Depuis bientôt 3 ans j’avais à mon service Virginie Dumont comme aide-ménagère 5 fois par semaine de 9 h à 13 h ; en fait, elle me devait 4 heures de présence chaque jour mais si le matin était la loi générale, elle pouvait décaler ses horaires durant la journée après m’avoir prévenu. Elle avait 27 ans, était mère d’une fille de 7 ans (Émilie) cadeau d’un copain de fac qui s’était éclipsé dès l’annonce de son état de future mère.Elle était une sorte de souvenir laissé par mon ancienne amie Charlotte qui, un beau jour, m’avait laissé en plan pour un Américain plus brillant et plus riche que moi en le suivant à Los Angeles. Nous étions restés 3 ans ensemble mais nous étions très occupés avec beaucoup d’ambition pour l’avenir, donc peu disponibles l’un pour l’autre. Elle l’avait recrutée (ses parents connaissaient ceux de la fille car celle-ci était une de leurs filleules) en la débauchant d’une caisse de supermarché où Virginie travaillait pour survivre tout en s’occupant de sa fille ; nous l’employions, alors, trois heures chaque matin du lundi au vendredi en l’autorisant à venir avec Émilie, ce qui lui permettait de ne pas avoir à la faire garder. Elle pouvait compléter ses revenus en travaillant l’après-midi pour d’autres employeurs, sa mère prenant alors Émilie en charge. Elle avait aussi du temps pour poursuivre des formations en langues étrangères qu’elle suivait avec plus ou moins succès ; elle avait ainsi obtenu un assez bon niveau en anglais et espagnol.Au départ de Charlotte, je me suis retrouvé seul dans un appartement de 5-6 pièces de 140 m2 (+ une terrasse de 24 m2) situé au 6ème étage d’un immeuble à Boulogne-Billancourt avec tous les problèmes domestiques à résoudre. Comme je n’avais aucun problème financier malgré mes 32 ans, étant associé avec 3 amis dans une entreprise de courtiers de transports internationaux en plein essor, j’avais décidé après 15 jours très difficiles de prendre Virginie 5 jours sur 7 à raison de 4 h par jour qu’il s’agisse du matin ou de l’après-midi. Elle était devenue une sorte de gouvernante qui agissait aussi bien en maintenant mon intérieur en état (il fallait bien s’occuper de mes plantes vertes !) qu’en réceptionnant mes nombreux courriers livrés par DHL (ou UPS) ou en allant faire les courses pour mon compte. Je ne la voyais qu’assez rarement vu mes horaires et les siens ; nous communiquions par messages laissés sur la table de la cuisine ou par textos car je lui avais payé un iPhone.Elle était toujours pleine de bonne volonté même quand il s’agissait pour elle de venir durant le week-end ou le soir en extra pour m’aider à recevoir des amis ou des clients. J’évitais, cependant, de l’impliquer dans la venue de filles le soir ou le week-end ; je dois souligner que, s’en apercevant sûrement (restes de produits de maquillage et de quelques dessous dans les salles de bain), elle ne m’avait jamais fait de remarques à ce propos ; elle était très discrète.Je ne pouvais que me louer de ce système car Virginie était efficace ; certes, elle venait assez souvent avec sa fille et il y avait, parfois, un peu de désordre résiduel mais cela donnait un semblant de vie à l’appartement. La consigne : ne pas pénétrer dans mon bureau était suivie à la lettre. Il y avait une raison à cela : mon bureau, vaste espace constitué après avoir abattu une cloison entre deux chambres contiguës, était pour moi un centre sophistiqué de communication qui me permettait d’être en liaison par fax ou vidéoconférence (je disposais de 3 lignes dédiées avec 3 écrans) la nuit et le week-end avec mes associés ou des correspondants dans le monde entier, quelle que soit l’heure. De plus, n’étant pas un adepte des rangements méticuleux, j’avais des dossiers qui traînaient un peu partout sur le sol ou les chaises quand il n’y avait plus de place sur les bureaux. Depuis trois ans, je rapportais beaucoup de documents chez moi ; leur étude me permettait de lutter le soir contre la solitude.Tout allait très bien jusqu’au jour où je me suis aperçu que je ne retrouvais pas forcément tout l’argent que je déposais en vidant mes poches sur les meubles de la salle de séjour, de la salle de bain ou, encore, de ma chambre. Certes, ce n’était pas de grosses sommes, mais parfois je ne comprenais pas pourquoi 80 euros de monnaie et de petites coupures se transformaient en 5 à 10 euros en 48 h. Si cela ne s’était produit qu’une ou deux fois, je n’aurais pas fait attention au phénomène, mais il semblait que c’était devenu une règle générale dès que je semais de la monnaie derrière moi. J’étais plutôt embêté car je devais suspecter Virginie ou Émilie (elle était en général avec sa mère le mercredi) de ces petits larcins. Pour en avoir le cœur net, j’avais décidé un jour de laisser une liasse importante de billets de 50 et 20 euros disposés en désordre sous un livre. Naturellement, j’avais compté deux fois plutôt qu’une le nombre des billets. Le résultat fut très instructif car trois jours après il manquait 110 euros, soit un billet de 50 et trois autres de 20.Suite à ce résultat, j’ai eu une discussion orageuse avec Virginie que j’avais convoquée le samedi qui suivit la découverte du vol en lui demandant de venir sans sa fille. Après beaucoup de réticence, elle a fini par admettre sans me donner de justifications réelles que c’est elle qui se servait dans les billets et pièces laissés sur les meubles ; le manège semblait exister depuis assez longtemps mais Virginie était incapable de me donner un aperçu plus ou moins exact des sommes subtilisées. Elle avait commencé ce système de récupération un jour où elle avait un besoin urgent de monnaie et, comme je ne m’en étais pas aperçu, elle en avait conclu que je n’accordais aucune importance à ce type d’emprunt. Naturellement, je la licenciai et lui repris le trousseau de clefs de l’appartement qu’elle avait sur elle. Ne voulant pas la mettre dans une situation inextricable, je n’avais pas porté plainte mais ne lui avais pas proposé de lui faire un certificat de travail.Je dois dire qu’elle était repartie assez sonnée mais faisant la fière, tête haute, comme si elle voulait me faire savoir que son licenciement ne la touchait pas. Personnellement, j’étais assez gêné d’avoir à la mettre à la porte car je l’aimais bien et je ne comprenais rien à ses actes ; à aucun moment dans la discussion elle n’avait fait référence