă©tait plutĂ´t bien remplie une femme et sept hommes. Maintenant, elle n’allait plus hĂ©siter longtemps. Elle mis son nom sur la feuille et alla prĂŞt de la salle rouge pour attendre son ouverture. Finalement Ă l’heure dite, il n’Ă©tait que 9 mais peu importe, 9 c’est dĂ©jĂ pas mal non?
La salle Ă©tait vaste avec un long canapĂ© et une table basse avec quelques rafraĂ®chissements. Tour Ă tour, les participants entrèrent et prirent place sur le canapĂ© ou se servaient un verre. La règle ne changeait pas, pas de noms sauf si on le voulait et surtout, le respect de l’envie de chacun. Pas de contraintes et on partait quand on le voulait. D’ailleurs, certains avaient dĂ©jĂ commencĂ©. L’autre femme avait dĂ©jĂ ses deux mains dans les pantalons de deux hommes. Elle branlait leurs bites en les regardant avec un regard lubrique, un autre, un grand brun se dirigea vers elle et se branlait face Ă son visage et elle, comme la dernière des putes, le supplia de lui prendre la bouche. Anna ne perdit pas de temps et invita les autres hommes Ă la rejoindre et, accroupie, elle commença Ă sucer les dards tendues vers elle. Elle avait de la chance, les quatre avaient de beaux engins, grands et gros et leurs couilles devaient ĂŞtre pleines.
Elle lĂ©cha avec gourmandises et tour Ă tour les glands gonflĂ©s, goĂ»tant les prĂ©ludes d’une partie chaude. Elle eu plus de mal avec l’un de ses amants, son sexe Ă©tait si gros qu’il avait du mal Ă entrer dans sa bouche. Elle titilla de sa langue le bout de son pieux, lui arrachant des gĂ©missements virils. Elle branlait doucement les autres bites qu’elle n’avait pas en bouche. Enfin! Depuis tout ce temps, elle s’amusait enfin! Elle sentie alors des mains fĂ©minine lui caresser les seins, sa comparse l’avait rejointe et jouait avec ses tĂ©tons. Elle sentait bon et ses mains Ă©taient douces. Elle laissait avec expertise les deux melons et ne se privait pas non plus pour les tĂ©ter avec appĂ©tit. Anna l’embrassa avec une passion perverse, un baiser plein de langues agiles et douces. Un des hommes en profitait pour se faire une branlette espagnole entre ses seins, un autre avait rĂ©ussi Ă lui enlever sa robe et lĂ©chait sa chatte avec application, lui arrachant au passage des gĂ©missements toujours plus bruyant. Sa comparse, elle, se fait doigter et poussait de petits cris de plaisir. Anna sentie enfin ce qu’elle voulait, son amant arrĂŞta de la lĂ©cher pour enfin la baiser. Il la pĂ©nĂ©tra doucement avant d’y aller plus franchement, et de l’autre cĂ´tĂ©, son acolyte se faisait prendre en levrette par celui au dard gĂ©ant. Il la bourrait avec force lui arrachant des hurlements de plaisir tant son sexe Ă©tait immense. Il la dĂ©montait littĂ©ralement et en prĂ©vision de son tour prochain, Anna mouillait encore plus. – Donnez moi vos queues, disait Anna, donnez les moi Ă sucer. Je veux vous pomper le dard jusqu’Ă ce que me jutiez dessus.
– DĂ©fonces moi putain, hurlait l’autre fille. Prend moi fort, oui, oui ouiiiiiii oh je jouit !
C’Ă©tait au tour d’Anna de se faire prendre par le monstre et quand il la pris en levrette, ce membre si gros, elle se sentie partir. Il la besognait sans mĂ©nagement.
– Oooooooooooorh! Putain!!!!!! C’Ă©tait tout ce quelle pu dire, car il la tronchait en la faisant hurler comme personne n’en l’avait fait hurler avant. Elle sentait chaque va et viens, chaque glissement, chaque centimètres de ce monstre de chair. Sa « copine » elle, se prenait une puissante giclĂ©e de foutre en plein visage pendant qu’elle se faisait sauter en cow-girl, et d’un certain point de vue, Anna en voulait aussi.- Je veux que tu jouisses dans ma bouche, je veux te boire, dit-elle Ă son empaleur qui s’extirpa de son vagin pour lâcher sa sauce dans la bouche d’Anna qui avala jusqu’Ă la dernière goĂ»te de son sperme.
– Que quelqu’un me prenne le cul, demanda t-elle et, sans attendre, un l’un d’eux la sodomisa en levrette sans autre forme de procès. Il noua ses cheveux dans sa main pour en faire des rĂŞnes et tout en la baisant avec force lui donnait la fessĂ© en l’insultant.
– Salope, t’en veux plus hein, dis le que t’en veux plus, chienne lubrique!
– Ouiiiiiiii j’en veux plus! Vas y plus fort, dĂ©montes moi le cul putain !!!!
Elle suçait avec passion les bites qui se prĂ©sentaient Ă elle jusqu’Ă ce qu’elle remarque que l’un des hommes avait emmenĂ© sa collègue juste cĂ´tĂ© d’elle. Belle occasion se dit Anna qui en profita pour galocher goulĂ»ment cette dernière. Et elle se firent sodomiser, en cow-girl, en mĂŞme temps. Anna n’en avait pas assez, et se tourna vers le mec le plus proche. – Prenez moi Ă deux! Toi en bas, prend moi la chatte et toi, prend moi le cul!!!!!! Et donnez moi quelque chose Ă sucer, je vous en pris!!!!!!
Et c’est ainsi qu’elle se fĂ®t baiser en double pĂ©nĂ©tration. Tous ses trous Ă©taient pleins et elle Ă©tait heureuse.
– Oui, oui, ouiiiiiii tronchez moi lĂ , comme un salope, comme une merde, dĂ©foncez moi comme la dernière des putes!!!!
Et ils la dĂ©foncèrent. Ils la baisèrent sans mĂ©nagement, sa comparse se faisait aussi prendre en double et hurlait de plaisir. Elle bavait, son maquillage n’Ă©tait que coulure grotesques et son corps tout collant de foutre.Cela faisait maintenant une heure qu’ils avaient commencĂ© Ă baiser mais Anna, commençait Ă fatiguer, c’est qu’elle reprenait ! Alors, elle demanda a ce que les hommes viennent la couvrir de foutre. Ils se branlèrent devant elle et dĂ©chargèrent leur foutre chaud dans sa bouche ouverte et elle en chienne docile avala sa boisson avec gourmandise.
L’un dans l’autre, elle avait passĂ© une excellente soirĂ©e et se promettait de revenir le lendemain et de se faire son ami et sa copine.
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