UNE PETITE ANNONCE PARTICULIERE
Postée par : Crisduvent
FEMME/HOMME/INCONNU/INSOLITE
C’est le titre d’une petite annonce qui m’a interpellĂ©e et voici le texte que j’y lis!
Je suis une femme d’une quarantaine d’annĂ©e, je souhaite rencontrer un homme que je ne connaitrais pas dans un lieu insolite. Messieurs proposez moi la suite
Proposée le 13/09/2022 par Rackham Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuellesPersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Roman
Je prends donc mon clavier et je m’empresse de pondre un synopsis.
Il me faut bien entendu aller vĂ©rifier sur place Ă l’heure que je lui donne si rĂ©ellement l’endroit est insolite, discret et nĂ©anmoins pas frĂ©quentĂ©.
Toute vĂ©rification faite, je lui envoi le scĂ©nario que je lui ai concoctĂ©, en rĂŞvant secrètement qu’il lui plaise.Un jour puis deux jours se passe, toujours pas de rĂ©ponse Ă mon mail, je me dis douĂ© comme je suis en informatique j’ai foirĂ© l’envoi de mon message via le site de petites annonces puisque c’est par son biais que nous devions entrer en contact.
Ou bien avait-elle reçu tellement de propositions qu’il lui a fallu du temps pour les lires et faire son choix, je n’avais pas bon espoir.Le quatrième jour, je ne pensais dĂ©jĂ plus Ă ce mail envoyĂ© absorbĂ© par une masse de travail qui Ă©tait tombĂ© d’un coup, et lĂ dans ma boĂ®te une rĂ©ponse, « Crisduvent » m’avait rĂ©pondu, j’hĂ©sitais Ă l’ouvrir, Ă©tais-ce une bonne nouvelle ou une missive qui m’annonçait ne pas ĂŞtre le laurĂ©at.
Miracle, mon histoire lui a plu, elle veut appliquer mon scĂ©nario A LA LETTRE comme elle me l’Ă©crit en ajoutant que nous n’Ă©changerons aucune photos, pas de prĂ©noms et ne nous embrasserons pas sur la bouche, formuler comme tels cette dernière exigence fait un peu petite fille mais je tiens Ă accĂ©der Ă toutes ses demandes. Seule une brève description physique accompagne se message.
Je m’affaire Ă lui rĂ©pondre que j’Ă©tais ravi d’avoir eu sa prĂ©fĂ©rence et que je respecterai Ă la lettre la trame de notre rencontre ainsi que ses derniers souhaits.
Elle me demande Ă©galement de fixer un jour, je lui propose donc deux dates, pas trop proches mais pas trop Ă©loignĂ©es non plus afin qu’elle puisse choisir celle qui lui conviendra le mieux. Dans l’heure je reçois sa rĂ©ponse pour le jeudi suivant vers 22hr30, Ă cette heure, il ne fait pas totalement noir mais suffisamment pour que la pĂ©nombre nous serve un tant soit peu de manteau.Que ses cinq jours furent longs.Enfin vient le jour attendu, n’y tenant plus je me rends Ă l’endroit de rendez-vous une bonne demi-heure avant le moment fixĂ©, lors de ma reconnaissance des lieux, j’avais trouvĂ© un petit recoin sombre depuis lequel, de par sa configuration, me permettais de voir les deux chemins d’accès, le tout sans ĂŞtre vu.
La nuit commençait Ă tomber, Ă©clairĂ© faiblement par la lune qui n’en Ă©tait qu’Ă son premier quartier et qui de plus jouait Ă cache-cache avec les nuages. La tempĂ©rature de cette nuit d’Ă©tĂ© est parfaite, la journĂ©e n’a pas Ă©tĂ© trop chaude, il doit encore, malgrĂ© l’heure faire un peu plus de 20°.
Je montais « l’allĂ©e verte » en pavĂ©s qui menait Ă un premier virage, ensuite je poursuivais sur la pente un peu moins forte vers le pont-levis car mon lieu de rendez-vous Ă©tait sur une citadelle du 15ièmesiècle. Je le franchi et me dirige vers l’endroit que j’ai proposĂ© à « Crisduvent » pour nous retrouver afin de vĂ©rifier que la zone est bien libre. Je suis dans une sorte de porche Ă double lourdes portes qui devait empĂŞcher les assaillants de rentrer ou Ă tout le moins fortement ralentir leur progression, actuellement elles sont « bloquĂ©es » en position ouvertes.
