Toute personnalité a ses paradoxes. Ancien maoïste, déçu par la Révolution culturelle, puis plus tard par la disparition des régimes communistes, je me sens néanmoins républicain jusqu’au trognon. Je suis partisan du système démocratique et pourtant j’ai toujours été attiré par les manifestations de masse, les uniformes foncés, les tambours et les chants scandés au rythme du pas cadencé…. Bien que démocrate, bien que suffisamment intelligent pour comprendre où mène toute dictature, j’ai été séduit par tous les régimes autoritaires, jusqu’à celui de la RDA, pour lequel j’ai éprouvé une véritable fascination. Je vomis toujours le patronat sous toutes ses formes : pour moi il est certain que ma petite vie vaut plus que leurs gros profits ! Et pourtant, rien ne me fascine plus que ces petites Patronnes, raffinées, autoritaires, qu’on trouve à la tête des magasins des centres-villes…Dans mon imaginaire, elles ont remplacé les militantes en jupe foncée et chemisier blanc, avec insigne du Parti, qui me font depuis toujours fantasmer. Elles me rappellent par exemple cette policière de RDA, grande, large, forte, étonnamment blonde, sanglée dans son uniforme gris souris, l’œil sévère sous la casquette galonnée, qui m’avait jadis demandé mon passeport à la frontière, sur un arrière-plan bien peu engageant fait de barbelés et de miradors. Je me souviens encore, alors que je transportais quelques revues interdites dans mon sac, à la fois de ma main tremblante tendant le document réclamé et de sa large main sur la mienne, prenant tout à la fois mon passeport, ma main et mon âme. Je n’étais pas tombé à genoux devant elle tellement j’étais ému par elle ce jour-là, mais c’était vraiment par peur de terminer au poste frontière… pour outrage à fonctionnaire. Le voyage qui allait suivre, à Cracovie, avait d’ailleurs été lui-même mémorable, avec des blondes à ne plus savoir où donner des yeux, des femmes belles, intelligentes, cultivées, pas encore pourries par la société de consommation – polonaises, quoi… –, dans un pays où les magasins exposaient des petites culottes de femmes sages, style années 50, à vous donner un désir fou dans la tête, à vous faire bander à mort… Je l’ai encore raide rien qu’à y penser.Mais revenons à nos belles et sévères Patronnes du Commerce. Chacun de nous en connaît quelques-unes, au moins de vue. Elles peuvent être petites ou grandes, minces ou presque obèses, distinguées ou un peu vulgaires, voire pour certaines habillées comme de véritables putes, mais elles savent toujours accueillir leurs clients avec un sourire et quelques bonnes paroles. Elles sont souvent de redoutables commerçantes, et lorsqu’elles vous prennent en main, elles sont tout à fait capables de vous vendre ce dont vous n’avez pas besoin, à force de conseils intéressés, de cajoleries diverses, de sourires charmeurs… Elles paraissent sympathiques, mais certaines sont de redoutables prédatrices, autoritaires, dominatrices, parfois capables des pires saloperies avec leur personnel, et c’est ce qui pour moi leur donne un charme irrésistible…J’ai eu l’occasion de « souffrir » entre les mains de l’une d’entre elles, et c’est un souvenir inoubliable. Ce souvenir en rejoint bien d’autres, depuis qu’à sept ou huit ans, je crois, cette maîtresse, jeune, belle, autoritaire, habillée avec l’élégance de la fin de ces années 50, avait cru me punir en me mettant sous son bureau, tout près de ses jambes, de ses bas que je savais tenus par des porte-jarretelles – rien que le mot me fait bander aujourd’hui encore ! Je me souviens avoir respiré son odeur de femme soignée, à quelques centimètres de ses jambes, malheureusement pudiquement serrées et placées de biais pour me laisser quand même un peu de place. J’étais petit, je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, mais elle faisait de moi (sans le savoir) un homme qui allait à jamais être fasciné par les enseignantes sévères, comme d’ailleurs par toutes les autres femmes, par leur corps, leurs vêtements (et surtout leurs petites culottes…), par leur démarche, leur voix, leurs sourires, leur gentillesse maternelle ou leur vacherie, par leur finesse, leur intelligence, leur humanisme… Combien donnerais-je aujourd’hui