Episode 1 : Une rencontre mouvementéeEt elle vint me chuchoter à l’oreille :— Laisse-toi faire, Joan. Détends-toi.Je m’appliquai à exécuter son conseil. Je respirai profondément lorsque je sentis quelque chose de froid contre mon sexe. Je fermai les yeux et me concentrai sur l’intrusion de ce corps étranger en moi pour deviner ce que c’était.Non, attendez… Commençons par le début !J’avais rencontré Julia à la fac, cela faisait seulement quelques semaines, et elle avait bouleversé ma vie. Avant cette rencontre, j’étais une fille célibataire, un peu timide, toujours vierge et qui ne se mettait jamais en avant. Après cette rencontre, j’étais tout l’inverse !C’était dans les toilettes de la fac. J’étais en train de passer un peu d’eau sur mon visage, quand j’entendis des bruits qui provenaient d’une cabine des toilettes. Je m’approchai de la porte et je compris que ces bruits étaient émis par une femme qui prenait sans contexte du plaisir. Je me mis alors à rougir, même s’il n’y avait pas de raison ! Les bruits se transformaient en petits cris étouffés, elle allait bientôt jouir ! Mais c’est là que le plus surprenant arriva. La voix d’un homme retentit dans la cabine, et dit :— Ah ! Tu l’aimes, ma bite, hein salope ?Je m’en voulais un peu d’écouter ces deux personnes faire l’amour, mais je dois avouer que ça m’excitait aussi pas mal. Après réflexion, je me dis qu’il était préférable que je sorte, lorsqu’au même moment, la porte de la cabine s’ouvrit et le mec en sortit, me présentant un sourire sans équivoque. Je me retournai devant l’évier pour repasser un coup d’eau sur mon visage, j’en avais bien besoin. Quelques minutes plus tard, la fille sortit de la cabine, les yeux illuminés. Elle était blonde, de beaux yeux verts et des traits fins. Elle portait une minijupe et un débardeur assez sexy. Ce qui me surprit le plus, c’est qu’elle portait sa culotte, ou plutôt son string, dans sa main. Elle le jeta à la poubelle et commença à se remaquiller en me parlant :— Excuse-moi si tu nous as entendus.— Oh… Euh… C’est rien… t’inquiètes pas, répondis-je, embarrassée et rouge de honte.— Tu sais, ça fait toujours du bien, avant un exam’. Ça ne t’arrive jamais ?Une fille que je ne connaissais pas du tout me demandait si ça m’arrivait de faire l’amour dans les toilettes de la fac avant un exam’…— Euh… Non, non… jamais, répondis-je, encore plus rouge que tout à l’heure.— Sois pas embarrassée. Tu sais, on est jeune, c’est mieux d’en profiter, non ? On vit qu’une fois. Tiens, j’ai une idée, je te donne mon numéro de téléphone, tu m’appelles tout à l’heure et on va faire les magasins toutes les deux. Je vais te montrer deux-trois trucs. Ok ?Elle sortit de son sac un bout de papier et un stylo et elle commença à écrire. Elle me donna le bout de papier et sortit des toilettes en me disant « À tout à l’heure ! » et en me laissant une petite tape sur les fesses.Enfin, voilà comment j’ai rencontré Julia. Je ne savais pas trop si je devais l’appeler ou non. Cette fille n’est pas du tout le genre de fille que j’aime fréquenter. Et c’est avec deux jours de retard que je décidais de l’appeler. On se donna rendez-vous devant un magasin de vêtements à 17 heures.J’étais en avance, ou plutôt c’était elle qui était en retard ! Cinq minutes plus tard, je la vis arriver. Elle était d’une élégance à couper le souffle. Ses longs cheveux blonds descendaient jusqu’à ses omoplates en virevoltant dans le vent et sa robe, qui arrivait jusqu’à mi-cuisse, battait au rythme de ses pas. Elle était splendide.Elle s’approcha de moi et me fit deux bises. Elle me dit alors, avec un signe de la main