Si ma femme Michelle et moi-même, mariés depuis bien des lustres, coté sexe, bien plus calme avec les années, mais se portant l’un pour l’autre une tendresse et une complicité toujours partagée. Toutefois, il nous arrivait tout de même encore des petites parties tout à fait démentes de plaisirs lorsque l’occasion se présentait, sachant que plus jeune ma Michelle aura toujours été une petite salope, qui adorait baiser sans limite, ne manquant jamais à son initiative à se laisser aux jeux les plus déments. Alors si au fond d’elle, même ayant prise un peu d’âge, elle n’avait pas perdue pour autant ses petits penchants pervers, lui arrivant lorsque par exemple, se croyant seule à la maison, où rentrant pour ma part discrètement d’une quelconque sortie, il me sera arrivé de la surprendre bien sur à poil, assise, couchée où même à quatre pattes à se masturber sa chatte, la trouvant même parfois dans ses moments avec un quelconque godemichés de sa petite collection bien introduit dans sa chatte, tout en se doigtant par la même son trou de cul. Et bien sur la surprendre dans ses moments là, cela aura toujours fini par une orgie démente partagée entre elle et moi adorant de plus sentir ma queue partout en elle et ce, dans des positions les plus insolites et perverses pour profiter au mieux de cette dernière.
Tout cela pour en venir à ce samedi soir de début mai de cette année et comme cela nous arrive de temps à autre, nous étions cette fois avec d’autres convives invités chez des amis à une soirée dansante bien sympathique. Et même si cette dernière aura été en cours de soirée, bien arrosée, ma femme et moi-même, nous nous serons un peu laissés aller à profiter un peu à boire plus qu’à l’habitude. Alors même si la soirée se passait et que nous nous amusions bien , tout en dansant, je remarque bien vite que profitant du sombre de la salle, ma petite garce de femme, de plus un léger éméchée, tout en dansant, ne manque alors de frotter avec insistance et sans se soucier des autres danseurs son bas ventre contre moi, essayant de voir si je bandais, finit même par laisser partir l’une de ses mains qui se glisse discrètement derrière mon pantalon et s’empare de ma queue, où bien sur je bandais comme cela ne m’était plus arrivé depuis un moment. Et si je ne manque de la laisser faire, je lui dépose de plus quelques bisous tendres pour cet excitant moment qu’elle me fait passer, où sans plus, cette dernière comme une petite bête déchaînée, jette alors sa bouche dans la mienne, où si heureusement la lumière était bien tamisée, nous voilà à se dévorer comme deux jeunes, se roulant nos langues avec démence l’une dans l’autre dans un plaisir je vais dire fous. Si la danse arrive ensuite à sa fin et que de plus la soirée était bien avancée, ma chipie de petite femme me fait alors « et si nous rentrions à présent mon chéri !!!!!! », où de plus elle rajoute « j’ai juste trop envie de toi et que l’on se bouffe tous les deux ». Et si cela ne me laisse bien sur aucunement insensible, me faisant bander de plus en plus, discrètement après un moment encore, nous prenons alors congés de nos convives pour rejoindre notre voiture et enfin se remettre sur le chemin du retour qui devrait nous prendre trois petits quarts d’heures.
Et là, tout en roulant tranquille et sécurisé, à converser de la soirée que nous aurons tous deux bien appréciés, quelques kilomètres plus loin, toujours pour ma part à surveiller la route, je sent alors une main partir entre mes jambes, où si j’écarte un peu ses dernières, ma petite salope, tout en barbotant quelques mots, fait glisser la tirette de mon pantalon, y glisse ses petits doigts et en extirpe ma queue bien sur en érection, sur laquelle ensuite sa bouche s’empale avec fougue, me prodiguant une fellation à me faire gémir. Et si mes petits râles et gémissements la font sourire, elle continue, roule sa langue autour de cette queue tout en caressant de plus mes couilles, quelques secondes suffiront où si je lui dis « arrêtes chérie.., arrêtes….stp…». Mais si ma petite perverse n’entend et ne relâche en rien son jeu, bien au contraire, tout en roulant, ne pouvant me retenir, je me laisse alors partir dans une jouissance démente et laisse gicler sans aucune retenue quelques torrides jets de sperme bien au fond de la bouche de ma petite chipie de femme qui s’en délecte jusqu’à la dernière goutte.
Si nous étions à présent à un petit quart d’heure avant d’arriver chez nous, elle me fait arrêter quelques secondes au bord d’une aire de repos heureusement sans témoin, mettant par sécurité en marche mes warnings elle se rejette une fois encore sur ma bouche et se laisse au plaisir de se dévorer et profiter tous deux du peu de sperme restant sous sa langue. Et si après cela elle me fait souriante, « à présent mon chéri ramènes nous donc chez nous, elle ne manque de rajouter, j’ai encore trop envie de ta queue…. ». N’en croyant pas mes oreilles, je lui dépose tout en roulant un petit bisou et lui promet qu’une fois rentré, je ne manquerais de la baiser autant qu’elle en aura encore envie. Et enfin après encore quelques minutes encore, nous arrivons alors chez nous où si je stationne ma voiture dans notre garage, nous entrons avec combien de plaisir dans notre chez nous, à retrouver le calme et notre intimité. Et si ma petite femme, qui ce sera vite laissée à une bonne douche, semble à présent plus sereine et aller bien mieux et surtout ne portant qu’une petite nuisette bien transparente, elle me lance un grand sourire coquin et me dit espérer ne pas avoir été trop expressive chez nos amis. Si je la rassure que non, la serrant un peu dans mes bras, elle se remet alors comme sur le chemin du retour à me dire, mon chérie si cela ne m’arrive pas souvent, mais ce soir je ne sais pourquoi mais j’ai une envie folle de ta queue et que tu me baises de partout, se laisse alors tomber entre mes jambes où si venant de me déshabiller, je ne portais plus que mon boxer, elle fait tomber ce dernier pour encore s’emparer de ma queue pour se remettre à me la sucer. Et si là, ne me retenant plus en rien, je ne manque de lui dire « tu seras toujours ma petite salope adorée » et je crois que je vais te faire passer un petit moment que tu ne seras pas prête d’oublier.