pour revenir sous ce bureau, sachant ce que je sais, pour ne serait-ce que respirer à nouveau son odeur… Hélas !Mais revenons à notre Patronne, car je m’égare encore. Cette femme, Odile, tenait une sorte de grand dépôt-vente près du centre-ville d’Angers. Elle avait fait passer une annonce afin de trouver un collaborateur à temps partiel, pour s’occuper de la partie de son commerce concernant les objets de brocante et les livres anciens, dont beaucoup n’étaient en fait que des bouquins sans valeur. Cette annonce tombait bien : je venais tout juste d’être mis en préretraite, ma femme venait de me quitter pour un homme plus jeune, plus beau et surtout plus argenté que moi – bon débarras ! – et je ne savais trop quoi faire de ce temps libre, inattendu et pas vraiment désiré…Ayant téléphoné au numéro indiqué dans l’annonce, je l’avais eue au bout du fil, après une employée peu aimable. Elle m’avait expliqué ce qu’elle cherchait, en fait un employé qui allait filer doux plutôt qu’un véritable collaborateur… Elle m’avait d’ailleurs expliqué qu’elle m’embaucherait dans le cadre de l’un de ces nouveaux contrats pourris, où vous êtes sorti de l’entreprise aussi vite que vous y êtes entré. Elle pensait d’ailleurs m’embaucher surtout parce que j’étais un homme, et qu’elle en avait assez des récriminations et des histoires suscitées par les cinq jeunes femmes qui travaillaient déjà pour elles. J’avais manifesté avec les jeunes contre ces maudits contrats, mais j’étais bien obligé d’y passer… D’ailleurs la voix de ma future Patronne, qui s’était faite de plus en plus autoritaire au cours de l’entretien, au fur et à mesure qu’elle percevait ma passivité ou ma docilité, avait éveillé, je le pressentais, ce fichu désir de soumission aux femmes qui sommeillait en moi, prêt à se réveiller à tout moment…M’étant rendu sans tarder à son rendez-vous, j’avais trouvé un immense entrepôt, avec à l’entrée un bureau où travaillaient deux caissières et une sorte de comptable, toutes âgées d’une trentaine d’années, et effectivement du genre pétasses tout à fait propre à créer des problèmes à un quelconque employeur. Un peu plus loin, j’aperçus dans les rayons deux autres femmes en jean, du genre camionneuse musclée, et tout à fait en état de transporter avec leur petit chariot électrique les pièces les plus lourdes. À l’observer, l’ensemble du personnel laissait une impression bizarre, un peu comme dans ces boîtes merdiques où les mauvaises conditions de travail amènent une rotation rapide du personnel. J’étais encore en train d’y réfléchir lorsque ma future Patronne arriva et me dit de la suivre dans son bureau.Le contraste avec ses employées était absolument saisissant. C’était une femme d’environ soixante ans, cheveux grisonnants, grande, mince, bien qu’en la suivant je remarquais tout de suite son large fessier, d’autant plus attirant que ses jambes et ses cuisses étaient fines… Elle était habillée avec soin : jupe noire assez large, petit vernis noirs, chemisier gris perle à longues manches un peu bouffantes, cheveux tirés en arrière et retenus par un petit nœud de satin. J’avais remarqué, avant qu’elle ne se retourne, un maquillage appuyé mais néanmoins discret, avec des lèvres passées au rouge très foncé, de quoi dissimuler les premières atteintes de l’âge. Arrivée dans son grand bureau, dont le luxe tranchait avec le bureau assez sordide de ses employées, elle s’assit dans son fauteuil de direction, derrière un large bureau de bois, couvert de dossiers. Elle avait tout à fait l’air de ces patrons de caricature : sûrs d’eux, voire arrogants, vous jaugeant pour savoir le profit qu’ils pourraient tirer de vous. En fait, il ne lui manquait plus que le gros cigare pour coller à cette image populaire… Ce n’était pas trop engageant, même un peu révoltant, mais son raffinement vestimentaire me séduisait déjà…J’étais toujours débout, et je commençais à ne plus comment savoir me tenir. Elle me regardait sans rien dire, la situation devenait bizarre… Lorsqu’elle prit enfin la parole, ce fut pour me demander si j’avais vraiment besoin de travailler, et si j’étais prêt à faire ce qu’il fallait pour qu’elle m’embauche et qu’elle me garde. Elle en avait assez des pétasses