à une crise quelconque, qu’il s’agisse d’une crise due à de mauvais rapports entre nous ou d’une crise financière. Cela ressemblait nettement à un acte gratuit car je lui avais déjà dit qu’en cas de besoin d’argent j’étais prêt à lui en prêter ; mais il fallait au moins qu’elle le demande !Je connaissais depuis 6 ans sa situation économique : elle arrivait à vivre petitement avec sa fille dans un 2 pièces en HLM, la plus grosse partie de ses revenus provenant du travail et des extras qu’elle effectuait chez moi ; elle pouvait avoir en plus chez d’autres employeurs des heures de travail l’après midi mais c’était très fluctuant du fait qu’elle voulait s’occuper le mieux possible de sa fille et qu’elle avait repris ses études en langues étrangères. Certes, ses parents (je les connaissais très bien car ils étaient très amis avec ceux de Charlotte avec qui j’avais gardé des liens étroits malgré la défection de leur fille) l’aidaient de temps en temps, surtout pour s’occuper d’Émilie, mais ils n’avaient que de petits revenus, sa mère étant caissière dans un supermarché et son père à la retraite.°°°°°°°°°°°°°°°Je l’avais mise à pied vers le 14 juin et nous étions le samedi 4 juillet vers 13 h 30 ; avachi dans un fauteuil près de la fenêtre ouverte donnant sur la terrasse, en tenue décontractée et mules aux pieds, je réfléchissais, tout en dégustant un café bien tassé, à ma situation domestique. Le départ de Virginie n’arrangeait pas mes affaires : il fallait faire les courses si je voulais manger, faire ma lessive et parfois le repassage, et il fallait aussi que j’entretienne l’appartement (mes plantes vertes souffraient beaucoup !). Il était urgent que je trouve quelqu’un pour la remplacer. Certes, j’avais vu et étudié beaucoup d’annonces ; j’en avais retenu certaines mais il fallait que j’auditionne les candidates. Je réfléchissais aux critères qui devaient me guider dans le choix de la perle rare. Je dois dire que j’étais très indécis sur la manière de gérer ces entretiens ; en fait, je musardais.« Drrrrr ! » La sonnerie enrouée de l’interphone me sortit de ma léthargie. Je me levai d’un bon en bougonnant, traversai la salle de séjour et appuyai sur le bouton d’ouverture de la porte du bas sans y penser (réflexion faite : il aurait été plus prudent que je demande à qui j’avais à faire) en annonçant « 6ème gauche ». Dans le même sursaut j’ouvris ma porte palière et attendis le visiteur sur mon pas de porte ; plus que surpris, je vis Virginie sortir de l’ascenseur. Que me voulait-elle ?Elle était habillée avec une petite robe d’été couleur paille à manches courtes arrivant au-dessus des genoux et chaussée de sandales vertes. Elle avait abandonné pour une fois sa tenue de prédilection : le jean défraîchi aux nombreuses réparations de fortune, le tee-shirt ample bien trop grand cachant ses formes, les souliers éculés. Elle s’est avancée vers moi en ne disant rien, visage fermé, chevelure noire en désordre lui tombant sur les épaules. J’ai tout de suite senti qu’elle avait un problème ; visage défait, elle avait de la peine à me regarder dans les yeux. Elle me dit bonjour d’une voie rauque avec une certaine réticence. Je sentais qu’elle était très tendue. Avait-elle peur de me rencontrer ?— Bonjour Monsieur…— Bonjour Virginie ; je ne vous attendais pas… Vous désirez me voir ? Je peux vous accorder un moment mais il ne faut pas que cela soit trop long car j’ai un rendez-vous téléphonique à 16 h.Sans attendre sa réponse je la fis entrer, me doutant un peu que nous allions avoir un entretien pas facile.— Asseyez-vous. Désirez-vous un café ?Elle opina de la tête mais ne prononça aucune parole ; je voyais à ses yeux gonflés et humides qu’elle avait pleuré peu de temps avant. Elle était confuse et très tendue.Elle s’était assise sur le sofa contigu à la porte de ma suite « parentale », vaste chambre avec salle de bain privative ; je sentais qu’elle voulait me parler mais cela ne semblait pas lui être facile. Après des allers et retours avec la cuisine pour faire du café, je lui en apportai une tasse que je posai sur la table basse située devant elle ; elle la toucha à peine, tant elle était tendue. Tirant une chaise, je m’assis alors face à elle de l’autre côté de la table tout en sirotant le mien.— Comment allez-vous ?— …Elle resta silencieuse un grand moment, ses mains crispées sur ses genoux, les joues rouges, puis elle finit par parler avec difficulté, tête baissée, yeux fixés sur son café. En fait, rien n‘allait : je l’avais mise à la porte plus de 15 jours avant ; sa fille comme ses parents n’étaient toujours pas au courant et elle se trouvait sans filet de secours. Elle avait espéré pouvoir retrouver assez facilement du travail soit en tant que femme de ménage, soit en tant que caissière ou encore de serveuse, mais elle ne s’était pas rendu compte que ce n’était pas la bonne période à Boulogne-Billancourt, les places étant déjà prises par les jobs d’été. On ne lui avait proposé que des emplois très temporaires ou très précaires, ce qui lui poserait un problème dans le futur pour se nourrir, faire vivre sa fille et assumer la location de son appartement. Certes, ses parents auraient pu l’aider en attendant de trouver un nouveau travail stable, mais elle aurait été obligée d’annoncer sa mise à pied ; elle n’y tenait sûrement pas car ils seraient venus me voir de suite pour me demander les raisons de son licenciement.Elle voulait savoir si elle ne pouvait pas reprendre son travail chez moi comme avant. Reconnaissant ses torts, elle proposait une légère diminution de son salaire et un travail gratuit lors de ses vacances. Je dois dire qu’elle semblait très dépitée d’avoir à montrer profil bas. Il était vital pour elle de retrouver un travail le plus rapidement possible et elle s’était mise dans la tête que la solution serait que j’oublie ce qu’elle avait fait et que, lui pardonnant, j’accepte de la reprendre.J’avais toujours apprécié Virginie car elle s’était toujours montrée très sérieuse ; elle avait toujours très bien tenu l’appartement et, chaque soir, si je devais rentrer à un horaire normal, j’avais un repas au frigo qu’il suffisait de faire réchauffer. Elle était très serviable, acceptant de travailler en tant qu’extra le soir ou le dimanche quand j’avais des repas avec des collègues ou des clients. Certes, je la payais en conséquence mais elle faisait toujours un grand effort pour que ces réceptions soient des plus réussies ; mes amis me l’enviaient. C’est d’ailleurs lors de ces réceptions que je m’étais aperçu de ses progrès en anglais et espagnol.Je n’étais, cependant, pas prêt à la reprendre de suite. Je tenais à lui faire comprendre qu’elle était adulte, donc complètement responsable de ses actes ; je commençais aussi à avoir des doutes sur sa fiabilité.