Résumé de l’épisode précédent :Un peu par hasard, Marie et moi avons découvert les joies du candaulisme que nous explorons depuis.Forts de nos péripéties précédentes et tous deux rattrapés par la vie active, les aventures se firent malheureusement plus rares.Mais la chance finit par nous sourire à nouveau. Marie avait une sorte de meeting avec son entreprise, avec les autres firmes de France. Le tout se passait à Avignon, tous frais payés. Je décidais de l’accompagner, et de louer un bel appartement pour le week-end ensuite, histoire de passer un peu de temps tranquilles, en amoureux. Ça faisait bien longtemps. Et on pourrait profiter de ce repos en amoureux.Plusieurs jours après, alors que nous étions tous les deux au lit, je sentais qu’elle voulait me dire quelque chose. Je la sentais hésiter.— Dis ?— Oui ?— Tu sais, à Avignon…— Oui ?— Il y aura mon collègue. Enfin, tu sais, celui…— Oui, je me doute bien. Eh bien ? Quoi ?— Bah…— Tu veux le revoir, c’est ça ?Je pouffai. Elle renchérit, gênée :— Bah pourquoi pas ? Il me fait du rentre-dedans et je dois dire que…— L’idée ne te déplaît pas ?— Voilà ! Alors ? Je peux ?Je restais pensif un instant. Je n’avais rien contre, mais il fallait que je puisse en profiter moi aussi.— D’accord, mais je dois pouvoir regarder en direct !Elle eut un instant de pause.— Tu es sûr ?— Oui, ça m’exciterait beaucoup !— D’accord alors, mon petit coquin.C’était vendu. Facile. Elle m’embrassa, avant de se blottir contre moi.Quelques jours plus tard, nous avions réfléchi, et tout était prévu.J’allais me cacher dans le placard de l’hôtel. On voyait les photos sur internet, ça avait l’air parfait.Marie, elle, passerait une journée classique, se laissant amadouer par son collègue, pour monter dans notre chambre. Et depuis mon poste, je verrai absolument tout. Ça allait être parfait.___________On monteAprès avoir reçu son SMS, j’étais vite allé me cacher dans mon placard aménagé. Je n’avais eu que quelques secondes à attendre, que déjà, j’entendis la porte s’ouvrir, ainsi que le rire de Marie, et la voix de son collègue.Elle se plaça bien en face de moi, pour que je puisse avoir une vue parfaite sur la scène.Elle était sublime. Une robe de soirée noire en tissu léger, ouverte sur la poitrine, mais fermée au cou, laissant apparaître le bord de ses seins, montrait à tout le monde qu’elle ne portait rien en dessous.Ses hanches étaient gracieusement moulées par la robe, laissant apparaître une jambe un peu plus que l’autre, simplifiant les mouvements.Sa chevelure blonde tombait sur ses épaules, renforçant le rouge de ses lèvres justement maquillées. Je ne pouvais pas lui résister quand je la voyais comme ça. Et a priori, son collègue non plus.Les deux se toisaient, sans rien dire. Puis il s’approcha d’elle, pour l’embrasser, en passant sa main autour de son cou.Marie se laissait faire, bras le long du corps, immobile.Après leur baiser, il l’observa un instant, puis lui lécha le cou, en descendant dans son décolleté. La robe semblait faite pour ça.Après ses lampées, je vis son bras se resserrer légèrement, empoignant un peu plus Marie par le cou, la poussant à se mettre à genoux face à lui.Elle se laissa faire, en gardant le contact visuel avec lui.Il lui caressa délicatement la joue, laissant son doigt partir de sa tempe, pour aller jusqu’à ses lèvres. Son pouce força l’entrée de la bouche de Marie, qui commença à le sucer doucement, yeux fixés dans les siens. Il commença à défaire sa ceinture.J’avais une vue parfaite. Ils étaient de profil, pile au centre. Marie s’était bien débrouillée.— T’attends que ça, pas vrai ?Marie hocha la tête, tout en s’accrochant les cheveux en queue de cheval. Elle était prête.Un mât se dressa d’un coup devant elle, et elle n’hésita pas une seule seconde à le prendre à pleines mains.Toujours dans mon placard, moi aussi j’avais sorti mon sexe de mon pantalon, pour commencer à me caresser devant ce doux spectacle. Marie s’appliquait à vivifier le membre de son collègue. Elle ne le lâchait pas des yeux, comme hypnotisée par la taille relativement conséquente face à elle.Il la laissa faire un court instant, avant de la saisir par la queue de cheval, pour la rapprocher un peu.Elle sourit. Parfois, on avait ce jeu de soumission, mais c’était rare. Même si je ne la voyais que de profil, je savais qu’il la