montrant le magasin :— Voilà, je te présente mon magasin préféré ! C’est ici que j’achète quasiment toutes mes fringues. Viens, entrons.Nous franchîmes le pas de la porte et aussitôt Julia fit la bise au vendeur en lui adressant quelques mots. Elle semblait connaître beaucoup de monde ici. Elle me prit alors par la main et m’emmena vers les jupes et les pantalons tout en me disant :— Tu sais, les jupes, ça rend les mecs fous. Tu devrais en mettre, ça mettrait tes jambes en valeur. Tiens regarde celle-là ! Tu l’aimes pas ? Allez, va l’essayer.Elle sortit une jupe vraiment petite, mais je dois reconnaître qu’elle était belle. Je lui répondis « Oui » en prenant la jupe et me dirigeant vers les cabines. Je refermai le rideau derrière moi le plus possible. J’enlevai mon pantalon et passai la jupe par-dessus ma culotte. Lorsque je sortis de la cabine, Julia discutait avec le vendeur et ils devaient parler de moi, parce que tous les deux se retournèrent dans ma direction, et le vendeur me souriait. Julia s’approcha et me congratula, elle me trouvait magnifique. Moi, je trouvais cette jupe beaucoup trop courte, mais bon, je n’étais pas l’experte.Elle me poussa à essayer d’autres vêtements aussi excentriques les uns que les autres. Et arrivée devant la caisse, elle m’aida à payer mes fringues, et en plus le vendeur nous fit une petite ristourne. J’ai vraiment trouvé ça gentil.Nous avons continué à aller dans différents magasins, ce qui me fit une garde-robe complètement refaite. Une fois nos emplettes terminées, en sortant du dernier magasin, Julia me proposa alors en souriant :— Tu devrais venir chez moi prendre un petit verre, non ?— Je préfère rentrer chez moi, je suis un peu fatiguée, lui mentis-je.— Bah justement ! Un verre te ferait du bien, crois-moi. On apprendra à mieux se connaître. En plus j’habite juste à côté.Je n’avais plus d’argument et, à contre-cœur, nous nous dirigeâmes vers son appartement. Arrivée chez elle, je découvris un petit appartement, c’était plutôt un studio, mais il était très bien aménagé et agréable à l’œil.— Mets-toi à l’aise, me dit-elle.Je posai tous mes sacs au sol et m’assis confortablement sur le canapé. Elle était partie dans la pièce voisine et je l’entendis crier :— Pineau, whisky ou vodka ?N’étant pas très adepte de l’alcool, j’ai préféré prendre juste un peu de pineau. Elle revint avec deux verres à la main, en me disant :— Tu devrais mettre une des jupes qu’on a achetées, elles te vont si bien.Je me mis à rougir et elle à sourire.— Allez, sois pas si coincée, me dit-elle. Tu as déjà fait l’amour ?Elle me posait cette question comme si c’était la chose la plus banale qui soit.— Non, dis-je honteusement en baissant les yeux.— Tu sais, c’est rien, il te faut juste de l’entraînement pour séduire, c’est tout. Viens, on va faire un essai. Imagine que je suis un mec et que tu veux me draguer pour coucher avec moi. Tu me dis quoi ?— Euh… Ça va ?— Non, dit-elle en rigolant, d’abord il faut détacher quelques boutons de ton chemisier pour ouvrir un peu plus le décolleté. Comme ça, regarde.Elle se mit à détendre mon débardeur pour ouvrir mon décolleté. On arrivait maintenant sans aucun mal à voir la naissance de mes seins.— Ensuite, tu peux laisser tomber une bretelle de ton débardeur.Comme précédemment, elle prit une bretelle de mon débardeur, la laissa tomber le long de mon bras. Lorsque j’eus le réflexe de la relever, elle me dit :— Non ! Si tu la remontes, le mec croira que tu veux rien de lui. Tu dois la laisser comme elle est, et l’exciter au maximum.Je laissai donc la bretelle tomber de plus en plus le long de mon bras, sans rechigner, ce qui eut pour effet de mettre le haut de mon soutien-gorge à le vue de Julia, qui avait les yeux rivés dessus. Je la regardais en train de me mater, et je ne savais pas quoi faire. Elle ouvrit alors la bouche, pour dire en rigolant :— T’es pas mal, dis donc !