C’est une plateforme herbagĂ©e entourĂ©e d’un muret en pierre d’un bon mètre de haut, pour l’atteindre il faut, après avoir empruntĂ© le pont-levis, tournĂ© Ă gauche dans le porche et je franchis une autre porte de bois qui ne s’ouvre que très difficilement, je contrĂ´le que je peux la manipuler car, je compte bien Ă tout le moins la fermer partiellement derrière nous. Cette prĂ©caution vĂ©rifiĂ©e, je rejoins ma cachette, il me reste vingt minutes Ă attendre, mais pourquoi suis-je venu si tĂ´t, je me mets la pression inutilement, quelques minutes avant aurai Ă©tĂ© amplement suffisantes, oui et si elle avait dĂ©cidĂ© d’ĂŞtre un tout petit peu Ă l’avance, une part de notre contrat ne serai pas respecter.
Une lĂ©gère fraicheur s’installe car se versant n’est plus au soleil depuis midi, de plus dans cette tour carrĂ©e dĂ©bouche un souterrain qui viens du rempart du cĂ´tĂ© de l’ennemi et servais de chemin de rondes et d’Ă©coute pour entendre si l’ennemi ne creusait pas des tunnels afin de faire sauter les murailles.Je me repasse le scĂ©nario en tĂŞte, tout devrais bien se passer.Je sursaute absorber par mes pensĂ©es je n’avais pas entendu, … des pas, … on vient, … mais des voix aussi, ce ne peux ĂŞtre elle, c’est une couple, ils se tiennent par la main arrivant depuis le dessus de l’allĂ©e verte et se dirige vers le bas, ils ralentissent en passant dans la zone noir entre les deux grandes portes ou je me trouve, l’homme fait pivoter la femme vers lui, l’enlace et l’embrasse fougueusement. Pourvu qu’ils ne restent pas plantĂ©s lĂ , elle pourrait prendre peur et ne pas venir, je n’ose respirer afin de ne pas les alerter.
Tout Ă coup la femme se libère de l’emprise des bras de l’homme en lui disant « Vient, j’ai peur, c’est trop sombre ici, allons chez moi ». Et ils s’en vont presque en courant.Le bruit de pas des amoureux s’Ă©loigne rapidement et le silence reprend ses droits.
Je reprends mon souffle en guettant, il ne faudrait pas que je dĂ©voile ma prĂ©sence par mon essoufflement. J’arrive Ă calmer ma respiration, je surveille les deux chemins d’oĂą « Crisduvent » peut arriver, je dois me contorsionner un peu pour Ă©pier celui qui vient du bas de l’allĂ©e verte, mais pour l’autre, aucun problème il est pile en face de moi.Je tends l’oreille, des talons de femme martèlent le sol en venant du bas de l’allĂ©e, mon cĹ“ur bondi dans ma poitrine. Fausse alerte, elle continue tout droit et ne tourne pas vers moi, j’espère m’ĂŞtre bien expliquĂ© et que « Crisduvent » ne se trompe pas. Au final je me demande si ce petit coin est une si bonne idĂ©e, au vu des mouvements que j’ai dĂ©jĂ constatĂ©s.Absorber par mes rĂ©flexions et probablement couvert par les bruits de pas de l’autre femme je m’aperçois qu’une deuxième femme a tournĂ© dans l’allĂ©e mais celle-ci emprunte le chemin qui monte.
La lune qui jusqu’à prĂ©sent Ă©tait restĂ©e cachĂ©e se dĂ©voile providentiellement et je peux parfaitement dĂ©tailler la femme qui s’avance vers le pont-levis.
C’est elle, j’en suis sĂ»r, elle ressemble en tout point Ă la brève description que Crisduvent avait faite d’elle, bien qu’apparemment elle ait minimisĂ© certain dĂ©tailles. Grande les cheveux roux qui cascade sur ses Ă©paules, je ne vois pas son visage, mais de toute façon cela fait partie du « contrat », car elle porte un large chapeau qui ombre celui-ci. Elle avait optĂ© pour une jupe et un chemisier chamarrĂ© qui ne cache rien d’une opulente poitrine Qu’elle s’Ă©tait bien gardĂ©e de vantĂ© dans son autoportrait, qui disait simplement d’elle : « une femme, grande, dans la quarantaine aux long cheveux roux et bien conservĂ©e ». Elle porte donc une jupe large, en accord avec le haut, qui descend jusqu’au-dessous du genou probablement qu’elle la trouvait plus pratique que la robe prĂ©vue, ne chicanons pas, elle Ă©tait de toute façon ravissante.