possédait. Il lui ferait faire tout ce qu’il voulait. Je voyais à la lueur de ses yeux que ce soir, elle était sa chose à lui.Je pouvais le constater maintenant. Elle passait sa langue le long de son sexe, et sur ses bourses. Elle prenait son temps, et se laissait guider par la main qui lui tenait fermement les cheveux.Elle glissait comme une déesse le long du membre de son partenaire, oscillant entre coups de langue humides et baisers langoureux.Puis cette main qui la tenait se fit plus pressante. Il la plaquait de plus en plus proche, en poussant de légers râles, jusqu’à ce qu’elle le prenne en bouche. D’abord le gland, jouant avec, le faisant aller et venir sur sa langue.C’était le début. Il l’avait saisie avec ses deux mains, imposant un rythme rapide, en grognant de plus en plus fort. Elle bougeait à peine, elle le laissait juste donner des coups de reins. Il lui baisait le visage. Littéralement. Elle avait libéré un animal.Il se retira d’un coup, la laissant bouche béante.— T’as une bonne bouche de suceuse. Ça m’avait manqué depuis la dernière fois.Il s’était penché vers elle, tout en maintenant sa bouche ouverte. Et à ma grande surprise, il lui cracha dedans. Marie ne se décontenança pas, et passa sa langue sur ses lèvres, toujours en le fixant dans les yeux.Il la releva face à lui, la retourna, et la poussa sur le lit. Elle poussa un petit cri de surprise. Il la saisit par les fesses, en relevant sa robe. Elle ne portait pas de culotte, pour mon plus grand bonheur. Avec une robe pareille, ce serait un crime d’en porter une après tout.— Quelle salope ! Je vais te faire crier moi, dit-il en lui assenant une forte claque sur les fesses. Puis une deuxième. Une troisième. Et ainsi de suite. Il était droit derrière elle, à lui donner de grands coups, à l’entendre gémir à chaque claque.Puis il s’arrêta, dégagea ses jambes de son pantalon à ses chevilles pour se mettre à genoux, et glisser sa tête entre les jambes tremblantes de Marie, pour commencer à la lécher. Il écartait ses fesses pour donner des coups de langue peu délicats. À nouveau, il cracha, mais sur le sexe de Marie, déjà probablement trempé.Il reprit de la hauteur, contemplant sa proie, croupe relevée, humide de sa salive, et de bien des choses.Il prit son sexe tendu d’une main, s’approchant de l’entrée de Marie.Il s’y engouffra, d’un coup sec, arrachant à Marie un cri, mêlant plaisir et surprise.Il la baisa sans cérémonie, la tirant par les cheveux, ou lui assenant quelques autres claques sur les fesses.Ils avaient un rythme effréné, saccadé par des râles et des gémissements.J’entendais Marie hurler de bonheur, et ça ne me faisait que m’approcher de ma jouissance.Son collègue, lui, grognait en la pénétrant :— Il sait que t’es une salope ton mari ?— Oui !— Il sait que tu baises avec moi ?— Oui !— Et t’aimes ça ?— OUI !Son dernier était vraiment un cri poussé de plaisir. Je la voyais à travers l’ouverture, rouge et transpirante, son collègue enfoncé en elle. Elle était magnifique. Il était collé à elle, contre son dos, laissant son sexe entrer et sortir, de tout son long, n’hésitant pas à le retirer entièrement pour y retourner encore plus vite.Silence de Marie.Il la saisit par les cheveux, s’enfonçant encore plus profond. Sa main s’enroula autour de la gorge rougie par la chaleur, et serra fermement.Mon sang se glaça :Marie toussota.Il savait maintenant. Il s’était arrêté, retirant son sexe, luisant de mouille. Mon cœur battait très fort. Je le sentais contre moi, comme s’il voulait sortir de ma cage thoracique.Silence à nouveau.Cette fois-ci, il fit tourner Marie en la tenant par les cheveux, pour la poser sur le dos, face à lui.Il lui assena une claque, avant de la saisir une nouvelle fois par la gorge.— Dis-moi où, salope !Marie désigna du doigt ma cachette, en souriant. Il la relâcha, la laissant reprendre une grande bouffée d’air.Il s’approcha de moi pour ouvrir d’un grand coup le placard, me révélant assis, bite en main, immobile et silencieux.— Bah alors, on aime le spectacle, pervers ?Je ne savais pas quoi dire. J’étais figé. Il avait un grand sourire narquois.— Allez, va t’asseoir sur le fauteuil en face de ta femme. J’ai pas fini de la baiser.Je me déplaçai sans rien dire, pour m’asseoir face à Marie, sourire jusqu’aux oreilles. Son amant se replaça au-dessus d’elle, crachant dans sa main pour caresser Marie.