qu’elle avait précédemment embauchées et qui ne lui amenaient que des problèmes avec la clientèle, qui arrivaient sans arrêt en retard, ne pensaient qu’à aguicher les clients hommes, y compris même devant leur épouse. Avec moi, embauché sous ce nouveau contrat précaire, et en plus à temps partiel au début, il faudrait que ça change. Elle m’avertit qu’elle me tiendrait serré, qu’il faudrait que je lui obéisse, que je sois docile même… Je tenais les yeux baissés, je ne disais rien, je me faisais tout petit, mais j’étais déjà sous l’emprise de cette femme, je sentais que l’excitation montait en moi, que j’étais déjà prêt à m’abandonner entre ses mains. Je percevais qu’elle le sentait, et elle avait d’ailleurs déjà dû remarquer que je rougissais, comme toujours dans ce genre de situation. Je suis très émotif : je rougis, je pleure dans les manifestations lorsqu’elles deviennent un puissant mouvement de foule, dans les musées lorsque les tableaux sont trop beaux, j’ai même été pleurer à Lourdes où j’ai dû passer pour un dévot alors que je ne crois plus à rien… Elle avait bien ressenti mon émotion et voulut s’en assurer en me demandant, tout en se mettant soudain à me tutoyer : « Et toi qu’en penses-tu ? ». J’étais fait aux pattes, j’étais pris dans ses filets, et je lui répondis que je ferai tout ce qu’elle voudrait, que je me soumettrai à tous ses ordres, ses désirs. Elle reprit immédiatement mes propos : « Tous mes désirs ? ». Je répondis en baissant les yeux pour cacher mon trouble : « Oui Patronne !Après avoir réfléchi un instant, elle me dit alors de venir derrière son bureau, puis me prit les deux mains, en me regardant droit dans les yeux, que je baissai immédiatement, gêné et rougissant de plus en plus. Elle commença à me raconter qu’elle venait d’avoir 62 ans, que son mari était parti avec l’une de ses jeunes employées trois ans auparavant, et qu’elle s’était alors noyée dans le travail. Son entreprise était florissante, son savoir-faire professionnel était reconnu et on venait de lui proposer une responsabilité dans une organisation patronale, mais elle était seule, désespérément seule… Si, outre mon travail à l’entrepôt, j’acceptais de lui être docile dans ce domaine, non seulement elle me garderait, mais elle me ferait bénéficier d’un bon salaire, me sortirait peut-être avec elle. En fait elle me proposait de louer ma soumission au mois ! Elle m’expliqua qu’ayant été longtemps mariée à un homme machiste, qui la prenait presque tous les jours, souvent après avoir bu et sans lui demander sa permission, elle ne supportait plus les hommes autrement que soumis. Elle avait essayé des prostitués, mais elle les trouvait trop jeunes, et ceux qui étaient disponibles à proximité n’étaient que des homosexuels, souvent des petites tapettes préférant tendre leurs fesses plutôt que faire jouir une femme dans la soixantaine. Ils louaient en outre leurs services trop chers, et elle avait surtout peur d’attraper une MST, avec des jeunes plus ou moins prêts à n’importe quoi sous l’emprise de la drogue. En clair, je représentais pour elle une opportunité à saisir, et dans son monde on sait les saisir….Après ce petit laïus qui m’avait tout à la fois apitoyé, séduit et terriblement excité, elle me demanda de prendre ma décision, tout de suite. Je répondis sans hésiter : « Je ferai ce que vous voudrez Patronne ». Elle me remercia et m’avertit qu’elle allait m’essayer tout de suite. J’avais l’impression bizarre d’être une paire de chaussures que l’on enfile pour faire quelques pas avant de l’acheter… Mais avant cela, elle téléphona à ses employées pour les avertir qu’elle devait s’absenter, qu’elle passerait par la petite porte de derrière, et qu’il leur faudrait donc fermer l’entrepôt sans elle, dans une demi-heure au plus tard. Elle alla ensuite fermer la porte à clé et baisser les stores intérieurs, après avoir éteint la lumière, mettant son bureau dans une relative pénombre, à peine éclairé par les lumières de l’entrepôt. Je restai sans bouger, attendant ses instructions, je sentais que mes joues étaient aussi rouges que ceux d’une vierge avant d’entrer dans la chambre nuptiale, mais aussi que ma verge commençait à durcir dans mon pantalon. Là, c’était