— Merci, répondis-je en souriant et en rougissant une nouvelle fois.— Alors maintenant, il y a plusieurs possibilités, mais en général, le mec va se rapprocher de toi (Elle se rapprochait de plus en plus de moi pendant que je restais tétanisée) et va t’embrasser.Elle approcha alors ses lèvres des miennes sans que j’aie la moindre réaction. Nos lèvres se touchèrent pendant que ses mains passaient autour de ma taille. Je repris ma lucidité pour arrêter là, mais sa langue avait déjà pénétré dans ma bouche et, sans comprendre pourquoi, je lui rendis son baiser. Nos langues jouèrent ensemble pendant plusieurs minutes, je crois. J’étais dans un rêve. Cette fille venait de me donner le meilleur baiser que j’aie jamais eu ! Elle se détacha de moi, et baissa la deuxième bretelle de mon débardeur, ce qui dévoila entièrement mon soutien-gorge à mon amante. Elle déposa alors quelques petits bisous sur ma bouche qui restait ouverte, attendant le même baiser magique. Mes yeux étaient dans les siens et, par le regard, je la suppliais de recommencer. Mais avec un sourire malicieux, elle approcha sa bouche de mon cou et me l’embrassa.Je décidai de me laisser aller pour prendre un maximum de plaisir. Je fermai donc mes yeux et ne pensai qu’à cette bouche sur mon cou en train de m’embrasser. Elle se détacha de mon cou et j’eus un léger regret. Je gardai les yeux fermés, attendant le prochain contact. Il ne se fit pas attendre et se passa dans mon dos. Je sentis sa main qui était en train de dégrafer mon soutien-gorge. Je la laissai faire, entièrement à sa merci. Elle réussit sans aucun mal à le dégrafer, mais les bonnets restaient accrochés à ma poitrine. Elle retira le fin tissu et dévoila ma poitrine. J’ouvris les yeux et vit que les siens pétillaient, exactement comme quand elle était sortie de la cabine des toilettes. Elle se mit alors à fixer mes yeux et articula pour dire :Cette fille me faisait littéralement fondre. Et inconsciemment, j’ai bombé ma poitrine qui se soulevait également par l’excitation et je la rapprochai de sa bouche. Elle se recula pour ne pas les prendre en bouche. Elle me dit alors avec un ton sévère :— Lève-toi !— Quoi ?— Lève-toi !Sous son emprise, je me levai, comme elle me l’avait ordonné. Elle se mit à genoux devant moi, m’enleva mes chaussures et mes chaussettes. Elle se mit à déboutonner le premier bouton de mon pantalon, le deuxième, puis le troisième. Elle vit apparaître ma culotte, et ses yeux qui pétillaient toujours ne semblaient avoir qu’une envie : voir plus ! Elle m’enleva entièrement mon pantalon et je me retrouvai donc en culotte devant cette fille que je ne connaissais quasiment pas. Elle m’embrassa alors l’intérieur de la cuisse droite avec beaucoup d’intensité. Puis la gauche, en remontant un peu plus.Ce petit jeu continua jusqu’à ce qu’elle arrive au point ultime, seul rempart de tissu qui couvrait mon corps bouillant de désir. Elle passa ses mains sur mes hanches puis les descendit lentement, emportant avec ma culotte et dévoilant au passage mon mont de Vénus.Prise de honte, je serrai les jambes, ce qui l’empêcha de continuer à enlever ma culotte. Elle posa alors une main sur mon sexe, et mes jambes s’ouvrirent toutes seules, sans que je contrôle quoi que ce soit. Je passai mes jambes dans ma culotte puis elle finit par voler dans la pièce. Julia approcha