Histoire coquine :Environ 3 mois plus tard, LEA me contacte pour savoir si elle peut repasser une soirée avec nous.
Je lui pose la question pour son ami David mais ils sont sĂ©parĂ©s depuis plus d’un mois.
J’en parle directement Ă mon mari qui se met Ă sourire, il m’avait prĂ©venu que cela arriverait.
« D’accord me dit-il, mais Ă une condition, qu’elle nous rejoigne Samedi Ă 13h30 au Mac Do du Leclerc Saint GrĂ©goire, l’une de vous deux aura un gage. S’il n’est pas rempli, la soirĂ©e n’aura pas lieu. »
Comme Ă son habitude, il ne m’en dit pas plus.
J’ai très envie de revoir LEA (j’ai encore en mĂ©moire la douceur de sa langue ainsi que son petit cĂ´tĂ© « dĂ©vergondé » que j’adore).
Je l’informe immĂ©diatement du rendez-vous et de l’Ă©ventuel gage.
Cette fois-ci, c’est moi qui ris car je reçois une rĂ©ponse positive de sa part dans les 10 secondes par texto.
Le Samedi, je m’habille simplement, une jupe plutĂ´t courte mais sans culotte par contre.
Nous arrivons vers 13h15 et comme nous sommes les premiers, nous prenons Ă manger et nous installons dans le fond du restaurant sur une table avec banquette.
En fait il ne s’est pas Ă©coulĂ© cinq mn que LEA passe la porte et nous rejoins Ă notre table.
J’Ă©clate de rire en la voyant, elle aussi porte une jupe assez courte, presque identique Ă la mienne…
Pierre ne comprend pas pourquoi je ris, (pour une fois c’est parfait !).
LEA mange juste un Sunday caramel et comme moi elle est dans l’attente du fameux dĂ©fi/gage Ă accomplir.
Pierre prend tout son temps, il termine son dessert en nous regardant l’une et l’autre tour Ă tour.
Je lui pince la cuisse pour qu’il nous parle.
Lentement, il pose son Sunday pour dire : « Je veux que vous alliez toutes les deux dans les toilettes. L’une doit faire jouir l’autre dans sa bouche. Celle qui se sera agenouillĂ©e et accomplit son gage devra m’embrasser Ă son retour.
Je saurai ainsi ce qu’il en est… »
Il devient de plus en plus cochon mais j’adore ça.
Je regarde LEA qui me fixait déjà .
Elle se lève sans plus attendre et marche en direction des toilettes.
A mon tour, je me lève aussi, j’embrasse mon mari tout en lui disant qu’il me le paierait bientĂ´t.
Je suis dĂ©jĂ mouillĂ©e…
Je rentre dans les toilettes pour femmes , il y a deux cabines.
Une seule porte est ouverte et je vois LEA qui m’attend, passant sa langue sur ses lèvres en me regardant.
Je rentre dans la cabine, on s’embrasse aussitĂ´t.
La douceur de sa bouche m’excite encore davantage.
Sa main droite s’aventure sous ma jupe, elle se rend compte que mon sexe lui est totalement offert.
Ses doigts glissent lentement entre mes lèvres très humides puis me pénètrent assez profondément.
Elle les ressort avant de les enfoncer dans sa bouche.
J’ai bien compris que ce n’est pas moi qui embrasserai Pierre dans quelques minutes.
Elle s’assied sur la cuvette en me demandant de me retourner et de cambrer mon bassin.
J’Ă©carte lĂ©gèrement les jambes en me penchant en avant, mes mains ayant pris appui sur la porte.
Exactement comme si j’allais me faire prendre.
La langue de LEA m’explore lentement, avec tout le savoir faire dont elle est capable.
Je sens ses doigts aller et venir doucement dans mon vagin, la pointe de sa langue forcer entre mes fesses.
Le plaisir monte Ă toute vitesse et j’en viens Ă me mordre la lèvre infĂ©rieure pour contenir l’orgasme violent qui me submerge totalement.
Je ne sais mĂŞme pas si j’ai fait du bruit mais en fait je m’en fiche complètement.
LEA se redresse et Ă nouveau nous nous embrassons. Elle ouvre la porte de la cabine avant d’aller se laver les mains.
J’en profite pour sortir et rejoindre mon mari Ă notre table. Il jette juste un coup d’oeil vers moi avant de sourire et de me dire : « vraiment très douĂ©e LEA ».
Il me connait tellement que je n’ai mĂŞme pas besoin de parler.
Je m’assois face Ă lui en laissant la place disponible sur la banquette pour LEA.
D’ailleurs la voilĂ , souriante, contente d’elle mĂŞme.
Une fois assise, elle hĂ©site, je sens qu’elle ne veut pas me mettre mal Ă l’aise.
Je lui dis que cela fait partie du gage et que j’autorise un petit baiser.
Le souci avec LEA, c’est qu’elle ne fait jamais les choses Ă moitiĂ©. Elle l’embrasse vraiment pour lui prouver ce qui vient de se passer.
C’est Pierre qui en vient Ă reculer son visage en disant qu’effectivement le dĂ©fi Ă©tait largement rĂ©ussi.
Elle me regarde et me dit : « tu permets que je vérifie quelque chose ? ».
Surprise, je lui dis que oui, curieuse de voir ce qu’elle va faire.
En fait, elle glisse sa main entre les cuisses de mon mari, se met Ă sourire et dit : « Je m’en doutais, il est tout aussi excitĂ© que nous. Vous ne voulez pas venir chez moi maintenant pour continuer cette journĂ©e ? ».
Je suis troublée, ne sachant quoi répondre.
C’est Pierre qui trouve la solution. PrĂ©textant un rendez-vous dans peu de temps, il invite LEA chez nous pour le lendemain soir.
Il sait que j’ai besoin de digĂ©rer ce qu’il vient de se produire et de me prĂ©parer pour notre prochaine rencontre.
Elle accepte avec plaisir, un peu déçue de rester sur sa « faim » pour le moment.
Nous quittons le restaurant en nous faisant la bise sur le parking. Les regards complices en disent long.
Avec Pierre nous faisons l’amour de manière presque animale Ă peine rentrĂ©s dans notre appartement.
Je fantasme dĂ©jĂ sur la soirĂ©e de demain, j’en veux plus…Partagez ce rĂ©cit coquin : Tweeter