Je la regarde s’approcher, il Ă©mane d’elle une simplicitĂ© pure et spontanĂ©e et en mĂŞme temps une sensualitĂ© naturelle.
Elle porte une paire de chaussures Ă talon tellement haut qu’ils ne doivent pas ĂŞtre des plus confortables sur ce chemin en pavĂ©s, elle arrive sur le pont-levis en entame le franchissement, et lĂ , catastrophe, son talon se prend dans l’interstice entre deux planches, je dois rĂ©frĂ©ner mon envie de bondir pour aller l’aider, pourvu qu’elle ne se soit pas faite mal. Non, tout va bien elle dit quelque chose d’incomprĂ©hensible mais reprend sa marche.
Elle passe devant moi prudemment car il fait tellement sombre, mes yeux eux sont largement habituĂ© Ă la pĂ©nombre depuis le temps que j’y suis, je peux admirer le galbe parfait de ses mollets, gainĂ© dans une paire de bas noir avec un fin dessin et quelques strass brillant un peu haut dessus de la cheville, accentuĂ© par la hauteur des talons, j’imagine dĂ©jĂ ses cuisses musclĂ©es.
Dans son sillage flotte un mĂ©lange de lavande de menthe et de vanille c’est « Le Mâle » qui allie puissance et sensualitĂ© portĂ© par une femme très sexy, ce parfum lui va Ă ravir.Elle regarde autour d’elle, hĂ©site un instant lorsqu’elle regarde de mon cĂ´tĂ©, non, impossible qu’elle me voit j’en suis sĂ»r, ses yeux n’ont pu s’habituer Ă la pĂ©nombre, en effet elle tourne sa tĂŞte Ă gauche comme prĂ©vu franchi la porte et se dirige vers le muret en pierre et regarde par-dessus la vue y est jolie sur le cours d’eau qui passe une cinquantaine de mètres plus bas. La position surplombe la vieille ville, personne depuis les bâtiments en face ne pourrais nous apercevoir car bien trop en contre-bas par rapport Ă notre point de vue.Elle est Ă nouveau en pleine lumière comme si la lune accentuait sa rĂ©flexion et concentrait cette lumière pour sublimer cette beautĂ©.Je ronge mon frein, il n’est pas l’heure encore, qu’Ă cela ne tienne, je me rĂ©gale du spectacle que m’offre cette femme que je ne connais pas et qui s’est mise Ă tournoyer doucement dans la lumière.
A un moment j’ai cru que j’allais apercevoir son visage car tout en tournant elle lève sa tĂŞte en regardant vers la lune, je ne vois que le bout de son nez mutin et ses lèvres, le reste de son visage cachĂ© par le large bord du chapeau qu’elle rabat de sa mains, tendue vers notre satellite pour s’abreuver de cette clartĂ©.Elle fait volte-face en prenant bien soin de regarder Ă nouveau vers le bas. Elle parcourt ses Ă©paules, ses bras, ses hanches et son ventre d’une dĂ©licate caresse de ses mains, cela a le don de m’Ă©chauffer les sens.
Tout Ă coup elle s’arrĂŞte, s’appuie dos au muret, jambes lĂ©gèrement Ă©cartĂ©es, se penche lentement en avant faisant preuve d’une grande souplesse, qui ne m’Ă©tonne qu’Ă moitiĂ© au vu de l’attitude sportive de sa silhouette, pose ses mains sur ses pieds, remonte doucement tellement doucement le long de ses jambes.ArrivĂ©e Ă hauteur du bas de la robe, j’ai une vision plongeante dans l’Ă©chancrure du chemisier et je devine plus que je ne le vois le sillon sĂ©parant ses volumineux seins. Cet aperçu a failli me faire rater une partie du spectacle que la belle me prĂ©sente, car en continuant le mouvement de ses mains, elle l’emporte dans ses doigts le bas de la jupe avec.Mon cĹ“ur cogne dans ma poitrine tellement fort que j’ai peur qu’elle ne l’entende. J’ai envie de bondir hors de ma cachette, mais il faut impĂ©rativement que je refreine mes pulsion sous peine de rendre caduque notre « accord ».Sans se douter des sentiments contradictoires qui taraude mon esprit elle continue la progression de ses mains vers le haut, s’arrĂŞte et j’aperçois la lisière de ses bas une bande large et noire et lĂ juste au-dessus quelques centimètres de peau d’une blancheur laiteuse et merveilleuse, normale pour une femme rousse.Soudain elle continue l’ascension, mais lâche le tissus qui retombe me privant du spectacle de ses jambes fuselĂ©es gainĂ©es de noir, mais ce n’est que partie remise, bientĂ´t je les parcourrais de mes mains, je ferais crisser le nylon et je poserai ma joue sur sa peau si fine.