sa bouche de mon sexe, et l’embrassa comme elle m’avait embrassé le cou. Je fermai les yeux, c’était bon. Et d’un coup, elle s’arrêta, se releva et me dit :— Assieds-toi sur le canapé, je vais chercher quelque chose dans la salle de bain.Un léger baiser sur mes lèvres et elle disparut dans la salle de bain. À ce moment-là, j’étais perdue. Je ne savais plus du tout quoi penser. J’étais nue devant une inconnue : n’importe qui se serait rhabillé et serait parti, dans ma position. Mais sans m’en rendre vraiment compte, j’aimais beaucoup ce qu’elle me faisait, alors je décidai tout de même de lui obéir et je me suis donc assise. Quelques minutes plus tard, elle revint avec quelque chose dans la main. Elle prit alors la parole :— Je vais te faire découvrir une partie seulement du vrai plaisir. Reste assise et écarte les jambes.Comme un pantin, je lui obéis sans dire un mot. Son visage s’approcha du mien et elle vint me chuchoter à l’oreille :— Laisse-toi faire, Joan. Détends-toi.Je m’appliquai à exécuter son conseil. Je respirais profondément lorsque je sentis quelque chose de froid contre mon sexe. Je fermai les yeux et me concentrai sur l’intrusion de ce corps étranger en moi pour deviner ce que c’était.— Qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je, légèrement paniquée.— Laisse-toi faire, je t’ai dit, et ferme tes beaux yeux.Elle me répondit cette phrase avec un réel sourire de tigresse. Je fermai les yeux et sentis que cette chose qui entrait dans mon sexe était grosse, ça me faisait un peu mal, je dois l’avouer. Je sentais que petit à petit je me remplissais. La chose passa mon hymen avec une certaine facilité mais tout de même une petite douleur. Et soudain, le mal disparut. Mes lèvres intimes qui s’était écartées se sont à nouveau refermées. Seul un changement subsistait : je me sentais remplie. Julia, d’une voie douce, me dit alors :— Voilà c’est bon, tu peux regarder.J’ouvris les yeux et baissai la tête pour regarder mon sexe. Une petite chaîne, pas très longue, en sortait et je compris que cette chaîne était reliée à la chose qui se trouvait dans mon sexe. Devant mon incompréhension, Julia m’éclaira alors :— Je t’ai mis une boule de geisha dans le sexe, Joan.— Quoi ?— Ne t’inquiète pas ça ne fait aucun mal. Tu comprendras tout à l’heure. Allez, mets une jupe et un haut, et suis-moi.— Mais attends, je peux pas sortir comme ça !Julia fouilla dans un de mes sacs de fringues et en sortit une jupe et un haut.— Tiens, mets ça et pas de sous-vêtements !— Mais t’es folle, je peux pas faire ça.— Fais-moi confiance, Joan, tu vas aimer.Je m’inclinai et mis la minijupe et le haut sans aucun sous-vêtement. Ça me dérangeait vraiment de pas avoir de culotte, parce qu’il fallait que je force pour garder la boule en moi et plus je forçais, plus je mouillais.C’est lors de mes premier pas que je compris l’intérêt de la boule de geisha. Elle m’a inondée d’un plaisir sans précédent ! Lorsque je marchais, et surtout sans culotte, je faisais bouger la boule dans mon sexe, ce qui avait pour effet de me rendre totalement folle. La mouille qui sortait de mon sexe coulait le long des jambes. Julia me regardait et me dit :— Tu as l’air d’apprécier, dis donc !En effet, sans m’en rendre compte, j’étais en train de sourire. Nous avons descendu les escaliers et j’ai dû tomber deux fois pour me remettre de tant de plaisir. Nous sommes sorties du hall de l’appartement et sommes arrivées dans la rue. Julia me regardait en souriant. Elle était heureuse du plaisir qu’elle me faisait prendre. Et c’est à ce moment qu’elle dit :— Ok, maintenant, direction la boîte, chérie !