— Croyez-vous réellement que je peux vous reprendre à mon service ? Vous vous conduisez comme une gamine irresponsable. Vous avez 27 ans et vous êtes mère de famille. J’attendais plus de maturité de votre part… Je ne vois pas comment je peux passer sur vos indélicatesses.Je la sentis très tendue ; elle avait joint ses mains pour essayer d’empêcher leurs tremblements.— Je sais que j’ai commis une faute ; je vous promets de ne plus agir ainsi… Dès que je pourrai, je vous rembourserai…— …— Je vous en prie, je n’ai que le travail chez vous de sûr… J’ai une fille.Je ne lui répondis pas de suite. J’étais tenté de la reprendre ; cela me faciliterait bien ma vie si je n’avais pas à rechercher quelqu’un d’autre ; je la connaissais et, en plus, je l’aimais bien. Je ne voulais pas cependant acquiescer trop rapidement à sa demande, même si sa mise à pied de plus de 15 jours avait dû lui mettre du plomb dans la tête.— Peut-être fallait-il y penser plus tôt… Drôle d’exemple pour une fille d’avoir une mère prête à voler sans raisons valables… ne vous étonnez pas si elle tourne mal…C’est à ce moment là que tout dérailla. Il faut dire que j’avais dit ces dernières paroles d’un ton très sec ; elle a dû penser que j’allais arrêter l’entretien et la renvoyer chez elle sans réponse positive.Elle se leva alors, se cogna à la table basse et se dirigea d’un pas pressé vers la porte puis, ayant déjà la main sur la poignée de celle-ci, elle se retourna vers moi en me fusillant de ses grands yeux noirs chargés de larmes. Elle revint en arrière et haussa le ton ; elle était hors d’elle ; ses mains tremblaient et sa voix était rauque. J’ai eu droit alors à un long monologue allant de l’esclavage des gens de maison payés au SMIC au comportements égoïstes des hommes qui ne pensaient qu’à leur plaisir sexuel sans prendre leurs responsabilités (son principal problème vis à vis des hommes du fait de la fuite du futur père d’Émilie, 7 ans avant) en passant par une critique plus générale sur ma morgue à son égard, mon côté patron « bobo » paternaliste. Pour couronner le tout, elle continua en esquissant de moi un portrait très défavorable, me traitant d’arriviste prêt à tout pour arriver, d’homme cynique sans aucune empathie pour les autres et même vicieux, ayant monté sa fille contre sa mère. Heureusement que sa fille n’avait que 7 ans, sinon elle m’aurait suspecté de courir après elle !Plus elle avançait dans son monologue, plus ses propos devenaient injustes et méchants à mon égard. C’était à se demander si ce n’était pas moi qui étais sur la sellette et non elle ! J’ai fini par exploser quand elle a lié le départ de Charlotte avec mon inaptitude à lui montrer de l’amour, étant trop imbu de ma personne et montrant des penchants de pédophilie vis à vis d’Émilie.Hors de moi, je me levai d’un bond, l’ai prise par le haut du bras gauche et, avant qu’elle puisse reprendre son souffle et comprendre ce que je voulais faire d’elle, je l’entraînai vers ma suite ; il n’y avait que 4 pas à faire. Elle commença alors à résister et me lança sur un ton horrifié :— Vous allez me violer ?Je ne lui répondis pas. De toute façon, elle ne m’aurait pas écouté car elle se débattait comme un ver au bout d’un hameçon, me donnant des coups avec ses jambes et ses pieds tout en essayant de s’écarter de moi avec sa main droite.Je la jetai sur le lit, et c’est à ce moment là que, la mettant sur le ventre, elle comprit ce que j’allais faire.— Non ! Non ! Je vous en prie ! Vous n’avez pas le droit !En furie, elle tourna la tête vers moi et essaya de se relever mais je l’en empêchai en me couchant sur son dos, son bras gauche bloqué sous son corps.— Virginie, ça suffit ; tu dépasses les limites. Puisque tu te comportes comme une petite fille, tu vas être punie comme une gamine insupportable.Je n’en dis pas plus. Devinant que j’allais lui donner une fessée, elle essaya par tous les moyens de se redresser mais, vu mon état d’énervement, je ne la laissai pas faire et appuyai de toute mes forces sur ses épaules et son dos.Lors de sa lutte pour s’enfuir du lit, sa robe s’était remontée au-dessus de la ceinture. Je m’aperçus ainsi qu’elle ne portait qu’un string et que ses fesses étaient comme nues, ce qui allait me faciliter le travail. Elle essaya bien, en lançant son bras droit vers l’arrière, de recouvrir ses fesses en tirant sur sa robe mais il me fut aisé de bloquer son mouvement en lui faisant une clé avec ma main gauche pour coincer son bras dans son dos.Je passai outre à ses paroles furieuses.— Non… non… vous n’avez pas le droit ! Je vais porter plainte…— Tu vas te calmer ! Tu n’avais qu’à réfléchir avant.C’est alors que je commençai à lui claquer les fesses avec ma main droite. Je dois dire que les premières claques furent données avec une très grande force (j’étais en colère et très énervé) car les traces de mes doigts à chaque coup s’imprimèrent très visiblement sur chacune des fesses.Quand elle reçut les premières claques, elle ne cria pas mais redoubla d’efforts pour se libérer, essayant de décoincer son bras gauche de dessous son corps ou de se retourner tout en poussant des injures et des onomatopées plus ou moins distinctes. Cependant, le poids de mon corps sur ses épaules et le blocage de son bras droit par ma main gauche lui laissaient peu de possibilités de mouvements. Elle essaya bien en remuant de me déstabiliser mais elle avait beau se tortiller et battre l’air avec ses jambes, je la maintenais fermement sous moi.J’ai pu alors continuer sans trop de problème à lui distribuer des claques sur les fesses et le haut des cuisses ; je dois dire que ce ne furent pas des caresses ; j’étais énervé et chacune de mes claques marquait sa peau. Elle abandonna très vite ses mouvements erratiques de libération et essaya de m’attendrir en répétant périodiquement « Je vous en prie… je vous en prie… » Je ne lui répondis pas.Elle avait commencé à pousser quelques cris, puis brusquement elle éclata en sanglots, tête dans le lit, comme si une barrière avait cédé. Je dois avouer que je n’avais pas compté le nombre de claques que je lui avais déjà données et je n’avais aucune idée de la durée de la fessée que j’allais lui donner, mais je sentis que les claques que je lui distribuais lui faisaient toutes assez mal vu ses gémissements et les traces laissées sur ses fesses ou ses cuisses.C’est bien beau de taper sur les fesses d’une fille, mais au bout d’un certain temps la main qui distribue les claques s’échauffe et j’ai dû marquer une pose. Ses fesses étaient bien rouges mais je n’en avais pas fini avec elle. Elle se redressa un peu et essaya de capter mon regard avec ses yeux humides, mais les miens étaient dirigés vers le sol à la recherche de mes mules tombées des pieds dans ma lutte avec elle.