Elle arrive Ă hauteur de sa poitrine et elle ouvre un bouton puis deux afin d’agrandir le dĂ©colleter en Ă©cartant bien le tissu qui dĂ©gage bien la vision sur un soutien-gorge que je devine dans l’ombre du couvre-chef Ă balconnets. En abaissant encore plus sa tĂŞte, elle Ă´te complètement l’ombrage fait par la coiffe, la clartĂ© venant du ciel plonge dans le dĂ©colleter ainsi dĂ©gagĂ©, submerge de lumière le buste d’une blancheur virginale triomphant et impertinent semblant me narguer comme encadrĂ© de part et d’autre par la coulĂ©e cuivrĂ©e de la chevelure.
C’est la pire torture psychologique, selon notre pacte il me sera impossible d’embrasser ses merveilles. Oh, atroce douleur!Brusquement la belle se dĂ©robe Ă mon regard en se retournant face au parapet, … c’est le signal.Et oui! Elle avait stipulĂ© dans le « contrat » souhaitĂ© jouer un peu dans le registre de l’exhibitionnisme, risquĂ© car si quelqu’un Ă©tait descendu ou montĂ© de l’allĂ©e verte, je ne savais la prĂ©venir et l’importun serait tombĂ© nez-Ă -nez avec une femme dĂ©poitraillĂ©e certes fort ravissante et d’oĂą il se trouverait, c’est-Ă -dire Ă peine deux mètre devant moi, dans une zone complètement noire et elle ne s’en serait pas aperçue.
Heureusement il n’en fĂ»t rien.Le signal signifiait que je pouvais sortir de ma cachette et que nous pouvions entamer la deuxième partie de notre scĂ©nario.
Je suis dans un Ă©tat d’excitation assez indescriptible, cette belle inconnue m’a Ă©chauffĂ© les sangs et mes sens sont en Ă©mois.J’attends encore quelques secondes avant de sortir de mon recoin, je traverse le chemin, franchi la porte empruntĂ©e quelques minutes auparavant par la belle inconnue aux cheveux de feu.
Je repousse doucement la lourde porte derrière moi, elle grince un peu, qu’Ă cela ne tienne, cela apporte un peu de suspense, d’excitation.
Comme je l’ai « testĂ©e », elle se ferme complètement, mais rien pour la bloquer.Je me dirige vers cette grande femme, elle me l’avait dit, 1m75 encore amplifiĂ© par la hauteur des 12 cm de talons, c’est exactement ce qui faut pour flirter … avec mon mètre nonante.
Je m’approche doucement, je ne prends pas trop garde au bruit afin qu’elle puisse estimer la distance Ă laquelle je me trouve d’elle et ainsi faire monter en elle se dĂ©sir de l’approche.
Je fausse un peu le jeu en ralentissant au fur et Ă la mesure que la distance entre elle et moi s’amenuise, elle tourne lĂ©gèrement la tĂŞte pour mieux percevoir les sons, mais mes bruits de dĂ©placement sont quelque peu attĂ©nuĂ© par les bruits de la ville en contre-bas.Je suis Ă quelques centimètres derrière elle, Ă quelques centimètres de son corps, il faut que je refrène l’envie qui me taraude de l’enlacer, j’approche ma bouche de sa nuque dĂ©gagĂ©e, seul quelques mèches cascade sur son dos, la majeur partie de sa toison coule sur son buste. Mon souffle chaud vient caresser sa nuque, je respire son parfum, il lui va Ă ravir. La tension de nos corps est palpable, l’Ă©lectricitĂ© est dans l’air, je voudrais l’entourĂ©e de mes bras, la serrer fort contre moi, mais il me faut patienter encore un peu.
Je dĂ©pose doucement mes mains sur ses Ă©paules, elle a un sursaut, mes lèvres viennent rejoindre sa nuque pour un baiser tendre presque imperceptible, elle frissonne.Maintenant que le premier contact entre nos corps est Ă©tabli, je m’approche, je me colle Ă elle, elle ne peut pas ignorer mon Ă©tat d’excitation et d’ailleurs elle insiste pour le sentir encore plus par la courbure qu’elle impose Ă son dos pour que ses fesses entre en contact très intime, sĂ©parer qu’ils sont par nos vĂŞtements, avec mon sexe en Ă©rection. Mes mains descende le long de ses bras, j’enlace ses doigts avec les miens et replie ses bras pour poser nos mains sur son ventre plat, nous dĂ©faisons les boutons de son chemisier, nos doigts se coordonnent Ă merveille comme-ci ils ne venaient que d’une seul et mĂŞme main.Je mangeais sa nuque de baisers et cela avait l’air de lui plaire, elle ondulait contre moi comme si elle essayait de me dĂ©shabiller sans les mains.
