Une pilule contre la morosité
Clémentine va promener sa chienne dans le parc communal. Elle rencontre un autre propriétaire de chien, ils commencent à discuter, il est très remonté contre le contexte actuel, elle l’écoute sans l’écouter vraiment…
Proposée le 24/09/2021 par First79 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Roman
Presque tous les jours, je vais balader Guppi. J’affectionne le parc communal. Ce n’est pas très grand, mais il y a un ruisseau, Guppi peut s’y baigner, de l’espace pour courir, et des odeurs de chiens partout! C’est la balade sans prise de tête quand je n’ai pas envie d’aller trop loin.Aujourd’hui je suis de repos, il est 11 heures quand j’ai décidé d’aller me promener au parc. Je suis dans mes pensées, je bulle tranquillement en suivant le chemin. Je croise quelques collégiennes du collège d’à côté.Je vois Guppi qui lève les oreilles et fonce devant, il doit y avoir un autre chien? J’espère qu’elle ne va pas l’embêter !Au loin, j’aperçois les deux chiens qui batifolent autour de l’autre maître. Tout va bien.Je me retrouve à suivre le promeneur une dizaine de mètres derrière, devant les chiens se suivent joyeusement en sniffant toutes les odeurs possibles.En bas du parc, une table de pic nique est plantée devant le ruisseau.-C’est votre chien? me dit-il?Ah tient je le connais, sa tête me dit quelque chose mais je n’arrive pas à le remettre.- Bonjour! Oui! Ils s’entendent bien dis donc!- C’est un mâle ou une femelle?Alors que la conversation s’engage sur les chiens, âge, origine, race, jeux, nous nous asseyons sur la table de pique nique pour parler.Pendant ce temps les chiens jouent, courent, sautent dans l’eau.Sa tête me dit vraiment quelque chose mais je n’arrive pas à savoir où je l’ai déjà vu. Il doit se passer la même chose dans sa tête car il me demande d’un coup:- Tu n’étais pas au concert de Deluxe cet été?- Ah siiiiii!! Je me disais bien que je t’avais déjà croisé! J’étais quelque peu joyeuse et dans un autre monde! Tu fais quoi déjà dans la vie?- Je suis serveur dans un bar, enfin j’étais car maintenant avec le pass sanitaire partout je ne peux plus aller nulle part et je ne peux plus travailler. Je suis en arrêt de travail.Il se renseigne « discrètement » sur ma position par rapport au vaccin et au pass sanitaire. Nous avons le même avis. Il commence à parler du pass et du vaccin, je sens qu’il est en colère contre ce qu’il se passe, ça l’atteint profondément. Je ne partage pas sa colère même si je ne suis pas d’accord avec ce qu’il se passe. Pendant qu’il parle sans vraiment regarder si je l’écoute, je le regarde (effectivement je ne l’écoute plus). Luc doit avoir mon âge, à quelque chose près, il est plutôt grand, de corpulence normale, un petit look de caillra avec sa pochette rectangulaire autour du torse. Son nez est petit et rond, il porte une petite barbe naissante, il est plutôt pas mal. Il parle beaucoup par contre.
Il raconte un peu ses histoires de cœur échouées, puis le covid, il parle beaucoup! J’écoute d’une oreille ce qu’il raconte en l’observant.
L’air est doux, le soleil aussi, la lumière est belle au bord de la rivière sous le platane, c’est un bon moment. Il conclut en disant qu’il prend trop à cœur tout ce qu’il se passe, qu’il faut qu’il arrive à prendre du recul mais qu’il n’y arrive pas, qu’il ne sait pas trop comment faire. Là, j’ai bien entendu ce qu’il a dit, je me suis mise face à lui, je l’ai regardé bien dans les yeux.