— Ne crois pas que c’est terminé ; je ne suis qu’à la moitié de ta punition. Je vais maintenant t’apprendre à respecter les autres et à ne pas dire n’importe quoi. Je ne suis ni un vicieux, ni un pédophile !En même temps que je lui dis cela je me contorsionnai tout en la maintenant de mon bras gauche et récupérai avec ma main droite une de mes mules qui était au pied du lit. Elle essaya bien de se libérer en s’agitant mais j’avais déjà la mule dans la main droite et je dois avouer qu’elle fut plus que surprise quand je lui claquai les fesses avec ce nouvel instrument.— Oh ! Non !… Non ! Je vous en supplie !… Arrêtez ! Je vous demande pardon !… Arrêtez !Je ne lui ai pas répondu, et je dois dire qu’entre 15 à 20 coups – peut être plus – assez méchants claquèrent sur ses fesses. Tête dans le dessus de lit, elle avait libéré son bras gauche et chaque coup que je lui donnais était marqué par un mouvement de ses doigts agrippant le dessus de lit. Elle ne criait pas mais pleurait en gémissant, la tête dans le lit.Je n’ai pas compté les claques données mais j’ai arrêté leur distribution quand je me suis rendu compte que ses fesses rougies par mes mains avaient pris une couleur lie-de-vin à certains endroits et que ses fesses semblaient marquées par des bleus. Elle, après m’avoir supplié plusieurs fois d’arrêter, sanglotait en se cachant la figure dans le dessus de lit ; je sentais tout son corps trembler sous moi. Je la libérai alors, mais elle resta comme tétanisée, à plat-ventre sur le lit, sanglotant tant et plus.— Virginie, je ne voulais pas arriver à cela mais ton comportement est inadmissible. Sache, cependant, que je considère que tu as payé pour tes bêtises ; je ne t’en parlerai plus jamais. Si tu veux reprendre ton travail habituel, viens lundi, mais pense avant de partir à me demander un trousseau de clefs.— …— Mais sois bien consciente que, si tu reviens ici, il n’est pas question que tu recommences à faire n’importe quoi ; ce ne sera pas avec les mains que je te claquerai les fesses la prochaine foi : ce sera avec ma ceinture. Maintenant, reprends ton souffle et décontracte-toi. Je te laisse reprendre tes esprits.Quittant la chambre, je regardai derrière moi : Virginie avait encore de gros sanglots et, jetant un coup d’œil à ses fesses, je m’aperçus qu’elles étaient en triste état. C’est à ce moment-là que j’ai eu l’idée de regarder dans la pharmacie si je n’avais pas des crèmes apaisantes aptes à diminuer ses douleurs et soigner ses bleus. J’attrapai un tube de pommade à l’arnica et un tube de crème utilisée contre les coups de soleil.Je retournai dans la chambre. Virginie n’avait toujours pas bougé ; sa robe était toujours retroussée jusqu’à la ceinture ; à plat sur le ventre, mains sous sa tête, elle devait être en train de digérer sa punition tout en ayant par moments de gros sanglots.— Ne bouge pas, Virginie ; je vais te passer une pommade sur les fesses afin de diminuer la douleur et de soigner tes bleus.Je commençai alors à lui tartiner les fesses et le haut des cuisses avec de la pommade sans trop appuyer pour éviter de faire trop ressurgir ses douleurs. M’apercevant que je risquais d’en mettre sur son string, je glissai mes doigts de chaque côté de ce dernier pour le faire glisser sur ses fesses puis ses jambes. Sans trop faire attention à ce que je faisais sur le moment, elle se laissa faire et souleva un peu son bassin pour faciliter le glissement du string sur ses cuisses ; ce n’est qu’en la voyant lever la tête et tourner ses yeux gonflés et rougis vers moi avec surprise que j’ai ressenti que je faisais quelque chose d’un peu scabreux sans qu’elle n’ose rien dire.— Excuse-moi, Virginie, mais je pense que, vu l’état de tes fesses, je vais te masser avec la pommade à l’arnica, et ce n’est pas la peine que j’imbibe ton string avec ce produit.Je commençai alors un massage complet de ses fesses en faisant bien attention de répartir au mieux la pommade sur toutes les surfaces attaquées par mes claques sans trop appuyer sur ses muscles meurtris afin de faire pénétrer petit à petit les onguents à travers sa peau.Je pris alors conscience de la plastique de Virginie ; jusqu’à présent, je ne l’avais surtout vue que vêtue à la diable avec des tee-shirts amples cachant ses formes, des pantalons informes et des souliers éculés. Certes, elle était toujours très bien habillée quand elle venait chez moi en extra pour m’aider à recevoir mes amis et clients, mais je ne faisais jamais trop attention à elle, étant pris par mes devoirs de maître de maison. J’avais déjà admiré sa chevelure foisonnante noire qui lui tombait au milieu du dos et qu’elle attachait souvent en queue de cheval, ses yeux noirs et perçants, mais je n’avais jamais essayé de deviner son corps sous ses habits. Je savais que lorsqu’elle souriait elle pouvait se montrer irrésistible, mais ces moments-là étaient très rares ; elle avait le plus souvent l’air triste avec la bouche un peu boudeuse ; elle ne respirait pas la joie de vivre !Elle avait de belles fesses fermes sous mes mains, sans aucune trace de cellulite, très douces au toucher. Sa taille était assez fine (elle devait faire du 38) mais elle avait déjà un bassin un peu élargi comme toute jeune femme ayant déjà accouché. Elle avait une magnifique chute de reins aboutissant à deux fesses bien rondes. Ses cuisses présentaient un galbe magnifique ; elles étaient à la fois pulpeuses et musclées. Ses jambes dotées de magnifiques mollets oblongs se terminaient par de merveilleux petits pieds fins que l’on avait