Je remontais mes mains, elle les accompagnât des siennes, vers son opulente poitrine et qui n’avais nullement besoin du soutien-gorge Ă balconnet tellement elle Ă©tait ferme. Je soupesais les seins et nous les massons avec douceur, elle dirigeait discrètement nos mouvement d’abord en formant comme une coupelle et ensuite en remontant vers les mamelons. Sa respiration s’accĂ©lère, son souffle devient pour cours, la palpation provoque en elle de petits gĂ©missements : « Hummmmmmmmmmmm » que cette musique qui arrive Ă mes oreille est divine Ă entendre.Nos doigts frĂ´le les tĂ©tons qui sont dĂ©jĂ bien Ă©riger alors qu’ils n’ont encore reçu aucune caresse, nous les emprisonnons entre mon pouce et son index et leur imposons un mouvement tournant qui arrache de petits cri Ă©touffĂ© Ă mon amante : « Aaaahh, ouuuuch », je relâche la pression de peur de lui faire mal, dans un gĂ©missement elle me souffle : « Noooon cooontinuuuuuee », son bassin est animĂ© d’une houle qui si elle s’amplifie fera chavirer le frĂŞle esquif qu’est mon sexe qui navigue entre nos deux corps.Cette femme est d’une rĂ©ceptivitĂ© au niveau mammaire jamais vue, j’insiste donc, ses mains ont quittĂ© les miennes et je suis donc seul aux commandes, je m’exĂ©cute et continue Ă triturer les bouts qui sont devenu tellement gros et long que j’en suis impressionnĂ©.Elle prend une de mes mains et porte mes doigts Ă sa bouche, les humidifies et la repositionne au mĂŞme endroit, je fais de mĂŞme avec l’autre.
« Vas-y serre les fort, pinces les, tort les » m’invective-t-elle, je m’exĂ©cute en serrant les tĂ©tons tout en pĂ©trissant chaque sein comme une pâte Ă pain, elle n’en peut plus, se mord les lèvres pour ne pas crier, son corps se presse plus fort encore contre le mien et est secouĂ© de tremblements, ses jambes semblent dĂ©faillir et je la soutien pour ne pas que la jouissance qui l’emporte ne la fasse choir. Sa respiration est haletante et je ne suis pas dans un plus bel Ă©tat, suis au bord de ma propre jouissance par cette sarabande effrĂ©nĂ©e que sa croupe Ă prodiguer Ă ma verge toujours emprisonnĂ©.Jamais je n’avais connu une femme capable de jouir uniquement par la caresse de ses seins, j’en tire un plaisir incommensurable et en mĂŞme temps une tellement grande frustration de ne pouvoir les embrasser, puisque notre accord stipule que nous ne devons pas voir nos visages respectifs.Sa respiration se calme un peu, je dĂ©pose quelques dĂ©licats baisers dans sa nuque.
Les battements de mon cĹ“ur que je sentais pulser dans mon sexe reviennent Ă un rythme Ă peine raisonnable.Nous sommes toujours comme soudĂ© l’un Ă l’autre, mes mains ont quittĂ© son buste pour son ventre et la maintenir encore plus près de moi comme-ci je voulais l’empĂŞcher de partir, hors il n’Ă©tait pas encore question de se sĂ©parer la trame Ă©tait Ă peine entamĂ©e.Nous tentons de reprendre nos esprit, elle du plaisir qui l’a secouĂ©e et moi de m’ĂŞtre retenu d’exploser.
Ses mains passent furtivement entre nous pour masser mon Ă©rection au travers du tissu de mon pantalon, elle libère le prisonnier qui pulse contre ma braguette, sa tĂŞte dĂ©jĂ au-dessus de l’Ă©lastique du boxer, il fait de lĂ©gers mouvements de balancier tellement la pression et l’excitation sont intense, le sang pulse dans ma tige, la sortir lui fait le plus grand bien.
Elle entame un dĂ©licieux ballet de bas en haut en tournoyant autour de mon vit juste en l’effleurant d’une main et de l’autre soupèse mes bourses et les caresses.