— Comme on a de la visite, on va pimenter un peu les choses. Retourne-toi la blonde. J’ai pas fini avec ton cul.Au visage un peu plus crispé de Marie, je savais ce qu’il faisait. Il visait l’anus. Il y alla avec un doigt en premier, puis deux. Marie avait fermé les yeux, et se laissait aller. J’étais assis sur mon fauteuil à regarder la scène en me caressant.Après ses doigts, il glissa son sexe en elle, lui arrachant un couinement de nouveau.Il lui tira les cheveux vers l’arrière pour la redresser, et coller son dos sur son torse. Il passa sa main libre devant elle, pour passer sous sa robe, caressant ses seins, les sortants du léger tissu qui les couvrait encore, tout en donnant de gros coups de reins.Je la voyais, dressée sur ses genoux, bourinée par son amant.Marie roulait des yeux, subjuguée par tant de sensations.Puis il retira sa robe, l’arrachant à moitié, la laissant apparaître nue, face à moi. Sa main se plaça autour de la mâchoire de ma femme, et il lui susurra à l’oreille.— Regarde ton mari. Regarde-le pendant que je t’encule.Elle retomba à quatre pattes, planta son regard dans le mien. Je la voyais grimacer, au même rythme que les mouvements de son collègue. Il la pénétrait sauvagement, frayant son chemin avec fermeté. Je la voyais ressentir, millimètre par millimètre.Je recommençai à me toucher face à Marie, qui me souriait. Elle était en sueur, rouge, décoiffée, mais qu’est-ce qu’elle était belle !Elle se cambrait de plus en plus, pour laisser entrer en elle son maître.C’en était fini de la douceur. Il était dedans, et il donnait des coups vigoureux, très fier de lui. Il maintenait le visage de Marie face à moi d’une main, l’autre occupée à lui écarter les deux fesses.Il se retira dans un bruit animal, laissant s’affaler ma femme, épuisée.Une dernière gifle sur la croupe :— Hé bah ma salope ! Viens-là que je te finisse.Il la retourna sur le dos, et la poussa un peu vers moi, pour que sa tête tombe au-dessus du vide du matelas.Il fit le tour du lit, me fit dos, pour enfoncer son membre dans la gorge de Marie. Je ne faisais que le deviner.Je voyais son dos musclé se tendre, et ses fesses se contracter pour donner des coups de reins dans la bouche de ma femme. Je ne la voyais plus, mais j’entendais tout. Chaque râle, chaque déglutition, chaque respiration.Je le vis la saisir par les cheveux, me laissant juste apercevoir dépasser comme deux couettes d’écolière, de chaque côté du dos de l’homme qui baisait ma femme. Il la tenait et la défonçait toujours plus sauvagement.Les gémissements de bouche pleine, la respiration haletante, les toussotements et les gémissements de son collègue eurent raison de moi. Je jouis, ne pouvant réprimer un petit cri, éjaculant partout par terre.L’homme, toujours occupé à baiser le visage de ma femme, émit un petit ricanement.Je le vis se crisper, et ajouter sa main à son geste, comme pour jouir à son tour. Il gueula, comme libéré d’un sortilège.Il s’agita encore un peu au-dessus de Marie, puis la relâcha.Sa tête retomba en arrière, libérée de la poigne de cet homme.Je la reconnus à peine. Elle était rouge, essoufflée, couverte du sperme de son dominateur. Chaque goutte blanche coulait sur son visage, de ses joues à son front, dégoulinant jusqu’à ses cheveux et jusqu’au sol.Il retourna s’habiller, toujours en regardant le corps nu de ma femme.— Depuis le temps que j’en rêvais. J’espère que t’as bien profité, mon salaud. Je la baiserai à nouveau, c’est certain.Il remit sa ceinture, alla glisser sa main sur la poitrine de Marie, et sortit de la chambre.Je regardais Marie, nue, allongée sur le dos, le visage toujours en arrière, dans le vide, le sperme coulant le long de son visage. Elle reprenait son souffle.Puis elle se releva, en passant sa main pour récupérer les gouttes restantes, et les avaler, en me regardant droit dans les yeux. Qu’est-ce qu’elle était belle ! Elle suçait chacun de ses doigts lentement, en me regardant. Rien qu’avec ça, je recommençais à gonfler.Une fois son ménage terminé, elle se leva, et se dirigea vers la salle de bain.Elle s’arrêta à la porte, pour se retourner vers moi :— Tu viens ? dit-elle, avec une voix sensuelle que je n’avais jusqu’à lors jamais entendue.Je ne me fis pas prier et la rejoignis rapidement sous l’eau brûlante de la douche.