envie de prendre entre ses mains pour les caresser. Je dois dire que je ne restai pas insensible à sa plastique et à sa peau douce. C’était une belle femme d’un mètre soixante-dix environ avec un corps bien proportionné, qui ne devait pas rechigner à pratiquer des exercices physiques. J’avais envie de la consoler en la prenant dans mes bras pour la cajoler, et je dois dire que ma libido était en train de se réveiller.J’étais aussi un peu embêté de la tournure qu’avait pris notre rencontre et je me demandais ce qu’elle allait faire à la suite de la correction que je lui avais administrée. J’avais conscience de l’anormalité de la situation et je n’aurais pas été surpris si elle était allée porter plainte pour mauvais traitement.M’étant assis sur le lit à côté d’elle, je me mis alors à masser et malaxer consciencieusement ses fesses et le haut de ses cuisses en allant de l’intérieur vers l’extérieur ou l’inverse, du haut vers le bas ou du bas vers le haut et, petit à petit, je dois dire que mes mains élargirent leur champ d’investigation ; la douceur de sa peau était fort agréable au toucher et j’avais beaucoup de plaisir à malaxer en douceur ses muscles. Vers le haut, j’avais tendance à aller jusqu’à la ceinture où j’avais un certain plaisir à lui masser les reins et vers le bas jusqu’aux mollets que je ne me privais pas de caresser. Très rapidement, elle s’arrêta de pleurer, gardant sa tête entre ses bras, la figure cachée dans mon dessus de lit.Sans le vouloir au début, mes mains et mes doigts se glissaient parfois à l’intérieur de ses cuisses, manière comme une autre de faire glisser les paumes vers l’extérieur sur ses cuisses et ses fesses pour bien masser toute leur surface. La première fois que je le fis, je ne remarquai rien, mais très rapidement je me suis aperçu que, lorsque je glissais mes mains vers l’intérieur de ses cuisses, elle faisait le nécessaire d’elle-même pour les écarter, puis elle se mit à devancer mes gestes en les écartant par avance comme une invite à des caresses plus locales.Elle me montrait ainsi sans aucune vergogne qu’elle avait envie que je la caresse dans cette zone la plus intime de sa personne où les cuisses se réunissent. Déjà très échauffé par ce que je voyais, je ne pus me retenir de ne masser que l’intérieur de ses cuisses, et très rapidement mes mains allèrent caresser ses aires les plus secrètes. Dès que l’extrémité de mes doigts toucha son sexe, elle écarta encore plus ses jambes en soulevant un peu son bassin comme une invite à ce que je m’occupe encore plus de son intimité. Je me mis alors à genoux au pied du lit et commençai à caresser ses grandes lèvres et à titiller son petit bouton ; c’est aussi à ce moment-là que je pris conscience de sa toison noire et bouclée ornant son mont de Vénus.Sous mes caresses intimes, elle se mit alors à ahaner, la fréquence de ses gémissements étant en phase avec la rapidité des mouvements de mes mains et de mes doigts ; puis elle allait devenir très active, balançant d’avant en arrière son bassin pour que son sexe appuie plus ou moins fortement sur mes mains, sur mes doigts.Il ne faisait aucun doute que mon traitement l’excitait au plus haut point car son intimité était devenue des plus humides ; des filets muqueux s’échappaient de son sexe. J’eus envie alors qu’elle libère au mieux son excitation sexuelle, et je glissai petit à petit un ou deux doigts dans l’antre de sa féminité en m’arrangeant pour qu’ils fassent des mouvements alternatifs plus ou moins rapides, plus ou moins appuyés alors que les doigts de l’autre main lui titillaient son petit bouton d’amour.Tout son corps se mit alors à trembler ; elle ne put éviter que ses gémissements se transforment par moments en cris et que son bassin fasse des mouvements anarchiques de plus en plus marqués pour faciliter les contacts avec mes mains. C’est alors qu’un de mes doigts bien imbibés de ses secrétions alla s’égarer au voisinage de son petit trou dans lequel je l’enfonçai brusquement sur toute sa longueur.Elle releva en sursautant la tête, se tourna toute rouge vers moi, poussa un « oooh » d’indignation (je pense, mais je n’en suis pas sûr) et fut prise de suite dans un maelstrom de tremblements tout en poussant un cri étranglé alors qu’elle s’écroulait tête la première sur le lit. Elle venait d’avoir un magnifique orgasme qui se prolongea durant un certain temps. Je dois avouer que je n’étais pas resté insensible à ses réactions ; ma verge était devenue dure comme du béton, mais je n’avais rien fait pour la prendre car je ne désirais pas profiter de la situation.Dans les minutes qui suivirent, il me fut permis de l’observer : elle ne bougeait plus ; sa respiration qui durant nos jeux sexuels s’était montrée des plus anarchiques était devenue souple et régulière ; elle n’émettait plus aucun bruit. J’étais un peu gêné car nos jeux avaient dû durer 10 à 15 minutes et s’étaient passés sans qu’aucune parole n’ait été prononcée ; je n’avais aucune idée de ce qu’elle pensait.Je me relevai et me penchai sur elle :— Virginie… vous allez bien ?Elle ne me répondit pas de suite et, en moi-même, je ne savais que penser. C’est alors qu’elle releva la tête, les joues toutes rouges et tourna ses yeux larmoyants vers moi sans aucune gêne avec un demi-sourire sur les lèvres.— Merci, Thomas ! Cela fait si longtemps que cela ne m’était pas arrivé…Elle me sourit alors malgré ses larmes :— Je m’en souviendrai !Je restais coi devant ces deux déclarations car c’était la première fois qu’elle m’appelait par mon prénom alors que cela faisait 7 ans que je la côtoyais, et elle semblait avoir attendu depuis trop longtemps la satisfaction de ses sens.Elle reposa alors sa tête et je n’entendis seulement que sa respiration calme et adoucie. Elle s’était mise complètement au repos, tête sur le lit, bras en désordre de chaque côté de sa tête, jambes écartées avec les genoux plus ou moins pliés.Nos jeux ayant duré un certain temps, il me fallait penser à mes rendez-vous par vidéoconférence que je devais avoir à 16 h avec mes correspondants de Philadelphie et Singapour.— Virginie, je suis obligé d’aller travailler ; je m’enferme dans mon bureau. Je ne sais combien de temps vont durer mes entretiens téléphoniques, donc il se peut que je ne te revoie pas d’ici lundi. Comme je te l’ai dit, tu peux revenir travailler ici ; je te laisse un trousseau de clefs sur la console de l’entrée ; tu penses à le prendre, car lundi je ne suis pas sûr d’être là quand tu viendras. Mes consignes seront comme d’habitude sur la table de la cuisine.