Etonnement cette caresse si douce tend Ă faire diminuer la pression accumulĂ©e.Ayant toujours mes mains sur son ventre, de l’une d’entre elle je l’attire en arrière afin de l’Ă©carte du muret et de l’autre je pèse sur une Ă©paule pour la faire se pencher en avant, elle sait exactement oĂą je veux en venir, nos bassin sont toujours verrouillĂ© l’un Ă l’autre, mais je m’en dĂ©tache Ă regrets.
Mes mains glissent le long de ses flancs dĂ©licieusement doux, je me penche et je remonte quelque peu le chemisier pour dĂ©poser de tendres baisers au creux de ses reins.Je poursuis le mouvement descendant, ses hanches, ses fesses et lĂ je sens comme une Ă©paisseur qui cours verticalement le long du haut de sa cuisse, diablesse, la coquine a mis un porte-jarretelle, je suis les Ă©lastiques du bout des doigts et continue la descente jusqu’au bas de la jupe, j’empoigne le tissus et le remonte jusqu’Ă ses reins non sans en passant de mes ongles faire crisser le nylon des bas et d’appuyer plus lors du passage sur ses fesses comme pour y imposer ma marque de griffure.
Je me mets Ă genou derrière, j’admire se postĂ©rieur enserrer dans cette culotte noire transparente, les serpents du porte-jarretelle fixĂ© aux bas d’un noir satinĂ©.
Je passe mes mains Ă deux centimètre de ce corps tout au long de ses jambes qui semblent interminable.Arriver en bas je remonte dans une caresse lente en touchant Ă peine les merveilleux fuseaux. Elle Ă©carte le compas de ses deux jambes, je dĂ©marre de ses chevilles passe sur le coup de pied puis le creux derrière les mallĂ©oles, m’attarde sur les mollets galbĂ©s par les talons haut.
J’arrive aux genoux, j’y dĂ©pose quelques baisers au creux de chacun et je poursuis l’ascension uniquement avec mes lèvres et ma langue en lĂ©chant de temps Ă autre les cuisses. En haut je me garde bien de rester en contact avec sa peau et lorsque j’arrive Ă hauteur de son antre, c’est uniquement de mon souffle que je la caresse.Cette femme Ă une sensibilitĂ© Ă fleur de peau, depuis que j’ai posĂ© mes mains sur ses pieds sa respiration c’est accĂ©lĂ©rĂ©e, lorsque ce fut le tour de mes baisers et lĂ©chages des gĂ©missements tente de franchir la barrière de ses lèvres qu’elle garde bien closent afin d’Ă©viter d’attirer trop l’attention sur notre secrète position. Des « Huuuuummmmmmm » viennent de sa gorge et se bouscule en un son grave.
Je trouve cette musique particulièrement enchanteresse.Je m’approche sans la toucher et je souffle mon air sur son entrecuisse qui est vierge de poils, elle a l’air de trembler sous la brise sortant de ma bouche, je sens l’odeur du plaisir qui l’a secouer il y a quelques minutes, parfum enivrant qui attise mes sensations, je ne rĂ©siste plus et je dĂ©pose mes lèvres sur celle de sa grotte d’amour et au travers du tissus transparent je souffle l’air expulser de mes poumons, je me saoul de son odeur en inspirant profondĂ©ment et j’expulse l’air chaud pour rĂ©chauffer son abricot.
Mes mains pĂ©trissent ses fesses comme une pâte, elle y joint les siennes, mais plutĂ´t pour les Ă©carter afin que je puisse mieux atteindre l’objet de mes convoitises.
Je lèche, je lape le fruit ainsi mis Ă ma portĂ©e, dessus, Ă gauche, Ă droite, en bas, en haut, j’essaye d’ĂŞtre partout Ă la fois.Je glisse ma mains par en dessous et je recherche le petit bouton qui fait grimper l’Ă©chelle du plaisir jusqu’au sommet de la jouissance. Par son dĂ©hanchement elle guide mes doigts mais la culotte aussi jolie soit-elle est un frein Ă ma progression.
N’y tenant plus, je la tire vers le bas mais je suis dans l’empĂŞchement de l’enlever par l’Ă©cartement des jambes. Qu’Ă cela ne tienne, ce sera pour plus tard, je fonds sur la grotte d’amour avec mes lèvres et sur le clito dĂ©jĂ bien gonflĂ© avec mon index.Elle soupir, sa respiration s’emballe, ses gĂ©missements m’encouragent Ă continuer intentionnellement ou pas : « Ooooh Ouuuuiiiii c’est b… trop b… encoooore ».