certain, pour garder mon emploi tout neuf, il me faudrait être à la hauteur de ses envies, et de mes vieux fantasmes de domination féminine…Elle revint s’asseoir sur le devant de son bureau et, après avoir à moitié relevé sa jupe, elle m’ordonna de venir devant elle, puis de m’agenouiller à ses pieds. Le cœur battant à rompre, les joues cette fois toutes rouges, je m’exécutai malgré mes jambes un peu molles… Elle me tendit alors son pied. J’enlevai sa chaussure, la posai délicatement par terre, et me penchant je respirai l’odeur du cuir et de son pied de femme manucuré et soigné. Je ne suis pas un fétichiste des pieds féminins, mais ce petit bijou de pied, cette odeur, bizarrement, rendirent ma verge plus dure.Pendant ce temps, ma Patronne avait posé son pied sur ma tête pour la caresser, puis pour m’appuyer le visage sur sa chaussure. Je sentais la finesse de son collant sur ma tête, sur ma nuque. Me retournant, je lui pris le pied à deux mains et je commençai à le caresser, à l’embrasser, à le sentir. Cela me faisait un effet incroyable, rien qu’en me laissant adorer son pied cette femme venait de me rendre fou amoureux d’elle… Au bout d’un moment, elle m’ordonna : « plus haut mon petit chéri ». Je remontai donc le long de sa jambe, la caressant des deux mains aussi délicatement que je le pouvais.Arrivé au niveau des cuisses, je m’attardai à les caresser, à les masser, ému par la douceur du nylon et de la peau qu’il recouvrait. Ma Patronne se mit alors à resserrer ses cuisses et à pousser ma tête, ma bouche contre son entrejambe. L’endroit était soyeux du fait du collant, chaud et odorant, et je sentais sous mes lèvres l’élasticité d’une motte bien rebondie. Je devinai sous le nylon les deux grosses lèvres de ma Patronne : j’étais aux portes du grand mystère qui attire irrésistiblement les hommes vers les femmes, depuis des centaines et des centaines de milliers d’années… Mais elle se retira soudain, se releva et enleva prestement son collant de marque, ne gardant qu’une large culotte blanche, toute simple, avec un motif de dentelle de chaque côté de l’emplacement du pubis. Cette culotte de satin avait une classe folle, loin de ces sous-vêtements de putes que l’on vend dans beaucoup de boutiques de luxe pour ce genre de clientèle aisée. On devinait ses grandes lèvres sous le fin tissu, et quelques poils dépassaient de l’entrejambe où s’étalait déjà une infime trace de mouille…S’appuyant sur le bord du bureau, elle me fit signe de revenir à sa source, avec un petit sourire complice dans les yeux, satisfaite et amusée, peut-être flattée aussi de ma docilité. Je ne me fis pas prier et je revins appliquer ma bouche contre ses lèvres encore dissimulées sous le fin tissu, en cherchant à titiller l’emplacement probable de son clitoris. Puis je descendis vers l’entrejambe en cherchant à la masturber avec mon nez, pendant que ma bouche faisait ventouse sur la partie basse de ses grandes lèvres, et que mon nez cherchait à sentir l’odeur de son sexe. Je la masturbais ainsi depuis un moment lorsque son pubis se mit à osciller en s’appuyant de plus en plus fort sur mes lèvres. Ses mains, de chaque côté de ma tête, cherchaient à préciser l’action de mes lèvres contre son sexe, et puis soudain un tremblement, des vagues de plaisir qu’on sent parcourir le ventre, une pression encore plus forte des mains, un cri : « Ouiiiiii !, Rhaaaaaaa ! ». J’avais rempli ma fonction, j’avais fait jouir ma Patronne. Mais moi aussi j’étais soudain vidé, je me sentis d’ailleurs pris d’une soudaine baisse de tension qui me fit bourdonner les oreilles, j’étais prêt à m’écrouler et ce sont les mains de ma Patronne qui me retinrent. Je ne l’avais pas pénétrée, je n’avais pas juté en elle, mais la jouissance avait été si puissante pour moi que j’avais été à deux doigts de défaillir, et je m’en serais bien tenu à cela.Malheureusement ce n’était pas l’avis de ma Patronne, qui me tenait toujours en mains, solidement retenu entre ses cuisses. Se réanimant un peu elle m’exprima son émotion et sa satisfaction, en me disant :— C’est un petit mari soumis à mon plaisir, comme toi, qu’il me faudrait dans mon lit.J’étais passé de statut de stagiaire à celui de petit mari