— …— Tu peux prendre une douche ou un bain avant de partir ; tu connais la maison, donc tu sais comment faire. Si tu as un petit creux, tu sais où trouver de quoi grignoter ; il y a ce qu’il faut au frigo ou dans les armoires de la cuisine.Elle ne dit rien, souleva sa tête et me regarda avec ses pupilles dilatées. Elle était toute rouge et ses yeux étaient gonflés, mais il n’y avait plus d’épanchement de larmes ; elle me fit un semblant de sourire en opinant de la tête et reprit sa position de détente sans rien me dire.Moi, je me levai tout en me demandant quel cours prenaient ses réflexions, et après m’être soulagé de ma libido exacerbée en passant par les toilettes, je filai dans mon bureau.°°°°°°°°°°°°°°°°Je n’en suis ressorti que vers 17 h 30 après avoir longtemps discuté avec le correspondant de Philadelphie puis celui de Singapour pour des transferts de matériels fragiles à forte valeur ajoutée de la côte Est des USA à l’Asie par le canal de Panama. Il fallait trouver les bons intermédiaires pour que les transferts se fassent dans les meilleures conditions et le plus rapidement possible.J’étais un peu vasouillard et chiffonné à la sortie de ces discussions car il n’avait pas été facile de trouver des intermédiaires proposant des prix corrects. La négociation avait été difficile.Pour me remonter le moral, j’allai m’asseoir sur la terrasse avec un verre de Chablis bien frais dans la main ; il fallait bien profiter du beau temps. C’est au moment où je passais de la cuisine à la salle de séjour puis à la terrasse que je me suis rendu compte en tournant la tête que le trousseau de clefs destiné à Virginie était toujours sur la console de l’entrée. Je me suis dit alors en moi-même qu’elle me cassait les pieds car j’allais être obligé de les lui apporter ; elle avait, certes, des excuses vu le traitement que je lui avais fait subir, mais j’allais encore perdre du temps. Il ne m’était pas du tout venu à l’esprit qu’elle aurait pu ne plus vouloir travailler chez moi !Je restai bien une demi-heure sur la terrasse quand il m’est apparu opportun de me changer pour aller traîner à Paris, et je me dirigeai vers ma suite. Ma salle de bain était « nickel » et avait été rangée ; il ne faisait aucun doute que Virginie était passée par là en suivant mes conseils d’ablutions. Ma surprise ne s’arrêta pas là car, allant dans ma chambre, je la vis couchée en chien de fusil sous la couette au centre de mon lit ; il n’y avait que sa tête qui dépassait entre les deux oreillers de la tête de lit, ses cheveux largement étalés en éventail sur les oreillers ; il ne faisait aucun doute qu’elle les avait lavés.Je m’approchai d’elle en évitant tout bruit intempestif ; elle dormait sur le côté, respirant calmement, bouche entrouverte. Je restai un bon moment à l’observer puis j’allai m’asseoir au bord du lit pour la regarder de plus près et l’admirer ; c’était vraiment une belle plante ! Son visage n’était plus rouge et elle semblait absolument détendue, comme si tout ce qui s’était passé avant n’avait pas eu lieu. Par moments, elle laissait filer quelques sons entre ses lèvres comme si elle était prise dans un rêve. Je réfléchis sur ce qui venait de se passer et je me demandai comment nous en étions arrivés à cela et comment nous allions dénouer la situation. Il y avait un autre problème à résoudre pour moi : elle ne me laissait pas indifférente, et elle excitait ma virilité ; j’avais de plus en plus envie de la connaître réellement en la prenant dans mes bras, en la cajolant et en lui faisant l’amour.Pensant à l’heure qui s’avançait dans l’après-midi et à sa fille Émilie, je pris la décision de la réveiller pour qu’elle rentre chez elle ; j’aurais pu la secouer, mais j’ai préféré la réveiller en douceur en lui soufflant sur le visage. Elle ne bougea pas de suite et mit un certain temps pour ressentir mon souffle ; ce n’est pas pour cela qu’elle allait ouvrir les yeux : elle voulait peut-être continuer à rêver. Elle se tourna alors de l’autre côté, et ce n’est qu’en entendant me gratter la gorge qu’elle les ouvrit et me vit. Elle ne dit rien, me regarda et sembla réfléchir. Elle était un peu perdue.Elle rougit un peu et se mit en position assise avec un peu de difficulté (ses fesses devaient lui faire mal) tout en tirant sur la couette pour la coller devant sa poitrine. Elle ne me dit aucune parole et me regarda avec ses pupilles dilatées, un petit sourire timide aux lèvres.— Virginie, il faudrait peut-être que tu suspendes ta sieste et que tu rentres chez toi car ta fille va s’inquiéter.— Elle est partie jeudi avec mes parents pour le Jura, chez mon frère.Tout en parlant, elle se trémoussait un peu (ses fesses devaient être douloureuses) ce qui me permit de voir qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Sans rien dire, j’attrapai le bord de la couette et la tirai à moi. Toute rougissante et gênée, elle la retint un peu avec ses mains puis la lâcha, ce qui me permit d’admirer sa poitrine.Elle avait de magnifiques petits seins en forme de poire avec de gros tétons bruns qui se tenaient fièrement devant elle, témoins de leur excitation présente. Confuse, ses pupilles grandes ouvertes, émue, elle me regarda avec un pâle sourire et ne dit rien, son émoi rendu bien visible par les mouvements lents de sa poitrine se soulevant périodiquement.Silencieux, je me penchai vers elle et pris ses seins dans mes mains pour les masser, les caresser et titiller avec mes doigts leur petit bourgeon terminal. Elle poussa un « Oh ! » de surprise, me dit sans être très décidée « Non… », timidement, et se laissa retomber en arrière sur le lit, les yeux dans le vague et la bouche légèrement ouverte, sortant un petit bout de langue pour humidifier ses lèvres. Sa respiration s’accéléra et elle commença à gémir quand je lui pinçai les tétons.Je l’avais un peu suivie dans son mouvement de recul en me penchant sur elle car je voulais continuer à jouer avec ses seins ; elle se redressa alors, s’accrocha à mes épaules, m’attira à elle et mit ses bras autour de mon cou ; elle colla ses lèvres aux miennes et m’embrassa avec passion, m’obligeant à ouvrir ma bouche pour y faire pénétrer sa langue ; la mienne et la sienne se réunirent alors, se jouant l’une de l’autre. Je dois dire que je ne rompis pas cette étreinte ; ses lèvres pulpeuses s’accordaient bien avec les miennes, et les mouvements erratiques de sa langue sur la mienne m’excitaient au plus au point.J’essayais bien de revenir en arrière, mais chaque fois que je voulais rompre notre baiser elle revenait vers moi en s’agrippant à mes épaules en prononçant les mêmes paroles.