Si elle relâche lors ma queue, je me saisis de ma petite garce de femme, qui bien sur sous sa nuisette était à poil, la sommant de se laisser aller, je la relève sur moi, où si elle s’agrippe ensuite à mon torse, laisse partir ses jambes autour de ce dernier, où nos bouches et nos langues se mélangent avec une folie démente, la faisant par la même glisser un léger le long de mon torse, jusqu’à sentir son petit cul, entrer en contact avec ma queue combien en érection où là, si lentement je laisse pénétrer cette dernière dans ce trou, ma petite salope se met à lancer des gémissements et des râles terribles « Oh ouiiiiii…, continues mon salaud,…., encore….., encore.., encules moi…., c’est trop bon…, je rêvais de cela depuis le début de la soirée ». Et si la petite perverse, bien accrochée à moi, ne manque de se laisser encore glisser, sentant encore mieux cette queue lui limer les entrailles de son cul. Et si de plus je laisse ensuite partir l’une de mes mains sur sa chatte trempée où si deux de mes doigts s’y introduisent et lui branlent avec frénésie cette dernière, ma petite salope se remet à gémir allant jusqu’à hurler de ce plaisir démentiel où quelques sublimes minutes se passent, je me laisse partir dans une jouissance sans nom, lui remplissant son petit trou de cul de mon foutre où pour sa part, lui arrive à son tour, un orgasme de folie qui m’emplit mes doigts de cette cyprine dont elle ce sera libérée elle aussi avec une envie démente et combien partagée.
Et si tous deux apaisés reprenant nos esprits et voyant qu’il n’était pas loin de 3 hrs 00 su matin, nous prenons encore un petit verre, tout en conversant encore un long moment, ne manquant bien sur de nous câliner encore tous deux, se prodiguant quelques perverses caresses, où si alors, un peu étonné, ma petite salope adorée se laisse gentiment à dire, à présent mon homme, allons juste encore prendre une petite douche ensemble, nous finirons nos verres avant de monter nous coucher. Et si j’obtempère comme souvent aux envies de ma chipie, nous nous levons tous deux où je si je remarque que les quelques petits câlins et caresses auxquels nous venions de nous laisser, ma queue c’était remise en érection. Et là, je saisi alors ma Michelle qui toute souriante se laisse bien sur faire, me couvre de bisous je la porte alors entre mes bras, pour aller la déposer dans la douche. Et si combien nous étions bien sous cette eau tiède qui coulait sur nos corps, et que si bien cette dernière ne manque de remarquer ma queue en érection, me lançant « je vois qu’il reste insatiable mon petit homme ce soir…, » pour alors se saisir de cette dernière la promener entre ses jambes, puis sur sa petite chatte, tout en reprenant avec fougue ma langue dans sienne.
Et si en effet au fond de moi ses petits jeux ne manque de me donner encore envie de ma petite salope, qui si elle relâche alors ma queue, je la bloque dans un coin de la douche, la dévorant de partout, elle ne manque de se remettre à des Oh ouiiiiii…, oui mon chérie…, vas-y…. remets la moi cette fois dans ma chatte, je vois que tu en as autant envie que moi j’en ai de la sentir au fond de moi… » Et si de plus, ma petite salope écarte ses jambes, se laisse de plus à lever ses bras pour les mettre en croix contre le mur de la douche, n’y tenant plus, j’empoigne ma queue et lentement la laisse pénétrer dans cette chatte et me laisse à des va et viens indescriptibles, où si de plus je ne manque de laisser partir mon index dans son trou de cul, ma petite perverse espérant que les voisins ne l’auront entendu, se remet comme drogué à des cris et des râles déments. Et si toujours cette bonne eau tiède qui dégouline sur nos corps, mes va et viens sur ma queue tout au fond de sa chatte, et mon doigt qui lui lime avec démence les entrailles de son petit cul, se remet alors à des « ça me viens mon salaud.., Oh ouiiiiii…, encore…, ça me viens… » Et là quelques secondes suffisent alors pour tous deux exploser dans une jouissance démentielle, où si pour ma part, je laisse mon sperme gicler avec force dans cette chatte combien trempée, ma petite salope toujours avec ma queue bien en elle, lui titillant son clitoris, elle se sent presque défaillir de cette intensité de plaisir, agrippe alors ses deux mains autour de mon cou, laisse partir ses jambes autour de mon torse et dans cette position combien alors perverse, elle finit de profiter tout en se remettant à gémir et lancer des râles effrénés de ce torride et démentiel orgasme dans lequel je l’aurais entraîné.
Et bien sur après cela, nous ayant tous deux séchés, nous nous couvrons pour aller finir nos verres commencés avant ses torrides ébats pour ensuite aller se glisser sous nos couettes, ne manquant là encore de se remercier tous deux de cette incroyable mais combien sublime soirée, nous promettant de nous remettre très vite à de tels moments.
FIN
Gérard où Gégé