soumis potentiel en quelques instants…— Tu vas continuer à me servir, là, j’ai encore envie de ta langue entre mes cuisses.Elle avait prestement retiré sa culotte, qu’elle avait posée sur le bureau à côté d’elle : petit bijou odorant que j’aurai bien aimé sentir et prendre en bouche, goûter comme un vin de qualité. Malgré la relative pénombre, j’avais enfin pu admirer furtivement son sexe, bombé à souhait, avec de grosses lèvres un peu bestiales, qui tranchaient avec le raffinement de la personnalité de ma Patronne. Il était couvert de poils dont certains étaient déjà gris, un détail qui m’excite au plus haut point, parce qu’il montre qu’une femme en est à son automne, qu’il faut qu’elle se donne, vite, tant qu’il en est temps… J’ai toujours été fasciné par les choses un peu raffinées qui commencent à vieillir, par les meubles anciens, les vêtements longuement portés, les monuments usés par le temps… Toutes les belles choses dont on sent qu’elles prennent de l’âge et vont un jour disparaître me séduisent, et même si je ne les compare pas à ces choses, je ne trouve rien de plus séduisant, depuis tout jeune, que les femmes de plus de 50 ou 60 ans, par les premières rides qui donnent tant de charme à leur visage…Fasciné par le sexe offert à mes yeux, les sens affolés par ce que je venais de vivre, je comprenais une chose : moi qui détestais les patrons en tous genres, j’étais, en quelques instants, tombé amoureux de ma Patronne, elle m’avait rendu esclave de mes sens, de mon attirance pour elle.Je n’avais plus à me poser de questions, il fallait servir cette femme qui était devenue en quelques instant ma Maîtresse, dont j’étais dorénavant l’esclave… Je me remis donc à lui sucer le sexe, à laper comme un chien entre ses lèvres, en essayant d’enfoncer ma langue au plus profond de l’entrée de son vagin, en mouillant le plus possible l’intérieur pour compenser la faiblesse de sa mouille de femme ménopausée. Même si elle mouillait modérément, mon nez sentait l’odeur de plus en plus forte de son sexe de femme prête à se faire prendre. J’en avais d’ailleurs très envie, j’aurais aimé enfiler une capote sur ma verge devenue très raide, très dure, avec un gland plus gros et plus violacé qu’à l’habitude, et puis la pénétrer sans autre préparation, la bourrer à fond, jusqu’aux couilles, enfin décharger tout au fond d’elle, me vider jusqu’à en avoir mal, puis recommencer à la bourrer… Mais c’était des désirs de mâle, de dominant, des désirs enfouis dans mes chromosomes, et ce n’est pas ce qu’elle désirait aujourd’hui. Je devais lui obéir docilement, et j’avais envie non de profiter égoïstement d’elle, mais de la servir, d’être un objet entre ses mains. Je voulais qu’elle oublie son porc de mari, avec son haleine empuantie par l’alcool, ses plaisirs égoïstes, malsains. Je voulais lui montrer qu’un homme, et pas un homosexuel, pouvait l’aimer suffisamment pour oublier son propre désir de la prendre, pour se mettre au service de son plaisir, pour l’adorer comme une œuvre d’art, pour lui offrir sa soumission…Au bout de peu de temps je sentis monter en elle une seconde jouissance encore plus forte que la première. Elle serra ma tête entre ses cuisses et ses mains si fortement que je crus qu’elle allait m’étouffer. Elle se détendit enfin, attendit un moment, repoussa ma tête, puis me regarda tendrement, presque maternellement.— Tu m’as donné beaucoup de plaisir, mon petit chéri. Je t’embauche, il faudra me servir souvent comme cela. Tu sais je vieillis, et je veux dorénavant prendre du plaisir, ne plus penser qu’au travail. Si tu es très docile, je te mettrai dans mon lit pour me servir et pour m’aimer. Nous verrons cela. Maintenant laisse-moi travailler, j’ai encore des dossiers à traiter. Rentre chez toi, et reviens demain à 8 heures, je te donnerai mes ordres pour ton nouveau travail, car il faut aussi que tu me donnes satisfaction dans cet emploi. Je compte sur toi, je sais que tu seras docile, que tu chercheras à satisfaire ta Patronne, je peux même dire ta maîtresse, hein ! petit esclave chéri.Elle me tendit alors sa culotte :— Un petit cadeau pour toi, pour que tu penses à ta Patronne, ce soir dans ton lit. Allez, va…Aux pieds de Maîtresse 4 (à suivre).