— Thomas… Thomas, reste…Je dois dire que ses baisers ne me répugnaient pas ; ses lèvres étaient si douces ! Je m’allongeai alors à ses côtés et laissai mes mains partir à la découverte de son corps. Mes doigts se glissèrent alors sur son cou, ses épaules, sous ses aisselles et le long de ses bras, puis mes mains se posèrent sur ses seins qu’elles caressèrent et malaxèrent. Elle gémissait doucement tout en palpant de ses mains mon cou et mes épaules, puis ma poitrine et mon dos en passant ses mains sous mon tee-shirt.À partir de ce moment-là je ne montrai plus aucune retenue ; je relevai complètement la partie de la couette cachant le reste de son corps et m’aperçus qu’elle était couchée sur le dos, toute nue. Je gardai une main pour jouer avec ses seins alors que l’autre partit reconnaître son ventre, ses cuisses et, surtout, son sexe. Je la caressai, la malaxai, et très rapidement une de mes mains s’installa à demeure entre ses cuisses pour caresser son pubis de poils noirs bouclés, ses grandes lèvres, mes doigts s’insinuant entre les replis de sa féminité. Elle ahana en gémissant tout en propulsant son bassin vers ma main, cuisses ouvertes.Elle ne resta pas passive car très rapidement elle me prit à la taille avec ses deux mains ; elle accrocha de chaque côté mon tee-shirt qu’elle remonta jusqu’à mes épaules pour le faire glisser au-dessus de ma tête. Une fois celui-ci enlevé, elle s’attaqua alors fébrilement à ma ceinture.Pour faciliter les choses, je me redressai, m’assis sur le bord du lit et enlevai pantalon et boxer pour me retrouver dans le même état qu’elle. Je dois dire qu’il était temps que je libère ma verge de toute contrainte car, déployée au maximum, elle avait atteint sa taille d’intervention et était dure comme de la pierre. Elle n’avait pas détourné ses yeux quand je m’étais débarrassé de mon pantalon ; elle semblait des plus intéressées par le spectacle et eut un grand sourire avec un mouvement d’appréciation de la tête, montrant ainsi qu’elle n’était pas insensible à ce qu’elle voyait, se montrant ainsi assez coquine.Je me recouchai alors à ses côtés ; je l’embrassai à nouveau, et ce ne fut pas un baiser passionné mais une multitude de doux baisers déposés sur ses oreilles, ses yeux, ses lèvres que je mordis légèrement pour descendre vers ses seins où je pris en bouche alternativement ses tétons gauche et droit, les suçant, les mordillant, les aspirant. Virginie, les yeux dans le vague, respirant de façon chaotique, avait saisi ma tête et n’avait de cesse de passer ses mains sur ma nuque quand elle ne s’accrochait pas à mes épaules ou mon dos en enfonçant ses ongles dans ma chair.Très rapidement, mes lèvres quittèrent ses tétons et ma bouche continua son voyage vers son nombril, puis vers son ventre. Alors je me déplaçai et m’installai à genoux entre ses jambes ; je soulevai ses fesses avec mes mains pour approcher son bassin de mes lèvres. Me prosternant presque devant elle, je pris alors une de ses grandes lèvres entre mes dents. Elle eut un sursaut mais ne dit rien et je passai à la seconde que je mordis un peu plus fort ; elle poussa un cri mais me laissa faire. Je posai alors ma bouche sur son intimité et je commençai alors à lécher, sucer, aspirer ses chairs les plus intimes tout en continuant à flatter son clitoris avec mes doigts.Virginie, tout en me massant la tête, s’était mise à gémir, l’intensité des gémissements étant liée aux actions de ma bouche sur ses grandes et petites lèvres ou sur son clitoris. Ayant senti qu’elle se raidissait un peu, j’accélérai les mouvements de ma bouche et j’attaquai sa grotte intime avec ma langue, l’insinuant le plus possible en profondeur tout en léchant les secrétions qui s’en échappaient. Le résultat ne se fit pas attendre : elle se raidit encore plus, fut prise de tremblements et poussa une série de cris de surprise mais aussi de jouissance. Elle était partie pour le nirvana.Je l’ai prise alors dans mes bras et elle vint se lover contre moi, la tête dans mon cou ; elle ne cessait pas de passer ses mains sur ma poitrine et mes cuisses. Je me suis aperçu alors qu’elle pleurait sur mon épaule, tout émue de ce qui venait de se passer. Bien qu’un peu déçu de ce que ma libido n’avait pu se libérer, je la serrai dans mes bras. Elle me jeta alors un regard langoureux plein de joie contenue et, très appliquée, commença à me caresser avec ses mains puis avec sa bouche, descendant petit à petit vers ma virilité triomphante.Elle s’approcha très près de ma verge pour l’ausculter et la couvrir de petits coups de langue. Je dois dire que je n’étais pas insensible à ce traitement, et je sentais venir le moment où j’allais exploser. Afin d’éviter cette fin hâtive, je la freinai dans cette découverte de mon corps et m’arrangeai pour la recoucher sous moi ; elle ouvrit alors au maximum ses cuisses.— Viens en moi… j’ai envie de toi… ne faisons qu’un…Ce furent les premières paroles prononcées au cours de ces ébats.Positionnant mon sexe face à sa fente intime je la pénétrai doucement, sans me presser, tout en la regardant dans les yeux. Elle me regarda, pupilles dilatées, un demi-sourire aux lèvres ; son émoi apparaissait sur sa figure ; elle avait pris un air sérieux et concentré. La pénétration était des plus aisées tant son sexe était humide. Je n’allais pas garder longtemps mon calme et ma douceur car mon état d’excitation m’entraînait rapidement à accélérer mes mouvements en de profonds coups de boutoir comme pour la pénétrer le plus loin possible.Virginie ne resta pas inerte sous moi ; elle accompagna mes mouvements avec son bassin, comme si elle avait peur de manquer une toute petite partie de nos contacts intimes. Je dois avouer que le silence n’était plus de mise car je grognais tout en la pénétrant avec de grands coups de boutoir ; gémissements sur tous les tons et cris divers s’exhalaient de la bouche de Virginie. Pour faire durer ces contacts intimes, je ralentissais par moment mes mouvements, mais cela ne pouvait durer longtemps tant j’étais excité, et arriva le moment où j’explosai en elle, événement à l’origine de son orgasme crié sur tous les toits traduit au niveau de son corps par toute une onde de tremblements successifs. Je restai sur elle pour reprendre mon souffle ; elle me garda entre ses bras, n’étant pas décidée à ce que nos corps se séparent trop rapidement.Par la suite, nous nous sommes collés l’un à l’autre et nous sommes partis dans une sieste réparatrice.