C’était en janvier, le froid nous cantonnait à la maison depuis trop longtemps et nous avions envie d’une petite sortie. Ce soir-là avec Laurence, nous décidons de nous rendre au cinéma. Comme toujours et sans être particulièrement original, le phantasme de la salle obscure nous attirait. Sans trop tirer de plans sur la comète, nous étions d’humeur coquine, mais surtout prêts à nous laisser bercer par le climat et les évènements. Ne souhaitant pas particulièrement fréquenter une ciné X et ces ambiances un peu glauques, nous optons tout naturellement par une salle classique. Notre choix de film se porta sur une comédie française à l’affiche depuis quelques semaines.Une fois les places payées, nous entrons dans la salle, le film était sur le point de commencer. Nous trouvons refuge dans les rangs du fond, les lumières s’éteignent rapidement. Par chance, il y a peu de monde pour cette séance et personne à notre proximité.Laurence se blottit très vite contre moi, passe un bras par dessus mon épaule et me susurre un « Je t’aime » des plus tendres… Les images défilent, nous en sommes aux bandes-annonces, des films américains à gros budget, lancés à grand renfort d’effets sonores et d’images chocs. Bientôt, les publicités remplissent l’écran. Je me sens bien, Laurence respire doucement tout contre moi.La lumière revient quelques minutes pour l’entracte. Nous pouvons découvrir les autres spectateurs. Ils sont au nombre de cinq, trois vieilles dames et un couple d’une quarantaine d’années. Nous échangeons quelques bisous avant de replonger dans la pénombre.Le film démarre, lentement, sans vraiment me passionner. À sentir Laurence se tortiller sur son siège, je devine qu’elle n’est pas non plus emballée par le scénario, mais sommes-nous vraiment venu pour nous farcir une toile ?. Dès ce moment, je pense que notre esprit s’abandonne à l’imagination et ne se concentre plus sur l’écran blanc. Nos baisers se font plus longs, nos caresses plus appuyées et l’excitation grandit. Je sens que Laurence a envie de pousser un peu plus notre petit jeu.N’y tenant plus, je me tourne et lui mordille doucement le lobe de l’oreille. Elle ne résiste pas à cette sollicitation et fait glisser ses mains vers mon ventre. Sous ses caresses expertes, je me déhanche et écarte un peu plus les jambes. Laurence n’attendait que ce geste là pour s’aventurer plus avant. Elle atteint enfin mon entrejambe et caresse mon sexe à travers mon pantalon. Je laisse échapper un faible gémissement qui la paralyse un instant. Elle me susurre que nous ne sommes pas seuls. Apparemment, elle est l’unique personne dans la salle à avoir entendu mon petit cri. Rassurée par les évènements, elle s’enhardit.A mon grand soulagement, Laurence défait les boutons de mon pantalon car celui-ci devenait un véritable carcan pour mon pénis. Elle est très fière de prendre enfin mon sexe dans la main. Ma queue est dressée vers le ciel, attendant ses mains, sa bouche, sa langue. Laurence m’astique par une lente masturbation. N’y tenant plus, je reprend ses lèvres et la gratifie d’un baiser langoureux. Nos langues s’entremêlent, je lui aspire délicatement les lèvres. Tout en continuant sa masturbation vigoureuse, Laurence ondule du derrière, je sens qu’elle est prête à recevoir mes caresses. Je déboutonne son chemisier et libère un sein de l’ écrin de dentelle de son fin soutien-gorge. J’engloutis rapidement le téton et le couvre de baisers. Caresses et mordillements se succèdent sur sa poitrine. Elle a du mal à se contenir et se mord les lèvres, de peur d’ameuter toute la salle. Sous mes coups de lèches, elle a du abandonner mon sexe, ce que je regrette.Dès lors je calme un peu le jeu et je me lance dans l’exploration de ses dessous. Malgré les rigueurs de l’hiver, Laurence porte une jupe, plus longue que lors des beaux jours, mais plus facile d’accès qu’un pantalon. Avec son aide précieuse, le tissu est vite remonté jusqu’aux hanches et les fouilles peuvent commencer. Sa culotte est déjà trempée et son abricot dégouline de son doux nectar. Mes doigts le taquinent sans en violer l’entrée. Laurence est