J’avais bien une petite idée…- J’ai une idée pour t’aider à prendre du recul si tu veux Il me regarde sans comprendre, comme s’il me voyait vraiment pour la première fois.J’ai fait le tour de table, je me suis mise face à lui, je me suis penchée en avant, mis mes mains sur mes genoux et je l’ai embrassé très doucement sur les lèvres en fermant les yeux. C’était un peu comme dans un film, très doux. Mais en moi, c’est l’effervescence complète.- Je peux te sucer si tu veux, et après je peux te faire l’amourWhaaaattt? Non mais je sors ça, comme ça… Avec un petit sourire en coin en plus.Sans filtre, mon bouillonnement intérieur lui a jailli dessus. Il a du mal à comprendre, je le vois dans ses yeux. Mais il sourit, il rigole, il est gêné un peu, mais pas que, ma provocation a pris, il rentre dans le jeu.
Il est assis sur le banc, dos à la table de pic nique, les jambes vers l’extérieur.Il glisse sa main sur ma nuque et m’attire vers sa bouche. Que c’est bon de sentir ses lèvres, sa bouche, sa langue. C’est doux, humide, excitant, je me coule dans notre émoi commun.Sans lâcher ses lèvres, je passe mes jambes de chaque côté de lui et je m’assoie sur lui, je croise mes jambes dans son dos.
De part la position, nos intimités discutent déjà entre elles. Le dialogue a commencé par la bouche, et petit à petit, il s’étend à tout notre corps. C’est toujours doux, humide et excitant.
Avec ses mains il part du bas du dos de chaque côté pour remonter le long des muscles de mon dos, puis descend, il me caresse fermement le dos, en me collant contre lui.
Mes bras sont enroulés autour de sa nuque, mes seins sont légèrement plus hauts que ses tétons, juste sous son cou.
Je porte un t-shirt cotelé gris sans soutien gorge, pas sexy du tout, mais il plaque mes seins de manière à les rendre tout ronds. Avec mon short en jean délavé taille haute un peu large, j’ai carrément un look vintage qui n’est pas habituel.Mon entrejambe se frotte contre lui, je sens bien qu’il n’est pas insensible à la discussion qu’on a engagée. Je sens que je commence à mouiller dans ma culotte moi… Putin que c’est bon! On a légèrement oublié qu’on est dans le parc communal et qu’il est presque midi. On s’en fout je crois… Je jette quelques coups d’œil par-dessus son épaule de temps en temps.Les deux collégiennes que j’ai croisées tout à l’heure redescendent vers leur école, on reste sage juste le temps de leur passage, les joues roses, le souffle court et le sourire aux lèvres. On se sourit comme deux adolescents. Par la jambe large de mon short, il a accès à mon entrecuisse sans difficulté. Il pose sa main juste à côté de l’élastique de ma culotte. Je sens mes nymphes qui gonflent, et je continue à me frotter contre lui. Puis sa main vient trouver mon sein, avec son petit téton qui pointe à travers les cottes. Il n’attend que ça mon téton, depuis le dessous de mon t-shirt, depuis tout à l’heure il lui réclame des caresses, il réclame ses doigts, la paume de sa main qui vient le frotter. Enfin… Putin que c’est bon.Je n’ai pas oublié le deal de départ, je le suce et je lui fais l’amour. Je relève mon t-shirt juste au dessus de mes seins, ce qui leur donne une allure étrange. Il cueille mon mamelon avec sa langue et ses lèvres. J’ai envie de gémir. Putin que c’est bon.Je crois que j’ai gémis à voix haute. Je déboutonne le haut de mon short, je descend la braguette et j’écarte le haut de la ceinture du plus que je peux. D’une tenue d’un jour de repos/balade au parc, je suis passée à un truc carrément torride, je me sens femme, je me sens sexy, je me sens innarétable. Note à moi même pour plus tard: une jupe aurait simplifié mon affaire!Je me relève, sans jamais lâcher ses lèvres, et j’ouvre le bouton de son jean, la braguette et je met directement ma main dans son caleçon. Il est dur, déjà tellement dur, je sens que ca me fait mouiller d’un coup. Je jette un coup d’œil, je vois une goutte de mouillage au bout de son gland qui dépasse du caleçon, l’endroit est devenu trop exiguë pour lui. Cette goutte me donne une indication sur son excitation à lui, il n’en fallait pas plus que mon agitation monte d’un cran.