Je complète ma caresse par l’intromission de mon pouce dans son vagin Ă la recherche de cette zone que l’on appelle le point G et qui combine parfaitement avec la sensation procurĂ©e par l’effleurement du clitoris. A cet instant, une seule chose compte pour moi, son plaisir.LĂ aussi de par ses mouvements elle dirige mon doigt vers la bonne position tout en poussant toujours de petit couinements : « Hummmm… arrĂŞte… encore… c’est d… diviiiin ».
Elle ressert ses jambes pour enserrer ma main juste ce qu’il faut pour qu’elle puisse encore coulisser, j’en profite pour lui faire enlever sa culotte, que j’empoche, prise en otage, je lui rendrais contre une autre entrevue.Je suis remontĂ© un peu avec ma bouche et je lèche goulument la zone entre le vagin et l’anus, elle me dit : « Non pas ça », mais sa main maintien ma tĂŞte plaquĂ©e contre son entre-jambes et fini par lâcher un « Ouuuii… encoooore… vas-yyyyy lèèèche moi, tu me rends fooolle, plus viiiite… ». Je remonte encore un peu et darde ma langue pointue sur son petit Ĺ“illet qui n’est plus crispĂ© depuis longtemps. Je l’humidifie abondement, elle se tort tout en poussant son corps vers l’arrière de peur que je ne m’Ă©chappe, cela ne risque rien, son anus est maintenant luisant de salives et d’une souplesse qui me permet d’y insĂ©rer la pointe de ma langue.Mes doigts vont et viennent doucement mais en exerçant une pression plus forte encore, elle geint, se tort du plaisir ascendant. « Viiiiiens en moiiii, viiiite je veux te … sentir en moiiiiii… ». DĂ©licatement j’Ă´te mes doigts, je tente une dernière pression de ma langue sur sa rosette, elle rentre un peu, elle est dĂ©tendue par le plaisir qui la taraude.Je me relève, me colle Ă elle mon membre bien callĂ© entre ses fesses, je le frotte pour l’enduire de se mĂ©lange de salive et de sa propre excitation. Je m’Ă©carte un peu, empoigne mon vit et caresse ses lèvres de haut en bas, les Ă©cartent avec mon gland, elle recule pour que je la pĂ©nètre, mais je m’y attendais et lui refuse cette entrĂ©e en m’Ă©cartant, elle râle : « Ooooh… prends moi, stplaîîîîît… b… baise moi, je veux ta queue en moiiiii, baise moi fooort ».Je ne peux rien refuser Ă une femme d’autant plus lorsque c’est demandĂ© si gentiment, je fais encore un ou deux va et vient de bas en haut et d’un coup je plonge mon sexe tout entier jusqu’au fond du sien, je l’entends prendre une grande respiration et puis plus rien durant quelques secondes le souffle coupĂ© par la soudainetĂ© de l’intromission, ensuite vient un très long : »Ooooohooouuuuuiiiiiiihhhhuuuummmm, comme c’est bon, vas-y baise moi fort.
Je ressorts doucement centimètres par centimètres puis je fais le mouvement inverse, je suis tellement exciter que rien que cette première pĂ©nĂ©tration a failli me faire Ă©jaculer, alors doucement je vais coulisser mon Ă©rection dans le fourreau, il est abondamment lubrifier et je ne ressens quasiment aucun frottement.D’un coup elle ressert ses muscles internes et ma bite est subitement comprimĂ©e, je reste enfoncĂ© au plus profond de son antre et entame une danse au cĹ“ur de celle-ci.
« Comme tu me remplit bien, vas-y plus fort », sa main droite Ă filer vers mes bourses qu’elle masse comme si elle voulait en presser le liquide, ensuite elle se dirige vers son clitoris qu’elle caresse avec ferveur, ce qui ne manque pas de faire s’amplifier ses gĂ©missements, nous allons finir par attirer l’attention sur notre position, qu’Ă cela ne tienne, je m’exĂ©cute, je sors entièrement de son vagin et y replonge aussi vite en poussant bien au fond, « Aaaargg, plus fort », je m’extrait Ă nouveau et j’entame un va et vient endiablĂ©.