folle de ces agaceries, elle gigote tant et plus. Ne souhaitant pas la pousser au supplice, je m’attaque délicatement à son bouton d’amour. Celui-ci, niché entre ses lèvres, présente une belle dureté. Mon effleurement ne fait que raviver son excitation.Je descends rapidement vers l’entrée de sa grotte, y introduit un puis deux et trois doigts, fouillant ce sexe et l’humidifiant tant et plus. Elle est à point, je me lève discrètement, m’accroupit devant elle. Dans cet espace réduit entre les rangées, la mobilité n’est pas des plus évidente. Néanmoins, la situation est cocasse et particulièrement excitante. Dans l’obscurité, je ne peux qu’imaginer sa culotte blanche en dentelle fine qui ne doit plus cacher grand chose de son sexe humide. Entre ses jambes écartées, mes doigts poursuivent leur travail, mais je sens que Laurence a envie d’autres caresses. En passant sa main dans mes cheveux, en avançant son bassin vers l’avant du siège, elle offre un accès de première classe à son minou détrempé. J’avance délicatement ma bouche vers sa chatte au parfum enivrant, une odeur si agréable qu’elle ne peut que m’inciter à la dévorer tendrement. De mon mieux, je parviens à écarter le tissu et accède à cette fente toute heureuse de recevoir mes baisers.J’écarte délicatement ses lèvres, gonflées par l’excitation, et commence à la brouter avidement. Elle réagit promptement et s’agrippe à mes cheveux, qu’elle tient fermement. Mais son étreinte se relâche sous mes mouvements de langue, elle doit trouver un autre point d’appui et finit par se cramponner au fauteuil pour ne pas défaillir, tant l’excitation est intense. Elle est proche de la délivrance, son bas-ventre suit parfaitement les mouvements de ma bouche. Je suspend un instant mes baisers, enfonce doucement un doigt dans le temple humide et l’offre à la dégustation de sa bouche. Elle le lèche avidement comme si c’était mon sexe qu’elle avait retrouvé. Sensuellement, mes lèvres retrouvent sa chatte humide et le manège aux sensations repart de plus belle. En quelques secondes, Laurence parvient à l’extase, ses mouvements saccadés trahissant sa jouissance, elle doit se mordre les lèvres pour ne pas crier. Je lui donne encore quelques baisers avant de reprendre place sur le siège. Elle respire profondément et reprends doucement ses esprits.Le film est toujours aussi peu captivant, de toute façon, il y a longtemps que l’on a perdu le fil de l’histoire. Par contre, Laurence est tentée de repartir pour une autre histoire, de sexe évidemment. Sa main se dirige de nouveau vers ma queue, toujours tendue, elle joue un peu avec, puis l’engloutit dans sa bouche… elle me suce comme je l’ai mangée, avec passion et plaisir ! Mais mon excitation monte en flèche, très vite, je la supplie de continuer mais avec moins de fougue. Elle concentre alors ses caresses buccales sur mes couilles, elles les avalent l’une après l’autre, s’en pourléchant les babines. Ensuite, elle recommence l’ascension de ma verge pour agacer mon gland. Elle s’en occupe avec la plus grande application, l’engloutissant tout entier, le couvrant de tendres caresses qui me procurent les plus tendres sensations.N’y tenant plus, sentant ma délivrance toute proche, Laurence accélère habilement le rythme de son va-et-vient, et me conduit tout droit à la jouissance, mon sperme jaillit par saccades dans la bouche gourmande de ma compagne. Et tout comme elle sans doute, je dois réaliser un gros effort pour ne pas laisser échapper un petit cri. Laurence, loin de ses préoccupations, poursuit sa dégustation et s’applique a récolter la moindre goutte de ce précieux nectar qu’elle adore. Tendrement, elle termine son petit nettoyage, dépose quelques baisers sur mon bas ventre et regagne son siège. Je l’accueille au creux de mes bras et nous échangeons encore de longs baisers gourmands. N’étant, ni l’un ni l’autre critique de cinéma, et n’ayant pu suivre que quelques minutes de cette comédie, nous avons pourtant pleinement apprécié cette séance, malheureusement notre petit reportage n’intéressera sans doute pas les lecteurs passionnés de grand écran !Oscelot