°°°°°°°°°°°°°°°°Je dois dire que la suite fut assez prévisible ; la nuit ne fut pas des plus calmes, et le dimanche nous trouva un peu fourbus. Nous avions passé la nuit à alterner des séances de grignotages actifs (il fallait bien reprendre des forces) avec des périodes de caresses mutuelles, le tout coupé par des périodes explosives d’accouplements assez sauvages suivis de petites siestes réparatrices. Elle ne me quitta que le dimanche soir, notre temps ayant été occupé comme durant la nuit.Virginie semblait heureuse quand elle se lovait dans mes bras pour reprendre ses esprits, mais je la sentais inquiète pour la suite.Elle ne voulut pas prendre de décision immédiate suite à ce week-end très spécial. Avant de me quitter, elle décida de travailler chez moi comme avant. C’est ce qu’elle fit, mais nos rapports allaient devenir des plus intimes et nous recherchions toutes les occasions de passer des moments ensemble. Je dois ajouter que je n’invitais plus de filles car Virginie me comblait.Elle finit par accepter, au retour de sa fille, de venir habiter chez moi avec elle. Je ne sais ce qu’elle lui avait dit exactement, mais juste avant que la décision se matérialise, Émilie était venue me voir sans Virginie pour me dire qu’elle serait heureuse que je devienne son papa. Il faut dire qu‘elle s’était habituée à venir chez moi quand elle voulait ; au début elle sonnait et montait si j’étais là  ; puis, quand elle commença son CP, je lui avais donné une clef pour qu’elle puisse venir même en l’absence de sa mère.Elle avait un ordinateur à sa disposition avec des jeux ; elle profitait de la terrasse quand il y avait du soleil et, souvent, si j’étais chez moi à travailler, je gardais un peu de temps pour discuter avec elle sur ce qu’elle faisait à l’école, de ses amies ; je l’avais déjà consolée de ses mésententes avec sa mère ou ses amies ; j’étais devenu pour elle un confident. Je dois dire que je ne me suis pas fait prier pour accepter la demande d’Émilie, et c’est ainsi que ma première fille avait sept ans quand je l’ai reconnue devant l’état civil.Trois faits allaient précipiter nos rapports vers un mariage officiel.Un mois après notre rencontre charnelle, alors que personne était au courant que nous allions nous mettre ensemble, j’invitai les parents de Charlotte et les parents de Virginie un dimanche à midi pour partager notre déjeuner avec Virginie et Émilie ; au cours du repas, je ne sais plus ce que j’avais dit mais Émilie, sans faire attention, m’apostropha :— Papa, tu pourrais…Elle se mordit les lèvres ; j’éclatai de rire devant les airs surpris des invités et le visage devenu rouge de Virginie. Elle (comme Émilie) n’avait rien dit à ses parents. Nous avions décidé de profiter du repas pour le leur dire, mais cela ne devait se faire qu’au moment du café et non comme un détail de rapport père-fille. Je dois dire que, la surprise passée, nos invités étaient très heureux de l’annonce.Environ trois semaines après ce repas nous recevions Bernard (un de mes associés) avec sa femme. Ils ne furent pas surpris de voir Virginie installée chez moi. Profitant d’un moment où les femmes étaient parties ensemble à la cuisine, mon collègue se moqua un peu de moi :— Tu as mis le temps pour te décider ; je pensais bien qu’un jour ou l’autre cela allait arriver car il était très visible que Virginie était amoureuse de toi, et toi, tu ne voyais rien : tu la considérais toujours comme si c’était ta petite sœur, très prévenant vis à vis d’elle, mais en même temps assez distant. Comment tu t’es aperçu que tu avais des sentiments plus forts pour elle ?Naturellement, je ne lui ai pas raconté ce qui s’était passé entre nous ; j’ai simplement dit que c’était arrivé petit à petit et qu’un jour je n’avais pas pu résister à l’embrasser et que je m’étais rendu compte qu’elle n’attendait que cela. La réflexion de Bernard m’a permis aussi de comprendre le déclenchement de la crise 6 semaines avant. Virginie avait trouvé (sans s’en rendre compte car elle me nia toujours le fait) ce moyen du vol de monnaie pour que je fasse attention à elle, et ses tirades très méchantes vis à vis de moi étaient une manière pour elle de décompresser devant un homme incapable de la voir telle qu’elle était, incapable de voir l’amour qu’elle lui portait.C’est à la suite de cette petite discussion que je me suis mis à faire plus attention à Virginie, à devancer ses désirs et à l’aimer sans retenue. Ma séparation d’avec Charlotte, 3 ans avant, avait dû être facilitée par nos indifférences réciproques que nous avions l’un vis à vis de l’autre suite à nos courses vers les succès.Quelques semaines après ce repas, le 3ème évènement nous poussant au mariage me fut confirmé par Virginie. Comme je lui fis remarquer que depuis que je jouais avec ses seins ceux-ci s’étaient bien développés et étaient devenus plus durs, elle avait éclaté de rire, tout heureuse de m’annoncer qu’elle était enceinte. C’était le résultat normal de nos ébats très fréquents et très soutenus. Nous avions bien discuté entre nous de la possibilité d’avoir des enfants, mais à aucun moment – qu’il s’agisse de Virginie ou de moi – nous n’avions parlé de contraception. Je dois dire que je pensais qu’elle prenait la pilule ou qu’elle avait un stérilet, et elle, vu la discussion sur les enfants, était partie du principe que si nous voulions des enfants il fallait commencer de suite sans attendre, et elle voulait m’en faire la surprise. L’étreinte que nous eûmes ce jour-là fut à la fois douce et torride.Finalement, 3 mois après la crise, nous étions mariés ; Émilie avait un vrai papa et elle était tout heureuse d’annoncer à ses amies deux mois après qu’elle allait enfin avoir une petite sœur pour le mois d’avril. Le seul problème que nous avions Virginie, Émilie et moi, c’était de trouver le prénom de la petite sœur.