Je m’agenouille face à lui, il s’assoit au bord du banc, je peux baisser son pantalon, j’ai directement accès à son sexe.Si je fais un arrêt sur image je peine à croire que je suis au milieu du parc communal en train de tailler une pipe a un gars que j’ai vu une fois. Putin que c’est bon.Je mouille, mais je mouille… J’ai hâte de lui faire l’amour.
Je suis trop excitée, sans préliminaire, je prend son sexe dans ma bouche et je commence à le sucer à pleine bouche. Je le vois, il a les yeux mi-clos, la bouche ouverte, il est en extase, ça m’excite… C’est marrant comment chaque sexe a son goût, sa forme, sa fermeté, le côté ou il préfère aller, la quantité de peau autour du gland.Je goute son sexe, son liquide, ses bourses que je lèche en le branlant, ca va vite, très vite, trop vite. Mais en même temps le lieu se prête à l’amour tel qu’on est en train de le pratiquer. Plus je le suce et moins je peux contenir mon impulsion sexuelle. Mon short m’empêche de me toucher facilement. Intérieurement je boue, j’ai le feu en moi.
Je me relève.
Je crois que lui aussi, plus je le suce, moins il peut se retenir, il est au bord du gouffre.-On passe à la deuxième partie du contrat? Je te fais l’amour?Je sens l’air chaud et doux qui caresse mes seins qui sont gonflés de désir et de sexe.Il y a un petit recoin d’herbe, contre un talus, un peu “caché”, il met son pull par terre et commence à vouloir m’allonger. Il n’a pas compris je crois. Je le prend par les épaules, je le retourne brusquement et je le plaque au sol, à callifourchon sur lui. Je lui murmure à l’oreille:-T’as pas compris, c’est moi qui te fait l’amour.Je lui lèche le lobe de l’oreille, ce qui lui arrache un petit gémissement.
J’enlève mon short, je sors un préservatif de mon sac. Je lui enfile, je pousse ma culotte sur le côté et enfin, avec son gland je peux caresser mon clitoris. Putin que c’est bon…Je suis tellement surexcitée que je ne peux pas faire ça plus de quelques secondes. J’ai trop envie de son sexe en moi. Je suis tellement humide qu’il coulisse avec facilité. Je commence à bouger avec ardeur sur son penis. J’en peux plus, je me touche en même temps que mes lèvres caressent son intimité. PUTIN QUE C’EST BON.Ça ne fait pas longtemps qu’on fait l’amour, mais déjà, j’ai envie de jouir.
Ses mains ont accroché mes hanches, il a synchronisé son mouvement au mien.Pourvu qu’il n y ai pas un promeneur ou un collégien qui arrive. L’arrêt sur image est tellement érotique, je suis sur lui, le tshirt remonté au dessus des seins…Je sens qu’il est prêt à jouir, alors je me lâche, je me touche, je sens en moi le frottement de son sexe et je jouis, je sens mes dents qui se serrent, un petit cri qui demande à sortir de mon corps qui n’en peux plus de garder tout ça pour lui. Il jouit aussi, je le vois, je le sens, je sens ses coups de bassin désordonnés. On jouit, putin que c’est bon de jouir!Je me rhabille, lui aussi, on s’allonge l’un contre l’autre en rigolant. Je crois que j’ai réussi mon pari.On ne se donne pas nos numéros, mais je lui promets que la prochaine fois que je viendrai au parc sur les coups de 11 heures, je mettrai une jupe et une chemisette facile à ouvrir.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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