Puis d’un coup au moment de reculer, je m’arrĂŞte juste Ă l’entrĂ©e de son sexe et fait de petit mouvement rapide d’aller et retour en poussant ma queue vers le bas d’une main pour la frotter sur la face antĂ©rieur de son vagin histoire d’appliquer cette pression Ă ce brave petit G. Ce petit manège Ă le don d’innervĂ© mon frein et je ne peux le prolonger indĂ©finiment, son plaisir n’est pas loinJe pose mon autre main sur sa croupe flatte le galbe de ses fesses, insinue mon pouce entre les deux globes et masse la rosette, je presse doucement, mon pouce sans aucune rĂ©sistance, elle pousse un « Non pas lĂ Ă Ă aaaaaahhhhh », comme elle ressent que son petit Ĺ“illet n’oppose aucune rĂ©sistance son soupir se transforme en « Ouiiii c’est boooon ». Encourager, je reprends mon va et vient long et fort avec mon sexe complĂ©tĂ© par celui de mon pouce dans son petit trou.La belle se masturbe de plus en plus vite et moi je pistonne comme un fou, la pression monte en moi et je m’Ă©panche en elle en long jets chaud dans un râle difficilement contenu par mes lèvres closes « Huuuuuummmmmm, torrriiiiiide, put… qu’c’est boooooon ».
La seconde qui suit-elle tremble de tout son corps emportĂ©e par le raz-de-marĂ©e du plaisir, sa main s’arrĂŞte net et elles viennent attraper mes hanches pour me plaquer contre ses fesses au plus profond de sa grotte d’amour.
Un long gĂ©missement tente de franchir la barrière de ses dents serrĂ©es : « Ooooouuuuuiiiiiiiii, huuuuuuummmmmm, oooouuuuuuuchhhhhhhh, je jouuuuiiiiiiis, salaaaaaauuuuud comme tu m’as baiiiiiii… ». Je sens la pression de ses muscles internes qui veulent extraire les dernières gouttes de ma semence.Je me retire doucement en maintenant le prĂ©servatif, nous sommes des gens responsable et il en va de la sĂ©curitĂ© de chacun.
Je la fait se redresser pour pouvoir l’enlacer.
Mais ceci est Ă©galement le signal, le moment de nous sĂ©parer car comme convenu, nous ne devons pas nous attarder.Je m’Ă©carte d’elle pour me rĂ©ajuster.
Je dĂ©pose quelques baisers dans sa nuque en lui disant : « On prend contact quand tu veux, tu connais mon adresse et j’ai ta petite culotte en otage, je te la rends au prochain rendez-vous ».
« TraĂ®tre, salaud, lâche, s’attaquer Ă une petite culotte sans dĂ©fense, tu es bien un homme me dit-elle en riant, je te revaudrais ça ». « J’y compte bien, merci pour ce magnifique moment de plaisir partagĂ© passĂ© avec toi belle inconnue », lui dis-je.
« Merci Ă toi Ă©galement petit voyeur ».Je dĂ©pose encore deux baisers dans sa nuque et je fais demi-tour ouvre la porte et descend l’allĂ©e verte Ă©puiser mais heureux du dĂ©roulement de cette soirĂ©e, du plaisir intense donnĂ© et reçu.
Je compte lui proposĂ© d’Ă©crire elle-mĂŞme le prochain scĂ©nario.Jusqu’au bout il faut respecter la trame et ne pas se retourner ni attendre pour la voir, je dois partir suffisamment loin et elle doit attendre quelques minutes avant de repartir.Je monte dans ma voiture je dĂ©marre, je roule pour rentrer chez moi et puis d’un coup … plus rien, c’est le trou noir, je ne vois rien je suis sur le dos, le sol est mou et doux, … je suis dans mon lit.
Toute cette histoire n’est qu’un rĂŞve au dĂ©part d’une petite annonce elle-mĂŞme bien rĂ©elle Ă laquelle j’ai rĂ©pondu mais sans succès et qui quelques jour après lui avoir envoyĂ© mon synopsis Ă disparue du site.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protĂ©ger les oeuvres littĂ©raires de nos auteurs.Cette page est destinĂ©e Ă ĂŞtre consultĂ©e en ligne et ne peut pas ĂŞtre imprimĂ©e ou copiĂ©e.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle. Un nombre important d’auteurs nous ont donnĂ© l’exclusivitĂ© totale de leurs textes.
Fermer définitivement
L’activation des cookies et de javascript est nĂ©cessaire Ă son bon fonctionnement.
Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d’Ă©viter au maximum les abus inhĂ©rents Ă la notation des rĂ©cits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d’une fois la mĂŞme histoire Ă©rotique.
Les notes attribuĂ©es Ă la volĂ©e pour un mĂŞme auteur (qu’elles soient bonnes ou mauvaises) seront modĂ©rĂ©es.
Commentaires de l’histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email
Histoires Ă©rotiques choisies :
Petite annonce
La petite annonce
Une relation particulière 1 : Education à la soumission
Une relation particulière 2 : De la soumission à la liberté
La première expérience très particulière de Marion